Gildwen_thegen
Quand Brocéliande reçoit Wolback en sa demeure de Craon.
D'une pensée généralement admise, les hommes [1] avaient une faculté assez étonnante à pouvoir émettre un nombre impressionnant de promesses, sans jamais en respecter la moindre d'entre-elles. Le Prince de Brocéliande, notre héro, avait su prouver en cela tout son talent lors de divers faits passés [2] dont il paraît peu utile d'en établir les détails ici. Par les douleurs et les peines provoquées, il en espérait pouvoir se corriger, formant promesse de ne pas recommencer. Encore une. Cette fois-ci cependant, tout serait différent.
« Nous le confierons à Cune. » Face à ce qui était jusqu'à lors sa demeure, le blond en prononce les mots sur un ton de confidence, sans que cela en soit réellement une. C'était là un bâtiment autrefois trouvé en ruine et toujours en travaux pour en faire un lieu de haute vie, digne de la grandeur princière. Un « manoir » comme il l'aimait à le nommer, possédant plusieurs hectares de terrain pour appuyer sa dominance dans cette ville et dont seule une clôture en délimita les frontières. Un petit chemin de terre menait jusqu'à l'entrée, salissant pour tout autre que notre héros... rien ne saurait salir un Prince.
À ses cotés, une blonde. Aigneas Wolback-Carran de son nom complet. Mais pour l'histoire, et en cogérance avec la décision princière, il en sera raccourci en simple « Wolback ». Wolback donc, se situait a ses coté. Fruit d'une rencontre causée par le hasard passé, s'en trouvait en cette situation par une promesse faites. Une promesse de partage, avec un but inavoué de lenivrer jusqu'à atteindre un point de non-retour... la version drôle de la blonde.
En pénétrant enfin dans ce riche bâtiment, Gildwen reprit directement ses habitudes, réflexes dantan, en se mettant a ses aises. Pourtant, nuls serviteurs ne vint à sa rencontre pour l'aider à le déshabiller de son mantel de fourrure. « Prenez place. Et surtout, ne touchez à rien. » Laissant ainsi la blonde compagne, il put s'en rendre librement dans les couloirs en quêtes d'un valet quelconque. « Hey !!! » Le cri fut lancé, ne connaissant aucun des noms. « Oh !! Quelqu'un !! » La recherche en fut bien vaine et d'un murmure, le blond finit par s'en rendre compte. « Il faut tout faire soi-même ici. ».
La cave, seul lieu sans que travaux ne soit débuté, fut toujours aussi belle que lorsqu'il l'avait quitté. Là, était exposé de grand fut de bière, de vin, et ses bouteilles de breuvage politains, celui qui était le plus précieux de tout. C'est pour cela qu'elle était venue. Retournant à la rencontre de Wolback, il put en annoncer clairement. « Voici la fameuse Prunevampi. [3] »
------------------------
1. Pour la précision nécessaire, il faut signifier que « homme » est ici à prendre sous son sens « humains ». La majuscule n'étant pas bien belle. Rappelons, pour l'exemple, que les promesses de Calyce, une femme, n'ont jamais été tenues bien que les conditions en furent accomplies.
2. Les événements vaguement mentionnés, sont détaillés dans le célèbre « La vie du Prince de Brocéliande, Tome 4 : De sa vie en Duché d'Anjou ». Les chapitres X, XIII, XVI, XXVII et XXXII en traite du sujet pour l'essentiel. D'autres éléments sont également disponibles dans d'autres chapitres des livres de la même série.
3. Breuvage de création bretonne et Brocéliande. La recette inconnue en reste inconnue encore à ce jour. Son histoire est détaillée dans le célèbre « L'héritage de la dynastie des Brocéliande »
[Bonjour, Bonjour,
Merci de baliser votre topic comme cela est stipulé dans les règles d'or du coin des aRPenteurs.
