Maegorn55
Son hospitalité n'a pour lui aucune limite. Et puis, son ami ne lui avait-il pas écrit " Si un voyageur venait à demander toit où dormir, acceptez." ? La jeune femme se lève et le regarde en lui souriant après avoir retiré son écharpe.
" Et il est non négociable que tu te fatigues ce soir. Demain, j'aurai surement besoin d'aide par contre. "
Quand il annonce qu'elle le comble de bonheur, Maegorn s'amuse et le taquine.
" Attends de goûter. Qui sait si le potage est bon ? "
Elle lui sourit et pose sur le fauteuil son écharpe. La maison de son ami médecin est un petit pied à terre. Lorsqu'on entre, passée l'entrée, on se trouve dans la pièce de vie où nous font face la cheminée et le dos d'un fauteuil. A droite, trône une table de ferme et plusieurs tabourets. Au de-là de la table, il y a la cuisine et le débarras où sont stockées les bûches.
A l'opposé, il y a un lit d'une place installé contre le mur. Plus loin, à l'angle, il y en a un autre similaire. Le second sert pour l'instant, davantage pour stocker sacs et diverses choses que de lit. Entre les deux lits, une porte mène à la salle de baquet et à la pharmacie du propriétaire.
" Je vais te débarrasser le lit d'appoint. Tu y seras à ton aise. "
Son regard revient sur Cendre. Il va rester quelques jours. Le temps qu'il aille mieux. Le temps peut-être qu'elle lui avoue ses sentiments. Quand il lui demande ce à quoi elle a cur, celui-ci bondit dans sa poitrine, pris par surprise. A quoi a t-elle coeur ? A le voir et à l'avoir près d'elle, à partager de simples moments avec lui, à faire ce qu'ils ne pouvaient faire avant sans se sentir coupables. A partager les routes avec lui, et les haltes aussi.
Mais comment le lui dire ? En y pensant, elle plonge ses yeux dans les siens.
" J'ai coeur à profiter de la vie maintenant. Et toi ? "
Un simple sourire accompagne sa réponse.
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" Et il est non négociable que tu te fatigues ce soir. Demain, j'aurai surement besoin d'aide par contre. "
Quand il annonce qu'elle le comble de bonheur, Maegorn s'amuse et le taquine.
" Attends de goûter. Qui sait si le potage est bon ? "
Elle lui sourit et pose sur le fauteuil son écharpe. La maison de son ami médecin est un petit pied à terre. Lorsqu'on entre, passée l'entrée, on se trouve dans la pièce de vie où nous font face la cheminée et le dos d'un fauteuil. A droite, trône une table de ferme et plusieurs tabourets. Au de-là de la table, il y a la cuisine et le débarras où sont stockées les bûches.
A l'opposé, il y a un lit d'une place installé contre le mur. Plus loin, à l'angle, il y en a un autre similaire. Le second sert pour l'instant, davantage pour stocker sacs et diverses choses que de lit. Entre les deux lits, une porte mène à la salle de baquet et à la pharmacie du propriétaire.
" Je vais te débarrasser le lit d'appoint. Tu y seras à ton aise. "
Son regard revient sur Cendre. Il va rester quelques jours. Le temps qu'il aille mieux. Le temps peut-être qu'elle lui avoue ses sentiments. Quand il lui demande ce à quoi elle a cur, celui-ci bondit dans sa poitrine, pris par surprise. A quoi a t-elle coeur ? A le voir et à l'avoir près d'elle, à partager de simples moments avec lui, à faire ce qu'ils ne pouvaient faire avant sans se sentir coupables. A partager les routes avec lui, et les haltes aussi.
Mais comment le lui dire ? En y pensant, elle plonge ses yeux dans les siens.
" J'ai coeur à profiter de la vie maintenant. Et toi ? "
Un simple sourire accompagne sa réponse.
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