--Le_broucolaque
Mardi 19 février
La soirée de hier a été terrible..Je ne sais pas se que jai fait pour que mon tiers et ma tierce me fassent subir pareilles tortures Mon beau brun qui me tenait les bras immobilisés et qui me faisait des trucs sur les oreilles et le cou avec ses dents, ma belle brune, la main inquisitrice qui me fourrageait lintérieur des braies en exposant a ma vue innocente le mont droite et le mont gauche, ca pourrait encore passer..Mais que les deux rigolos sembrassent à pleine bouche a quelques millimètres de la mienne, laissant seulement le souffle chaud sur mes lèvres alors ca, ce nest pas humain Je médite et prépare ma vengeance .Une vengeance qui les mettra a genoux en proclamant haut et fort que je suis le plus merveilleux des amants
Bref, après mavoir indignement laissé sur ma faim, nous nous sommes séparés pour suivre chacun notre route Eux deux mains dans la main tout frétillants, mais comme je les ai maudits les voyant séloigner, et moi frustré et à létroit dans mes braies, en compagnie de la petite puce, et de nos deux graines dartistes, jai nommé, le barde et le sculpteur
Javais comme intention de me lamenter et geindre de ma position de roux délaissé indignement,(si si jexagère la chose exprès, des fois que déa ou Louis tomberaient sur mes écrits, peut être éprouveront ils un semblant de remord à mon égard) Jouvrit la bouche, donc pour me plaindre a mon blond copain, le poiscaille,le lorgant un peu au passage, souvenir de nos ébats passés, sauf que cet affreux prit les devants pour me raconter ses prouesses physiques en compagnie de la Gatimasse de Vendôme Alors que Jhésite entre lui enfoncer sa tête entre ses jambes ou le féliciter a grands cris et sifflements, voila que Pela notre barde sort son luth et joue un truc situé entre un miaulement de chat a lagonie et une complainte de condamné a mort. Je lève les yeux au ciel, demandant au Très haut que sil voit ma détresse auditive, quil envoie une pluie de défécation sur le crâne du musicien
Après quelques heures dattentes dans un bosquet, le silence enfin revenu troublé de temps en temps par un scritch scritch dun couteau sur un morceau de bois, bah oui, not sculpteur doit bien soccuper les mains , voila que notre puce bondit comme une diablesse
Je la talonne de prêt, et bondit sur lhomme qui a eu le malheur de se trouver sur notre chemin Tandis que mes deux compères le secouent comme un pommier, je lui administre quelques claques, histoire de soulager mes nerfs bien trop mis a contribution les jours passés..Faut dire quune rousse amoureusement fâchée, ca use la patience du plus posé des hommes, et la patience étant une vertu que je ne possède pas je cogne cogne..Jusqua en avoir mal aux poignets La petite élo na plus qua ramasser le butin..
