Nyssie
Un hostel parmi tant dautres. La donzelle avait élu domicile depuis quelques jours dans cette chambre. Un lit à baldaquin au milieu de la pièce. Dans le coin de droite une armoire sculptée dans le bois le plus pur de tout le Royaume. A côté de sa couche, une table de chevet qui saccordait parfaitement avec la penderie. Une grande fenêtre qui offrait un éclairage des murs magnifique. La pièce était dans des couleurs pastels mais chaleureuse et accueillante.
Juste un sac avec quelques affaires, la Brune ne devait pas rester longtemps ici. Juste quelques petits jours avant de reprendre la route. Seulement voilà, la belle avait goûté à la gourmandise, à la luxure. Première fois que Nyssie sétait rendue dans un bordel et pas nimporte lequel. Un bordel réputé pour avoir les meilleurs courtisans. Vrai! La belle avait fait le test et sûr quelle recommanderait cet établissement à qui voudrait le découvrir.
Seulement, ce nétait pas tant lendroit qui la retenait là mais celui qui lui avait offert quelques instants de plaisir. Et quel plaisir
La Brune avait pris son pied en un rien de temps. Dailleurs, elle aurait bien recommencé mais voilà. LAnglais avait dautres chats à fouetter et dautres demoiselles à contenter. Pourtant, depuis quelle avait quitté létablissement, Nyssie ne cessait de penser à cet homme.
Il avait su en quelques doigtés, en quelques effleures de lèvres, la décontenancer, la désarmer pour le laisser diriger le pas de danse. Chose rare. La belle préférait avoir le dessus, mais là, ce charmant brun ne lui en laissait pas la possibilité. Il savait comment la faire succomber et à une rapidité exceptionnelle. Linsolence de son visage, loutrecuidance de ses assauts, larrogance de ses gestes, tout la ramenait à lui. Comme un délice dont on ne pouvait plus se défaire.
La pensée ne se gênait plus pour la faire rêver de lavoir encore une fois, juste pour elle. Le désir de le sentir, sa peau contre la sienne et ses mains sur sa poitrine devenait fort lorsquelle se remémorait sa décadence et sa fougue.
Jusquici, Nyssie avait toujours eu ce quelle voulait. Bien souvent, par ses petites manigances sous la table, elle obtenait gain de cause. Mais voilà, celui-là, cétait un courtisan. Un homme pour plusieurs femmes, un homme qui se passait de dames en dames. Un de ces messires qui laissaient les sentiments au placard pour ne déployer que leur plus beau côté, assouvir le désir des femmes insatisfaites.
Pas important. Elle le voulait, elle laurait. Peu importe le prix.
La belle Brune sattela sur le bureau qui se trouvait auprès de la fenêtre. Elle pris plume et vélin et commença à essayer de griffonner quelques mots. Comment le faire venir jusquà elle. Comment lui faire comprendre quelle voulait encore sentir ses doigts sur son corps. Il fallait se lancer.
Très cher,
Jespère que vous vous portez bien. Nous nous sommes vus ou plutôt, apprivoisé au Boudoir des sens il y a quelques temps. La fin de lautomne fût bien agité et comme lhiver cette année se fait virulent, jaurai besoin dun peu de chaleur.
Outre le fait que le froid envahit mon corps dès que je pose pied dehors, je me disais que si vous aviez le temps, vous pourriez peut-être passer directement à mon hostel.
Certes, je puis comprendre quà lhabitude, cela ne se passe pas ainsi mais, comprenez que je suis une grande frileuse et de fait, de voir autant de poudre blanche par la fenêtre refroidit déjà mon corps.
Mon hostel ne se trouve non loin du Boudoir puisque celui-ci est dans la ruelle juste après. Vous ne pouvez le louper, cest le seul dans le coin. La chambre 5.
Jespère vous voir .
Cordialement
Nyssie.
Voilà. Simple, directe. Quitte à le revoir, autant que ce soit pour une raison valable. Il ne fallait point éveillé quelque soupçon que ce soit.
