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[RP] Pèlerinage Fatum en Lorraine

Lior.
~ Nancy, une missive à la main ~

Oh My Gosh! La mobilisation était générale. Un foin sans nom! On courait au sein des venelles de la Capitale, les échoppes fermaient une à une, et étaient calfeutrées au moyen de larges planches de bois.
Quel bruite assourdissante. Impossible to bear*. Macarons vissés sur la tête, Lady Lior Nightingale se demandait bien ce qu'elle venait faire ici.

- Oh si je te retwouve ma fille, tou vas passer une mauvaise quart d'heure. Oser t'enfouir avec un peasant!

Cela faisait des jours que la préceptrice angloise était à la recherche de sa 'protégée', qui avait pris la poudre d'escampette. Dessin de la jeune fille à la main, elle avait eu confirmation de la présence de la petite, du moins de la petite de seize années. Installée depuis un quinzaine de journées elle n'avait malheureusement plus eu aucune information. Les douaniers ne l'avaient pas vu sortir de la ville, donc elle était là. Assurément.

La 'nounou' sortit une flasque de whisky et s'en enfila une rasade, puis la rangea précautionneusement dans une des poches de son mantel.


- Mais que va donc diwe ton Pèwe! Et si, et si... Oh my Gosh!

Cette petite cwuche auwait sans doute batifolé avec le pouant. Plous une virgin, impossible de la mawier. Or**... Sa main vint à nouveau au contact de la flasque, pour finir sur ses lèvres et lui donner une dose de courage. Or... Tant qu'elle n'attend pas de baby, no problem!

Après avoir rajusté la fleur qui ornait sa coiffure, elle reprit la route vers la mairie. Elle s'était engagée à monter les gardes, et vérifier les identités des arrivants. Toujours plus 'noble' que de finir à casser des cailloux.

Donc ce "Fatoum" allait attaquer, apwès avoir fait pwomenade dans Fwanche-Comté. N'ayant pas d'arme à disposition, elle s'arma d'une solide bûche, certes maigre rempart face à un brigand l'épée à la main mais cela était déjà mieux que rien!


*supporter
**Ou

_________________
Le.masque.


[Vaudemont - dimanche matin]


27/01/1461 04:05 : Vous avez frappé Falco00. Ce coup l'a probablement tué.
27/01/1461 04:05 : Vous avez frappé Lisya. Ce coup l'a probablement tué.
27/01/1461 04:05 : Vous avez frappé Violette.. Ce coup l'a probablement tué.


Ouch, ça devait faire mal ! Une armée qui vous tombe sur le râble, ça doit pas faire du bien. Le Masqué n'avait pas cherché à vraiment se battre, même s'il avait comme les autres, contribué à ce... lynchage. Bah oui, il n'était pas très heureux, ça correspondait pas à sa vision de guerre ou de batailles, de se retrouver face à trois péquenots.

Au petit matin, direction l'église. Il va la brûler, ou pas... S'approchant, il y entre, pendant que le campement se monte. Il regarde l'autel, le reste, et son visage sous sa capuche se fait dur, alors qu'il murmure pour lui même : "t'es qu'une raclure le Très Haut. J'voulais pas ça. L'Sans Nom aurait pas fait pire comme épreuve". Il se signe, pose un genou à terre, et récite rapidement une prière, avant de ressortir. Pas envie que ses amis sachent où il est.

Contournant l'Eglise et un petit bois, il rejoint le campement, puis va en taverne.


Même pas d'curé ici, faut crâmer l'Eglise ! En attendant tous avec moi !