Nous rentrons au campement, fatigués mais riches de quelques écus en plus..Avant de m^écrouler sur ma couche, jécris un pigeon furieux a mon homme et ma femme, histoire déventuellement leur arracher quelques larmes de mauvaises conscience..Mal men prit.la réponse du volatile express-Déa macheve dun coup de poignard en pleine poitrine
La soirée de hier a été terrible..Je ne sais pas se que jai fait pour que mon tiers et ma tierce me fassent subir pareilles tortures Mon beau brun qui me tenait les bras immobilisés et qui me faisait des trucs sur les oreilles et le cou avec ses dents, ma belle brune, la main inquisitrice qui me fourrageait lintérieur des braies en exposant a ma vue innocente le mont droite et le mont gauche, ca pourrait encore passer..Mais que les deux rigolos sembrassent à pleine bouche a quelques millimètres de la mienne, laissant seulement le souffle chaud sur mes lèvres alors ca, ce nest pas humain Je médite et prépare ma vengeance .Une vengeance qui les mettra a genoux en proclamant haut et fort que je suis le plus merveilleux des amants
Bref, après mavoir indignement laissé sur ma faim, nous nous sommes séparés pour suivre chacun notre route Eux deux mains dans la main tout frétillants, mais comme je les ai maudits les voyant séloigner, et moi frustré et à létroit dans mes braies, en compagnie de la petite puce, et de nos deux graines dartistes, jai nommé, le barde et le sculpteur
Javais comme intention de me lamenter et geindre de ma position de roux délaissé indignement,(si si jexagère la chose exprès, des fois que déa ou Louis tomberaient sur mes écrits, peut être éprouveront ils un semblant de remord à mon égard) Jouvrit la bouche, donc pour me plaindre a mon blond copain, le poiscaille,le lorgant un peu au passage, souvenir de nos ébats passés, sauf que cet affreux prit les devants pour me raconter ses prouesses physiques en compagnie de la Gatimasse de Vendôme Alors que Jhésite entre lui enfoncer sa tête entre ses jambes ou le féliciter a grands cris et sifflements, voila que Pela notre barde sort son luth et joue un truc situé entre un miaulement de chat a lagonie et une complainte de condamné a mort. Je lève les yeux au ciel, demandant au Très haut que sil voit ma détresse auditive, quil envoie une pluie de défécation sur le crâne du musicien
Après quelques heures dattentes dans un bosquet, le silence enfin revenu troublé de temps en temps par un scritch scritch dun couteau sur un morceau de bois, bah oui, not sculpteur doit bien soccuper les mains , voila que notre puce bondit comme une diablesse
Je la talonne de prêt, et bondit sur lhomme qui a eu le malheur de se trouver sur notre chemin Tandis que mes deux compères le secouent comme un pommier, je lui administre quelques claques, histoire de soulager mes nerfs bien trop mis a contribution les jours passés..Faut dire quune rousse amoureusement fâchée, ca use la patience du plus posé des hommes, et la patience étant une vertu que je ne possède pas je cogne cogne..Jusqua en avoir mal aux poignets La petite élo na plus qua ramasser le butin..
Nous rentrons au campement, fatigués mais riches de quelques écus en plus..Avant de m^écrouler sur ma couche, jécris un pigeon furieux a mon homme et ma femme, histoire déventuellement leur arracher quelques larmes de mauvaises conscience..Mal men prit.la réponse du volatile express-Déa macheve dun coup de poignard en pleine poitrine
Citation:
Lestat Gabriel de Lioncourt,
Oulaa quand elle mappelle comme cest que ca va barder !!!
Citation:
Si tu crois que je vais me laisser enguirlander comme un pauvre sapin juste avant Noel, tu t'fourres le doigt dans l'il jusqu'au coude.
Ou bin moi je te fourrais bien autre chose à un autre endroit..
Citation:
On n'a rien eu parce que personne est passé, et PAS DU TOUT parce qu'on a été mauvais !
Bin voyons quelle excuse
Citation:
Ensuite, saches que j'suis congelée, que j'ai la dalle, que tu m'manques et que j'sais pas où est Lou'. Alors ton bisou, tu t'le gardes, tu viens m'chercher et tu me réchauffes !
J't'en foutrai des fâché
J't'en foutrai des fâché
!
Tyrannique, attachiante et déroutante..Ma foy, il faut vraiment que je lui montre qui est le maitre à ma petite femme.Non mais ici c'est moi qui exige pas toi!
Alors que je mapprête à dormir, vla quun autre oiseau vient me lâcher un parchemin dessus
Je prends la missive..Qui est ce cette fois ? Ma charmante nièce avec ses questions sans réponses genre..Dit tonton ? Pourquoi les zoiseaux vont dans les arbres, on trouve ou des zamoureux ? .Tout ce genre de truc dont la réponse est..Je nen sais rien à quoi servent les enfants déjà ? Jen sais rien non plus
Je lis la missive.tient Seth qui mécrit bizzard..
