[RP]Parrain, par deux, Pardiac !

Et voilà que le regard de la Dame « n'a qu'un œil » ainsi que celui de la jeune blonde se croisèrent, avant que la première ne s'avance.
Un léger sourire de la blonde, qui se demandait encore ce que le vieux Riwenn lui avait réservé.
Quand elle le sût elle en resta comme deux ronds de flanc, Les yeux écarquillés et ronds comme des billes, la bouche grande ouverte. Oui elle avait l'air complètement abruti comme ça non ? Bref elle était encore plus ahurie qu'il y a quelques minutes !!
Et après la Baronne disait « le Comte Riwenn ici présent n'est point atteint de sénilité » ? Là, il y avait de quoi se poser de sérieuses questions !!

Bref on venait de lui proposer des terres, à elle.

Elle toussote, fallait bien effacer cet air débile qu'elle avait sur le visage depuis quelques secondes déjà. Même si elle se demandait pourquoi, elle n'irait pas jusqu'à poser la question devant tout ce beau monde. Elle n'était pas certaine de mériter ce... genre de chose. Un regard sur sa frangine toujours aussi muette !
Hop de retour sur la femme borgne puis sur Riwenn...

- C'est obligatoire de euh... S'agenouiller ?

Froncement de nez, oui parce que d'un ce mot elle ne l'aimait pas, de deux se foutre à genoux encore moins. En voyant leurs trognes, oui c'té obligatoire, alors soit... Une fois n'est pas coutume dit-on !
Et doucement, trèèèèès mais alors vraiment très lentement elle vient poser genoux à terre.

Euh... que devait-elle dire déjà ? Elle pouvait encore refuser, mais elle ne voulait pas non plus décevoir le vieux Comte qu'elle adorait non plus.

- Bien, je ne suis pas certaine que mes conseils seront de très bonne qualité. Quoi de plus normal elle avait une façon de penser assez...étrange parfois. Bon ça le Riri le savait d'jà.
- Pour ce qui est de l'Aide militaire, si vous acceptez les p'tits bras comme moi alors aucun souci. Oui parce qu'en dehors du bâton je ne sais pas manier une lame, j'apprends à peine a me servir de cette dague offerte un mois plus tôt par le paternel et je suis loin d'avoir les bras de ma frangine. Non pas que la sœur soit une armoire à glace hein !!
- Pour la fidélité aucun problème là-dessus vous vous en doutez bien !
Donc si malgrès tout ça vous ne changez pas d'avis alors Comte de Pardiac je vous jure con...silium, auxilium et ob...sequium lorsque vous le demanderez. Et sans rechigner en plus je le promet !

Oui puis elle bute sur les mots oui elle n'a pas l'habitude de parler en langue « Umite » !
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Haussement d'un sourcil grisâtre du vieil homme. Quoi ? Ses idées ne lui plaisaient pas ? Apparemment non , voilà qu'il secouait la tête !
Pfff les anciens et leur humour à deux deniers, tu parles, il ne comprennent jamais rien à l'humour des jeunes en fait ! Bref elle le regardait légèrement amusée, un sourire au coin des lèvres lui faisant comprendre qu'elle se retenait de lui dire ce qui lui trottait dans la tête. Peut-être que ça ne lui plaira pas ! Ou au contraire, t'façon il trouverait de quoi répliquer, elle en rajouterait une couche, il suivrait et ainsi de suite et ça pourrait durer un bout de temps hein !

A son tour de lever un sourcil. C'té quoi cette histoire sur les grandes portes tout ça ?
Il devait perdre la boule, non il avait définitivement perdu la boule, c'était indéniable ! Quoi de plus surprenant avec son âge !
Tiens ben voilà qu'il sourit maintenant , c'était quoi se sourire bizarre hein ? Est-ce qu'il allait la faire attendre encore longtemps dites ? Sans doute c'était tout à fait le genre du Comte Riwenn.

Ah ben voilà qui était pire encore, il préférait refiler la tâche a quelqu'un d'autre tout ça parce qu'il aimait la faire attendre, elle retient dans bien que mal un grognement de frustration.
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- Certain ? Ce ne sont pas des petites bêtes qui vont me sauter au visage au moins ?

Questions complètement bêtes avouez-le parce qu'elle sentait bien que ces choses qui se trouvaient posées dans ses mains étaient froides et ne bougaient pas. Elle ouvrit donc lentement les yeux,par précaution, pour regarder les deux clefs un peu perplexe.

- Des clefs ? Et que peuvent-elles o... Oh je sais vous avez caché un coffre quelque part et il me faut le trouver et l'ouvrir pour savoir !

Ouais non Lizée tu n'es pas ici pour jouer à la chasse aux trésors, ce n'est plus vraiment de ton âge. Quoi qu'avec le Castel Vilar fallait se méfier ! Puis tout à coup la lumière se fit, enfin plus ou moins elle est blonde je vous rappelle !

- Haaaaaaan nan je sais, ce sont les clefs du paradis en fait ! Dans votre cuisine il y a des trucs à consommer d'urgence mais il n'y avait plus de place sur votre immense table alors vous comptez sur moi pour m'en charger c'est ça ?

Oui bon au risque de le répéter Lizée est une grosse mangeuse. Que ce soit salé ou pas, elle était gourmande c'était comme cela et on y pouvait rien changer. D'ailleurs pour bien appuyer cette question son estomac émit un bruit assez étrange faisant comprendre que cette idée lui plaisait bien !