Notre bière qui est en fut
Que ta mousse soit sanctifiée
Que ton verre vienne
Que ta distribution soit faite
Sur la table comme au bar
Donne nous aujourd'hui
Notre houblon quotidien
Pardonne nous nos gueules de bois
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui boivent d'la tisane
Soumets nous à la tentation
Et délivre nous de la soif
Car c'est à toi qu'appartiennent
Les bulles l'arôme et la fraîcheur
Pour les siècles des siècles
Amène

d'la bière par les burnes du sans nom !
Le_barde
La nuit avais été vachement mouvementé pour le Barde. Pour ses compagnons aussi d'ailleurs, et alors qu'ils arrivaient dans une nouvelle ville, le Barde faisais les comptes :

Citation:
Vous avez frappé Falco00. Ce coup l'a probablement tué.
Vous avez engagé le combat contre Falco00.
Votre arme a été détruite.
Vous avez frappé Lisya. Ce coup l'a probablement tué.
Vous avez engagé le combat contre Lisya.
Vous avez engagé le combat contre Violette..


'Tain ! J'ai abîmé mon bâton sur la tête de l'autre bonhomme de cette nuit.
Et le pire, c'est que j'ai même pas eu le temps d'lui faire les poches !


C'étais habituel, le Barde ronchonnais toujours très tôt le matin, ça permet d'évacuer, et de passer une journée encore plus agréable.

En plus, il y a du brouillard, on se les gèles. Et pis les Lorrains sont des voleurs. Suffit de regarder les tarifs pratiqués sur les marchés ! 8 pièces la pauv' miche de pain ? C'est une honte, et c'est nous qu'on traite de brigands.. J'en ais marre.

A ce moment-ci, le Barde passe devant une taverne et reprends son habituel et indécrochable sourire.

Une bière ! Voilà ce qu'il me faut pour me remettre de mes émotions ! Qui est avec moi ?
Broucolaque


Un peu d'action ne pouvait pas faire de mal...au contraire ca soulage...

Le calme revenu, il en profita pour se reposer quelques heures avant de sortir en taverne...

vantard....


quatre!!!j'en ai eu quatre!!!!

non...tu en as eu que trois...

oui mais j'ai eu deux fois l'même ca fait quand même quatre!!!

tavernier!!! faites pèter les tonneaux!!! et apportez moi des tartines!!! faut prendre des forces, c'te nuit se s'ra aut'chose


Une choppe dans une main, de beugler et chanter

Si je viens à mourir
je veux que l'on m'enterre
dans un tout petit cimetière ,
400 putains à poils
viendront crier trés haut
c'est le roi des julots
que l'on mene au tombeau!!

Sur la tombe on lira
cette glorieuse phrase
écrite par des truands
d'une trés haute classe
honneur à la putain
qui m'a préter sa main
si je n'étais pas mort
je te bais*** encore!!

Pas de grâce
pas de pitié
pour toutes ces bandes de vaches
et ces bandes d'enfoirés!!


regardant le masque

si tu crèves..promis,j'm'en va viendre arroser ta tombe avec d'l'armagnac chaque dimanche...mais si tu pouvais éviter..non parsque tu vois...uhm
Le.masque.

--Le_Barde a écrit:
Une bière ! Voilà ce qu'il me faut pour me remettre de mes émotions ! Qui est avec moi ?


Moi !!!

Bah oui hein ! Pas tout de prier pour la bière, autant s'en j'ter une dans le gosier.

Puis il regarde les siens, 'fin, sa section quoi.

Et pour bouffer, éviter l'marché, l'Barde a raison. Autant aller en taverne, ils laiss'ront pas crever de faim leurs habitants, et ils tentent de nous affamer par les marchés. Une politique de terre brûlée comme une autre. Alors direction les tavernes.

Besoin de dire qu'il en revient et qu'il y a trouvé de la bouffe ? Bof, il a transmis l'information, alors il y va, accompagnant leur fou chantant.

T'inquiète pas, Broucolaque, j'ai pas l'intention d'me faire tuer sans leur donner du fil à r'tordre. J'suis pas un agneau qu'on envoie à l'abattoir, et j'ai plutôt hâte qu'on entre dans l'vif du sujet tu vois ! héhé.


S'installant en taverne, il sort une bourse pour payer une tournée.

A nous ! A Fatum !

