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[RP] tribulations Lestatiennes d'un lioncourt en vadrouille

--Le_broucolaque
Mardi 19 février

La soirée de hier a été terrible..Je ne sais pas se que j’ai fait pour que mon tiers et ma tierce me fassent subir pareilles tortures…Mon beau brun qui me tenait les bras immobilisés et qui me faisait des trucs sur les oreilles et le cou avec ses dents, ma belle brune, la main inquisitrice qui me fourrageait l’intérieur des braies en exposant a ma vue innocente le mont droite et le mont gauche, ca pourrait encore passer..Mais que les deux rigolos s’embrassent à pleine bouche a quelques millimètres de la mienne, laissant seulement le souffle chaud sur mes lèvres…alors ca, ce n’est pas humain…Je médite et prépare ma vengeance….Une vengeance qui les mettra a genoux en proclamant haut et fort que je suis le plus merveilleux des amants…

Bref, après m’avoir indignement laissé sur ma faim, nous nous sommes séparés pour suivre chacun notre route…Eux deux mains dans la main tout frétillants, mais comme je les ai maudits les voyant s’éloigner, et moi frustré et à l’étroit dans mes braies, en compagnie de la petite puce, et de nos deux graines d’artistes, j’ai nommé, le barde et le sculpteur…

J’avais comme intention de me lamenter et geindre de ma position de roux délaissé indignement,(si si j’exagère la chose exprès, des fois que déa ou Louis tomberaient sur mes écrits, peut être éprouveront ils un semblant de remord à mon égard) J’ouvrit la bouche, donc pour me plaindre a mon blond copain, le pois’caille,le lorgant un peu au passage, souvenir de nos ébats passés, sauf que cet affreux prit les devants pour me raconter ses prouesses physiques en compagnie de la Gatimasse de Vendôme…Alors que J’hésite entre lui enfoncer sa tête entre ses jambes ou le féliciter a grands cris et sifflements, voila que Pela notre barde sort son luth et joue un truc situé entre un miaulement de chat a l’agonie et une complainte de condamné a mort. Je lève les yeux au ciel, demandant au Très haut que s’il voit ma détresse auditive, qu’il envoie une pluie de défécation sur le crâne du musicien…

Après quelques heures d’attentes dans un bosquet, le silence enfin revenu troublé de temps en temps par un scritch scritch d’un couteau sur un morceau de bois, bah oui, not ‘sculpteur doit bien s’occuper les mains…, voila que notre puce bondit comme une diablesse…

Je la talonne de prêt, et bondit sur l’homme qui a eu le malheur de se trouver sur notre chemin…Tandis que mes deux compères le secouent comme un pommier, je lui administre quelques claques, histoire de soulager mes nerfs bien trop mis a contribution les jours passés..Faut dire qu’une rousse amoureusement fâchée, ca use la patience du plus posé des hommes, et la patience étant une vertu que je ne possède pas…je cogne cogne..Jusqu’a en avoir mal aux poignets…La petite élo n’a plus qu’a ramasser le butin..

Nous rentrons au campement, fatigués mais riches de quelques écus en plus..Avant de m^écrouler sur ma couche, j’écris un pigeon furieux a mon homme et ma femme, histoire d’éventuellement leur arracher quelques larmes de mauvaises conscience..Mal m’en prit.la réponse du volatile express-Déa m’acheve d’un coup de poignard en pleine poitrine

Citation:
Lestat Gabriel de Lioncourt,

Oulaa quand elle m’appelle comme c’est que ca va barder !!!


Citation:
Si tu crois que je vais me laisser enguirlander comme un pauvre sapin juste avant Noel, tu t'fourres le doigt dans l'œil jusqu'au coude.


Ou bin moi je te fourr’ais bien autre chose à un autre endroit..

Citation:
On n'a rien eu parce que personne est passé, et PAS DU TOUT parce qu'on a été mauvais !


Bin voyons quelle excuse

Citation:
Ensuite, saches que j'suis congelée, que j'ai la dalle, que tu m'manques et que j'sais pas où est Lou'. Alors ton bisou, tu t'le gardes, tu viens m'chercher et tu me réchauffes !


J't'en foutrai des fâché
!

Tyrannique, attachiante et déroutante..Ma foy, il faut vraiment que je lui montre qui est le maitre à ma petite femme.Non mais ici c'est moi qui exige pas toi!

Alors que je m’apprête à dormir, v’la qu’un autre oiseau vient me lâcher un parchemin dessus…

Je prends la missive..Qui est ce cette fois ? Ma charmante nièce avec ses questions sans réponses genre..Dit tonton ? Pourquoi les z’oiseaux vont dans les arbres, on trouve ou des z’amoureux ?….Tout ce genre de truc dont la réponse est..Je n’en sais rien …à quoi servent les enfants déjà ? J’en sais rien non plus…

Je lis la missive.tient Seth qui m’écrit…bizzard..

Citation:
• Bonsoir mon frère,

Je t'écris ce soir, c'est vrai que je ne t'écris pas souvent...
En même temps, le temps passe et il passe à tes côtés, j'en suis très fier, je suis très fier de toi et par l'occasion habituellement je n'ai pas besoin de t'écrire pour te dire les choses...