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Héraldique européenne

Gênant oui d'ailleurs elle le voyait arriver le Riwenn tout aussi bien il allait lui faire une remarque à la noix tient. Genre qu'elle aurait au moins pu essayer de « tenir » son estomac, de faire en sorte qu'il se taise, que ce n'était pas très élégant tout ça, tout ça ! Qu'est-ce qu'elle en avait à faire de l'élégance, elle qui, comme sa soeur, jurait comme un charretier ! Enfin pas toujours.
Puis elle avait bien essayé de le contenir en piochant discrétos sur la table hein pas de sa faute quand même si tout ceci avait l'air délicieux, sans oublier l'odeur alléchante... Et comme si cela n'était pas évident la Lizée aimait bien manger. Mais il aurait fallu bien plus que quelques petites bouchées pour faire taire ce maudit estomac. Et elle s'était retenu de s'envoyer la moitié du buffet il n'allait pas se plain...
La question posée par Riwenn vient interrompre ses pensées. Question qui la fit rire d'ailleurs.

- Cela n'arrivera pas, parce que le pauvre ne s'en remettrait jamais et vous le savez très bien !

Allez savoir si oui ou non elle plaisantait, il n'y avait que les personnes s'étant risquées à la connaître qui pouvait le savoir ! Plus sérieusement ? Soit. C'est vrai elles allaient partir, ce qui attristait un peu la blondine étant donné qu'elle adorait Auch... Mais que voulez-vous c'était ainsi, puis ce n'était pas en restant à Auch qu'elle aurait son navire et tout le tralala !



Haaaaaan comment pouvait-il dire ça ?! Il avait menacé de la harceler si elle ne venait pas ! Autrement elle avait été dans l'obligation de venir, pas qu'elle n'ait pas suffisamment de verve pour le cas où on la harcèlerait, ça non, mais elle avait toujours eu un peu de mal à dire non à ce vieillard de Comte !!!
Voilà qu'elle hausse un sourcil.

- Un cadeau ? À nous ? À moi ? Plissement de nez. Elle aimait les surprises mais aimait bien savoir qu'il lui en attendait une. Un regard étonné sur sa frangine avant de le reporter sur Riwen. Euh... De quoi s'agit-il ? De macarons ? Une robe ? Une nouvelle paire de bottes ? Un bon pour aller chez le coiffeur ?
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La blondinette était toujours là oui oui oui, elle ne disait mot voilà tout. Étonnant ? Pas tant que cela non. AU départ elle ne comprenait pas trop ce que signifiaient certains mots, comme auxilium ainsi que les autres trucs finissants par « um » c'était quoi ? La langue Umite ?
Non elle savait bien que c'était du latin mais elle n'apprit leurs traductions qu'au moment où le blondinet fit a son tour cette promesse de machin finissant en « um ».
Oui vous l'aurez tous compris cela faisait référence au filleul de Riwenn ! Merci à lui elle se coucherait moins bête pour sûr.

Elle avait bien vu, surtout entendu, tout le monde pouvait entendre que l'ancien perdait la boule. Dans un premier temps il voyait son filleul en double, l'instant d'après, à l'entendre, il devait voir une femme à la place du breton. Ce qui la fit légèrement sourire, les joues du vieil homme avaient légèrement rosi aussi.
Mais le maitre des lieux eut l'air d'aller on ne peu mieux après le serment du Brocéliande.
Au Héraut d'entrer une nouvelle fois en scène. Mais à peine eut-elle fini que le Riri appelait quelqu'un d'autre !

Durant les quelques secondes que mit la dite Mélinda à s'approcher, notre jeune Lizée, elle, était retourner piocher sur le buffet abandonnant ainsi sa sœur et Titoan quelques instants.
Cela ne l'empêchait pas d'écouter, elle manqua d'ailleurs de s'étouffer en entendant les derniers mots du patriarche de la famille La Duranxie.



Gnééééé ? L'était-il pas d'jà marié ? À l'évidence cela n 'allait pas mieux ! À moins que le Castel Vilar n'ai décidé de faire dans la polygamie ? Elle savait que malgré son âge il était plein d'énergie mais de là à arriver à satisfaire deux femmes... Il allait se tuer à la tâche c'est sûr !
Il y avait de quoi se poser la question, après tout il n'avait pas demandé à la rousse tantôt si elle voulait être sa femme hmmmm. Enfin bref elle survécut tant bien que mal à ce met avalé de travers et fini par rejoindre la frangine au moment où la couronne venait se poser sur la tête de la dénommée Mélinda.

- Ah voilà qu'il se lève de son trône c'est que ce doit être fini on va pouvoir aller manger !!

Elle chuchotait ça pour sa sœur jumelle et pour Titoan qui n'avait pas bougé de place depuis son arrivée, d'ailleurs il se tenait étonnamment tranquille.
Elle suivit le Comte des yeux remarquant qu'il tenait quelque chose derrière son dos mais elle n'y prêta pas plus attention, fallait dire que son estomac avait décidé de recommencer à brailler.
Bref elle n'avait pas trop fait attention jusqu'à ce que le Riri reprenne la parole. Et la blonde, comme tous les autres regardait la scène.
Au final c'est à nouveau son estomac que l'on entendit ce qui la fit marmonner et pas de façon discrète non ! C'est que cela commençait a être gênant à la fin !
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Stoïque... rester stoïque... ne rien montrer... rester impassible, de marbre, figée, gelée, Montjoitisée, reine des glaces.

Alors elle resta stoïque, ne montra rien, resta impassible, de marbre, figée, gelée, telle Montjoie, reine des glaces.

Elle tendit l'oreille cependant, mais ne bougea pas d'un poil, fallait pas déconner non plus hein!

