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[RP] Cabinet médical - Apothicairerie thouarsaise

Vonsigmar
Citation:
Enfin, je te propose d'aller en foret jeudi? Cela te vas-tu? Tu seras libre? On invite d'autres amateurs apothicaires?


Vonsigmar sourît à la proposition de son ami

Et bien ma foi oui, je te suis! On se retrouve à l'orée de la forêt... Par contre la seule apothicaire qui pourrait être intéressée, Meili, ne sera sans doute pas intéressée, elle est occupée par la construction d'une école...

Saluant son ami qui déjà partait, il pensait déjà à sa journée de jeudi...
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Vonsigmar
Vonsigmar revînt de la cérémonie de remise des diplômes de l'Ostel Dieu avec son certificat en poche, il l'encadra la larme à l’œil...



Enfin il pouvait prétendre en tant que diplômé à tenir un poste réel! Encore un cursus et il serait apothicaire diplômé!
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Petitfrerekoala
Petitfrerekoala fut un des premiers à voir le tout beau diplôme de Vonsigmar. Il s'arrêta et entra donc dans l'office.

Ah ben félicitation mon garçon! J'espère que tu vas payer ta tournée hein! Enfin encore une chose qui fait de toi la fierté de Thouars!
Vonsigmar
Vonsigmar vît entrer son ami koko

Citation:
Ah ben félicitation mon garçon! J'espère que tu vas payer ta tournée hein! Enfin encore une chose qui fait de toi la fierté de Thouars!


Il rît

Tu y vas peut-être un peu fort! Mais d'accord pour la tournée! On se voit ce soir sans fautes!
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Petitfrerekoala
Petitfrerekoala entra ce matin là dans l'office de Von.

He! Bon alors, tu as bien fêté ton diplome? Tu pourrais me repasser un peu de ta mixture à base de roquette pour les cicatrices? Je n'en ai plus, et ça avait l'air plutôt utile!

Il attendit la réponse de son ami patiemment.
Vonsigmar
Vonsigmar vît son ami entrer en trombe

Citation:
He! Bon alors, tu as bien fêté ton diplome?


Vonsigmar sourît, heureux de revoir à nouveau son ami

Hey bien non malheureusement, j'ai beaucoup de travail en ce moment, mais je fêterais çà bien vite! Tu en seras le premier informé bien sûr!

Citation:
Tu pourrais me repasser un peu de ta mixture à base de roquette pour les cicatrices? Je n'en ai plus, et ça avait l'air plutôt utile!


Bien sûr, attends, je vais te chercher çà...

Il trifouille dans ses bocaux

Tu as écoulé çà bien vite dis donc! Tu as de la chance, j'en ai racheté!

Il lui tend de quoi faire une dizaine de préparations cette fois

Encore une fois n'hésites pas, je suis là s'il t'en faut plus! Mais préviens moi par avance, je je fasse livrer une tonne vu ton dos couvert de cicatrices! (rires)
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Aethys
Une Gasconne, cheveux relevés en un chignon flou, le corsage dévoilant sa gorge outrageuse, les jupons glissant autour de ses chevilles, bref une Gasconne hein, ondulait des hanches dans les rues de Thouars. Arrya avait filé ventre à terre dès leur arrivée comme mue par une puissance divine. La brunette l’avait laissé filé dans un sourire, lui recommandant de ne pas trop abuser de la boisson locale. Aethys, elle avait pris le temps de poser leurs affaires dans une auberge banale, avant d’attraper sa pipe, ses herbes et d’aller tranquillement errer dans la ville. La pipe au bec, une légère fumée blanchâtre l’entourant, elle laissait trainer ses ambres sur les bâtisses. Rien de nouveau, rien d’exceptionnel, Thouars était une ville comme les autres.

La belle menaçait de rentrer pour se désaltérer le gosier quand elle capta l’éclat d’une enseigne. Intriguée voire intéressée, elle s’approcha de sa démarche langoureuse. Une apothicairerie. Un sourire lumineux passa sur les lèvres purpurines de la Gasconne tandis qu’elle poussait la porte. Sa réserve d’herbes commençait sérieusement à tirer la tronche et en plus, sa dose quotidienne de thériaque se faisait mince. Il me manquait plus qu’elle soit à cours pour qu’Arrya jetât l’éponge et ne retournât à Saintes en courant. Une Gasconne en manque est une Gasconne odieuse….plus que d’habitude.