Tout le monde va bien dans le groupe et Carensa n'a pas pris la fuite, bon elle a fait la gueule toute la nuit mais avec Inès on a bu l'Armagnac...
J'espère que je pourrais lui expliquer le pourquoi du comment. Je n'aime pas parler devant vous tous, il en tient à ma vie privée... Elle m'a énervé d'ailleurs, enfin bref, elle m'aime, je l'aime, on ne se le dit pas mais sans doute demain tout ça sera oublié... J'espère...
Jusqu'à la prochaine embrouille.

En fait ce soir je ne t'écris pas pour te parler de moi, de toute façon chaque fois que je parle de moi ça ne dure jamais longtemps.

Je t'écris parce que je pensais à toi, là en regardant le ciel, la lune a croisé mon regard et le soir où nous nous sommes revu, la lune avait le même croissant, la même blancheur, et elle m'éclairait tout autant que ce soir.
Je t'ai connu peu de temps après le départ de ton vrai frère, on était des gosses, je me souviens je mentais à mon oncle Popec qui ne voulait surtout pas que je fréquente des brigands, histoire de ne pas prendre le chemin de mon père.
Ton frère t'as toujours manqué, je t'ai toujours connu finalement avec une partie de toi en moins.
Peut être pour ça que tu as eu besoin d'avoir d'autres frères même de c�ur, enfin à nos jeunes âges on ne voyait pas encore les choses comme ça.
Tu n'as jamais cessé de me parler de lui, et puis on a grandit, je suis tombé amoureux de Catherine et je suis partie, seul, me faire mon propre groupe, qui me planteront un couteau dans le dos quelques années plus tard et étêteront la femme que je pensais être celle de ma vie.
Moi aussi, mon frère, je connais les départs imprévus des gens qu'on aime plus que tout. Ca fait très mal, on survit oui mais on ne vit plus. Hier soir tu me disais que l'amour que tu lui portait, ce manque, cette envie, ce besoin... Si tu savais à quel point je te comprends. Je donnerais tout pour la revoir... J'attendrais la mort en espérant qu'elle m'attende dans les enfers.

Et puis je t'ai retrouvé, tu avais besoin de moi, j'ai fait celui qui pouvait t'aider mais finalement mon frère, je n'avais jamais eu autant besoin de quelqu'un que ce jour là.
Je t'ai suivit, j'ai compris de suite que tu n'avais pas changé, j'aimais celui que tu étais petit alors, je fus heureux. Heureux, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas été.

Dans quelques jours tu retrouveras ton vrai frère, je sais combien il compte pour toi. Tu dois appréhender, avoir peur, sentir ton c�ur battre semblant lâcher chaque fois que tu penses aux retrouvailles. Tu dois forcément ressentir ses émotions puisque même loin de toi, je les ressens, je ressens que tu y penses de plus en plus fort que tu tournes en rond et que tu es tout excité.

Sache que je suis très heureux pour toi, et que pas un seul instant j'ai senti une once de jalousie me pénétrer pour Tibère. Bien sûr j'ai peur pour toi, j'ai peur qu'il te laisse à nouveau, pour telle ou telle raison, mais, puisque tu lui fais confiance, je lui fais confiance aussi.
Sache aussi que je t'aime, comme on aime un frère.
Que rien ne changera entre nous, que je comprends ton besoin, que je te soutiens, te suis, et que je serais toujours là pour toi.
Quoi qu'il arrive...

Voilà... Je voulais que tu saches que même si je ne suis pas très expressif, même si ça ne parait pas, je t'entends, je t'écoute et je t'observe.
Pardon pour mon ingratitude parfois, ce manque de gestes, de contacts, de regard...
J'ai oublié comment on faisait, j'ai préféré oublié...

Souhaite moi bonne chance pour cette nuit, j'espère te ramener une oreille, enfin juste pour te la montrer, et surtout du fric. En espérant que les deux femelles qui m'accompagnent n'auront pas à être protégées.
Je vous souhaite bonne chance, salue ceux qui t'accompagne pour moi.

Je t'embrasse fraternellement,
Seth.


Je lis et relis la lettre, sentant ma gorge se serrer. Mon frère de cœur, celui avec qui j’ai passé les 8 dernières années de ma vie…jamais, il ne m’avait parlé comme ca..Je suis touché dans mon orgueil, ma fierté, dérouté et déphasé…Je me mets sous la couverture, un sourire attendri a l’adresse de seth qui quelque part sur un autre nœud a pris le temps de penser a moi et de m’écrire, je ne m’y attendais pas, je suis bouleversé. Je m’endors, laissant les mots courir dans ma tête, le sommeil m’apportera les mots qu’il faut pour les aligner sur un vélin, afin d’exprimer ma fraternité et mon amitié au blond que je laisse trop souvent de côté.Discret Seth, mais ta présence me rassure, tu es toujours la pour me soutenir et me guider…Combien de fois as-tu évité que je fasse les pires conn’ries ?

Luttant contre le sommeil, mes pensées vont vers mon Autre, ce frère qui m’a laissé trop de temps sans sa présence. Encore deux jours et je serais auprès de lui, comme auparavant. Tibère je ressens pour toi un mélange d’amour et de haine, mais comme tu me l’as dit toi-même, ces deux sentiments sont relié…de l’amour, mon frère, toi qui m’a tout appris, toi que j’ai toujours considéré comme un Dieu, toi qui était toujours a mes cotés, m’endormant chaque nuit me caressant les cheveux et me racontant des contes, me berçant, me tenant serré contre toi sachant que j’avais une peur irraisonnée pour le noir, de la haine, car c’est toi qui m’a appris la douleur, la souffrance, toi qui m’as brisé avec ton départ..De la peur, puis-je te faire confiance à nouveau ? Ou me laisseras-tu au premier obstacle ?