Bref, elle entendit ce qu'elle voulait, elle pouvait donc passer rapidement à la suite, pour en finir le plus tôt possible.
Ah elle s'en souviendrait longtemps de cette cérémonie là!

Allez, encore un petit coup, au cas où l'assistance n'aurait pas compris:

J'entends bien les serments ce jour échangés et dont je suis témoin.
Dame Emylye, dorénavant Dame de Beaumarchez, par ce contreseing et ce blasonnement vous êtes officiellement reconnue par le titre sus-cité. Puissiez vous faire honneur à la Noblesse en général et à votre Suzerain en particulier.

Portez ostensiblement vos couleurs et veillez au Vivre Noblement. Gagez que j'y veillerai personnellement!

Je reste à votre disposition pour toute question et pour l'établissement de votre blason personnel complet si vous le souhaitez - même si elle en doutait fort, étrangement, les blasons des vassaux de Riwenn ne passaient jamais sous ses yeux et n'étaient jamais validés, du moins pas par elle, allez savoir pourquoi....

En attendant, voici le document attestant de votre nouvelle condition, toutes mes félicitations à vous.

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Elle sentit quelque chose sur sa tête, puis se releva tout doucement. Quelle fut son étonnement de voir une couronne posée là sur sa tête à elle

Riwenn, si je puis me permettre, je... ses mots avaient beaucoup de mal à sortir de sa bouche mais essaya tout de même de continuer ne comprends pas pourquoi vous me faites cet honneur? Je vous en remercie, et vous promets donc consilium, auxilium et obsequium, ce sera un privilege que d'etre votre vassale.
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"Le courage, c'est de supporter sans fléchir les épreuves physiques et morales, que prodige la vie."

Emylye sentie tout le suite le regard du Coms se poser sur elle, et se mis aussitot à rougir comme une tomate pis dis un peu géné il est vrai et lui chuchota

Ah, je n'avais pas remarqué Elle retira tout doucement ce qui trainait sous le talon de sa chaussure. Elle sentit tout à coup tous les regards se poser sur elle, et était vraiment génée et esquissa un sourire crispé. Elle parti sur autre chose:

C'était une bien belle ceremonie, je suis désolée de n'avoir dit grand chose mais vous savez que j'aime me faire discrete.
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"Le courage, c'est de supporter sans fléchir les épreuves physiques et morales, que prodige la vie."

Voilà ça y est elle était dame. Du moins elle était dame en CDD... En quoi? peut importe.

C'est pour moi un honneur, je saurais me souvenir de ce que j'ai jurée et tâcherais de toujours faire honneur à la noblesse si bien par mes dires que par mes agissements.



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Héraldique européenne

Mélinda écoutait attentivement les mots de Riwenn, non sans remarquer que celui-ci peinait à la regarder, il est une chose bien triste de perdre la vue de façon aussi flagrante Elle n'en serait que rassurée si elle savait d'ou venait réellement ces troubles de la vue.

Quand à elle ça n'étais pas par trouble de la vue qu'elle n'eu pas aperçu sa mère qui venait d'entrer mais bien parce que celle-ci se trouvait alors dans son dos, sa joie n'en sera que plus grande en se retournant de reconnaître un visage si familier.

Mélinda écoutais maintenant les mots de Riwenn, souriante lorsque celui-ci énuméra brièvement son penchant pour la diplomatie.

Oui... mes grandes heures au sein de la chancellerie, et j'espère qu'il y en aura d'autres par le futur, peut être ou peut être pas en Gascogne mais il est sur que j'aspire encore à me mettre au service d'une province qui envisagera les conflits autrement que par un bain de sang.

Quoi qu'il en soit cette confiance est pour moi un grand honneur et c'est évidement sans hésiter que j'accepte de devenir votre femme et promet auxilium consilium et obsequium.

Petit regard vers Savaric son compagnon qui manque de s’étouffer avec son verre de vin en entendant cela. Mélinda retint son rire comme elle pu.

Retour au sérieux.

Je n'oublie pas la confiance qui m'a été accordée icelieu. Je ferai tout pour que vous ne le regrettiez pas, sachez que vous pouvez compter, et ce peut importe la situation sur moi, mes mots et mes armes.

Mélinda lui sourit cette fois-ci de façon un peu moins solennelle, emplit de cette lueur qui lui est parfois associée, ce sourire sincère qui ne cache rien d'autre qu'une profonde amitié.
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Héraldique européenne

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Val était souvent surprise quand elle découvrait un autre membre
de la graaaaaande famille Duranxie, elle ne connaissait que la moitié et cela n'allait pas du tout ça nomeho! m'enfin il y a bien un moyen de heu répertorier tout ce monde.
Elle lâcha un petit grognement d'insatisfaction ce jeune homme qui était un filleule à Riri son frère c'était le fils de qui alors? Elle était sa tante ? ou pas ?

La bouche volcan se tordit les sourcils se froncèrent comme pour montrer
son mécontentement, oh pas des choix des cérémonies ni autre Val n'était pas une envieuse sinon elle serait déjà duchesse,de toute façon
elle était la future épouse de l'homme le plus riche du royaume alors les titres tsst! Elle était tout simplement mécontente de ne pas connaître je jolie blondinet.
Qu'elle détailla dans la moindre couture normale pour une maître couturière l'oeil et le détaille.

La mère volcan lança un regard vers mini volcan qui comme à son habitude détestait rester assise, si on écoutait bien plus prés de la mini on pourrait entendre de léger grognement tout le portrait craché de sa mère cette petite. Soupire, souire et regard qui se perd dans la cérémonie c'est beau quand même une grande famille.