Et il entame une chanson sur l'air de "vive le vent"

Oh vive Fatum
vive Fatum
vive fatum et compagnie
qui s'en vient pour vous distraire
sur les chemins d'Lorraine !
Oh vive Fatum,
Vive Fatum
Vive Fatum et compagnie

On s'en vient
sifflant chantant
dans les tavernes d'lorraine
on va les prendre
sifflant chantant
par devant par derrière !


_________________
Mo_gwai
Bonjour ! si vous considérez que mon perso n'a rien à fiche à parler dans ce topic aux persos du Fatum, no soucy : faites déplacer mon Rp à votre bon vouloir là où vous estimerez que c'est mieux. Tant que ça se joue, ça me va.
Merci et bon jeu.


Arrivant comme souvent en gargote, Mogwaï ne put s’empêcher de remarquer l’agitation post élections pour les pigeons.
Des désignés méchants brigands vilains pas beaux étaient l’objet de toutes les haines et de toutes les peurs possibles. On entendait même de si de là des gens dire qu’ils étaient le démon réincarné, un cardinal très tartuffe éructer qu’ils étaient les membres d’un complot imaginaire visant à lui faire perdre son pouvoir sur les meuh meuh de Lorraine.
Bref, on entendait tout et n’importe quoi, et ce n’étaient pas les méchants vilains pas beaux qui faisaient quoi que ce soit pour s’en disculper : ils adoraient visiblement mettre l’ambiance là où ils passaient, quitte à se prendre pour ce qu’ils ne sont pas.
La plus mignonne boule de poils de l’est (ou pas) s’approcha donc d’eux, parce que rien n’a fout’, même pas peur, moi.


Bien bon le jour… vous ? Toi ?

Il s’adressa au premier qui voudrait bien lui répondre :

Alors vouala, je viens vous vouar pour vous dire merci. Merci parce que contrairement à la plupart des humains dans les royaumes, moi j’aime bien quand il se passe quelque chose d’intéressant et qui crée de l’émulation dans la province où on vit.
Pas que je suis de votre côté, moi je suis qu’une boule de poils au service de son maitre. Et mon maitre, c’est pas toi, c’est pas vous tous là.
Simplement, je voulais vous dire merci de vous mettre en scène en gargote, et pas simplement de faire que voler des écus comme des rats qui se cachent.
Merci de venir créer de l’émulation. Merci de venir casser la routine mortelle dans laquelle la Lorraine s’est enfoncée depuis si longtemps.
Merci donc, d’être venu sans le vouloir prouver que les papiers putrides que les politiks appellent « loi martiale » ou autre, ne servent à rien et ne peuvent pas fermer une frontière comme ils osent dire sans peur du ridicule.
Merci de montrer par la force de l’acte que c’est n’est pas les délires des gens qui doivent influencer les structures In Gratibus, mais bien les structures qui doivent faire se mouvoir les gens et leur faire marcher l’imagination dans ce sens là.
Merci aussi de permettre à pleins de gens de partis différents de s’unir pour essayer de vous botter les fesses. C’est cool.

Ensuite, je dois quand même te et vous demander quelque chose. Parce que, bien sur, il y a comme dans tout choix et acte In Gratibus, un risque.
Et c’est pourquoi je te demande gentiment, steu plait, si toi et tes copains vous prenez le château de Nancy, de déjà pas prendre le peu d’écus qu’il reste dedans, et surtout, surtout, d’entretenir au minimum de façon « automatique » les mines.
Passe que si les mines sont pas entretenues, ça va être une catastrophe pour la Lorraine, et jamais, au vu du peu d’humains dans la province, elle n’arrivera à les remonter ensuite, provoquant je le crains la mort de tous les nouveaux qui n’ont que ça comme ressource pour travailler.
Et la fin du peu de liquidités qu’a la duché, vu que sans ses mines déjà mal en point, ben le duché il coule à pic.
Par contre, vous pouvez toujours prendre tous les blasons moches que vous voulez (les humains appellent ça des titres), ça c’est pas grave, au contraire, ça serait salvateur pour beaucoup de lorrains qui n’osent pu rien faire de leur vie que d’être une meuh meuh suivant des chefs parce qu’ils ont peur de les perdre justement, leurs blasons moches.