Bon jeu, Bon RP,
Modo Mahelya]
_________________
- PRINCE DE BRETAGNE - VICOMTE DE LOYAT - SEIGNEUR DE MONDEBAT -
- GRAND SAUVEUR DE CRAON -
D'une pensée généralement admise, les hommes [1] avaient une faculté assez étonnante à pouvoir émettre un nombre impressionnant de promesses, sans jamais en respecter la moindre d'entre-elles. Le Prince de Brocéliande, notre héro, avait su prouver en cela tout son talent lors de divers faits passés [2] dont il paraît peu utile d'en établir les détails ici. Par les douleurs et les peines provoquées, il en espérait pouvoir se corriger, formant promesse de ne pas recommencer. Encore une. Cette fois-ci cependant, tout serait différent.
« Nous le confierons à Cune. » Face à ce qui était jusqu'à lors sa demeure, le blond en prononce les mots sur un ton de confidence, sans que cela en soit réellement une. C'était là un bâtiment autrefois trouvé en ruine et toujours en travaux pour en faire un lieu de haute vie, digne de la grandeur princière. Un « manoir » comme il l'aimait à le nommer, possédant plusieurs hectares de terrain pour appuyer sa dominance dans cette ville et dont seule une clôture en délimita les frontières. Un petit chemin de terre menait jusqu'à l'entrée, salissant pour tout autre que notre héros... rien ne saurait salir un Prince.
À ses cotés, une blonde. Aigneas Wolback-Carran de son nom complet. Mais pour l'histoire, et en cogérance avec la décision princière, il en sera raccourci en simple « Wolback ». Wolback donc, se situait a ses coté. Fruit d'une rencontre causée par le hasard passé, s'en trouvait en cette situation par une promesse faites. Une promesse de partage, avec un but inavoué de lenivrer jusqu'à atteindre un point de non-retour... la version drôle de la blonde.
En pénétrant enfin dans ce riche bâtiment, Gildwen reprit directement ses habitudes, réflexes dantan, en se mettant a ses aises. Pourtant, nuls serviteurs ne vint à sa rencontre pour l'aider à le déshabiller de son mantel de fourrure. « Prenez place. Et surtout, ne touchez à rien. » Laissant ainsi la blonde compagne, il put s'en rendre librement dans les couloirs en quêtes d'un valet quelconque. « Hey !!! » Le cri fut lancé, ne connaissant aucun des noms. « Oh !! Quelqu'un !! » La recherche en fut bien vaine et d'un murmure, le blond finit par s'en rendre compte. « Il faut tout faire soi-même ici. ».
La cave, seul lieu sans que travaux ne soit débuté, fut toujours aussi belle que lorsqu'il l'avait quitté. Là, était exposé de grand fut de bière, de vin, et ses bouteilles de breuvage politains, celui qui était le plus précieux de tout. C'est pour cela qu'elle était venue. Retournant à la rencontre de Wolback, il put en annoncer clairement. « Voici la fameuse Prunevampi. [3] »
------------------------
1. Pour la précision nécessaire, il faut signifier que « homme » est ici à prendre sous son sens « humains ». La majuscule n'étant pas bien belle. Rappelons, pour l'exemple, que les promesses de Calyce, une femme, n'ont jamais été tenues bien que les conditions en furent accomplies.
2. Les événements vaguement mentionnés, sont détaillés dans le célèbre « La vie du Prince de Brocéliande, Tome 4 : De sa vie en Duché d'Anjou ». Les chapitres X, XIII, XVI, XXVII et XXXII en traite du sujet pour l'essentiel. D'autres éléments sont également disponibles dans d'autres chapitres des livres de la même série.
3. Breuvage de création bretonne et Brocéliande. La recette inconnue en reste inconnue encore à ce jour. Son histoire est détaillée dans le célèbre « L'héritage de la dynastie des Brocéliande »
[Bonjour, Bonjour,
Merci de baliser votre topic comme cela est stipulé dans les règles d'or du coin des aRPenteurs.
Bon jeu, Bon RP,
Modo Mahelya]
_________________
- PRINCE DE BRETAGNE - VICOMTE DE LOYAT - SEIGNEUR DE MONDEBAT -
- GRAND SAUVEUR DE CRAON -