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« Parrain, nous jurons de veiller et entretenir au mieux les biens et gens des terres que vous nous confiez. D'en prendre soin et de les faire prospérer comme s'ils étaient nôtres. » Le ton se fit plus solennel. La voix encore travestie par ce chagrin d'une mère disparue, se révéla au fil des mots prononces plus naturelle. Celle d'un jeune homme de seize années, se forçant à parler pour que chacun puisse l'entendre, et travaillant activement pour que ses aiguë se fasse le plus rare possible. Il savait qu'il en pécherait là en crédibilité.

Le genoux tente une nouvelle fois. Il fléchit, mais ne plie pas. Une grimace feinte anime le visage du Prince, servant une nouvelle fois en excuse à cette rupture de la cérémonie classique. Personne n'en est dupe, mais le prétexte est ainsi trouvé et dévoilé, il peut continuer. « Pardiac, nous jurons de vous apporter auxilium, par l'aide financière, militaire mais également toute celle qui nous serait demandée ; concilium, vous faisant profiter de la réflexion de notre esprit princier, dans vos questions anodines, politique ou au sein de votre cour de justice ; obsequium jurant logiquement fidélité et obéissance, base de cette relation nouvelle et bien que cela vous soit déjà acquis. » Un légers sourire, simplement, fit son apparition en conclusion. Un regard complice, voulant ainsi remercier de l'honneur fait, alors que rien ne l'y en obligeait. Beaucoup d'autres, en même position, n'en aurait pas fait le début du commencement d'un centième.
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Héraldique européenne

Juste à temps avait-il dit ? Forcément, c'est Brocéliande qui fixe le temps. La diplomatie ne lui permit cependant pas de relever ce bref détails dénué de toute forme d'importance, aussi minime puisse-t-elle être. Le blond Prince se contenta d'un sourire bien amical, trop ravi de revoir son parrain aussi bien accompagné, bien que de cette compagnie, il n'en connaisse aucun nom et aucun visage. A la vue des regards portés par certains de ces invités, il n’était visiblement pas le seul noyé dans l'inconnu. Ses tentatives d'observer par trois cent soixante degrés, permit par une rotation sur lui-même, n'en changèrent rien. A sa décharge, sa taille légèrement plus basse que la moyenne, le privait d'une demi tête l'obtention d'une vision parfaite se posant supérieur aux nombreuses personnes présentes et qui aurait bien été efficace pour ce type de recherche.

Bruit. Les mots s’échangent. Les belles phrases, les bons mots. L’ouïe fine du Prince permet d'en déceler bon nombre et recomposer les discussions. Puis, le silence. Plus solennelle, les choses sérieuses débutes. Le genoux roux a bien du mal à se poser à terre, mais il finit par s'y coller. Les mots, plus officiels. Le baiser, mignon contact de lèvres sur un front roux qui valut le mérite d'arracher un sourire sur le visage de Gildwen, s'amusant secrètement de la scène.

« Gil, si tu veux bien t'approcher. » L'ouïe fait son travail. « C'est mon tour ! » Et le cerveau fait le sien.

« Gil », diminutif de Gildwen Thegen de Brocéliande, tout comme pouvait l'être « Gildy », plus employé dans les régions vigneronnes de l'Anjou. En plus d'être le filleul de Riwenn, il était également celui de l'ancienne reine de France. Un duo de choc pour l'épauler dans ce monde bien nouveau. Le blond ne compte en effet, à l'heure de cette cérémonie, que seize années à son actif, il en est donc encore bien assez jeune. Pourtant, plus qu'être filleul, il en est également Prince et Seigneur en Bretagne, et enchaîna les fonctions en Anjou avant les temps sombre de la Guerre Inutile.

Au couleurs des Brocéliande, de vert et d'or, dans ses vêtements les plus beaux et plus princiers qu'il ait pu trouver, le jeune homme fit son avancée. L’obéissance du filleul n'a pas a être testé. Sortant de la bien faible masse composée par les présents, il fait son apparition face à son parrain le duc et de quelques mots, s'annonce comme suit : « Nous voici parrain. »
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Avant d'attendre en regardant son poursuivant pour la suite des festivités.
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Héraldique européenne

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Héraldique européenne

Je vais prendre l'air tiens ... c'est étouffant ici .. une bête comme moi a besoin d'air et d'espace tu sais ....
- Teu teu teu.

Non, la Valdesti ne desserre pas la patte. Observez-la tandis qu’elle cherche à comprendre. Première étape : froncement de sourcils.

- Tu restes là. On ne te voit pas souvent. Tu n’es pas souvent enfermée à l’intérieur. Tu vas me faire le plaisir de rester. En plus, c’est la famille.

Mot sacré pour la bestiole. La Famille. On n’y touche pas, on se plie aux règles -le plus souvent- et on assiste à ses naissances, à ses mariages, à ses décès, ce qui est toujours une occasion de se réunir et de rencontrer les nouvelles têtes en demandant « mais vous êtes qui, vous ? » en faisant le salut en règle : chatouillage des antennes de l’autre.
Mais des fois, cette famille, elle est aussi prenante et envahissante. Comme les fourmis. Vous en tuez une, mais les autres suivent. Et font toujours la même tâche : vous pourrir la vie.
Ah si, la famille, ça peut être comme ça, aussi.
Revenons à nos deux bestioles. La Blonde ne lâche pas la Brune -l’action ne compte pas pour des prunes- et la regarde. Elle baisse seulement d’un ton, parce qu’en société, il ne faut pas parler fort. C’est la règle.

- Où comptais-tu aller ? Rejoindre quelqu’un ? ou… au contraire, souhaites-tu éviter quelqu’un qui se trouve ici ?