Je m’endors enfin, l’image qui change, le cousin a pris la place du frère, louis toi qui m’a donné ton amour, toi qui partage tout avec moi, jusqu’à ta femme..Si tu savais combien ta présence me manque, pourtant je sais que dans quelques heures, toi et Déa seraient à mes côtés, qu’elle s’allongera doucement contre moi, laissant ses mains inspecter mon corps a la recherche d’une éventuelle égratignure, toi de l’autre côté, ta main dans mes cheveux…
--Le_broucolaque
Posté pour Lj Andréa et lj Louis



Même jour, ailleurs.


La soirée d'hier a été terrible...
Je sais très bien ce que le tiers Roux a fait pour qu'on lui fasse subir pareilles tortures. Monsieur a décidé que comme notre cueillette se faisait sur des noeuds différents, il allait nous faire patienter trois semaines avant de rejoindre la couche familiale. Trois SEMAINES. Nous sommes bien d'accord qu'il confond jours et semaines. Il a voulu nous faire caguer, soit, Louis et moi avons de l'entrainement pour faire changer le Roux d'avis.
L'brun et moi, on a toujours fonctionné comme ça, je voulais quelque chose ? Pas de soucis, un doigt glissait malencontreusement dans mon corset, le délaçant d'un doigt expert, pour finalement dévoiler le plus innocent des monts, maître Lou', par la vision allêchée, perdait soudain toute notion du bien et du mal, et par la même occasion tous ses principes, ses jolies phrases et ses arguments chocs. Parfois il fallait aller un peu plus loin, et dans les soupirs il rendait les armes, me donnant ce que je souhaitais.
Lorsqu'il voulait quelque chose, ça fonctionnait un peu pareil. Un regard, un croc qui se perd sur ma lèvre, un souffle qui se perd sur mon cou, un baiser se posant sur ma bouche et j'en perdais la raison.
Certains diront que c'est facile, d'autres que c'est de la perversion, mais j'assume pleinement, je suis une fille facile et totalement perverse en présence de mon Brun.

Depuis que le Roux a rejoint notre couple, ça fonctionne toujours aussi bien. Sauf qu'on est une équipe, et que pour faire plier le Lioncourt, nous sommes plutôt doué. Nous disposons toujours des mêmes armes. Nos lèvres, nos souffles, nos langues et nos dents. Notre terrain de jeu préféré ?

Le corps du roux. Un corps fin, aussi poilu qu'un sou, ses longs cheveux, sa barbe, sa peau légèrement hâlée, bien plus qu'un roux normal. Ses fesses incitant aux morsures, son vit aux gâteries, ses lèvres aux baisers. Oui, c'est notre terrain de jeu préféré, le roux. Notre Roux.

Sauf que pour des raisons sombres -ça, c'est pour le suspens, en fait c'est plus complexe-, ils allaient passer leurs nuits l'un de l'autres, et même s'ils se retrouveraient tous les trois pour dormir, forcément les pensées vagabondaient...


Tout le monde était en place, je m'étais retenue maintes et maintes fois de pousser la chansonnette, pour finalement m concentrer sur le rôle m'avait été attribué : " montrer mon cuissot pour âppater l'client". La gambette avait pris l'air, la chair s'était raffermit, les jumeaux pointaient sous le tissus, le nez avait rougit, les oreilles aussi, bref, il avait fait froit mais aucun pélos n'avait daigné passer par là. Et dire que la veille au soir, alors que j'fourrageais l'intérieur des braies Lestatienne, je m'imaginais riche !

Bon, j'vais pas mentir, alors que la nuit nous quittait pour aller couvrir d'autres terres, il n'y avait pas que le soleil qui se levait... J'ai comme qui dirait "profité de la situation" pour me rapprocher de mon chef pour le soudoyer de la pire des manières. Je sais, j'suis dure. Mais lui aussi. Il avait beaucoup aimé le spectacle et lorsque, féline, je m'étais approchée de lui, que mon sourire se faisait carnassier et mon regard lubrique, il a eu cette petite lueur dans les yeux.
Il n'a rien dit, le Brun quand mes lèvres se sont collées aux siennes. Il n'a rien dit non plus quand ses braies ont glissées au sol. Il n'a rien dit, mais ses mains ont parcouru mon corps. Elles ont caressées, frôlées les monts, pris mes épaules, ses doigts se sont mêlés à ma chevelure chatain. Il n'a rien dit mais il s'est écarté pour retirer sa chemise et m'offrir la vue de son torse que j'ai lorgné, gourmande avant que de nouveau, il vienne sculter mon corps, son souffle devenant plus court, tiède, son regard de braise dardant mes lacs azurés.
Il n'a rien dit encore quand ma langue s'est frayé un passage de son menton à son nombril, et encore moins lorsque ma langue a titillé sa virilité. Je sentais ses mains dans mes cheveux et son goût sucré, ses doigts ont glissés sur mes épaules et si jamais je doutais, je sais maintenant qu'il savoure et profite du présent que je lui fais. Que je me fais. Que nous...

On est revenus bredouille... Mais on n'a pas tout perdu comme dirait l'autre.
Je crois que j'avais encore un petit sourire aux lèvres quand j'ai reçu le pigeon Lestatien. Le petit sourire qu'ont toutes les femmes après avoir pris leur pied. Sauf qu'il s'est évanoui. Le sourire hein, pas le pigeon. Ni Lestat. Quoiqu'elle aurait bien tordu le cou aux deux.