Enfin vouala. Donc si vous plait, vraiment, soyez gentils au moins juste sur ça, entretenez les mines si vous arrivez à prendre le château de Nancy.
Sinon, là, même moi je serai d’accord pour que les habitants de Lorraine vous pourrissent de procès (dans la limite voulue par les créateurs des royaumes) quand vous serez plus en armée.
Vouala.

Je m’en va continuer mon tour de la gargote d’accord ? Peut être à plus tard, qui sait.


Et la petite boule de poils burlesque, ce bisounours en puissance qu’il était s’en alla en chantant.

_________________
J'aime les grosses miches.
Et pis un jour je serai archiduc des autruches qu'il m'a promis, Chlo.

Oo Mogwaï ça s'écrit Mo_gwai mais ça se prononce Mogouaille oO
Isys
Dans la nuit de samedi à dimanche.

Isys qui était pour une fois à l'heure- oui oui ça arrive j'vous jure ! - suivait ses ptits copains de l'armée avec son p'tit groupe.
Une deux, une deux, en avant toute .. après même pas quelques minutes de marche - même pas l'temps de ce fatigué quoi - que l'armée tomba sur un groupe de trois pauvre cloch...malheureux.
Oui ceux ma n'ont rien comprit à la vie et à ce qu'elle peut voir du spectacle, ils ne vont plus en avoir, de vie.

Alors en restant sur le côté - oui j'vous l'ai déjà dit elle est pas dans l'armée, faut suivre hein ! - elle encouragea ses p'bread amis.
Vous vous rapellez de la rousse qui sautillait à côté du p'tit champs de bataille ? Bah oui c'était elle.

Après cette petite pause, l'armée repartit et l'groupe de la rousse aussi.

On s'pose, on déballe tout et on va boire.

Dimanche matin, voilà la troupe arrivé a Vaudemont.
Bon vu comme ça la ville à pas une si belle allure, m'enfin on juge une ville à sa mairie et pas à son architecture.
Bref elle avait prévu d'aller dormir quand quelqu'un proposa une bière.
Demi tour marche, la rousse revint en arrière, ouais bon elle connait presque aucun de ceux qui sont en taverne maiiiis leur groupe porte le même nom et elle veux sa choppe.
Oui elle n'a pas combattu trois malheureux ex-vivant avec eux mais elle les a encouragés, donc elle le mérite aussi.
Et voilà une tournée, on trinque, on boit cul sec ou non on chante; on r'boie encore ... enfin bref le meilleur moyen de finir plein comme une vache pleine.

Le.masque.


Il s'arrête, coupé net dans sa chanson par une boule de poils, et l'écoute. Bah oui, polis et tout, il a même répondu au maréchal qui l'a invité à faire du tourisme en Lorraine ! Faut pas déconner quand même.


Bonjour la boule de poils.

Bah, on aime bien s'amuser, et bien content que ça te fasse plaisir.

Le masqué esquisse un sourire, et le regarde de nouveau.

Allez, file, avant qu'on tente de te recruter. J'aime bien les doudous. Pour les frontières, bah, ils sont comme partout... Ils disent, mais bon, difficile de vraiment fermer des frontières, ces lois martiales servent surtout à vous protéger, petite boule de poils. Ca veut dire qu'ils vont mettre leurs armées, s'ils en ont, en faucheuse, et tirer l'épée contre tout ce qui circulera de nuit sur les routes... A vous de voir, petite boule de poils, si vous allez oser sortir une oreille de votre terrier.


Le sourire en coin en dit long sur l'envie qu'il a d'envoyer bouler la boule de poils, mais pas de vagues qu'on a dit, pas de vagues...

Pour tes inquiétudes, faudrait déjà que notre cible soit celle-là héhé. Mais je note, des fois que ça me servirait un jour...


Remarquant LEUR supportrice, celle-là même qui agitait les mains pendant qu'ils jouaient cette nuit, limite qu'ils se seraient taper dessus faute d'adversaires, il attrape une chope et file quelques écus au tavernier.


