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[RP] N°2 Rue de la Foret, chez Lana

Don_juan_de_marco
Marco avait prit la route avec sa femme après plusieurs déceptions à Bourg. La ville était plus comme avant.
Le ventre de sa belle s'arrondissait et ils avaient demander à sa soeur Lana d'être la marraine de leur bébé. Mais la voir, le revoir après tout ce temps était important et il voulait la présenter à Alison.
Après plusieurs jours de route, ils sont enfin à Joinville.
La ville est toujours aussi calme , dit il à sa femme une fois arrivé. Ils allèrent directement chez Lana pour la voir au plus vite.

Une fois devant chez elle, enfin chez eux avec Wolf son mari, il frappa à la porte :


Lana ??!!! tu es là ??!! c'est moi...Marco !
Lana_
Elle jeta sur la table tout ce qu'elle avait en main quand elle entendit sa voix puis courru à la porte. Elle eu a peine le temps de l'ouvrir qu'elle se jetta au cou de son frère :

Mon Marcoooo !!!! enfin tu là !!! je suis si heureuse de te voir frangin. Mais dis moi...où est Alison ?! tu la caches ou quoi ?

Elle sourit et vit la jeune Alison derrière lui. Une jolie blondinette qui semblait jeune mais surtout qui semblait rendre son frère heureux et rien ne comptait plus que cela :

Bah...j'mange pas hein ! viens là que je t'embrasse belle soeur !

Joingnant le geste à la parole, elle prit Alison par la main et la tira vers elle pour lui faire un gros bisou puis regarda son ventre en souriant :

Ohhhh...quel joli bidou ! mais y'en a combien là dedans ?!

Elle se mit à rire et les invita à entrer :

Allez venez tous les deux, j'ai préparé la chambre...d'amis on va dire. Elle est prévu pour un ti choux à venir mais bon...l'est po là donc, elle est dispo pour vous deux...enfin vous trois, ou quatre...ou...

Elle leur sourit puis les laissa entrer refermant la porte derrière elle et le sourire au coin des lèvres. Sourire qu'elle n'avait pas affiché depuis longtemps.
_________________
Alison
La route fut longue et difficile de Bourg à Joinville mais elle avait besoin de s'évader avec lui. L'ambiance pesante de Bourg devenait invivable certains jours.
Joinville, que de souvenirs d'enfance dans cette ville. La connaissance de son Marco surtout, la vie qu'ils avaient vécu, un amour caché et inavouable et le départ déchirant avec ses parents il y a fort longtemps. Du haut de ses 18 printemps, elle avait prit la route seule de Bertincourt à Joinville pour le retrouver mais une fois de retour, lui n'était plus là. Mais elle ne s'avoua pas vaincue et avait poursuivit ses recherches pour enfin le retrouver. Ils se retrouvèrent et s'aimèrent au grand jour jusqu'au jour où lui demanda d'être sa femme ce qu'elle accepta de suite.

Le ventre rond, la vie en elle, elle lui suivi encore et encore pour aller revoir sa soeur cette fois. Il lui avait tant parlé d'elle qu'il lui semblait la connaitre même sans l'avoir jamais vu.

Une fois devant chez Lana, elle vit que son tendre était vraiment heureux d'être là et elle ne pu que se réjouir à son tour. Elle vit Lana ouvrir la porte puis se jetter au cou de son mari mais elle décida de rester un peu en retrait pour les laisser se retrouver.
Elle sourit à Lana et lui donna une bise quand elle posa sa main sur son ventre :


Bonjour Lana...je suis vraiment heureuse de te connaitre enfin. Disont plutôt de te rencontrer car Marco m'a si souvent parlé de toi que j'ai le sentiment de te connaitre depuis toujours.

Elle entra dans la maison main dans la main avec son ange et sourit :

Ta maison est très belle Lana et décorrée avec gout et je sais pas ce que tu fais à manger mais ça sent rudement bon !
Lana_
L'automne arrivait à grand pas. