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[ RP][ Eglise Saint-Miguaël] Mariage de S.I V.F. et C.E.C.C

Rosalinde
La mariée ? Qu'est-ce qu'il croyait, le Kéri Kéri, qu'elle était intime avec toute la noblesse de France et de Navarre ? Qu'elle n'aurait pas été officiellement invitée au mariage du Dauphin (dauphinesque, donc ? ou dauphinois ? La question existentielle que tout le monde se pose, évidemment) si elle avait connu la mariée ? Non non non...

- Absolument aucune idée. Du reste, qu'est-ce que ça peut bien faire ?

Question n'appelant pas de réponse particulière, soit dit en passant, Rose n'était pas d'humeur à avoir de la pitié pour pucelle (ou pas) se faisant passer la corde au cou. Elle souffrirait, comme les autres, parce que faut pas déconner, les mariages heureux ça n'existe pas ! Et la jolie rousse de larguer un : " Merci, vous êtes adorable !" quand il se reprit pour lui faire compliment sur sa toilette. En temps habituel, elle se serait sans doute, dans sa grande vanité, offusqué que le compliment ne soit pas venu sans détour, mais au point (de grossesse) où elle en était, tout ce qui pouvait redorer un peu l'image déformée qu'elle avait d'elle lorsqu'elle se regardait dans un miroir était bon à prendre. Et, pour sa peine, elle gratifia le Duc de Chartres de son plus joli sourire, alors qu'ils approchaient de Sancte et - ô joie - de Charlemagne, déjà croisé au détour de quelque taverne. C'est donc, après deux révérences - pas aussi jolies qu'elle l'aurait voulu suite à proéminence ventrale de premier ordre - et un sourire qu'elle les salua à son tour.

- Son Altesse et moi nous sommes déjà croisés par le passé. En revanche, Monseigneur... C'est un réel plaisir de faire votre connaissance.

Et Rose de prendre sur elle pour ne pas le dévisager et détailler sous toutes ses coutures, enfin de toute façon elle n'eut guère le temps de résister contre sa volonté, puisque Kéridil l'entraînait déjà à l'intérieur, direction un coin sombre. Ah oui, manifestement, il avait repéré sa femme, qui était supposée ne pas se pointer, et qui était venue quand même.Vu l'empressement du Duc, elle doutait qu'il s'agisse d'un stratagème de sa part, mais enfin il valait sans doute mieux la jouer profil bas, au cas où son épouse aurait envie de donner dans le scandale.

C'est donc bien sagement qu'elle s'assied à ses côtés, droite sur son siège, et lissant distraitement les plis de sa jupe en détaillant leur proche voisinage. Rien de bien folichon pour l'instant. Elle se résolut donc à faire la conversation à son nerveux voisin, après lui avoir glissé, à voix basse :


- Courage ! Vous pouvez le faire !
J'ai hâte de voir la tenue de la mariée. De voir la mariée tout court, en fait, je n'ai absolument aucune idée de ce à quoi elle peut bien ressembler. Enfin, cette cérémonie sera sans doute moins désastreuse que celle de mon propre mariage, qui est totalement partie en eau de boudin quand le Père Lotx m'a fait boire de l'alcool pur en guise de vin de messe... A ce propos, vous savez qui officie ?

Babillage tout à fait innocent, de fait, on aurait pu les prendre pour deux amis. A Sa Seigneurie de voir s'il voulait faire monter les enchères.
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Rose en chanson !
Amy.



Mes Dames, je voulais vous dire.... Vous serez toutes mes demoiselles d'honneur ! Victoire également, mais je ne sais pas si elle a pu se libérer... J'aurai la surprise à l'église..

La brune resta un moment coite. A peine arrivée que déjà elle était propulsée sur le devant de la scène ? Elle qui aurait préféré se faire discrète, au moins le temps d'être un peu plus à l'aise et de faire quelques connaissances ... Mais soit, aujourd'hui était le jour de la Comtesse alors elle ne pipa mots et suivi le mouvement, arrangeant un peu sa tenue et sa coiffure.

Elle était maintenant assise dans un carrosse et elle observait, toujours sans un mot, les autres damoiselles d'honneur et la future marié qui les observait aussi. Quand elle posa ses yeux sur elle, elle y lut de la joie, de l'excitation, mais aussi ce stress qui caractérisait tant les mariés ... Chose que personnellement, elle ne connaissait pas puisque son mariage avec le père de sa fille avait été avorté prématurément et que ce qu'elle aurait voulu avec Gwen ...

Elle secoua doucement la tête. Ne pas laisser ses idées noires gâcher cette belle journée et puis si elle était là, c'était pour recommencé, encore une fois, une nouvelle vie avec sa fille, qui elle l'espérait serait heureuse auprès de cette jeune femme pleine de vie et d'énergie. Elle lui fit un sourire rassurant. Tout se passerait bien. Il n'y avait pas de raison ...