Citation:
amour,

Si j'ai bien compris la chose, ton groupe et toi aviez eu que dalle?

Je suis faché déa affreusement faché frustré blablabla...m'exiter comme vous avez fait toi et lou hier pour me laisser sur ma faim? C'est un crime ca!!! Meme pas pu employer ma main avec sapré elo et pela dans les parages...en plus..y avait pas de buissons!!! Non mais serieux!!!! je suis furax hein!!! c'est vraiment vraiment presque douloureux la..tu auras interet a te faire pardonner ca...parsque sinon je compte bien me servir et profiter de ta personne que tu sois d'accord ou pas...et paf!!!!

je t'embrasse quand meme, mais un tout petit bisou voila!!

lestat



Je crois qu'il se fiche de moi. Ou pour parler normalement " il s'fou d'ma gueule c'lui là?".
Je rêve, on s'crève le cul pour bosser, on s'gèle tout ce qui est anatomiquement existant pour RIEN -niet, nada, queudal- et en plus ça trouve le moyen de se faire passer pour une victime ?


Je rève, dites moi qu'je rève, mérit'rais presque que j'lui dise qu'on a pris notre pied sans lui !
Mais on va la jouer soft*...


Et le pigeon est parti... Les rancunes se sont envolées pendant que Madame vérifiait chaque centimètre carré de la peau du Valaque et qu'un brun perdait ses mains dans des fils roux... Dans une roulotte qui ne doit toujours pas se remettre d'héberger un tel trio...



* lettre envoyée par Dea dans le post du broucolaque, juste au dessus.
Lglvh
Lundi 25 février


Ma mâchoire et ma fesse sont encore bien douloureuses..Cette fin de semaine a été mouvementée..Trop à mon goût…Pour me faire plaisir, mon grand frère m’a accompagné en lice…Diantre, on ne dirait pas à le voir comme ca, mais qu’est se qu’il est costaud !!!Je peux dire sans lui jeter des fleurs qu’il m’a fichu la roustre de ma vie…Quoi qui est plus douloureux ? Sa fessée ou l’humiliation ? Quoi qu’il en soit, si ca n’avait pas été lui, j’en aurais sûrement crevé de honte.

Mal m’en prit de vouloir me faire soigner par un troupeau de donzelle, l’une d’elle, vieille laide, la trogne de travers, n’a pas trouvé mieux que de cautériser ma fesse. Hooo la misère mon pauvre fion carbonisé.heureusement que les doigts tibériens fins et agiles ont su étaler en douceur un onguent apaisant…

Une rencontre avec le duc, une lettre explicative envoyée a mon brun et voila le volcan qui explose.je m’exprime mal.la hâte, l’obstacle de la langue francoyse qui n’est pas mienne.quoiqu’il en soit que Seth comprend la même chose…Ils pensent que je trafique dans leur dos, que je leur cache je ne sais quoi…oui, se que je leur cache, c’est ma frustration qu’ils aient pu douter de moi…on m’aurait craché au visage, ca aurait peut être été moins blessant. J’entends les excuses, j’entends se qu’ils ont à me dire…oui j’entends, j’accepte et je ferme les yeux. Mais la colère du gaucher.ses mots de rage, la chope envoyée à travers la salle…tout ca est encore bien présent, bien trop présent...ma fureur après ca…si ma nièce et Suzanne n’étaient pas arrivées, je crois que je l’aurais frappé, je n’aurais pas réussi à me contenir de plus…

Même schéma pour mon frère de cœur, sauf qu’avec lui, bin on y arrive aux mains, j’encaisse les coups, sans broncher, avant de l’envoyer bouler au sol…Nous nous sommes vautrés et rouler a terre, comme deux animaux sauvages..En soi, c’est un peu se que nous sommes.La vie nous a rendu ainsi…Le hasart fait que l’on naisse avec du sang bleu ou pas…ensuite, le court de la vie fait que les choses changent.les gueux qui deviennent nobles, par reconnaissance ou magouilles.et les nobles qui sont déchus…tant d’injustice…mais c’est comme ca..On ne peut rien y changer.
On finit notre lutte par une accolade et nous partons dans mon appartement, pour picoler a outrance…Seth endormi, je me glisse a l’extérieur.pas pour rejoindre notre roulotte, non. J’ai besoin de découcher, de digérer tout ca.Et c’est la présence fraternelle qui occupera le reste de ma nuit.Je lui raconte, me soulage, il fait de même. Chacune sa m*rde, chacun ses souffrances. Je rassure comme je peux mon ainé, il soigne mes plaies, on se fait des promesses, on réchauffe nos deux âmes Lioncouriennes à la dérive.

Ce dernier jour de la semaine..J’ai l’impression d’agir par habitude, des gestes monotones et répétitifs…
J’observe le groupe, les gens, tout m’énerve tout m’amuse et surtout je bois beaucoup. Les disputes, les rires, je regarde le tout, indifférent.La présence de Suzanne, maternelle et douce m’apaise, celle de mon brun aussi…même Seth, malgré la dispute se montre complice.Marine m’arrache un fou rire…et paff, une entrée rouquinesque et le tableau vole en éclats.Avec l’arrivée de Swan.la fuite de Suzanne…Je sers la mâchoire.je ne dis rien.je l’écoute et je la regarde feindre la surprise * mais j’ai rien fait !! je suis gentille !* Je referme les yeux, les tempes brûlantes, serré contre le gaucher, je n’entends plus se qu’il se passe.