Le regard se tourne, les noisettes cherchent. Elles s’arrêtent un instant sur le Abri qui se faufile de son mieux. Elle ira les saluer après avoir répondu à ces deux questions : qui donc Ange voudrait-elle éviter ? Qu’est-ce qui bouffe une bestiole comme ça ?

Suite au prochain épisode.
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«Au fond, je suis sûr que ça la fait craquer. »

Jusque là elle avait suivi mais après.... Que venez donc foutre dans cette discution les maçons et leur construction banale ? Et la forme des barriques ? Un instant elle le regardait complètement hébétée en se demandant s'il ne déraillait pas un peu le CV !

« ...fort et réconfortant est toujours rond. »

Aaaaaah tout ça pour dire ça ? Eh bien s'il continuait dans cette voie le Titoan allait avoir la gorge sèche ! Et que le barrique soit rond carré, triangulaire ou de forme extravagante il en boirait le contenu.

- Je me fou de la forme d'un barrique ce qui est intéressant c'est ce qui se trouve à l'intérieur !

Et cela était valable pour tout, du moins de son avis. S'il fallait toujours se fier aux apparences il y aurait certainement bien plus de personnes qui la détesterait qu'à l'heure actuelle !
Petit sourire amusé de la part de la blondinette en l'entendant parler d'accident.

- J'adore les spectacles, de tous les genres ! J'aime bien commenter aussi ! Qui sait peut être que d'autres personnes ici sont dans mon cas ! Et peut être que vous dandiner à la vue de tous avec votre euuuuuh... Hémisphère Sud à l'air serait un spectacle amusant !

Ou pas sans doute que certaines de ces dames s'évanouiraient ! M'enfin dans la famille de Riwenn les femmes avaient du cran donc au pire elles feraient une grimace !!

Elle désigna la partie inférieure du visage de Titoan.

- Surtout si vous ne vous essuyez pas ! C'pas très élégant ! Déjà que le ventre ça le fait moyen...

Un petit rire lui échappa alors que sa main plongeait une nouvelle fois en directions des mets Lizée leva les yeux au ciel en entendant l'homme à la « petite » bedaine !
Il essayait encore de caser ses frangins avec elles ? Autant dire qu'il n'était pas près d'y arriver ! La réponse c'est sa sœur qui la donna une chance parce qu'elle avait a nouveau la bouche pleine !!
Et hop nouveau toast dans la bouche de Titoan ce qui la fit sourire, Il allait finir gavé comme un canard si cela continuait !!

Et la voix de Riwenn se fit entendre une nouvelle fois et la jeune femme laissa un moment les mets de coté pour se tourner en direction de la petite assemblée.

- Oh ça commence v'nez !!

L'une de ses mains se saisit de celle se sa soeur, l'autre du bras de Titan et les voilà tous les deux embarqués à sa suite qu'ils le veuillent ou non.
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Héraldique européenne

Clem qui était sans voix depuis un moment finit par pouffer de rire aux dires de Titoan qui venait de faire son apparition. Elle lui rendit sa bise naturellement. Enfin elle finit par tendre sa main vers le buffet et y prends une bouchée en les laissant parler tous les deux et en les écoutant jetant un oeil vers ce qui se passait plus loin jusqu'à ce que au moment où elle renfournait une bouchée elle manqua de s'étouffer aux paroles de Titoan.

- Hein? Quoi? nan mais ça va pas bien vous là ? Nous marier nous? C'te bonne blague!! HA HA HA HA C'mort hein pas question!! Pi c'est votre père qui nous a invitées on s'est pas faufilées en douce genre on est comme ça!!

Du coup la bouchée qu'elle venait de reprendre au lieu de la manger elle la fourra dans la bouche de Titoan l'empêchant de rétorquer.

-T'nez goûtez comme c'est bon ça vous empêchera de dire des sottises.
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Savaric avait accompagné Meliinda jusque dans les collines de Pardiac. Il avait pu apprécier, impressioné, la majesté du château et la rutilance des décorations. Introduits dans la salle de réception, sa Belle l'avait présenté à son futur suzerain, le com Riwenn. Après s'être profondément incliné, ils avaient rejoint Sylvain et Bellabs. Il ne restait plus à présent qu'à profiter de la belle cérémonie qui s'annonçait...
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Et voila elle avait salué son pay telle une sauterelle un saut pour atteindre la joue un autre pour le bisous et un autre pour s’écarter .
Elle avait fait ce qu'elle avait a faire , ben oui elle était venu mais elle ne connaissait personne pourtant .. c'était sa famille ... c'est ainsi ....

Telle une panthère elle se laissa glisser sans un bruit sans un mouvement plus vif qu'un autre doucement elle rejoignait la porte quand elle se fit accosté agrippé bisouillé par .....

Line !

Avec grâce et volupté bien sur elle rendit l’étreinte et son regard de biche accompagné d'un sourire hyenique ..... (amis oui vous savez bien cette sale tête qu'elle ont les hyène hein ? )elle continua sa route mais c'étais sans compter sur le cygne au sale caractère que ne l'entendait pas de cette oreille....

- Dis donc, où tu vas, comme ça ?

Je vais prendre l'air tiens ... c'est étouffant ici .. une bête comme moi a besoin d'air et d'espace tu sais ....

Non mais sans rire elle savait bien que sa line n'allait pas la laisser partir comme ça sans rien dire .....
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Et voilà, elles étaient là à regarder l'ancien couronne sur la tête, la Lizée toujours aussi fascinée par cet objet. Allez savoir pourquoi elle même ne le savait pas ! Mais un jour elle en aurait une, une petite, même une rikiki elle s'en foutait royalement du moment que cela n'en était pas une fausse. Sauf qu'avant cela elle avait un rêve bien plus important a réaliser une des raisons de leur départ une fois que cela serait terminé ici !