La cathédrale était maintenant en vue. Il n'y avait plus qu'à attendre que tous soient installés et elles pourraient entrer ...


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Caminho
[Campement de La Joinvilloise...]

Ces yeux s'ouvrèrent délicatement et s'en suivis un large sourire spécialement pour lui dont elle seule avait le secret. Sa main sur sa joue renforçait le désir et la joie qu'il éprouvait.

Bonjour mon Mari d'amour, tu es bien matinal dis moi ?! Des réveils comme celui là j'en veux tous les jours ...C'est possible ?!

Il enlaça ces doigts entre les siens et il lui répondit avec le sourire.
Bonjour ma Vilaine, bien dormi ? Oui matinal mais on ne doit pas arriver en retard au mariage, tu te souviens que c'est aujourd'hui quand même ?
Pour ce qui est de tous les jours je ne peux te promettre une telle chose malheureusement....


Il l'embrassa encore un fois et l'invita à se lever du lit.
Aller lèves toi ma belle p'tite femme, j'ai fait demander notre déjeuné il ne devrait plus tarder. Je vais en profiter pour me raser et me débarbouiller un peu. Tu n'as cas commencer à te faire toute belle.

Il s'en alla un peu plus loin et commença ses affaires.
Crezus
Crezus était en train de scruter la foule quand Lilianna fendit la foule et, avec un art consumé, dont Montestier était si friand, le flatta si éloquemment qu'il sentit son amour propre se hérisser de jouissance.

Je vous remercie ma chère, il est vrai que le travail fut rude, il m'a fallut faire dépecer de nombreux atours de la Duchesse pour que les couturiers de Dijon arrivent à ce chef d'oeuvre... Venez me rendre à nouveau visite à l'occasion, je vous céderais de ces trésors avec plaisir!

Crezus tourna ensuite son regard vers Gomeric et le salue d'un signe amical de la tête,

Messire Gomeric de Hennfield, c'est un réel plaisir que de vous retrouver icilieu, je vous remercie de vous enquérir de ma carrière politique, c'est en partie grâce à vous que j'y suis... L'entrée dut délicate, mais nous sommes sur le bon chemin.

Crezus n'avait pas un sens olfactif très développé, mais sa vue était toujours perçante et, alors qu'il terminait en toute quiétude ses salutations, il distingua du coin de l'oeil une forme claudiquante se rapprocher de la Duchesse qui, profitant de ce léger intermède, en avait profité pour s'éloigner discrètement.

Falco, accompagné par une Maud aux anges... L'homme qui était passé à un bras de lui ravir sa Duchesse. L'homme qui, diminué, brisé, rompu, avait toujours la force de courir après la Mirandole. L'homme qui jamais n'abandonnait.

Crezus bouillait, le temps de pivoter et déjà le manchot tendait sa face vers la Charolaise...
Cuche

[Saint-André Sittyyyyy]


Tranquillement attablé à sa table de travail, le Chambellan finalisait les dernières lignes d'un traité qui lierait bientôt la Bourgogne au Limousin et la Marche. Il peaufinait chaque détail et s'appliquait.
VonAlfred et VonRoger, les jumeaux et accessoirement gardes de la Basilique avaient eu consigne de ne laisser personne le déranger pendant les heures à venir. Il avait à faire, notamment de la correspondance. Pas évident de rattraper des relations diplomatiques quand la moitié de vos anciens amis vous ont tourné le dos une fois les troubles commencés... Les mêmes qui revenaient aujourd'hui, parfois la queue entre les jambes.
Le joinvillois venait d'ouvrir la bouteille de porto offerte par l'ambassadeur portugais lorsque la porte du bureau s'ouvrit.


Espèce d'ivrogne, garder une porte fermée tu ne sais pas le faire mais dès que tu entends un bouchon de bouteille sauter, là tu es prêt! Regardez-moi ça...
Cuche ! Enfile ça fissa, t'as un rencard de la plus haute importance !

Surpris, il sursauta et se retourna.


Euh... Jusoor?! Bonjour!
oui... non... quoi? Un peu de porto?


Elle venait de jeter une tenue dans ses bras.

Qu'est-ce que? On va où?

Sans trop se poser de question, il observa la tenue et parti se changer.



[En voiture Simone, direction l'Eglise !]


ça secouait dans tous les sens et le cocher fonçait à travers tout tellement qu'un mur ne pourrait pas résister en cas d'impact. Rassurant.
Jusoor essayait de lui coiffer les cheveux mais ne réussissait qu'à aggraver les choses et lui donner des coups de poitrine à chaque grosse bosse du chemin. Pas désagréable du tout, sauf pour le dos.