Entrant donc dans l’échoppe, elle leva un regard discret sur les étagères. Tout ceci lui semblait bien propret et elle douta en instant. Allait-elle trouver dans un si gentillet établissement ce dont elle aurait besoin ? Elle aurait vu surgir une nonne ou un moine de derrière les établis que cela ne lui aurait pas paru étrange. Un sourire amusé s’étendit néanmoins sur ses lèvres et lâchant sa pipe un court instant, elle fit entendre sa voir aux accents chantant du sud.


« Bon jour ! Y aurait-il quelqu’un ? »

Ses ambres scintillantes balayèrent l’endroit et le tuyau d’écume de mer retrouva le creux de ses lèvres.
Vonsigmar
Vonsigmar, comme à son habitude, trouvait toujours à faire à l'apothicairerie. Le manque de visiteurs n'empêchait en rien qu'il collecta plantes et préparations médicinales, qu'il ne soit dans son petit potager/jardin à l'arrière de l'échoppe.

Ce jour là il travaillait à mettre en terre quelques pousses de Bambou que lui avait dégoté son ami Koko. Ne sachant comment s'en occuper, il en planta plusieurs plants à divers endroits de son jardin afin d'éviter de les perdre : ces plantes exotiques ne se trouvaient pas à chaque coin de rue!

Alors qu'il était accroupi, un tablier terreux sur lui, la pipe au bec et les mains dans la terre, il entendit depuis la porte de l'échoppe :


Citation:
« Bon jour ! Y aurait-il quelqu’un ? »


Le temps de se frotter les mains, de poser sa pipe sur le repose-pipe lui-même posé sur la grosse pierre en granit, il répondit vivement, reconnaissant une voix féminine.

J'arrive, ne bougez pas!

Il se demandait bien qui cela pouvait être, n'attendant personne, ce ne pouvait qu'être un patient requérant ses aptitudes médicinales. Il hâta donc le pas, franchît le seuil de la porte de derrière, posa son tablier parmi les fioles vides de l'inventaire et grimpa dans la salle centrale surélevée d'une marche, le temps de se laver les mains dans une bassine en fonte et de se les essuyer contre son pourpoint rouge, il apparût à la porte, de nouveau la pipe à la main.

Un léger filet de fumée entrait par l'entrebâillement de la porte : il sourît, ce n'était pas une patiente mais quelqu'un qui visiblement partageait son amour de l'herbe à pipe.
Ouvrant la porte, il lui adressa un sourire de bienvenue et lui dît


Bonjour gente dame, Je me présente, Vonsigmar Garden

Il lui sert alors la main délicatement, du moins du poignet ayant les mains encore humides et légèrement terreuses et continua :

Je suis l'apothicaire de Thouars, que puis-je faire pour vous?

Avant de fourguer à nouveau sa pipe au bec, quelle image, l'un face à l'autre, mêlant des odeurs aussi différentes qu'appréciables : lui fumait une préparation à base de feuilles de poirier depuis que l'évêque Monseigneur Forth WIth l'y avait initié.

Vonsigmar n'aurait sut reconnaître la sélection d'herbe choisie par l'inconnue par son odeur mais elle savait y faire en tout cas, de subtiles touches épicées stimulait le sens olfactif de l'apothicaire.

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Aethys
Les ambres de la Gasconne erraient toujours sur les bocaux, déchiffrant sans mal les étiquettes des simples qu’elle connaissait sur le bout des doigts. Mentalement, elle fit une petite liste de choses qu’elle pourrait acheter. Après tout, elle avait abandonné une bonne partie de son matériel à Saintes, pensant qu’elle ne devrait pas en avoir l’utilité. Néanmoins, puisqu’elle était là, autant en profiter un peu.

