[RP]Parrain, par deux, Pardiac !

Michalak était un peu inquiet car beaucoup de monde lui était inconnu. et il se sentait pas vraiment à sa place puisqu'il n'avait un somptueux costume mais simplement un habit qui le rendait propre sur lui.

Michalak s'adressa à Riwenn je vais sans doute aller me présenter à chacun surtout ceux que je ne connais pas encore. La famille est tellement grande que je peine à connaitre tout le monde malgré avoir vu et lu l'arbre généalogique.


Michalak prit congé du Duc Riwenn pour aller se présenter aux autres.

Il alla salué en 1er les deux Dames qu'il connaissait bien Melyna et Valéryane.

Comment allez vous Melyna et Valéryane?

Tout ce passe bien à la mairie de Auch Valéryane ?

Une de vous deux peu m'aider à me dire qui sont les personnes qui sont là je ne connais que vous et Riwenn.....

Michalak était bien embêté.

Même s'il ne daignait pas quitter des yeux le chef de famille, il pouvait deviner – grâce à son large champ de vision – ce que faisait sa femme. En l'occurrence, ici, elle ne fixait plus son frère mais le fixait plutôt. Il devinait le sourire de la rousse mais il ne savait pas si c'était l'un de ses sourires narquois ou bien admiratifs, voir un tout autre sourire. Même si le fait de ne pas savoir le titillait un peu, il se résolu à se contenter de l'essentiel : la bonne humeur de sa femme. Mais ce n'était sans compter la réponse de Riwenn qui décrocha un large sourire à Orandin face à tant de flatterie.

« Gare à la flatterie, Votre Grandeur : trop de sucre gâte les dents, répondit-il après que sa femme ne soit à son tour flattée. Et d'ajouter ensuite : Il serait regrettable d'altérer de la sorte la magnificence de Votre Grandeur. »
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Riwenn, étonnement, ne comptait pas les compliments en ce soir de fête. Et la rousse de sentir ses joues chauffer et déjà elle voyait dans sa tête ses taches de rousseur ressortir fortement. Elle ne put sortir autre mot qu'un simple...

Mercé !

La rousse sourit ensuite en les écoutant converser. Une fois leur conversation terminée, Eldara demanda à son frère.

Alors, mé frair, en quel honneur fais-tu cette piccolo feste ? Encor' uno mariage à venir ? Tu te souviens du coup qu'ils nos avaient fait ?

Un léger rire vint égayer son visage, loin de se douter de ce qui allait se passer pour elle en ce soir... Doucement, elle prit de nouveau le bras d'Orandin, comme pour s'y tenir, alourdie par cet enfant qui, pourtant, ne se voyait pas encore sur le ventre de la Rousse.
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Riwenn: tu sais qu'une fois la couronne portée, il en faudra trouver une pour ton fiancé afin que des épousailles puissent avoir lieu ?

Oui, depuis l'autre coup ou tu me l'a dis, mais ne t'inquiète pas on va s'en occuper bien que j'ai pas encore eu d'idée pertinente à ce sujet, j'suis sure que ça viendra.

Mélinda lui sourit puis reconnu la voix de Bella qui venait d'arriver accompagnée de Sylvain.

Oh Bella, Sylvain je suis contente que vous aillez pu venir, vous avez fait bonne route?
Je vous présente sa Grasce Riwenn de Castel Vilar de la Duranxie, c'est lui qui organise tout ça.
Riwenn voici le Baron Sylvain Desbois et sa compagne Bella Baldéras de Villaréal, ce sont des amis que j'ai rencontré dans le Lyonnais Dauphiné.
Bella est également très intéressée par la diplomatie et j'essaye de lui apprendre quelques tuyaux.


Mélinda leur sourit.

Je vous présenterais bien tout le monde mais je suis pas sûre de connaitre grand monde et même ceux que je reconnais comme par exemple le sire Orandin juste là en lui adressant un petit sourire je suis pas certaine qu'ils se souviennent de moi car ça date tellement.
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Emylye avait longtemps hésité avant de venir, ne se sentant pas à sa place parmi ces personnes importantes de la noblesse. Neanmoins par amitié et respect envers sa grandeur Riwenn, elle arriva à petit pas.
Elle chercha du regard un visage familier puis se présenta

Bonsoir, je suis Emylye ...