Le coche ralentit et fit tinter les cloches à en rendre sourd les passants. Arrivée discrète? J'crois pas non...
L'estomac tout retourné, prêt à remettre la gorgée de porto qu'il avait réussi à s'enfiler avant qu'on ne l'attrape par la peau du coup, le joinvillois mis tant bien que mal pieds à terre. D'un geste du doigt, il desserra son col afin que l'air puisse à nouveau rentrer et qu'il ne s'écroule pas sur le parvis.
A en croire la foule, il se passerait bientôt une grosse fête ici


Aaaah mais c'est le mariage de l'aut'...

Il n'eu pas le temps de finir sa phrase que Jusoor avait attrapé son bras et l'entrainait à travers la foule comme s'il était en retard à son propre mariage, chose qui ne risquerait pas d'arriver.

Permettez moi de vous présenter mon ami Cuche de Fronsac, Chancelier de Bourgogne, qui ne sait taire sa joie de pouvoir vous conduire pour cette belle occasion.


Altesse?
Pourquoi on ne lui disait jamais rien à lui!
Pas plus tard que ce matin il avait appris que la femme de son neveu était décédée... depuis un an.
Regardant la dame à qui Jusoor venait de le présenter il sourit et s'inclina.


Cuche de Fronsac,
Chambellan de Bourgogne et non pas Chancelier, car il ne faut pas confondre... Pour vous servir...


L'intonation de sa voix s'était allongée à la fin, faisant ainsi comprendre qu'il ne connaissait pas le nom de la femme.
Et de rajouter.

A défaut de connaitre votre nom, je peux déjà dire que vous avez d'excellents goûts et un sens du raffinement fort agréable pour le regard, Altesse.


Regard en coin à Jusoor lui disant "Mais quand quoi tu m'as embarquée toi?"
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Valeryane
    " L'heure d’y aller "

    Enfin la brune peut poser ses pieds au sol elle ressent des fourmis dans ses jambes pourtant bien installée dans le coche avec les autres damoiselle d'honneur, quand Catherine fait signe qu'enfin il faut entrer dans l'église la volcan prie oui elle prie pour qu'aucune catastrophe arrive, du style se tordre la cheville en entrant sachant que tous les regards seraient sur la porte.

    Tous les invités sont entrés enfin et c'est avec courage qu'elle se lance monte les marches avec attention précise sur ses pieds qu'ils ne se prennent pas dans les pans de sa robe, d'ailleurs elle tient un pan dans sa main avec délicatesse la porte s'ouvre gloups ! Au secours elle a envie de crier. Respiration profonde la demoiselle d'honneur pose le premier pied dans l'édifice accompagnée des autres damoiselles. C'est dans une jolie robe bleu nuit que Val se présente au bras de sa nièce qu'elle ne lâchera pas jusqu'à ce qu'elle arrive à la bonne place.



    Les froufrous se font entendre dans le silence tous attendent l'arrivée de la reine du jour, patience elle arrive la belle mariée elle arrive a-t-elle envie de dire. Val avait laissé ses soucis loin d'elle pour ce jour magnifique ou son amie allait dire oui à un homme qu'elle ne connaissait pas du tout, mais si son amie l'avait choisi pour époux c'est qu'il devait être exceptionnel, connaissant la blonde cela ne pouvait qu'être le cas. Sourire aux lèvres et bras bien attaché à celui de sa nièce elle avance doucement sa main prend dans un panier des pétales de rose qu'elle lance en avançant .

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Joshin
Fallait-il une invitation pour se rendre à si grand mariage? C'est une question qu'elle aurait dû se poser avant, et pas maintenant, alors qu'ils atteignaient déjà l'église.
La décision de s'y rendre avait été prise rapidement, sans trop réfléchir. Il est vrai qu'une sortie hors du campement, quel qu'en soit le prétexte, était bonne à prendre. En l'occurrence, le prétexte était de taille. Elle ne connaissait pas le futur époux, en avait entendu parler, pas toujours en bien, ne l'avait jamais rencontré et ignorait tout de l'heureuse élue. Mais il y aurait assurément grand'monde pour assister à cette cérémonie, qui promettait d'être à elle seule tout un spectacle.
Et effectivement, il y avait foule. Les conversations fusaient, se croisaient, elle entendait un mot par ci, une bribe de conversation par là, et au final ne savait voir pratiquement personne en particulier. Elle ne s'attendait pas à rencontrer des personnes de connaissance, ne fréquentant depuis trop longtemps que les campements et les fortins, et passant tout son temps avec les soldats.
C'est pour celà aussi qu'elle avait décidé de se rendre à l'église, pour sortir un peu de sa routine beaucoup trop ennuyeuse et égayer un peu son quotidien.
Elle eut un bref sourire pour son compagnon qui se tenait près d'elle:


- J'ai perdu l'habitude, je me sentirais presque étourdie par tant de personnes...
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Asalais
Les noisettes verdâtres de Blondie se posèrent sur l'édifice. Dans quelques secondes, elle serait dans l'église et son statut de demoiselle d'honneur signifiait que tous les regards se tourneraient vers elle dans un silence religieux. Oh bien sur, ces regards, ce n'est pas sa personne qu'ils chercheraient, mais la mariée. Cependant, c'est elle qui se trouverait là. Elle qui n'avait jamais trop apprécié les bains de foules.
Elle prit une grande inspiration, tiraillée entre la joie et l'honneur d'être l'une des demoiselles de la future épouse, et le stresse de faire un faux pas. Doucement, une de ses mains pressa le bras de sa tante pendant que l'autre serra le petit panier rempli de pétales de fleurs. Un... Deux... Trois. Elle fit un pas, puis deux, puis trois, puis.. Bref, vous avez compris le principe. Elle monta les marches et les lourdes portes s'ouvrirent. Un ravissant sourire se planta sur ses lèvres.