Une voix masculine résonna à l’arrière de la boutique l’arrachant à ses pensées. Diantre, un moine ! La voilà perdue. Un large sourire s’épanouit sur ses lèvres alors qu’elle se marrait toute seule. Une sorcière serait passée, une nonne encore mais un moine ! Elle sentait déjà les flammes de l’inquisition. Le regard doré de la belle se tendit très légèrement vers la sortie, se demandant si elle pouvait encore se faire la malle avant qu’il n’arrivât. Puis un petit rire presque inaudible franchit ses lèvres. Pauvre homme, elle se moquait cruellement à ses dépends. Elle attendit donc l’arrivée de tenant des lieux, son sourire amusé ne la quittant pas.

Pour son plus grand plaisir, ce fut un homme quelque peu poussiéreux certes, mais portant un pourpoint rouge et non une robe de bure qui se présenta à elle. Dans un geste tout à fait charmant, il lui enserra délicatement le poignet, la saluant. La magnifique Gasconne hocha la tête en retour, son sourire illuminant ses traits délicats.


« Bon jour, pas de dame et encore moins de gente dame, voulez vous ? Je suis loin de mériter un tel titre. Appelez-moi Aethys, cher collègue. »

Son sourire s’accentua un peu plus alors que son regard ambré s’accrochait à lui, pétillant avec délice. Il était plutôt bel homme, elle devait l’avouer. Et détail important, il avait l’air d’apprécier l'éthérée ivresse. Son nez se plissa détectant avec délice les fragrances sucrées de poire qui flottaient avec douceur autour de son interlocuteur. Ca y est elle était amoureuse ! La garce secoua imperceptiblement la tête, chassant ces sornettes de son crâne. Il fallait sérieusement qu’elle arrête de fumer hein. Ou plutôt était-ce la narratrice qui devait cesser ses âneries ? Bref, passons…

La Gasconne cracha un léger nuage de fumée et fit coulisser le tuyau d’écume de mer hors de sa bouche. La délicieuse odeur de sauge se répandit autour d’elle, masquant les arômes de poire.

« Je suis venue en tant que client pourtant. J’aurais besoin de certaines préparations…en peu particulières peut être. »

Son regard pétilla de gourmandise.

« Auriez-vous quelques onces de thériaque, une ou deux bouteilles de diacode et une de jusquiame ? J’aurais également besoin de quelques simples brutes mais si vous aviez déjà ces produits là, je vous serais infiniment reconnaissante. »

Le sourire se fit charmeur. La Gasconne était redoutable, même plongée dans l’euphorie de ses drogues.
Vonsigmar
Citation:
« Bon jour, pas de dame et encore moins de gente dame, voulez vous ? Je suis loin de mériter un tel titre. Appelez-moi Aethys, cher collègue. »


Vonsigmar releva un sourcil à l'énonciation du mot "collègue"

Cher collègue? Dois-je entendre par là que vous seriez apothicaire vous aussi? D'où nous venez vous Aethys avec un tel accent, du sud visiblement!

Celle-ci continua néanmoins, une bouffée de fumée à la bouche qui sentait comme... Comme... De la sauge bien sûr! Cette odeur lui rappelait l'herbe à pipe de son oncle. Il en avit lui même longtemps fumé avec lui.

Citation:
« Je suis venue en tant que client pourtant. J’aurais besoin de certaines préparations…en peu particulières peut être. »


Vonsigmar avait déjà peur de ce qu'elle aurait pu lui demander, cette dame paraissait en pleine forme mais dégager un subtil aspect maladif, lié d'apparences aux narcotiques. Cet effet là aux yeux de gens pratiquant la médecine ne paraissait pas inaperçu.

Citation:
« Auriez-vous quelques onces de thériaque, une ou deux bouteilles de diacode et une de jusquiame ? J’aurais également besoin de quelques simples brutes mais si vous aviez déjà ces produits là, je vous serais infiniment reconnaissante. »


Je tien à dire que parler de Thériaque est un anachronisme : première formule dévoilée en 1667, et l'opium n'est pas non plus réputé dans notre bon royaume de france à notre époque, mais soit disons que c'est actuel.


Vonsigmar regarda d'un œil désapprobateur son invitée, l'invitant à rentrer de la main vers son antre

Mettez vous à l'aise, souhaitez vous quelques herbes à fumer ou une tisane de ma préparation peut-être? Les fruits sont sur la table.

