Rhân
Il sentit avec plaisir son amante frissonner doucement alors qu'il déposait le collier sur sa peau. Son frissonnement, la chaleur de sa peau, sa présence, son sourire... tout allumait en lui un brasier de désir et c'est à grand peine qu'il se retint de ne pas l'enlacer, la serrer fort contre lui comme si plus rien d'autres qu'eux existait, l'embrasser, la posséder...
Troublé, il la regarda avec amour ne quittant pas son visage, ses yeux du regard, lui souriant avec insouciance comme si rien ne pouvait plus arriver, lui répondant dans un souffle.
Splendide.. à ton image ma chère...
Il continua de la dévorer du regard alors que ses yeux à elle se perdaient dans le vague derrière lui, ses doigts sur le bijou.Ils ne pouvaient pas se parler librement devant tout ce monde, mais se comprenaient sans peine et devaient partager cette même envie de serrer l'autre contre soi. Mais la foule leur donnait des obligations qui tournaient au supplice de Tantale ; sa présence si proche et tellement inaccessible et le devoir de résister au désir qui le consumait et qu'il ne pouvait montrer.
Un peu en retard, toujours troublé par sa présence, il répondit en se tournant en souriant vers la dame de Flavigny qui venait de le tirer de sa rêverie par son enthousiasme.
Bien sûr, je vous accompagnerai et à défaut de vous conseiller niveau chiffon, je vous servirai de cavalier et de garde du corps personnel, ainsi que de porteurs des effets de la vicomtesse
Le petit groupe avança vers un marchand d'étoffe dont la marcandise attira la jeune vassale de Leah qui se jeta dessus pour tâter et comparer les tissus, les regardant à la lumière du soleil pendant que la vicomtesse qui, plus habituée, n'était pas entrainée par la frénésie de sa vassale, d'un air plus détachée et détendue la conseillait et lui faisait quelques remarques pratiques. Et le baron regardait le spectacle d'un air heureux, le sourire au lèvre, les yeux sur l'objet de son désir quand celui-ci se retourna brusquement et regarda comme tétanisée au loin quelque chose que le baron qui s'était retourné de ce côté n'aperçut pas. Elle était devenue subitement fébrile, inquiète, regardant avec méfiance les passants. Il s'avança vers elle, la prenant par l'épaule, un peu plus tendrement qu'il n'aurait fallu en public avant de lui demander un brin inquiet.
Léah? Que se passe-t-il? Qu'as tu vu?
_________________
Sur ma bannière, vous voyez 3 gentils lapins dans un champs, hein?.. Bah vous avez tort
Troublé, il la regarda avec amour ne quittant pas son visage, ses yeux du regard, lui souriant avec insouciance comme si rien ne pouvait plus arriver, lui répondant dans un souffle.
Splendide.. à ton image ma chère...
Il continua de la dévorer du regard alors que ses yeux à elle se perdaient dans le vague derrière lui, ses doigts sur le bijou.Ils ne pouvaient pas se parler librement devant tout ce monde, mais se comprenaient sans peine et devaient partager cette même envie de serrer l'autre contre soi. Mais la foule leur donnait des obligations qui tournaient au supplice de Tantale ; sa présence si proche et tellement inaccessible et le devoir de résister au désir qui le consumait et qu'il ne pouvait montrer.
Un peu en retard, toujours troublé par sa présence, il répondit en se tournant en souriant vers la dame de Flavigny qui venait de le tirer de sa rêverie par son enthousiasme.
Bien sûr, je vous accompagnerai et à défaut de vous conseiller niveau chiffon, je vous servirai de cavalier et de garde du corps personnel, ainsi que de porteurs des effets de la vicomtesse
Le petit groupe avança vers un marchand d'étoffe dont la marcandise attira la jeune vassale de Leah qui se jeta dessus pour tâter et comparer les tissus, les regardant à la lumière du soleil pendant que la vicomtesse qui, plus habituée, n'était pas entrainée par la frénésie de sa vassale, d'un air plus détachée et détendue la conseillait et lui faisait quelques remarques pratiques. Et le baron regardait le spectacle d'un air heureux, le sourire au lèvre, les yeux sur l'objet de son désir quand celui-ci se retourna brusquement et regarda comme tétanisée au loin quelque chose que le baron qui s'était retourné de ce côté n'aperçut pas. Elle était devenue subitement fébrile, inquiète, regardant avec méfiance les passants. Il s'avança vers elle, la prenant par l'épaule, un peu plus tendrement qu'il n'aurait fallu en public avant de lui demander un brin inquiet.
Léah? Que se passe-t-il? Qu'as tu vu?
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