La soirée se termine par le retour de la colombe.Pas contente du tout du boxon crée par son absence.Nous rentrons a la roulotte, nous avons besoin de nous retrouver à trois. Si mes pensées vagabondent, je suis heureux de leur présence…

_________________
Seth.


Le vingt deux du mois de Février de l'an mil quatre cents soixante et un.


Citation:
De Moi le roux
A toi le Blond

Seth,

Toi mon frangin de cœur, tu me prends au dépourvu..Trois jours que je suis plongé sur un parchemin vide, ma plume dégoulinant d’encre, désolé pour les tâches hein…
Et que je ne sais pas quoi répondre…Pas que tu ne m’inspires pas, mais parsque ta missive me déboussole..

On a jamais été très expressifs les deux…jamais été fort pour dire combien on tient l’un à l’autre..Fierté mal placée ? Sans doute..Peur de s’attacher ? Certainement…

Je t’ai connu oui, je devait avoir 9 ans, toi quelques années de plus que moi, mais un peu moins que mon frère de sang…A l’époque, j’étais encore traumatisé par les événements qui ont chamboulés ma vieJ’étais un gamin chétif et timide, voir peureux.les autres enfants m’effrayaient.Je n’avait pas l’habitude d’en fréquenter, Jusqu'à lors, je n’avais jamais quitté Tibère, Lui, notre sœur Sam et nos parents, voila a quoi se résumait mon monde…le monde d’un garconnet au sang bleu,elevé dans le velour, choyé et surprotégé, mon grand frère a mes côtés, je me sentais comme le roi du monde…

Le changement de vie radicale que l’on m’a imposé à été l’enfer…Quittant un manoir pour vivre dans une roulotte, entouré d’inconnus, de brigands. Natys et Elo m’intimidaient, mais je me suis laissé gentiment apprivoisé, apprenant à les apprécier. Louis aussi, ce cousin qui venait d’avoir un enfant et qui était sur les routes, quelle joie quand il rentrait au campement pour venir nous trouver, mais e n’osait pas lui parler

Nous sommes arrivés a Uzès et je me souviens de notre première rencontre…Les enfants du village nous avaient pourchassés et jeter des pierres, nous traitant de gitans et de pouilleux.Je pleurais tellement que j’ai trebuché, aveuglé et je suis tombé, les mains sur la tête, j’attendais la dérouillée qui ne vint pas…Non parsque tu as débarqué de nulle part et tu t’es battu a ma place, tu les as fait fuir.

Tu m’as relevé, fourré un bâton de réglisse dans la bouche et tu m’as ordonné d’arrêter de pleurer.les garcons ne pleurent pas tu disais.Tu as eu ce geste de m’ebourrifer les cheveux.se que tu fais encore aujourd hui, et tu m’as remmené au campement.Quelques jours après…tu repartais avec nous, faisant partie integrante du clan.
J’ai grandi, apprenant a brigander, a tricher et a mentir, a lancer les couteaux et a me battre mais surtout, à respecter le clan et lui en être fidele. Peu à peu je pris gout à cette vie.

Quand tu nous as quitté avec Catherine, je t’en ai voulu…comme j’en ai voulu a Louis, quand il est parti avec Déa…je vous en ai voulu, mais vous m’aviez fait la promesse de revenir..Se que vous faisiez fréquemment, contrairement à Tibère dont je n’avais plus de nouvelles et que je haïssais…

Et quand Catherine a disparu, tu es revenu, et côte é côte nous avons sillonnés les chemins, on faisait des ravages partout ou on allait, volant, on fichait le boxon et on s’amusait a se taper plus de donzelles que l’autre.tu m’as appris a devenir un gouape, un vrai de vrai…oublié le gamin timide…

Combien de fois m’as tu écouté, couvert, protégé ? Tous les jours ? Tu m’as soutenu quand louis est devenu mon amant quand déa est entrée dans ma vie…tu désapprouvais, mais tu étais la, quand on nous as accusé de viol.tu étais toujours là.J’ai toujours été egoiste Seth, capricieux et colerique, pensant qu’a moi et tu ne m’en as jamais tenu rigueur.natys a voulu nous quitté.je l’ai foutu dehors, pour la premiere fois.tu m’as traité de con et on s’est boudé.et tu avais raison…je n’ai jamais su me controler.combien de fois tu as du essuyer mes crises de rage….je n’ai pas assez de doigts pour compter. Tu as repoussé les avances de déa, ne voulant pas me froisser et oh combien je sais qu’il es t difficile de lui résister..