Alors qu'elle avançait pour s'installer, lui montait cette fameuse marche de la salle centrale, la devançant, pour aller vers l'annexe où il entreposait ses fioles. Dégageant de la main son tablier encore terreux, il sélectionna quelques fioles et revînt vers elle, assise.

Voici une fiole de Jusquiame pressée. Mes stocks sont limités, je ne peux me permettre de vous laisser une bouteille entière malheureusement.
Concernant Le thériaque et le sirop de diacode, pourrais-je savoir quelle utilité en ferez-vous Aethys? J'ai du diacode en stock mais pas de Thériaque, seulement la formule dîte "du pauvre", disons que son "utilité" est limitée ici, dans une ville si paisible.


Vonsigmar regardait d'un air interrogateur son interlocutrice, il savait pertinemment que cette demande n'était pas faîte dans un cadre médicinal. Vonsigmar aurait pu lui concéder ces substances mais il se devait en tant qu'apothicaire de lui proscrire cet usage. Lui même aimait à fumer, mais jamais cela dépasser la recherche du goût, non pas celle d'effets hallucinogènes.
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Aethys
Le sourit de la Gasconne ne s’effritait pas, lumineux et enjoué. Lorsque l’apothicaire releva la perche qu’elle lui avait tendue, elle hocha la tête.

« En effet, apothicairesse, barbier et matrone pour tout vous dire. J’ai décidé de cumuler. »

Elle chassa du revers de la main, une mèche sombre qui s’était échappée de son chignon désordonné. Tirant une fois de plus sur sa pipe, elle laissa échapper une nouvelle bouffée odorante avant de poursuivre.

« Du sud ? Oui, de la Gascogne. Mais je suis partie, il y a longtemps maintenant. »

Sa main esquisse un petit geste évasif, dispersant dans des volutes tournoyantes la fumée qui montait devant elle. La Gascogne, oui, elle ne cessait de se dire Gasconne et pourtant les souvenirs de ces terres s’étiolaient lentement dans sa mémoire confuse. Seules lui restaient quelques images sombres, d’un passé troublé et moribond.

A l’énoncé des produits dont elle avait besoin, elle vit le changement d’attitude du beau blond. Il n’en fallait pas plus pour lui arracher un sourire un peu plus froid mais amusé. A n’en pas douter le jeune homme devait être bien propre sur lui et le voir froncer ainsi le nez, était un plaisir des plus agréables. La Gasconne le suivit néanmoins et s’installa tranquillement à la table. Sa pipe se finissait lentement et lorsqu’elle fut totalement consommée, elle la tapota sur un coin de la table. D’un sourire elle refusa ses propositions.


« Non merci cela ira… »

La jeune femme hocha la tête lorsqu’il lui ramena un flacon de jusquiame. Il avait l’air de s’y connaitre et c’était plaisant. Elle comprenait tout à fait qu’il n’ait pas beaucoup plus de stock. Après tout, il avait tout d’un très honnête homme. Son sourire s’étendit un peu plus à sa question suivante. Bien sur il ne pouvait pas lui remettre de drogues, n’était-ce pas une loi des apothicaires ? La Gasconne ancra son regard doré dans le sien.

« Allons, ne posez pas les questions auxquelles vous avez les réponses. Cela n’apporte rien. Vous savez qu’il s’agit de composés pour mon usage personnel mais si je vous le dis, vous ne pourrez pas vous empêcher de me faire un sermon et moi, je vais me lasser et repartir sans. Sauf que je finirai toujours par en trouver et vous vous aurez perdu une affaire. Ce n’est pas tous les jours qu’on doit vous en prendre non ? Sinon, je vous mens et vous m’en vendez en tant que contre poison. Alors que décidez-vous ? »

Le sourire de la brunette s’étendit légèrement sur ses lèvres purpurines.