Le cadeau de Valeryane lui allait à ravir. Sa jolie robe vert canard épousait parfaitement ses nouvelles formes, enfin mises en valeur. Ainsi, on pouvait apercevoir un décolleté plus fourni qu'à son habitude, de jolies hanches de jeune femme qui accentuaient sa fine taille. Elle n'était plus une enfant, mais pas encore une femme faite. Ses boucles blondes tombaient librement sur ses épaules, rebondissant très légèrement à chacun de ses pas.

Elle embrassa la salle du regard et porta son attention face à elle, sur sa Grasce Xalta, son Altesse Charlemagne et enfin, sur Iohannes. Elle voulut lui faire un petit signe. Non, elle aurait carrément voulu lui faire de grands signes excités mais elle se contint. Ce n'était point approprié alors elle se contenta de lui offrir un large sourire. Et elle se rappela. Les pétales ! Délicatement, elle quitta l'emprise de sa tante afin de plonger sa petite main dans le panier et de répandre les pétales sur son passage dans un geste gracieux comme aurait pu le faire blanche neige dans son walt disney. Si si, je vous assure, elle savait se plier à ce genre de grâce et lorsqu'elle s'appliquait, elle le faisait merveilleusement bien.
Enfin, finissant de remonter l'allée, elle se plaça sur la gauche de l'Autel sans quitter son parrain du regard et elle finit par lui faire un petit signe discret de la main.

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Kalwynn
Pas plus que Joshin, et certainement encore moins, le Grand Maître des Faucons ne connaissait les époux. Mais il avait souhaité accompagner la jeune femme, "comme au bon vieux temps". Un temps pas si lointain, mais qui toutefois le paraissait.

Kal put capter le mince sourire de son capitaine préféré.


- J'ai perdu l'habitude, je me sentirais presque étourdie par tant de personnes...

Il posa une main réconfortante sur le bras de Joshin.

Allons, allons, cette foule c'est toujours mieux que les mêlées guerrières que nous sommes venus chercher dans ces contrées.

Et en effet, vu qu'ils étaient en campagne, il n'avait pas été commode de trouver des vêtements bien présentables. A l'habituel uniforme d'appart azur et blanc, l'officier borgne avait préféré un pourpoing de cuir marron, des culottes bleues et ses bottes de monte.
Sur le revers de la cape s'entrechoquaient les quelques médailles acquises ces dernières années.

Kalwynn abaissa son regard sur les petites choses métalliques. Bientôt peut-être, il serait temps de les ranger dans la malle à souvenirs, et de reprendre la route.

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Amy.




La Cathédrale était en vue, le carrosse s'arrêta devant et chacune leur tour, les femmes descendirent pour mettre pieds à terre et se regrouper. La Reyne du jour descendit elle aussi. Elle lissa sa robe pour enlever les plies éventuelle. Robe sans prétention que Val lui avait faite et qu'elle affectionnait particulièrement ...





Un petit panier de pétale de rose fut distribué à toutes et en rang par deux, elles avancèrent jusqu'au parvis. Elle ne savait pas trop à côté de qui elle se trouvait, mais l'essentiel n'était pas là. Il fallait que l'entrer de Catherine soit parfaite. Val passa devant, pendu au bras d'une toute jeune fille et quand elle commença à avancer en semant ses pétales de rose, elle en fit autant, piochant de temps en temps dans le panier pour jeter les pétales sur le sol.

Digne, bien droite et un sourire s'étirant sur son visage, elle avait l'impression de rêver et se demandait si elle était vraiment là où elle se trouvait ... Un petit regard en arrière pour vérifier qu'elle ne rêvait pas en voyant Catherine et elle continua d'avancer en jetant ses fleurs ...


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Catherine_elisabeth
L’instant était venu.
Le carrosse s’était arrêté devant l’église, Henri avait aidé les dames à en descendre et elles s’étaient retrouvées devant les lourdes portes.
Regards échangés, aucun mot.
Des sourires confiants.

Puis l’on ouvrit les portes, et les demoiselles d’honneur pénétrèrent les premières.