Je t’ai vu souffrir, les femmes ayant toujours été « ta misère » Fadette, Hida, Muse..Tu leur as fait tourné la tête, plus ou moins longtemps, tes moments de doutes, je n’ai jamais su trouver les mots pour t’aider…Cary, j’avais tout fait foiré avec elle, je m’en suis voulu, Seth et quand tu as exprimé le désir de la revoir, je n’ai que pu l’accepter et l’accueillir parmi nous, je te devais ca
Quand Tibère a réapparu dans ma vie, tu n’as pas vu c a d’un bon œil.tu disais, ce frere qui t’as abandonné, que cherche t’il ? que veux t’il ? Pourtant, dès le départ, tu m’as fait la promesse d’être à mes côtés quand le moment serait venu de le retrouver. Si je n’étais pas sur que toute la troupe me suivrait.toi je savais que tu le ferais.ma haine pour lui s’es tenvolée direct, me faisant comprendre que si j’avais si mal.c’est que je l’aimais plus que tout, mon grand frère, j’ai decidé de lui pardonner et tu m’as encouragé…

Pourtant, il y a deux jours, c’est seul que je l’ai retrouvé, seul, mais ta missive bien en poche. Tu n’étais pas loin. Je sais que toi, Louis, les autres avaient voulu me laisser ce moment d’intimité et je vous en suis reconnaissant, surtout à toi mon frère de cœur…

Lui et moi avons fait la promesse de ne plus nous quitter, mais Seth, tu sais que, tu as toujours ta place, que ca, ca changera jamais…Je sais que tu as des reproches pleins les poches a lui faire…j’ai partagé les 8 premières années de ma vie avec lui, les 8 suivantes avec toi.J’ai deux frères, un de sang, un de cœur…en plus vous etes blonds les deux…pauvre de moi.voila ca c’était la touche Lestatiennement conne, désolé pas pu m’en empecher…

Prend soin de toi, des deux rousses, revenez les bourses pleines mais celles dans tes braies bien vidées.

Je t’embrasse fraternellement

Lestat





"Tu lui fais bien plus que la parlote au Louis maintenant..." Fut la première phrase qu'il sortit comme si sont frère était là à côté et qu'il lui faisait le détail de sa missive, et se fut aussi la première ébauche d'un sourire sur le visage gouapalala. La bougie faisait danser les lignes de Lesta, la fatigue aidant Seth ne cessait de plier les yeux comme pour stopper la danse, et mieux voir, mieux lire, mieux comprendre ce qui serait noté...

Il glissa ses yeux déjà entamé jusqu'en bas, le parchemin était long, le frère avait apparemment pleins de choses à dire, deuxième sourire sur le minois gouapalala.

"Non, on a jamais été très expressif mon frère... "

Oui il avait à peine neuf ans lorsqu'ils s'étaient rencontré une première fois et Seth en avait cinq de plus, il s'en souvenait comme si c'était hier, parce que, ce jour n'avait pas été un jour comme les autres pour le môme de treize ans qu'il était, il n'était plus un jeune puceau, il sortait de chez Paulette, une fille de quatre ans son ainée, brune, la peau très blanche et surtout généreuse et pas exigeante. Heureusement parce que Seth s'y était pris comme un manche ne sachant pas encore vraiment comment mieux prendre avec le siens. Soit, il avait frissonné le petit blond, comme une toute toute première fois.

"C'est vrai que tu étais tout chétif, et moi donc... Même pas un poil sur la peau encore, sauf les cheveux..."

C'était de là qu'arrivé le blond et non de nul part. De voir des gosses s'en prendre qu'à un seul, plus petit, plus frêle, autant dire que ça ne plaisait pas du tout au nouveau justicier dépucellé, fort, courageux, et homme ( oui c'est ça que les femmes font comme effets aux hommes lorsqu'elles susurre leur nom en tremblotant un peu, même par simulation).
Il allait se battre et leur foutre leur raclé à ces ploucs tous vierges, il en était sûr, l'orgueil aidant.

"PIF PAF POUF" Le gouape se souvient en rigolant comme l'enfant inconscient qu'il était. Rire rare, que peut être ceux qui le connaissent aujourd'hui ne reconnaitraient même pas. Tant ce rire d'enfant, inconscient, insouciant, était loin, mort, ensevelis sous la maturité, les maux, la morne vie. Il fait des gestes, ayant posé un peu la missive, roule les phalanges, montre le poing, le frappe dans le vide de sa roulotte.

Puis il reprend la lettre disant encore une fois tout haut, comme si son frère était là, comme si il dialoguait avec lui.

"C'est tombé sur toi, comme ça aurait pu tomber sur un autre, je ne regrette pas oh non... Et le réglisse c'était pour l'haleine, pour Paulette, je te parlerais d'elle peut être un jour."

Et puis le mot Catherine se pose sur le parchemin, l'enfant disparait, le jeune homme porte le masque il reste impassible, de son prénom pourtant son cœur bat, il lui fait mal.
Le gouape continuera sa lecture, sans relever, les maux qui bloquent les mots, ou alors , les mots inexistants pour exprimer de tels maux.

Il s'arrêta au paragraphe suivant, celui ou Lesta lui fait un thèse sur sa personnalité difficile à vivre, ce petit capricieux qu'il est, colérique, ou autre.

"Lesta... Abuse pas non plus, il y a pire que toi hein"

Les écrits qui complimentent Seth et le frère qu'il est patient, à l'écoute, protecteur, couvreur de délits fraternels...

"C'est gentil mon frère mais ne pense pas que tout ça c'est de la patience, c'est juste que.. je te laisse vivre, tu es bien assez grand maintenant. Pour Louis oui je voyais ça d'un mauvaise œil, je ne comprends pas qu'on puisse aimer un homme assez fort pour en oublier la femme. Et tu m'as prouvé que je m'étais trompé. Louis est quelqu'un de bien, un homme, un vrai, un frère. Quant à Déa c'est un fait elle vous appartient et on ne convoite pas la femme de ses frères. Point."