Hey ! Tu sais quoi ? T'étais presque à l'heure c'te fois !

La taquinant, il trempe ses lèvres dans chope de... mirabelle et recrache aussitôt.

Sal'té d'pays ! C'est quand qu'on trouve de la bière ou de la boisson digne de c'nom !

Tavernier ! Une chope de bière !
Alastor.
[Épinal : Ville des poissonniers]

Ville des poissonniers ? Mais il raconte quoi celui-là ! Ne y a pas de poisson à Épinal voyons ! Ben y a peut-être pas de poissons, mais des gens qui gueulent ça yen a !
Il a tellement mal à la tête à les entendre piailler qu'il ne va plus trop en taverne, dommage l'alcool lui manque et cela le rend grincheux.
Que voulez-vous il reste un homme avant tout hein ...
Bref... Il s'ennuyait, enfin, jusqu’à qu'il la rencontre, un corps de femme, des courbes bien propositionnelles et intelligente en plus et bien sûr une nuit embrassée mais le plus important était ...


Je pars quand ?

Demain ...

Vivement que je parte d'ici ...

Il avait grande hâte de partir, demain ... Demain sera un autre jour... Une nouvelle vie ? De nouveaux camarades ! Oui il connaissait du monde mais l'armée de dieu était tellement grande que l'ont ne pouvait pas connaitre tout le monde pardi ! Oui la lorraine n'était rien d'autre qu'une grande poissonnerie ou les gens parlent trop, menace trop, mais ou les gens meurt trop vite .... Malheureusement ... Mais heureusement ils avaient ici de belles femmes, un point positif surtout quand elles sont aussi généreuses !
Tonic
Stratégie, tactique militaire, méthodes d'organisation, technique, il avait tout préparé, tout lu, assez pour tout savoir dans les moindres détails. Tout sauf une chose, que cette s*****rie d'armée était nécessairement composée de soldats faisant fi de l'aide à apporter aux compagnons trop chargés. Il avait l'air fin derrière sa charrette sur la route de Luxeuil à Épinal, observant ses compagnons prendre le large devant lui. Le temps de tout reposer derrière lui qu'il étaient déjà à perte de vue.

Humpf !

Accourant au plus vite, seul, en direction d’Épinal, il espérait pouvoir les rattraper. Il revit en plein milieu de la nuit au loin l’étendard noir flottant hors des villes, disparaitre sous son nez à peine entré à l'intérieur de l'enceinte.

Hééééééé ! Attendez mooOOOOOOI !

C'était vain.... Un haussement d'épaule, un bref passage en taverne, il se reposerait pendant la journée, tant pis ! Il allait juste falloir éviter de croiser certains villageois pendant son séjour....
_________________
Crakity
Nuit du samedi 26 au Dimanche 27 Janvier

Il y était, voilà. Comme à la belle époque comme il l'appelait, il allait reprendre du service. Les positions n'étaient pas les mêmes mais la finalité si.

Il y retrouvait un certain plaisir. Il se sentait à nouveau libre.

Il ne s'était pas encore bien intégré, souvent il restait à l'écart des autres compagnons. Il passait un peu de temps en tant qu'éclaireur, le reste il le passait à l'écart du gros de la troupe, jamais bien loin, mais jamais vraiment mêlé.

L'enceinte de la ville, les créneaux éclairés par la lueur des torches étaient en vue, mais aucune muraille digne de ce nom ni une porte bardée de fer.
Ils étaient au moins dix fois plus nombreux qu'eux, à n'en pas douter.
Il ne serait pas obligé de participer et pourtant sa lame demandait du sang. Lui aussi... La proximité des Écorcheurs, et le temps passé avec eux devait y être pour beaucoup.

Ils se rapprochèrent encore et finalement ...entrèrent dans Vaudemont sans rencontrer grande résistance.


Dimanche 27 Janvier, au petit matin, sur le Parvis de l'Eglise

C'était fait, l'aube se levait morne mais néanmoins parée d'éclats rose et orange. Le jeune homme avait participer à la curée. Il allait faire froid ce jour, mais Crakity se sentait bien. Loin des salons cossus et richement meublés des nobles et des notables, il revivait.
Il était libre à nouveau.