Ne sachant pas pourquoi plus aucun mot de sorti de sa bouche. Elle n'avait pas l'habitude de sortir et de cotoyer tant de monde. Elle reussi toutefois à dire:

... désolée pour le retard

Puis se fit toute petite en attendant la ceremonie

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Héraldique européenne

Elle avait reçu un parchemin comme tout l'armagnac voir même plus loin ... c'etait bien le genre de pay d'invité tout le royaume tiens .....

Elle avait déposé les jumeaux chez le prince .. ben vi il paraissait dur et méchant comme ça mais c'était une vrai mère poule celui la ce qui l'arrangeait bien vu qu'elle était seule a s'occupé des deux monstres aux têtes d'ange ... bref elle avait donc reçu "the parchemin " s'était occupée de ses grumeaux fait attelé ses beaux chevaux a la carette et op la voila partit pour la cérémonie mais ... car il y a toujours un mais .. elle ne savait absolument pas qu'elle route prendre et son cocher avait pas l'air plus sur qu'elle ... c'est donc avec un paquet d'heure de plus que l'horaire prévu qu'elle arriva enfin a Pardiac !

N'attendant pas que l'homme sans sens de l’orientation lui ouvre la porte au risque que cela prenne deux heures de plus elle sauta de la carriole et partit d'un pas empressée vers le domaine .

Elle entra avec sa fanfare ben oui ils la suivent partout sont en manque surement .... et fit donc une entré triomphale comme toujours ... enfin c'etait pas elle .. mais bon elle se devait de faire perpétué cette foutue tradition .

Musique joué a fond par l'orchestre et l'ange avance avec un pas légèrement étrange vers son pay passant devant tout le monde et op une tendre bise a son pay .

Tan tan tadam me voila !!

Un leger regard autour d'elle ... hum elle ne connait personne ou presque ... heureusement que le ridicule ne tue pas .....


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Elle était en retard… Tic Tac… toujours en retard… Tic Tac. Voilà une course contre le temps en bonne et due forme, le premier destrier avait été réquisitionné et s'était vu affligée d'une claque d'un plat de main magistrale, c'était ça ou le fouet -pauvre bête-. Assise bien droite à la danseuse qu'elle était, avait chevauché toute la nuit. Le parchemin d'invitation s'était perdu dans les méandres du voyage mais son père savait veiller au grain et rappeler leurs devoirs à ses ouailles.

C'est ainsi qu'elle débarqua, une mèche bouclée barrant son œil droit, des lèvres pâles en deuil de carmin, la beauté froide d'une statue. Le mantel de fourrure avait été resserré un peu plus à la taille la rendant encore plus frêle que ce qu'elle paraissait déjà. Passage circulaire des iris céruléens et aucun visage connus… ça commençait bien. C'est ainsi qu'elle se sentait comme le cheveu sur la soupe…

La monture confiée au premier qui passait et l'entrée discrète. Elle ne sait ni comment ni pourquoi et sa chausse se mit à battre la mesure de la musique jouée. Une aubaine pour elle de venir entrer sans que personne ne voit… Elle profita donc de l'entrée en fanfare de la femme qui la précédait et en quelques pas chassés atterrir dans un coin par là… mais si par ici… Bref, là où vous allez pas regarder. Inclinaison gracieuse direction son père et un petit sourire étirant les lippes recolorées. Quelques boucles soigneusement rangées derrière les oreilles.

Elle ne parla pas… elle ne parlait que très peu et certains même la croyaient muette. Adossée contre un mur de pierres froides elle demeurait telle une ombre en attendant que tout commence.
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Invité par Melinda, le maire de Valence marchait fièrement aux cotés de Bella. Il était peu habitué aux mondanités de haut rang malgré son titre, mais il savait se tenir, et veillait à se montrer digne de sa famille. Enfin Bella et lui trouvèrent Melinda et la saluèrent.

Ravi de vous revoir Mélinda, nous avons fait un excellent voyage et l'accueil en ce lieu est excellent.

Sylvain s'inclina et, prenant la main de sa belle, l'entraina à travers la salle, cherchant en vain un visage connu.

Et bien ma douce, nul doute que ma mère nommerait la moitié des personnes présentes sans sourciller, mais je me sens pour ma part bien ignorant!
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Quand fallait y aller fallait y aller comme on dit! Tanpis elle était surement en retard, mais là elle battait les records et même ceux de sa jumelle!
Qu'importe! Elle avait été invitée elle se devait de faire honneur à l'invitation. Elle prit son billet en main et, bien sur ceux qui la connaissent savaient qu'elle ronchonnerait tout en y allant. En plus c'était pas faute que sa soeur lui avait dit de partir en même temps qu'elle mais elle pensait esquiver sa présence . Et bien c'était loupé!!