Tyrannique, attachiante et déroutante..Ma foy, il faut vraiment que je lui montre qui est le maitre à ma petite femme.Non mais ici c'est moi qui exige pas toi!
Alors que je mapprête à dormir, vla quun autre oiseau vient me lâcher un parchemin dessus
Je prends la missive..Qui est ce cette fois ? Ma charmante nièce avec ses questions sans réponses genre..Dit tonton ? Pourquoi les zoiseaux vont dans les arbres, on trouve ou des zamoureux ? .Tout ce genre de truc dont la réponse est..Je nen sais rien à quoi servent les enfants déjà ? Jen sais rien non plus
Je lis la missive.tient Seth qui mécrit bizzard..
Citation:
Bonsoir mon frère,
Je t'écris ce soir, c'est vrai que je ne t'écris pas souvent...
En même temps, le temps passe et il passe à tes côtés, j'en suis très fier, je suis très fier de toi et par l'occasion habituellement je n'ai pas besoin de t'écrire pour te dire les choses...
Tout le monde va bien dans le groupe et Carensa n'a pas pris la fuite, bon elle a fait la gueule toute la nuit mais avec Inès on a bu l'Armagnac...
J'espère que je pourrais lui expliquer le pourquoi du comment. Je n'aime pas parler devant vous tous, il en tient à ma vie privée... Elle m'a énervé d'ailleurs, enfin bref, elle m'aime, je l'aime, on ne se le dit pas mais sans doute demain tout ça sera oublié... J'espère...
Jusqu'à la prochaine embrouille.
En fait ce soir je ne t'écris pas pour te parler de moi, de toute façon chaque fois que je parle de moi ça ne dure jamais longtemps.
Je t'écris parce que je pensais à toi, là en regardant le ciel, la lune a croisé mon regard et le soir où nous nous sommes revu, la lune avait le même croissant, la même blancheur, et elle m'éclairait tout autant que ce soir.
Je t'ai connu peu de temps après le départ de ton vrai frère, on était des gosses, je me souviens je mentais à mon oncle Popec qui ne voulait surtout pas que je fréquente des brigands, histoire de ne pas prendre le chemin de mon père.
Ton frère t'as toujours manqué, je t'ai toujours connu finalement avec une partie de toi en moins.
Peut être pour ça que tu as eu besoin d'avoir d'autres frères même de c�ur, enfin à nos jeunes âges on ne voyait pas encore les choses comme ça.
Tu n'as jamais cessé de me parler de lui, et puis on a grandit, je suis tombé amoureux de Catherine et je suis partie, seul, me faire mon propre groupe, qui me planteront un couteau dans le dos quelques années plus tard et étêteront la femme que je pensais être celle de ma vie.
Moi aussi, mon frère, je connais les départs imprévus des gens qu'on aime plus que tout. Ca fait très mal, on survit oui mais on ne vit plus. Hier soir tu me disais que l'amour que tu lui portait, ce manque, cette envie, ce besoin... Si tu savais à quel point je te comprends. Je donnerais tout pour la revoir... J'attendrais la mort en espérant qu'elle m'attende dans les enfers.
Et puis je t'ai retrouvé, tu avais besoin de moi, j'ai fait celui qui pouvait t'aider mais finalement mon frère, je n'avais jamais eu autant besoin de quelqu'un que ce jour là.
Je t'ai suivit, j'ai compris de suite que tu n'avais pas changé, j'aimais celui que tu étais petit alors, je fus heureux. Heureux, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas été.
Dans quelques jours tu retrouveras ton vrai frère, je sais combien il compte pour toi. Tu dois appréhender, avoir peur, sentir ton c�ur battre semblant lâcher chaque fois que tu penses aux retrouvailles. Tu dois forcément ressentir ses émotions puisque même loin de toi, je les ressens, je ressens que tu y penses de plus en plus fort que tu tournes en rond et que tu es tout excité.