Que se passerait-il si Catherine faisait demi-tour, et fuyait ?
Sans nul doute un garde l’arrêterait aussi sec et la forcerait à entrer.
Mais cela n’aurait pas lieu. Elle était là de son plein gré. Personne ne l’avait forcé à prendre époux. Elle était chef de famille, et malgré le fait que l’opinion de certaines personnes était essentielle, elle avait toujours décidé de ce qu’elle voulait faire.

Une inspiration, deux, trois…
On offrait l’agneau au loup. Ou au Lion plutôt.
Mais à la différence que l’agneau s’avançait de lui-même. La crainte n’était pas là. Ils s’étaient apprivoisés l’un l’autre.
Ce n’était pas un mariage d’amour.
Mais la confiance et l’affection était présentes. Le reste viendrait peut être.
Elle était là parce qu’il lui avait promis de lui apprendre.

Un pas en avant encore… Les demoiselles d’honneur progressaient.

La lumière de l’extérieur empêchait encore de voir la mariée.
Puis les portes se refermèrent derrière elle, et tous purent la voir.
Une toute jeune fille d’à peine seize ans, visage diaphane, auréolée d’une cascade de cheveux blond.
Sa tenue, elle l’avait commandée à Valéryane. Elle n’avait pas voulu des robes que l’on voyait si souvent. Pourquoi ce blanc ?
Et pourquoi ressembler à une meringue prête à être dévorée ? Non. Elle avait voulu ressembler à elle-même, mais tout en faisant plaisir à son promis. Aussi avait elle choisit coupe et couleur…différentes de ce que l’on pouvait voir. Rien de vulgaire, au contraire. Elégance et raffinement, féminin sans être nunuche, affriolant sans faire déplacé.
Ses courbes étaient parfaites, tout épousait son corps correctement.
Une rose rouge à la main. Clin d’œil à son promis encore.

A son cou, au centre du pendentif, se trouvait la croix Toulousaine.




Elle avançait, lentement, avec une rare élégance, comme si ses pas étaient dansés. La vie est un bal.

Un sourire timide aux lèvres, elle n’arrivait pas encore à percevoir le regard de Iohannes. Celui de ceux qui étaient assis et l’observaient seulement.
Des sourires qu’elle offrait.
Beaucoup de visages inconnus. Mais bientôt, elle les connaîtrait, sans doute.
D’autres, familiers.
Ainsi elle vit Marie et Kylian, et leur adressa un clin d’œil discret, ils formaient un si beau couple. Un sourire.
Elle reconnu tout de suite Heliorphee, que sa mère appelait Hélios. Elle l’avait croisé avec celle-ci quand elle était encore petite fille, il n’y a pas si longtemps que cela d’ailleurs. Encore un sourire.

Castelreng, elle l’avait rencontré peu de temps auparavant, en compagnie d’une ravissante dame qui devait être, si ses souvenirs étaient bons, Maxi. Tous deux amis de sa maman. Encore un sourire.

Son frère… Son frère ? Heureuse de le voir, elle ne s’y attendait pas du tout. Il portait la cape de son garde. Etrange. Elle essaya de lui envoyer une mimique réconfortante.

Wendoline. Une amie de sa mère également. Elle était heureuse de la voir là. Elle avait envoyé ses invitations à Toulouse, et ne s’attendait pas à voir ces personnes. Cela faisait chaud au cœur. Encore un sourire.

Puis son attention se reporte en face d’elle. La moitié du chemin restait à parcourir.
Elle se demandait ce que les gens pensaient.
Pensaient-ils seulement ? Ils avaient sans doute mille choses, histoires, peines ou joies dans leur cœur.

Plus que quelques pas. Enfin elle voyait Iohannes. Son armure était parfaite. Il ne pouvait en être autrement, connaissant celle qui l’avait confectionné.

Son regard fut aussi attiré vers le visage du témoin de son promi. Ainsi était Charlemagne.
Fils de Béatrice, cette merveilleuse dame dont sa mère lui avait parlé. Elle se souvint de ce qui était écrit dans le journal de sa mère à propos d’elle.
Elle l’avait connu avant qu’elle soit Reyne. Un jour de « grand festival de la couronne ». Elle la décrivait comme une grande dame, emprunte de sagesse, froide et hautaine parfois d’apparence, mais caché sous ce masque, une très grande sensibilité. Elle s’était prise d’affection pour elle.

Y-avait-il de sa mère en lui ? Elle ne le connaissait pas, mais peut-être un jour.
Poliment et avec déférence, elle inclina le visage pour le saluer.

Puis son regard croisa celui de l’officiante, et elle lui sourit franchement, même si ses yeux trahissaient encore une certaine crainte. Normal en ce jour.
Aldraien, sa mère de cœur et témoin était elle aussi présente, et à ses côtés.

Puis de nouveau, ses yeux se portèrent dans ceux de son futur époux.
Un sourire, encore.
Une appréhension, une envie, un avenir nouveau.