[Bonjour, bonjour,
Image retirée par mes soins car hors norme (supérieure à 250 p x 250 p). Merci de prendre connaissance des règles d'or du coin des aRPenteurs.
Bon jeu, bon RP,
Modo Mahelya]
Juste un sac avec quelques affaires, la Brune ne devait pas rester longtemps ici. Juste quelques petits jours avant de reprendre la route. Seulement voilà, la belle avait goûté à la gourmandise, à la luxure. Première fois que Nyssie sétait rendue dans un bordel et pas nimporte lequel. Un bordel réputé pour avoir les meilleurs courtisans. Vrai! La belle avait fait le test et sûr quelle recommanderait cet établissement à qui voudrait le découvrir.
Seulement, ce nétait pas tant lendroit qui la retenait là mais celui qui lui avait offert quelques instants de plaisir. Et quel plaisir
La Brune avait pris son pied en un rien de temps. Dailleurs, elle aurait bien recommencé mais voilà. LAnglais avait dautres chats à fouetter et dautres demoiselles à contenter. Pourtant, depuis quelle avait quitté létablissement, Nyssie ne cessait de penser à cet homme.
Il avait su en quelques doigtés, en quelques effleures de lèvres, la décontenancer, la désarmer pour le laisser diriger le pas de danse. Chose rare. La belle préférait avoir le dessus, mais là, ce charmant brun ne lui en laissait pas la possibilité. Il savait comment la faire succomber et à une rapidité exceptionnelle. Linsolence de son visage, loutrecuidance de ses assauts, larrogance de ses gestes, tout la ramenait à lui. Comme un délice dont on ne pouvait plus se défaire.
La pensée ne se gênait plus pour la faire rêver de lavoir encore une fois, juste pour elle. Le désir de le sentir, sa peau contre la sienne et ses mains sur sa poitrine devenait fort lorsquelle se remémorait sa décadence et sa fougue.
Jusquici, Nyssie avait toujours eu ce quelle voulait. Bien souvent, par ses petites manigances sous la table, elle obtenait gain de cause. Mais voilà, celui-là, cétait un courtisan. Un homme pour plusieurs femmes, un homme qui se passait de dames en dames. Un de ces messires qui laissaient les sentiments au placard pour ne déployer que leur plus beau côté, assouvir le désir des femmes insatisfaites.
Pas important. Elle le voulait, elle laurait. Peu importe le prix.
La belle Brune sattela sur le bureau qui se trouvait auprès de la fenêtre. Elle pris plume et vélin et commença à essayer de griffonner quelques mots. Comment le faire venir jusquà elle. Comment lui faire comprendre quelle voulait encore sentir ses doigts sur son corps. Il fallait se lancer.
Très cher,
Jespère que vous vous portez bien. Nous nous sommes vus ou plutôt, apprivoisé au Boudoir des sens il y a quelques temps. La fin de lautomne fût bien agité et comme lhiver cette année se fait virulent, jaurai besoin dun peu de chaleur.
Outre le fait que le froid envahit mon corps dès que je pose pied dehors, je me disais que si vous aviez le temps, vous pourriez peut-être passer directement à mon hostel.
Certes, je puis comprendre quà lhabitude, cela ne se passe pas ainsi mais, comprenez que je suis une grande frileuse et de fait, de voir autant de poudre blanche par la fenêtre refroidit déjà mon corps.
Mon hostel ne se trouve non loin du Boudoir puisque celui-ci est dans la ruelle juste après. Vous ne pouvez le louper, cest le seul dans le coin. La chambre 5.
Jespère vous voir .
Cordialement
Nyssie.
Voilà. Simple, directe. Quitte à le revoir, autant que ce soit pour une raison valable. Il ne fallait point éveillé quelque soupçon que ce soit.
[Bonjour, bonjour,
Image retirée par mes soins car hors norme (supérieure à 250 p x 250 p). Merci de prendre connaissance des règles d'or du coin des aRPenteurs.
Bon jeu, bon RP,
Modo Mahelya]
Ok^^ merci d'avoir prévenu