Sache que je suis très heureux pour toi, et que pas un seul instant j'ai senti une once de jalousie me pénétrer pour Tibère. Bien sûr j'ai peur pour toi, j'ai peur qu'il te laisse à nouveau, pour telle ou telle raison, mais, puisque tu lui fais confiance, je lui fais confiance aussi.
Sache aussi que je t'aime, comme on aime un frère.
Que rien ne changera entre nous, que je comprends ton besoin, que je te soutiens, te suis, et que je serais toujours là pour toi.
Quoi qu'il arrive...
Voilà... Je voulais que tu saches que même si je ne suis pas très expressif, même si ça ne parait pas, je t'entends, je t'écoute et je t'observe.
Pardon pour mon ingratitude parfois, ce manque de gestes, de contacts, de regard...
J'ai oublié comment on faisait, j'ai préféré oublié...
Souhaite moi bonne chance pour cette nuit, j'espère te ramener une oreille, enfin juste pour te la montrer, et surtout du fric. En espérant que les deux femelles qui m'accompagnent n'auront pas à être protégées.
Je vous souhaite bonne chance, salue ceux qui t'accompagne pour moi.
Je t'embrasse fraternellement,
Seth.
Je t'écris ce soir, c'est vrai que je ne t'écris pas souvent...
En même temps, le temps passe et il passe à tes côtés, j'en suis très fier, je suis très fier de toi et par l'occasion habituellement je n'ai pas besoin de t'écrire pour te dire les choses...
Tout le monde va bien dans le groupe et Carensa n'a pas pris la fuite, bon elle a fait la gueule toute la nuit mais avec Inès on a bu l'Armagnac...
J'espère que je pourrais lui expliquer le pourquoi du comment. Je n'aime pas parler devant vous tous, il en tient à ma vie privée... Elle m'a énervé d'ailleurs, enfin bref, elle m'aime, je l'aime, on ne se le dit pas mais sans doute demain tout ça sera oublié... J'espère...
Jusqu'à la prochaine embrouille.
En fait ce soir je ne t'écris pas pour te parler de moi, de toute façon chaque fois que je parle de moi ça ne dure jamais longtemps.
Je t'écris parce que je pensais à toi, là en regardant le ciel, la lune a croisé mon regard et le soir où nous nous sommes revu, la lune avait le même croissant, la même blancheur, et elle m'éclairait tout autant que ce soir.
Je t'ai connu peu de temps après le départ de ton vrai frère, on était des gosses, je me souviens je mentais à mon oncle Popec qui ne voulait surtout pas que je fréquente des brigands, histoire de ne pas prendre le chemin de mon père.
Ton frère t'as toujours manqué, je t'ai toujours connu finalement avec une partie de toi en moins.
Peut être pour ça que tu as eu besoin d'avoir d'autres frères même de c�ur, enfin à nos jeunes âges on ne voyait pas encore les choses comme ça.
Tu n'as jamais cessé de me parler de lui, et puis on a grandit, je suis tombé amoureux de Catherine et je suis partie, seul, me faire mon propre groupe, qui me planteront un couteau dans le dos quelques années plus tard et étêteront la femme que je pensais être celle de ma vie.
Moi aussi, mon frère, je connais les départs imprévus des gens qu'on aime plus que tout. Ca fait très mal, on survit oui mais on ne vit plus. Hier soir tu me disais que l'amour que tu lui portait, ce manque, cette envie, ce besoin... Si tu savais à quel point je te comprends. Je donnerais tout pour la revoir... J'attendrais la mort en espérant qu'elle m'attende dans les enfers.
Et puis je t'ai retrouvé, tu avais besoin de moi, j'ai fait celui qui pouvait t'aider mais finalement mon frère, je n'avais jamais eu autant besoin de quelqu'un que ce jour là.