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Xalta
La petite église se remplit peu à peu. Des têtes connues et d'autres étrangères, anonymes. Ses yeux s'attardent sur chacun, puis un rai de lumière sur le mur de droite, une porte qui s'entrouvre et une silhouette brune qui s'encastre dans le pourtour de celle-ci, un regard clair qu'elle connait bien, un sourire ourle de nouveau ses lèvres. Ainsi, il a osé venir, machinalement sa main se glisse dans sa poche, ses doigts rencontrent des petits objets qui lui sont chers, elle fait tourner entre ses doigts les trois noisettes, la ritournelle lui revient en tête. Elle secoue la tête, pas le moment d'être distraite. D'autres visages, d'autres entrées et un nouveau sourire quand Estainoise vient la saluer. Elle lui rend son sourire complice.

Bonjour Estanoise, je suis ravie de vous voir ici. Vous avez bien fait.

Puis elle la regarde s'éloigner pour se poser près de Falco. Puis d'autres arrivées, froncement de sourcils, mine interloquée qu'elle cache vite à la vue d'un couple qui se cache dans la pénombre. Décidément il y a des choses qui lui échappaient. Des visages familiers voire même amicaux. Et puis enfin, le marié qui entre avec son témoin et qui prend place devant l'autel, salutation respectueuse envers le témoin Charlemagne en armure également rutilante. La dernière fois qu'elle avait du le croiser c’était en taverne à Angers, oh elle l'avait bien aperçu à Ambroise mais de loin. Son regard se pose sur le Dauphin, il avait fière allure.

Mais n'empêche, la mariée se faisait désirer. Et oh hélas , on allait assister a une entrée à l'anglaise, elle en soupirerait presque. Le futur mari qui attend à l'autel la promise. Non mais les traditions se perdent! Dauphin de France et adopter une coutume venue des îles britannique, c’était pour elle une faute de goût. L'entrée à la Française pour un mariage lui paraissait tellement plus adaptée voire même plus romantique. Ce qui est un comble quand on pense que le romantisme et elle cela fait deux voire bien plus. Mais Lors de son mariage avec Belgarion, elle avait insisté pour une entrée à la française: la femme qui entre en premier, qui attend ensuite son époux à l'autel. Et d'ailleurs prochain mariage, elle ferait de même. Pour ceux qui ne savent pas, elle est veuve la diaconesse-duchesse !

Porte qui s'ouvre enfin pour laisser passer les demoiselles d'honneur, toutes vêtues de bleu. Enfin, elle échapperait aux déclinaisons de rose. Le rose étant la couleur qu'elle aimait le moins. Elle avait du faire une overdose petite de rose, elle ne voyait pas d'autres explication à son aversion pour cette couleur. Il lui restait à voir la robe de la mariée. Allait-on avoir le droit à une robe genre grosse meringue blanche. D'ailleurs pourquoi le blanc ? Couleur du deuil? Beaucoup de femmes semblaient apprécier le blanc... en même temps, on pouvait presque considérer le mariage comme un enterrement, celui d'une vie passée, celle de jeune fille. Et de re-songer à sa propre robe de mariée: rouge et noire, simple, sobre. Les demoiselles prennent place et les portes se referment derrière la promise. Pupilles se font fentes, une contraction de la mâchoire et un sourire amusée qu'elle réprime. Une tenue originale. Point de robe mais une tenue masculine bicolore avec une touche de noire. Rouge et blanc c'est le signal, signal plus pour les maris...

Mouvement de tête, geste de la main discret et deux musiciens luthiers de commencer une musique douce pour rythmer l'avancée de la mariée vers l'autel, et pas encore l'hôtel, ça , ce serait après la cérémonie. Une musique douce, mélodieuse, dans quelques siècles certains grands compositeurs composeront des marches nuptiales, mais on n'est pas là. La jeune fille lui adresse un sourire auquel elle répond avec la même franchise. Elle prend place devant l'autel auprès de Iohannes. Contraste saisissant entre les deux individus qui lui font face. Elle laisse planer un silence de quelques secondes, le temps au témoin de la mariée de prendre place et au marié de saluer sa future et vice versa
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en cours de ...
Kalimalice
[Campement des lames]

Elle avait vu l’affiche apposée à l’entrée de la tente de l’état major, invitation à un mariage et qu’elle mariage celui du dauphin.
Alors fatiguée de tourner en rond dans les rues de Dijon, croisant soldats sur soldats, et après réflexion avec l’état major .Voila qu’elle décida de s’y rendre, bien qu’elle n’y connaisse ni le marié, ni la mariée.
Sur qu’elle ne s’y rendait pas pour les féliciter car en gros elle s’en moquait complètement de voir un homme qu’elle ne portait pas dans son cœur se pendre. Non s’était juste histoire de se changer les idées et rencontrer du monde .Car quoi que l’on dise un mariage princier cela attire du monde.
Cherchant dans la malle qui l’avait accompagné pour cette croisade, tournant et retournant les fripes qui s’y trouvait .La maréchale en sorti une tenue un peu moins fripée que les autres,coiffa sa tignasse rousse et s'apergea de parfum.
Pas de robes la c’était sure elle ne les aimait pas ces fanfreluches, juste une tenue un peu plus classe pour changer des ses braies poussiéreuses qu’elle trainait depuis le début du conflit.