Bref elle arriva et présenta son billet pour qu'on la laisse entrer. Elle plissa le nez en voyant plein de monde et chercha des yeux sa jumelle!
Elle aperçut Riri un peu plus loin et fit un petit sourire, Val qu'elle alla faire une bise puis continua de marcher en balayant la salle des yeux.

Puis un sourire se dessina sur ses lèvres se souvenant qu'on pouvait y manger et se dirigea vers la longue table où divers mets et diverses boissons étaient offerts aux invités et assurément sa soeur. Elle la longea en cherchant une chevelure blonde qu'elle ne tarda pas à remarquer évidemment.

- Aaaaah! Enfin je te trouve j'aurais même dû commencer par ici au lieu de chercher parmi les personnes dans la salle.

Elle chipa des mains de sa jumelle un petit four prit en cachette qu'elle s'apprêtait à mettre en bouche et le dégusta en riant doucement voyant la tête qu'elle faisait.
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Elle allait répondre que la frangine viendrait surement, qu'elle avait la tête un peu ailleurs depuis qu'elle avait trouver un homme pour la supporter aussi !! Mais telle une carpe elle ouvrit et ferma la bouche. Elle n'avait pas eu le temps de répondre avant que Val n'arrive avec son éternelle tournée de bises ! Et c'est non sans grommeler qu'elle lui en fit une en retour. Quoi ? L'aime pas trop ces histoires de je te bise par-ci je te bise par-là !

'Jour Valeryane.

Un sourire a cette femme volcanique avant de chuchoter pour qu'elle seule puisse entendre.

C'est la première fois que j'assiste à ce genre de chose, ce n'est pas ennuyeux n'est-ce pas ?

Elle entendit Riwenn parlait de harem et elle se mordit la lèvre préférant ne pas lui sortir une de ses habituelles plaisanteries . T'façon il ne l'aurait sans doute pas entendu avec le type qui venait d'arriver. Nouveau murmure pour Val. Bien quoi fallait bien satisfaire sa curiosité après tout ! Dis-moi Val est-ce que tu.... Erf zut pas le temps de poser la question que Michalak arriva à son tour. Elle en profita donc pour s'éclipser. D'où le fait qu'on la voyait maintenant déambuler dans l'immense salle ! Elle connaissait bien quelques visages mais tous étaient en grande discutions alors pour une fois elle n'allait certainement pas jouer la fille malpolie et grossière. Pour une fois elle se tiendrait bien, ou du moins elle essaierait !

Son regard fit le tour de la salle, il y avait de tous, des gens qui se faisaient discrets, d'autres pas du tout ! Certains avaient un accent tellement prononcé qu'il lui était difficile de comprendre ce que la personne disait. Alors qu'avec d'autre il ne lui était pas difficile de lire sur leurs lèvres ! Des couples des … Pas en couple ! Des robes, tellement de jolies robes.

Comme par magie, allez savoir pourquoi elle se retrouva finalement devant le buffet ! Un regard en arrière. Repérer Riri ne fut pas difficile hein ! Le Duc prenait la direction d'un siège carrément imposant se trouvant au bout de la salle.
Tous avaient le regard tourné dans sa direction et sans savoir comment un des mets se retrouva dans ses mains.

Pas longtemps, elle hésitait entre le reposer, ni vu ni connu, ou alors le fourrer dans sa bouche. Mais sa frangine arriva pour le lui arracher des mains, enfin presque ce qui la fit sursauter. Et c'est les yeux ronds comme des billes et la bouche grande ouverte qu'elle fit face à sa sœur jumelle. Quoi ? Elle ne s'y attendait pas ! Alors la tronche bizarre c'est normale.

Bordel Clem tu m'as foutu une de ses frousses !! Ne r'fais jamais ça !! Puis t'façon j'ai atterri ici par hasard d'jà ! Je faisais le tour alors fallait bien arriver ici à un moment donner hein !

Elle regarde sa frangine bouffer la pâtisserie salée en marmonnant. Elle ne faisait même pas semblant de croire a son excuse bidon !! Et c'est avec un profond soupire qu'elle passa son bras sous celui de sa soeur pour l’entraîner vers le groupe qui s'était formé à quelques pas du maître des lieux.
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