Eldara, si tu veux bien mettre un genou à terre, j'ai une chose trèèèès importante à te demander.

La voix du Duc la fit revenir sur la terre ferme et elle chercha du regard la rouquine a l'accent bien prononcé. Pas parce qu'elle était blonde qu'elle avait une mémoire de poissons rouge !
Bref il ne fallait compter sur son estomac pour rester discret. Alors que la rouquine s'avançait celui-ci emit un bruit si fort que la blondinette sentit le rouge lui monter aux joues.
Et comme si cela ne paraissait pas évident elle marmonna à l'intention de la frangine.

- Clémouille, j'crois qu'j'ai faim !!

Un regard en direction de la table et voilà que son estomac remet ça.

- Tu les entends pas ? Ils m'appellent ! Mange moi, mange moi mange moi qu'ils me disent !!!

Ni une ni deux elle entraina sa soeur jumelle en direction du buffet qu'elles avaient quitté à peine quelques minutes plus tôt. Cela ne se faisait pas ? Fallait attendre la fin de la cérémonie ? Son estomac n'attendrait pas lui, surtout que plus elle le ferait patienter plus les borborygmes se feront entendre !
Merci mais elle ne tenait a donner un concert tube digestifinal !

Elle ne perdit pas de temps à fourrer dans sa bouche un de ces délicieux machin a bouffer, qui attendait bien sagement qu'une personne bien intentionnée leur prête enfin attention !

- Hmmmmmm ché... Nouveau venu elle se colle une main devant la bouche cela lui évite de parler la bouche pleine ou pire de lui postillonner dessus on ne sait jamais ! Elle prit soin d'avaler cette bouchée avant de lui rendre sa bise et de lui répondre.

- Sauter les coutures ? Soyez pas jaloux si vous avez faim vous n'avez qu'à piocher !! Profitez-en avant que toute la clique ne rapplique !!

Elle prit un des trucs sur la table pour le coller dans la bouche de Titoan.
- Tenez goutez moi ça comme c'est déééélicieux ! Mais attention a pas faire péter les coutures de vos braies !

Elle le regarde de la tête aux pieds et elle reprit un léger sourire au coin des lèvres.

- Je parie que vous êtes du genre a faire attention à votre ligne vous !

Pour elle la vie était faite de plaisirs pas seulement de contraintes et d'interdictions, alors elle se faisait plaisir. Puis la ligne c'était fait pour aller à la pêche de toute façon !
Un regard derrière le Castel Vilar.

- Et votre Dame vous l'avez déjà perdu ?

Et le bonjour Lizée il est passé ou ? Allez savoir sans doute le mot c'est-il perdu entre le moment il est arrivée et le moment ou il a parlé de couture !
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Entre sa mère et Michou, Mely s'ennuyait ferme !
Et le plus drôle si l'on pouvait dire c'est qu'elle ne semblait pas la seule, un regard vers Blanche avait suffit pour lui faire comprendre qu'elle en pensait tout autant.

Les gens se succédaient et de banalités en sourires figés, le ballet n'avait pas de fin. Pendant que certains se faisaient discret d'autres dont c'étaient l'habitude monopolisaient l'attention et tonton qui au milieu de tout ça ressemblait à un coq en patte.

Coq en patte, pâté, la relation se fit immédiatement sous les boucles brunes et l'estomac de cette dernière commença à s'agiter. Un coup d'oeil vers le buffet, les valets étaient bien en place, mais une partie des invités s'étaient placés sur les starting block pour partir à l'assaut.

Mais jamais à court d'idée Mely zieuta du côté du couloir. Le plus gros du flot était passé et à l'invitation du fossile les gens commençaient à migrer vers le trône.

C'était le moment ou jamais. Reculant tout doucement, Mely pas après pas, se faufila vers la porte discrétos, puis tendit que tout les regards étaient tournés vers la sœur du tonton, tel un lapin, elle détala vers les cuisines.
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Comment aurait-elle réussi?
A en placer une...
C'était bien pour cela qu'elle avait une sainte horreur des mondanités, les gens se succédaient sans discontinuer et il n'y avait jamais moyen d'aligner deux mots sans interruption.

Dès qu'une question franchissait les lèvres de l'ancêtre couronné duc et comte, elle ne pouvait qu'entrouvrir les siennes sans qu'aucun son n'ai le temps d'en sortir.
Qu'à cela ne tienne, elle en pris son parti, elle se tairait pour le moment, et se vengerait plus tard.

Les invités se succédaient, totalement inconnu pour elle, mais elle n'en avait cure, elle n'était pas une invitée proprement dite.
Une employée? non ce n'était pas exacte, même pour le temps d'une cérémonie elle n'était l'employée de personne.
Une officiante dirons-nous.

L'arrivée de Melyna fut une bouffée d'air frais dans l'ambiance étouffante à son oeil.
"Tu peux d'ores et déjà m'appeler Tatie"aurait d'ailleurs pu être une répartie spirituelle, mais là encore, pas le temps de le placer, soit, une inclinaison de tête accompagnée d'un immense sourire à sa chevaucheuse répondirent à la promesse de s'occuper du vénérable.

Et le balai repris, pour son plus grand ennui...
Peu à peu, elle reculait, laissant Riwenn dans son rôle parfaitement maitrisé qu'il en devenait naturel, espérant qu'on passerait bientôt aux choses sérieuses.