[En route pour l’église ]

La capitaine Joshin et Kalwynn étaient parti devant .Du coup elle accéléra le pas afin de les rattraper.
Ils se tenaient la devant elle .Elle vit la main de son filleul se poser sur le bras de Joshin et un petit sourire lui vint.


Alors tous les deux ! Vous êtes partis sans moi ?

La Cheroy les regardait, d’un œil interrogateur,avec un petit sourire malicieux ?
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Kali,Marie ,Liselotte de Cheroy ,Maréchale de France
Aloara


[Une amitié naissante scellée par une promesse...]

La Jeune Princesse était là, sur le parvis, à guetter l'arrivée d'un homme célibataire où sans cavalière... Elle s'était promis d'en kidnapper un, vue que Son Altesse Royale ne lui avait donné des nouvelles concernant sa recherche de cavalier... Les prunelles qui balayaient donc les devants de l'Eglise, elle jaugeait les hommes suceptibles de pouvoir tenir son bras...

"Non pas lui, trop gras... Ni lui, trop maigre.... Et lui là, non, trop grand... Et lui, pfff, c'est un nain... Lui là bas, tss on dirait un prisonnier évadé... Lui, là ! Parfait... Mais, mais... Il va où le Messire blond ! Hey mais revenez !"

Alors qu'elle avait trouvé l'homme seul qu'il lui fallait, il semblait être chassé du mariage... Qu'avait-il fait pour qu'on ne le laisse passer ? Elle s'apprêtait à aller dire à la garde qu'il était avec elle, ainsi pas le choix que d'être accompagnée pour le reste du mariage, mais un carosse retint toute son attention, pour ne pas dire qu'elle avait honte pour ceux qui se trouvaient à l'intérieur...
Arrivant à vive allure et faisant un vacarme comme c'était pas permis le jour d'un mariage, la Montmorency décida d'aller faire la curieuse, se décallant de la foule pour voir l'instigateur ou l'instigatrice d'une telle arrivée, pas discrète du tout...
Mais quand il lui sembla reconnaître les armes dessinées sur la porte du coche, elle commença à sentir ses joues s'empourprer de honte...

"Non mais ce sont les armoiries de Jusoor ça !"

Elle avait comme un mauvais pressentiment d'un coup... Elle avait ouïe dire qu'elle ne serait point présente au mariage, alors que fichait-elle là ?
Le vacarme cessa, L'Altesse confirma sa présence en trainant un homme derrière elle... Leur direction ? Droit sur elle... Quelle poisse ! On allait porter les yeux sur elle... Elle qui aimait la discrétion, la c'était foutue et grâce à qui ? La fille du Roy en personne !


Altesse... Quelle surprise de vous voir icilieu... Je suis... Ravie !

Pour une surprise s'en était une... Ô oui elle était ravie de la voir, mais quand même ! Une arrivée moins alarmante aurait été mieux !
Elle n'osait regarder autour d'elle et pour la peine se concentra sur le Messire qui l'accompagnait...


Ô Altesse ! Qui l'eut cru ! Vous avez tenu votre Promesse !!!! Merci !!!!
Excellence, je suis ravie de faire votre connaissance...


Une révérence à son tour par mesure de politesse alors qu'elle n'avait qu'une envie, crier ou hurler "Mais non je ne les connais pas... Ils se sont trompés de Princesse !" et elle sourit timidement au compliment qui lui est fait avant de se présenter à son tour...

Je suis Aloara de Carpadant de Dénéré, Princesse de Montmorency et Amie de l'Altesse qui vous accompagne...

Je vous remercie Messire Cuche de Fronsac... Mais je me dois de vous retourner le compliment car vous avez une bien belle prestance aussi pour un Chambellan...


Ses toilettes, à la Carpadant, étaient toutes faites sur mesure... Sa garde robe était dense, et aucune tenue ne ressemblait à l'autre... Comme venait de dire ce Messire, elle avait un certain goût vestimentaire qui mêlait raffinement et originalité, elle voulait simplement l'exclusivité de sa garde robe...
Quant à lui, vue la tenue qu'il portait, Jusoor y était pour quelque chose... C'est qu'elle faisait pas les choses à moitié la Princesse de Blanc-Combaz... Enfin... Si... Le pauvre homme, surement prit de cours, en avait oublié de se coiffer... Mais qu'importait... Tant qu'il savait se tenir et....... Se faire discret...... Cela irait à l'ex angevine...


Sachez en tout les cas, que je vous remercie d'avoir accepté de m'accompagner pour la journée, Messire...