Je t'ai suivit, j'ai compris de suite que tu n'avais pas changé, j'aimais celui que tu étais petit alors, je fus heureux. Heureux, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas été.
Dans quelques jours tu retrouveras ton vrai frère, je sais combien il compte pour toi. Tu dois appréhender, avoir peur, sentir ton c�ur battre semblant lâcher chaque fois que tu penses aux retrouvailles. Tu dois forcément ressentir ses émotions puisque même loin de toi, je les ressens, je ressens que tu y penses de plus en plus fort que tu tournes en rond et que tu es tout excité.
Sache que je suis très heureux pour toi, et que pas un seul instant j'ai senti une once de jalousie me pénétrer pour Tibère. Bien sûr j'ai peur pour toi, j'ai peur qu'il te laisse à nouveau, pour telle ou telle raison, mais, puisque tu lui fais confiance, je lui fais confiance aussi.
Sache aussi que je t'aime, comme on aime un frère.
Que rien ne changera entre nous, que je comprends ton besoin, que je te soutiens, te suis, et que je serais toujours là pour toi.
Quoi qu'il arrive...
Voilà... Je voulais que tu saches que même si je ne suis pas très expressif, même si ça ne parait pas, je t'entends, je t'écoute et je t'observe.
Pardon pour mon ingratitude parfois, ce manque de gestes, de contacts, de regard...
J'ai oublié comment on faisait, j'ai préféré oublié...
Souhaite moi bonne chance pour cette nuit, j'espère te ramener une oreille, enfin juste pour te la montrer, et surtout du fric. En espérant que les deux femelles qui m'accompagnent n'auront pas à être protégées.
Je vous souhaite bonne chance, salue ceux qui t'accompagne pour moi.
Je t'embrasse fraternellement,
Seth.
Je lis et relis la lettre, sentant ma gorge se serrer. Mon frère de cur, celui avec qui jai passé les 8 dernières années de ma vie jamais, il ne mavait parlé comme ca..Je suis touché dans mon orgueil, ma fierté, dérouté et déphasé Je me mets sous la couverture, un sourire attendri a ladresse de seth qui quelque part sur un autre nud a pris le temps de penser a moi et de mécrire, je ne my attendais pas, je suis bouleversé. Je mendors, laissant les mots courir dans ma tête, le sommeil mapportera les mots quil faut pour les aligner sur un vélin, afin dexprimer ma fraternité et mon amitié au blond que je laisse trop souvent de côté.Discret Seth, mais ta présence me rassure, tu es toujours la pour me soutenir et me guider Combien de fois as-tu évité que je fasse les pires connries ?
Luttant contre le sommeil, mes pensées vont vers mon Autre, ce frère qui ma laissé trop de temps sans sa présence. Encore deux jours et je serais auprès de lui, comme auparavant. Tibère je ressens pour toi un mélange damour et de haine, mais comme tu me las dit toi-même, ces deux sentiments sont relié de lamour, mon frère, toi qui ma tout appris, toi que jai toujours considéré comme un Dieu, toi qui était toujours a mes cotés, mendormant chaque nuit me caressant les cheveux et me racontant des contes, me berçant, me tenant serré contre toi sachant que javais une peur irraisonnée pour le noir, de la haine, car cest toi qui ma appris la douleur, la souffrance, toi qui mas brisé avec ton départ..De la peur, puis-je te faire confiance à nouveau ? Ou me laisseras-tu au premier obstacle ?
Je mendors enfin, limage qui change, le cousin a pris la place du frère, louis toi qui ma donné ton amour, toi qui partage tout avec moi, jusquà ta femme..Si tu savais combien ta présence me manque, pourtant je sais que dans quelques heures, toi et Déa seraient à mes côtés, quelle sallongera doucement contre moi, laissant ses mains inspecter mon corps a la recherche dune éventuelle égratignure, toi de lautre côté, ta main dans mes cheveux