S'il faut parler d'anachronismes : le mais, la position des femmes, les macarons et autres douceurs de Paris, les armes à feu, les carrosses, les élections...faut-il que je continue ? Je pense que nous savons tous que les Royaumes ne sont pas historiques alors je pense pouvoir laisser ma droguée se faire une petite thériaque de temps en temps Il n'empêche historiquement parlant, vous avez raison. Les feuilles de poiriers et de pommiers étaient nettement plus répandues bien que fumer en général était plutôt mal vu. Chiquer était plus probable. Le chanvre se répandait également depuis les croisades.
Vonsigmar
Citation:
« Allons, ne posez pas les questions auxquelles vous avez les réponses. Cela n’apporte rien. Vous savez qu’il s’agit de composés pour mon usage personnel mais si je vous le dis, vous ne pourrez pas vous empêcher de me faire un sermon et moi, je vais me lasser et repartir sans. Sauf que je finirai toujours par en trouver et vous vous aurez perdu une affaire. Ce n’est pas tous les jours qu’on doit vous en prendre non ? Sinon, je vous mens et vous m’en vendez en tant que contre poison. Alors que décidez-vous ? »


Vonsigmar ne pût s'empêcher de sourire alors qu'Aethys présentait son petit argumentaire. Elle n'aurait sans doute pas dit elle même que cela en était un, mais sa façon de tourner les choses laissait clairement indiquer de manière rhétorique qu'il serait stupide de ne pas accéder à sa requête.

Ayant finit son infusion préférée à base de thym, feuilles de laurier, cannelle, romarin, branche de citronnier, capucine, coquelicot et miel d'abeille pur. Il s'en servit une pleine tasse et s'assit tranquillement, laissant planer sa réponde, il étendit ses jambes sur une sellette non loin.

Il ralluma sa pipe à l'aide d'une braise provenant du foyer à ses côtés et répondit


Votre argumentaire aurait presque pût me convaincre figurez vous! Seulement je ne fais payer en rien les simples et décoctions que je livre à mes patients. Je n'ai donc aucun intérêt, ni financier, ni moral à vous en donner. (rires) Et inutile de me proposer une bourse pleine pour cela ou de me poignarder pour autant, j'ai mieux à vous proposer : un échange de bon procédé! Impressionnez moi, livrez moi donc des simples dont j'ai tout à apprendre et je pourrais peut-être "perdre" telle décoction dans votre besace qui sait... Après tout comme vous l'avez dit, je ne suis pas prêt de vous faire changer visiblement.

Il sirota le fond de son thé et se leva, la pipe à la bouche, il jeta un œil par la fenêtre : il faisait si beau qu'il aurait préféré discuter à l'air libre.

Venez donc dans mon jardin que je vous présente ma dernière trouvaille! Du bambou, connaissez vous?
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Aethys
La Gasconne eut un sourire malicieux, presque satisfait lorsqu’il reprit la parole. Malheureusement, son temps était compté et elle et Arrya repartait bientôt pour l’Anjou. Elle n’avait donc pas de temps à perdre avec ce beau blond. Elle se leva donc dans un mouvement langoureux et s’approcha de lui dans un geste tout à fait provocant. Se penchant vers lui, son souffle vint se perdre à son oreille.

« Malheureusement, je vais devoir décliner car le temps me manque pour profiter de cette si belle journée à vos côtés. »

Sa main joua un court instant sur son épaule, son sourire s’accentuant. Jouer, oh oui, elle adorait cela. Même avec un parfait inconnu. Collègue certes mais inconnu tout de même.

D’une démarche languide, elle s’éloigna et arrivée à la porte, la Gasconne se retourna vers lui, lui offrant un dernier sourire.


« Mais gardez l’idée sous le coude. Je reviendrai peut être par ici, un de ces jours. »

Glissant sa pipe froide à ses lèvres, elle disparut dans les ruelles.

Manque de temps malheureusement ! Dommage mais merci pour l'échange !
Vonsigmar
La gasconne partît si vite que Vonsigmar n'eut à peine le temps de comprendre. Toutefois, en s'approchant de lui pour lui annoncer son départ, elle n'avait pas remarqué qu’il avait glissé une fiole de thériaque parmi ses affaires. Elle fila sans s'en rendre compte

Vonsigmar garda son sourire affiché, il fallait admettre que cette Aethys était des plus originales, peut-être la reverrait-il, ils auraient alors sans doute des idées, des solutions à partager.

Bien bien bien...

Il retourna à ses occupations, comme si elle n'était jamais venu.
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Ruby69
Ruby passa saluer son voisin qui lui avait rendu visite dernièrement, elle explora du regard, ne voyant personne arriver.

Ola ! Il y a quelqu'un ?

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