Un grand sourire aux lèvres il marchait sur le parvis parmi les compagnons de Fatum. Prenant une chope au passage, il la vida d'une traite.

Il entendit quelqu'un criait :


Citation:
Même pas d'curé ici, faut crâmer l'Eglise !


Des chants suivirent cette déclaration, quelque crédo détournait au profit de l'éloge à la bière bien connu.

Crakity une fois le calme relatif revenu, se mit devant les portes de l'Eglise au plus haut du Parvis et annonça de but en blanc :


On ne va certain'ment pas cramer l'Eglise, non.
_________________
Gigi.l.amoroso

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[Epinal]

En retard ... il n'était pas le seul , le chef aussi trainait derrière ...

Une armée de brigand fallait voir ça ! Avaient ils étés au complet une seule fois depuis leur départ , ... même pas sur !
La discipline ça n'avait pas l'air d'être leur fort , ça buvait jusqu'au petit matin, ça criait partout , ça vidait les tavernes ça s'engueulait ...

Pourtant il était encore là ... avec eux ...



Del pesce ! Del pesce ! Del pesce ! ...



Agréable journée ,de bonnes affaires ... comme quoi trainer à l'arrière a de bons côtés .
Elvirem



Parce qu'être la plus belle femme du monde, ça a des avantages...



Après cette nuit très mouvementée... Que ce soit en première partie ou en seconde d'ailleurs... La blondinette était arrivée à Vaudemont. Hommes -ou sous-hommes, à voir- et femmes, tous avaient la même stupide habitude de demander "z'allez attaqueyyy Näanciii ?".
Elvi, qui commençait à être las de se répéter, finit par tous les inviter à suivre l'armée sur les chemins, comme ça ben ça ferait le pâté sur la tartine du roux, et la blonde est très attentionnée.

Enfin bon, après cette journée au goût de catastrophe, Kity était enfin arrivé en taverne... Et aussi tôt, reparti. Et la blonde n'aime pas trop ça, que la seule personne lucide de la ville lui file entre les doigts, donc elle se rapproche du groupe pour lui tirer les oreilles.

En arrivant, la première chose qu'elle remarque est une bestiole bizarre... Elle écoute ce qu'il dit, sourit... Que répondre ? Des encouragements, oui, encore des encouragements ! Elle lui lance, amusée:


"Tu veux être mécène ? Parce que pour les dons, on prend que les espèces."

Le Masque fait le pitre, chante, cherche à boire, prie... Un peu de tout... Elle s'arrête le temps de le regarder. Les gens de bonne humeur, ça fait d'autant plus plaisir que ça change. Par contre, prier quand le Grand Prêtre Sanglier n'est pas là, ça tient du blasphème non ?

Ah ! Voilà le chaton... Elle lui fonce dessus en mode furie, et l'entend à peine dire:


Citation:

On ne va certain'ment pas cramer l'Eglise, non.


Cette voix si calme, ben, ça l'apaise. Allez savoir hein... Elle retrouve son sourire, perplexe, se demandant ce qu'elle comptait raconter au juste.
Elle tourne les talons et allait repartir avant qu'il remarque son malaise, lorsqu'elle trouve un truc à dire.


"Pas l'Eglise, Kity... Mais une église ou deux, pour mes amis..."


Grand sourire innocent, elle sait que ça ne lui plaira pas. Mais elle ne se revendique pas la fille de Provocation pour rien.



--La_belle
"Tu fais c'que tu veux mais tu mets un masque."

Ils avaient parlé, et en choeur pour une fois.

La Belle avait donc ronchonné -forcément-, râlé -forcément-, fait la moue -forcément-, tenté de les faire changer d'avis - forcément-, et avait fini par les écouter - et ça, c'était pas forcé-.