Et enfin, le moment arriva, Riwenn s'installa sur son trône.
Elle gagna alors sa besace laissée dans un coin prêt du trône et revêtu son tabard et se saisi de ses caducées.
Elle laissa cependant à Riwenn le soin d'ouvrir le bal...
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Quand fallait y aller fallait y aller comme on dit! Tanpis elle était surement en retard, mais là elle battait les records et même ceux de sa jumelle!
Qu'importe! Elle avait été invitée elle se devait de faire honneur à l'invitation. Elle prit son billet en main et, bien sur ceux qui la connaissent savaient qu'elle ronchonnerait tout en y allant. En plus c'était pas faute que sa soeur lui avait dit de partir en même temps qu'elle mais elle pensait esquiver sa présence . Et bien c'était loupé!!

Bref elle arriva et présenta son billet pour qu'on la laisse entrer. Elle plissa le nez en voyant plein de monde et chercha des yeux sa jumelle!
Elle aperçut Riri un peu plus loin et fit un petit sourire, Val qu'elle alla faire une bise puis continua de marcher en balayant la salle des yeux.

Puis un sourire se dessina sur ses lèvres se souvenant qu'on pouvait y manger et se dirigea vers la longue table où divers mets et diverses boissons étaient offerts aux invités et assurément sa soeur. Elle la longea en cherchant une chevelure blonde qu'elle ne tarda pas à remarquer évidemment.

- Aaaaah! Enfin je te trouve j'aurais même dû commencer par ici au lieu de chercher parmi les personnes dans la salle.

Elle chipa des mains de sa jumelle un petit four prit en cachette qu'elle s'apprêtait à mettre en bouche et le dégusta en riant doucement voyant la tête qu'elle faisait.
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Elle avait reçu un parchemin comme tout l'armagnac voir même plus loin ... c'etait bien le genre de pay d'invité tout le royaume tiens .....

Elle avait déposé les jumeaux chez le prince .. ben vi il paraissait dur et méchant comme ça mais c'était une vrai mère poule celui la ce qui l'arrangeait bien vu qu'elle était seule a s'occupé des deux monstres aux têtes d'ange ... bref elle avait donc reçu "the parchemin " s'était occupée de ses grumeaux fait attelé ses beaux chevaux a la carette et op la voila partit pour la cérémonie mais ... car il y a toujours un mais .. elle ne savait absolument pas qu'elle route prendre et son cocher avait pas l'air plus sur qu'elle ... c'est donc avec un paquet d'heure de plus que l'horaire prévu qu'elle arriva enfin a Pardiac !

N'attendant pas que l'homme sans sens de l’orientation lui ouvre la porte au risque que cela prenne deux heures de plus elle sauta de la carriole et partit d'un pas empressée vers le domaine .

Elle entra avec sa fanfare ben oui ils la suivent partout sont en manque surement .... et fit donc une entré triomphale comme toujours ... enfin c'etait pas elle .. mais bon elle se devait de faire perpétué cette foutue tradition .

Musique joué a fond par l'orchestre et l'ange avance avec un pas légèrement étrange vers son pay passant devant tout le monde et op une tendre bise a son pay .

Tan tan tadam me voila !!

Un leger regard autour d'elle ... hum elle ne connait personne ou presque ... heureusement que le ridicule ne tue pas .....


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Héraldique européenne

Riwenn: tu sais qu'une fois la couronne portée, il en faudra trouver une pour ton fiancé afin que des épousailles puissent avoir lieu ?

Oui, depuis l'autre coup ou tu me l'a dis, mais ne t'inquiète pas on va s'en occuper bien que j'ai pas encore eu d'idée pertinente à ce sujet, j'suis sure que ça viendra.

Mélinda lui sourit puis reconnu la voix de Bella qui venait d'arriver accompagnée de Sylvain.

Oh Bella, Sylvain je suis contente que vous aillez pu venir, vous avez fait bonne route?
Je vous présente sa Grasce Riwenn de Castel Vilar de la Duranxie, c'est lui qui organise tout ça.
Riwenn voici le Baron Sylvain Desbois et sa compagne Bella Baldéras de Villaréal, ce sont des amis que j'ai rencontré dans le Lyonnais Dauphiné.
Bella est également très intéressée par la diplomatie et j'essaye de lui apprendre quelques tuyaux.


Mélinda leur sourit.

Je vous présenterais bien tout le monde mais je suis pas sûre de connaitre grand monde et même ceux que je reconnais comme par exemple le sire Orandin juste là en lui adressant un petit sourire je suis pas certaine qu'ils se souviennent de moi car ça date tellement.
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Même s'il ne daignait pas quitter des yeux le chef de famille, il pouvait deviner – grâce à son large champ de vision – ce que faisait sa femme. En l'occurrence, ici, elle ne fixait plus son frère mais le fixait plutôt. Il devinait le sourire de la rousse mais il ne savait pas si c'était l'un de ses sourires narquois ou bien admiratifs, voir un tout autre sourire. Même si le fait de ne pas savoir le titillait un peu, il se résolu à se contenter de l'essentiel : la bonne humeur de sa femme. Mais ce n'était sans compter la réponse de Riwenn qui décrocha un large sourire à Orandin face à tant de flatterie.

« Gare à la flatterie, Votre Grandeur : trop de sucre gâte les dents, répondit-il après que sa femme ne soit à son tour flattée. Et d'ajouter ensuite : Il serait regrettable d'altérer de la sorte la magnificence de Votre Grandeur. »
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Douzième jours de décembre mil quatre cent soixante,
Cinq cent cinquante ans et neuf jours avant la fin de tout.


