Godgaby
Note préliminaire : Attention s'il vous plait, ce RP se déroule il y a un mois et demi. Nous sommes donc le 15 mars 1460. Merci de respecter la cohérence et de jouer votre personnage tel qu'il était à ladite date, enfin le mieux possible. A part ça bon jeu. ^^
C'était peut fréquent pour Gabriel les enterrements. Il devait en avoir fait peut être trois ou quatre en plus de 3 ans à son poste. Bien que le dernier n'était pas vieux, il n'avait eut de cesse de se renseigner. Il voulait que cette cérémonie ne soit en rien gâcher et être le plus professionnel possible. Autant dire très peu donc.
Mais la douleur des gens étaient généralement suffisamment forte pour ne pas en plus leur laisser un souvenir impérissable. La règle dans ces cas là était de faire des cérémonies calme et anodine. Des cérémonies qu'on oublierait vite. Le problème c'est que ce genre de cérémonie il ne savait pas les faire, et vu qu'il était tout de même monter de sa Gascogne perdue pour l'occasion, il ne comptait pas faire dans le classique. et puis si ses amis lui avait demandé de s'occuper de toute cela, s'était aussi pour le style particulier qui le caractérisé. Pour une vie marquante, il faut un départ marquant.
Il s'était donc donné du mal, entre d'autres mâles d'ailleurs, pour qu'au jour dit, tout soit en ordre. Il avait même prévu un petit accompagnement sonore de circonstance pour accueillir les gens qui viendraient rendre leurs hommages. C'est en allant sur le parvis de l'église qu'il entendit les premières notes et qu'il comprit que quelque chose n'allait pas.
Musique provenant de la place principale
Il pressa le pas pour arriver au plus vite près de la source de ce trouble et y mettre un terme avec la plus grosse voix qu'il pouvait prendre pour entamer d'âpres négociations. Car comme chacun le savait, l'Église était connue pour faire preuve de fermeté, mais de beaucoup de tact et de diplomatie.
Cassez vous de la bande d'abrutit. C'est un jour de deuil, on respecte. Si vous fermez pas vos mouilles et n'avaient pas décampé dans la minute je vous crucifie le long de la route principale.
Après quelques instant de bravade de la part de la bande pas très musclé, Gabriel finit par avoir le dernier mot. Il faut dire qu'il avait commencé à sortir quelques clous qu'il avait avec lui.
Enfin redevenu tranquille, l'évêque attendit que le groupe qu'il avait demandé arrive et s'installe pour commencer enfin un morceau plus approprié à la situation.
Musique d'accueil à l'enterrement
Douce mélodie à ses oreilles il ne pouvait s'empêcher de chantonner.
Ils m'entrainent, au bout de la nuit,...
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