Elle avait donc mis un masque. Mais un beau hein, bien qu'elle comprenne pas trop pourquoi elle devait le faire. Non mais c'est vrai, pourquoi gâcher un si beau visage?
Pourquoi priver tous les passants de son maaaagnifique sourire, de sa petite fossette sur la joue droite et de... Ah non, l'honneur est sauf, ils pourront toujours admirer ses yeux.


En retard..
Enfin juste un peu, mais c'est qu'elle avait reçu de l'argent d'un roux et que tout naturellement elle avait passé la matinée au marché pour trouver LA tenue qui saurait mettre ce meeeerveilleux corps en valeur. Après avoir acheté une robe, qu'elle ne pouvait pas enfiler -hahum- non pas parce qu'elle était grosse hein -faut pas déconner- mais seulement parce que c'était une robe pour homme -ouai, je sais-, elle avait jeté son dévolu sur une tenue..particulière.
Bon, la dite tenue était vendue avec une paire d'oies, mais la Belle en avait pris son parti.


C'est donc avec sa jolie robe, son joli masque et.. ses oies, qu'elle avait pris la route de la gargote.



Oulala, en a du monde ici, c'est une fête de village ?


Léger ricanement, Elle observe les gens présents, en reluquent certains, bin attendez, si on met un masque, autant voir si les gens vous reconnaissent quand même.
Testons les...hommes.

La robe se relève doucement sur sa cuisse, et le sourire -masqué- se dessine.
Si l'un de ceux qu'elle vise se rapproche et regarde, ils sont morts.
Ah c'qu'on va s'amuser...
La_tornade


Vaudemont s'animait un peu plus qu'à l'habitude , leur monotonie se dissipait avec l'arrivée de Fatum .
Les villageois ne savaient plus ou donner de la tète , on les voyait courir de droite à gauche …........de gauche à droite …..................faire du sur place ….............jusqu'à même se rentrer dedans !

Ils n'avaient pas vraiment l'habitude de voir arriver soixante personnes d'un coup .
Les tavernes n'arrivaient plus à s'ouvrir correctement . Les portes à force de s'ouvrir et de se fermer ne résistaient pas et certaines se retrouvaient complétement bloquées .
C'est à grand coup d'épaule que la Tornade avait réussi à y entrer non sans s'être fait légèrement mal .
Il ne lui en fallait pas plus pour se retrouver dans une colère noire .

Qu'elle ne fut sa joie lorsqu'elle su que la première attaque serait pour cette nuit . Elle quitta très tôt la taverne pour aller se préparer , aiguiser son épée avec soin . Puis , sagement , seule dans son coin , elle attendit le signal de départ .


[ Dans la nuit du 27 au 28 ]

La nuit était clair par cette pleine lune . Un ciel dégagée , mais qu'importe , vu leur nombre , ils n'avaient peur de rien .
La tornade s'étaient mise en première ligne , hors de question de laisser aux autres le peu de défenseurs qu'ils pourraient trouver sur leur chemin .
La légère douleur de son épaule lui rappelait à chaque instant que son épée devait faire mouche , que sa colère devait s'évacuer , qu'une ou plusieurs personnes devaient payer !

Et enfin , devant elle , une femme en robe blanche apparue . Elle eut tout d'abord envie d'éclater de rire , voyant cette femme défendre sa ville dans cette tenue . Mais cela fut de courte durée , sans aucune hésitation elle se rua sur elle , épée en avant , bouclier bien serré sur son corps .
Telle une bête sauvage , elle s'acharna sur cette femme . Quelques amis l'avaient rejoint , tous voulaient avoir leur part du gâteau . La tornade aurait préféré un combat égal , un contre un , mais elle ne pouvait empêcher les autres de vouloir comme elle .

Le combat terminé , la Tornade s'avança au centre de la ville sans rencontrer personne d'autres sur son chemin .

Combien y avait il de défenseurs ?
Les villageois auraient ils eu la lâcheté de laisser que les quatre miliciens en défense ?
Elle n'aurait réponse que lorsque ces amis la rejoindraient et lui diraient se qu'ils avaient vu en passant de l'autre coté .


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