Oui, ça le démangeait quand même Déa restait femme et jolie femme...
Seth ne souffrait pas des femmes, elles n'étaient sa "misère" non mais son "repos du guerrier " entre deux beuveries et deux bastons. L'arrivée de Carensa changerait elle cela? Ou non? Le gouape ne le savait pas encore mais, il y songeait.

Le visage charmé change lorsque Lesta se met a parler de Tibère. Non le gouape n'était pas jaloux, il était juste méfiant. L'absence de Tibère, le gouape et d'autres avaient eu du mal à la déguiser, à faire sourire Lesta, à la faire chanter et aimer la vie. A avoir confiance en lui, à faire confiance, à croire que tout le monde ne disparait pas du jour au lendemain, quelque soit la cause... Et si le gouape retirait toute méfiance , qu'il accordait le pardon à Tibère, oui, il s'en sentait le droit, sans doute seraient ils complices, sans doute pourraient ils boire ensemble, bavarder, rire, débattre, vivre en communauté... Sans doute oui, mais la méfiance était d'ordre pour le moment. Temps qu'il n'avait pas parlé avec lui, temps qu'il n'avait pas vu par lui même, de ses propres yeux et ressentis. Tout le monde pouvait donner son avis ou essayer de corrompre le blondin au sujet lui voulait voir. Et savoir comment il avait pu laisser un môme de huit ans, sans mère et sans frère. Il voulait entendre, pour comprendre.

La cire chaude dégoulinait sur la table, bientôt elle allait s'éteindre. Le gouape termina sa lecture à la hâte, bien que concentré sur chacun des mots, et il se saisis de sa plume fétiche pour la tremper dans l'encrier et griffonner quelques mots.



Citation:
A toi Lesta, mon frère, mon ami, mon confident,
De moi Seth, ton frère, ton ami, ton confident,

Merci, la lecture fut intéressante et toute en émotion. Oui des émotions j'en ai, j'en ai pleins mais toi le sais.
J'espère que les retrouvailles se sont bien passés, tu dois l'avoir revu à cette heure et nous, nous nous reverrons demain.
Il me tarde de le connaitre, bien que la méfiance m'enveloppe la curiosité m'amuse.
Je suis sûr que dans le fond il est quelqu'un de bien, et il faudrait avoir été innocent toute une vie pour prétendre pouvoir juger qui que se soit. (Au grand maitre Oxmo puccino).
Pour le reste, même si je n'approuve pas toujours, même si je mords, même si je blesse, même si... Je t'aime mon frère.
Prends note, ce fut dur pour moi de le coucher ces cinq mots sur un parchemin.

Bonne nuit,
Seth.

_________________


Il est inutile que tu cherches des défauts en moi, je les ai tous.
--Le_broucolaque
Citation:
Expéditeur : Dd0die
Date d'envoi : 15/03/1461 - 17:29:32
Titre : Pourquoi un Titre ?
Re

M'a parut fort triste c'matin. Egaré...
Cherché ton oeil par terre dans le bled, pas trouvé, faudra faire sans...
Sûr que ca va pas t'embellir... mais bon, t'avais déjà du t'y faire à ta sale gueule, tu ne t'étais quand même pas bercé d'illusion à ce point là.

Roux, moche et borgne...
On risque d'attirer plus de mouches que d'touristes dans ton tripot.
Et les mouches que j'ai croisé n'avaient pas l'air d'avoir les poches pleines d'écus...
Enfin, sûr qu'une mouche ça fait moins mal l'instant fatidique arrivé !!!

J'te souhaite pas une bonne soirée coquin,
Ce serait mauvais pour la Mairie.
Attention à ton oeil, c'est le dernier.
Et aveugle, même les mouches parviendraient à te détrousser gratoss...

+
Dd



Citation:
De Lestat à DD

..je me suis égaré...

Il fut un jour, il y a 17 printemps..ou j'avais mes deux yeux, mes yeux je n'ai pas pu les ouvrir de suite, va savoir pourquoi, je me suis obstiné 13 jours à être aveugle, avant de les ouvrir et découvrir le monde qui m'entourait..

...un monde de velours et ou tout est beau et mignon...un monde ou l'on m'appelait lestat gabriel, le cadet de la baronne de Lioncourt...j'étais instruit...j'étais poli...
...pis un jour...je me suis égaré...

Le hasart fait que tu naisses ver de terre ou colombe...

un jour..la colombe s'est brûlée les ailes...et c'est retrouvé ver de terre...
J'aime jouer...j'ai pris du plaisir dans le vice...je joue je gagne je joue je perd...
j'ai perdu mon oeil..peut etre a-t'il roulé à terre? peut etre a-t'il volé dans les airs...je ne m'en souviens plus...
on dit de moi que je suis mignon...que j'ai les traits délicats d'un ange...que sans ma barbe, on pourrait croire que je suis une fille...que j'ai des yeux couleur d'une matinée a ciel dégagé
on dit de moi que je suis roux...que les roux c'est moche..que mon teint est pâle..cadaverique...on m'appelle le broucolaque...peut etre mes origines valaques que j'ai des yeux perceants..froids et méprisants
On dit de moi que je suis spécial... gentil, fidèle avec ceux qui me sont chers, que j'ai un coeur tendre sous mes airs prétentieux de petite brute
on dit aussi que je suis un pervers car si j'ai une femme, j'ai aussi un homme, que je suis capricieux et autoritaire, tyrannique et odieux
moi se que j'en dit...c'est que se que l'on pense...j'en ai rien à cirer...ceux a qui ca plait pas..je les envoie caguer...
j'ai perdu mon oeil...c'est le gauche...me reste l'autre pour surveiller les mouches...je n'ai que ca à faire..surveiller les mouches...le temps s'est arreté...au meme moment que la lame m'a transpercé...j'ai joué j'ai perdu..on peux pas toujours gagné...pourtant c'est se que je croyais..
je me suis égaré..et j'ai la tête qui bourdonne...je suis triste je n'ai jamais été joyeux..des fois ca attendri..des fois ca énerve... je me suis égaré..et j'ai la tête qui bourdonne...je suis triste je n'ai jamais été joyeux..des fois ca attendri..des fois ca énerve...
je laisse venir a moi les mouches...car souvent le amas s'agrandi..et parmi toutes ses mouches, il y en a toujours une qui n'en est pas une...une qui sort du lot..et celle la,je ne la louperait pas...je jouis d'avance en l'entendant s'écraser sous ma botte