Brocéliande n'est jamais en retard. Le retard, c'est pour les petites gens. Brocéliande, c'est la classe, le grand, le magnifisme... Brocéliande se fait désirer, et fixe à lui seul le début des cérémonies. Seuls ceux qui n'en sont pas ne peuvent pas comprendre ce don, sans doute divin, qui permet de briller en société.

Tout droit venu des terres angevines, passant par un Poitou et effectuant sa mission fauconiale, le Gildwen n'eut pas le temps de franchir la frontière d'Armagnac qu'il en reçut une invitation de son parrain, entre quelques boules de neiges de femmes voulant sa mort. Parmi les nombreuses factures envoyées aux auteurs de tentatives d'assassinat, il en relaya les invitations pour « son monde ». Que des incertains... mais la vie est plus intéressante lorsqu'elle est faite d'incertitude.

« Parrain ! » Une voix blonde, jeune et princière, lié a un enthousiasme certain qui pousserait presque à se jeter dans les bras du vieux duc armagnaco-gascon. Gildwen entre ainsi, la cérémonie peut commencer.
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Héraldique européenne

Bon, là on va innover, on va essayer de pas se cogner un groupe de brigands en venant.

Le voyage se déroulait donc sans encombres et Savaric et Mélinda arrivèrent en pleine forme.

Bon, ça doit être par là.

En effet c'est bien là, et en plus on est pas trop en retard.

Hop on vérifie que tout les éléments de la robe soient bien en place, un petit coup d'oeil dans une vitre pour ajuster sa coiffure, en tirant la langue au gamin qui se moque d'elle à travers la vitre. Un petit coup d'oeil à la salle, celle-ci se voulait grande et bien décorée avec le coté festif qu'il manquait tant lors des réunions diplomatiques.

Mélinda entra donc et salua les quelques personnes présente en cherchant du regard le maître des lieux.

Ah le voilà.

Bonjour votre Grasce! c'est ce qui est venu, ça aurais pu être votre Grandeur ou riwenn ou riri voir même canaillou.. non ça ptete pas.
J'espère que tu.. que vous.. que ça va bien !
J'te présente Savaric, c'est mon fiancé dont je t'ai parlé quand nous nous somme vu à Toulouse.

Ça semble être une très belle cérémonie qui se prépare et à en voir la longueur de la table j'imagine qu'il manque encore bien du monde.

Mélinda sourit.

En retard ? Pffft voilà une autre chose qui ne changera jamais ! Le plus important était de ne pas arriver à la fin n'est-ce pas ? Quoi que parfois les cérémonies étaient si ennuyeuses qu'il valait mieux arriver une fois celle-ci juste pour ripailler.
Enfin bref ses vêtements étaient préparés de la veille une fois que Riri lui eut rappelé l'invitation qu'il lui avait envoyée des jours auparavant. Comme si elle allait oublier un truc pareil tient !! Il lui avait également dessiné une représentation des lieux pour éviter qu'elle ne se perde !

Et invitation, au cas où l'on venait l'interpeller, dans une main. Dans l'autre c'est le fameux plan qu'elle tenait.
Croquis auquel elle jetait un coup de temps à autre d'un pour ne pas se bouffer un domestique en pleine figure et de deux pour savoir ou se rendre.
C'est avec ces deux choses en mains et vêtue d'une robe qui lui avait couté les yeux de la tête que la blondinette arriva enfin dans la salle pour y retrouver tout un t... Pas même une poignée de personnes !

- Bah... Sont passés ou tous ?

Hum.

Ça c'était un genre de raclement de gorge parce qu'une fois de plus elle oubliait les bonnes manières. Oublier était vite dit! Elle passait souvent, pour ne pas dire tout le temps, outre !!

- Pardon, bonjour avant tout hein !

Légère inclinaison de la tête pour Riwenn. Quel exploit habituellement, ça, elle ne le faisait pas. Mais ce n'était pas parce qu'elle était bien partie maintenant qu'elle irait jusqu'à se courber devant lui, ou devant quiconque d'ailleurs. Pourquoi pas leur baiser les bottes tant qu'à faire ?! Fallait pas rêver pis t'façon le Riri il était habitué depuis le temps !

C'est les bras légèrement écartés de part et d'autre d'elle-même, les vélins désignant ainsi chaque côté de la salle.

- J'arrive trop tard ou bien ?

Une odeur alléchante vint lui titiller les narines et c'est ainsi qu'elle tourna la tête en direction de cette table sur laquelle attendaient tout un tas de bonnes choses à manger !

- Apparemment pas !
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Pour une fois, pour une fois! elle n'était pas en retard.
Date à marquer d'une croix rouge, d'une pierre blanche ou de ce que vous voulez, sur votre calendrier.

La route n'avait pas été longue depuis Auch, ce qui pour une fois encore lui permettait d'arriver présentable.
En robe, et oui, encore une exception, ca changeait de l'armure et des braies, ses affaires dans sa besace, très gonflée aujourd'hui, elle pénétra dans la salle de cérémonie.
Impressionnée par les dimensions, elle se dit finalement que la salle était à l'image de Pardiac, immense et riche.

Le vieux comte, ou duc, au choix, était déjà arrivé, et était seul pour le moment, et c'était parfait ainsi, la dernière fois, elle avait dû jouer des coudes pour le saluer, aujourd'hui il en serait tout autre!

Elle s'avança donc et, énième nouveauté du jour, se fendit d'une révérence étudiée et gracieuse.

Votre Grandeur, mes respectueuses salutations!

Elle n'en dit pas plus et se releva, planta sa mirette dans celle du vieil homme, guettant la réaction de celui qu'elle dirigeait d'habitude.
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