Avait-il eut le choix ? Sans aucun doute que non... Elle s'apprêtait à kidnapper un homme sur le parvis, c'est Jusoor qui s'en alla s'en accaparer un pour elle ! Si c'était pas sceller officiellement une amitié ça...

Mais pas le temps de bavarder, qu'un autre coche fit son entrée... A en juger, les exclamations, c'était celui de la mariée et ses demoiselles d'honneur... Et confirmation fut, en les voyant toutes descendre... Belles, elles l'étaient, oui, radieuses également...


Bien je crois que l'heure est venue... Altesse, je vous remercie et vous promets de vous le rendre entier...
Messire...


Un clin d'oeil à la commandante d'Artus et elle attendit que son cavalier lui offre le bras pour le lui prendre...

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Do.....
[ Parce que ...Hop ! Hop ! Hop ! Sous la tente de la Joinvilloise ça gigote ]

Do' profitait de l'instant présent au maximum, ces choses là souvent se perdent pendant les mois et les années qui filent.Un sourire, un baiser dans le cou et elle l’écouta avec tranquillité, buvant avec grand intérêt les paroles de son Voyou.Un haussement de sourcil, un doigt poser sur le nez de celui-ci.


Hum...! Y a eu tromperie sur l'union qui nous unis ! Des moments comme ceux là c'est touuuuuuuuuuuuuuusssss les jours ! J'vais faire réclamation !

Un pincement de lèvres qui en disait long en regardant son bel Apollon se lever afin d'aller se vêtir convenablement pour le mariage, non Do' n'avait pas oublié ce moment, encore des personnes qu'elle n'allait pas connaitre mais il le fallait, elle adorait être au bras de son Mari pour des tels occasions, car les autres fois c'est dans ses bras qu'elle préférait être tout de même.

Oui oui ....j'me lève ! Je t'admirais un peu, un peu de beauté pour mes yeux ça leur fait pas de mal et puis ça fais battre mon p'tit coeur encore plus vite !

Un p'tit tirage de langue sur le coté, elle se leva enroulé dans un drap et se dirigea vers le paravent , glissant un de ses doigts sur la colonne de son Voyou pour le faire frisonner un p'tit peu. Oup's !Pas fait exprès. Sourire amusé elle se glissa donc derrière le paravent, effectuant sa toilette en sifflotant un air jovial, puis une fois la chose faite elle enfila une des belles robes, une prune clair , avec quelque plis bien placés, et quelque petites fleurs blanches de brodées par-ci par-là ,elle avait fait rapporter par son messager qui s’était rendu a Joinville, il n'y avait pas si longtemps de ça,elle avait mander aussi ce messager afin de faire rapporter une tenue pour son Mari.Une fois enfiler tout ce tralala , elle releva ses cheveux laissant deux mèches retomber sur sa nuque ainsi que sur le devant de son visage, son Voyou adorait la voir ainsi , pouvant la faire frisonner de ses lèvres quand il voulait sur ce p'tit cou dégagé.
Un fleur sur le coté gauche de sa coiffure, avec quelque petites perles pendantes de cette fleur, c’était le moment elle était prête à affronté la foule de monde.

De sortir de sa p'tite cachette, un sourire sur les lèvres en regardant son amour fortement bien vêtu , le messager avait bien choisi, ils était tout deux bien coordonnés aussi bien niveau couleur, que tissu , fallait pas oublier que c’était leur couleur préféré a tous les deux.Un sourire ému, elle lui tendit sa main afin qu'il la prenne pour enfin prendre route vers le lieu du mariage.


Je suis prête mon Cher Epoux, j’espère que je vous plais ainsi ?!Quand à vous, vous êtes magnifiquement beau !

Un p'tit sourire amusé, elle aimait bien le vouvoyer de temps en temps c’était drôle.Eux qui ne s’était vouvoyer que quelque heures depuis leur rencontre.Ces heures là ne devaient d'ailleurs qu’être au Bal donné à Savigny a l'époque de leur rapprochement. Mais il était temps de partir, ils allaient finir par arriver en retard à ce mariage.

[A son bras, direction le grand saut ! ]

Elle accrocha donc sa main à son bras et se laissa conduire en parlant de bien de choses pendant leur traversée des ruelles ou il se trouvait pas mal de personnes fort bien habillées elles aussi, elles avaient l'air de se déplacer au même endroit qu'eux, au mariage.Un sourire en voyant le parvis de l'Eglise, enfin , il était temps, Do n'avait plus de petons dans ces chaussures là, plus l'habitude d’être dans ses belles chaussures pour ces occasions là.Dernier ajustement au col de son amour, un ajustement à sa robe pour bien remettre les plis au bon endroit, un coup de doigt sur la rose blanche dans ses cheveux , elle était en place elle aussi.

Je te suis mon Amour, je te laisse me faire connaitre les gens que tu connais, en aucun cas je ne quitte ton bras.

Et elle avança à son bras, un sourire aux lèvres, courtoisie Do' , fallait pas qu'elle oublie tout de même.
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