J’ai l’impression de sombrer doucement dans la folie..ne m’avez jamais vous vu me gratter la joue en ricanant sournoisement ?

Vous ne savez pas se que j’ai dans la tête, car cela m’appartient sans doute encore…Je pense, je vous regarde et je vous juge..oui car on me juge, on se gête pas pour le faire…Je pense à mes frères…

Le premier, celui qui m’a vu naitre, que la vie m’a donné…celui avec qui j’ai une relation fusionnelle, certains diront malsaine..celui qui me chérit et qu’on essaie d’éloigner de moi..par jalousie, par méchanceté. Il attire les curieux, surtout les curieuses, peut-être parce que j’en parle trop..parce que de prononcer son nom , mon œil se remplit d’étoiles.

Et puis, il y a celui qui m’a choisi, celui qui est arrivé « après », celui qui es tdicrêt, toujours tapi dans l’ombre, qui écoute, observe et qui pose sa main sur mon épaule, qui ferme sa gueule, pour moi, pour moi son frère de cœur. Il a aussi sa facon de m’aimer, moins demonstrative que le premier..

Si le premier me couve et soigne ma blessure, l’absence du deuxième me fait défaut…J’ai envie d’hurler pour qu’il revienne, pour qu’il retourne sur ses pas.

.N’ai-je pas dit plus haut que j’étais egoiste ? que j’aimerais ceux que j’aime rien que pour moi ? J’essaie de faire des efforts pour accepter tout le monde…mais ce monde la n’est que trahison et mensonge, tromperie et jalousie…je rajouterais même que ca en devient le concours de qui sera le plus méchant tout vilain..et que tout le monde en souffre.




Citation:
Expéditeur : Seth. de L'Exil
Date d'envoi : 22/03/1461 - 14:46:44
Titre : Re: Re: Mon frère.
Mon frère,

Pardon, j'ai mis le temps à te répondre, la semaine aura été difficile pour le blondi que je suis, mais aujourd'hui il fait beau, alors...

Je suis rassuré de te savoir en forme, même si les bleus sont finalement un trou dans le bide?! Cesses de me mentir pour me mettre à l'écart de tes misères, c'est humiliant, surtout que je l'ai appris par cette rousse de Swan.

Ton �il je le cherche, c'est con parce qu'il n'est forcément ni à Mende ni à Alais, mais je le cherche, je cherche, si je le trouve je le garde, j'aurais une partie de toi avec moi et pas des pires, un �il.

Nous sommes à Alais aujourd'hui, enfin moi je suis arrivé ce matin, j'ai oublié de partir consciemment ou inconsciemment je n'en sais rien. Je n'aime pas la veille du printemps elle me fait froid dans le dos et chaque fois tu peux être sûr que rien ne se passe comme prévus.

Avec Carensa tout est compliqué et je n'aime pas les situations compliquées. Elle m'aime en espérant que je sois un autre, c'est pathétique. Elle m'a écrit, je ne te ferais pas le résumé chiatique du contenu, mais soit, je me sens libéré d'un poids finalement. Je préfère qu'on attende rien de moi, c'est toujours plus sûr, puisque moi je n'attends rien de personne.

Comment va Louis? Je ne savais pas qu'il était malade, je l'ai appris vaguement... Même si nous nous sommes quittés sous de mauvais rapport donne lui mes pensées et mon soutient.
J'espère que toi tu vas bien, que tu ne restes pas mort d'inquiétude au pied de son lit, même si, j'aurais sans doute fait pareil pour Carensa ou Muse...

En parlant de Muse, elle m'a écrit, je suis étonné d'avoir de ses nouvelles, elle s'inquiète pour moi, elle aurait vu une affiche du capitaine de la volante, avec une liste et vos noms dessus, elle n'a pas vu le miens. Je ne sais pas si c'est une bonne idée de répondre à son courrier, qu'est elle pour moi après tout? Rien, ma dernière visite à Genève me l'aura montré.

Mon frère, tu me manques. Nous partons pour l'Italie dans quelques jours, j'imagine que Vlaad t'en a parlé et qu'il a laissé au campement son projet. En tout cas je l'espère car pour cette fois je n'ai pas le pouvoir. Nous en aurions pour trente jours, trente jours c'est très long quand je te sais poutrer et près de Louis malade, c'est horriblement long, mais je suis sûr que tu t'en sors très bien sans moi.

Déa va bien, enfin je crois, deux jours que je ne l'ai pas vu.

Prends soin de toi mon frère,
Seth.

Prends soin de toi et salue le groupe.
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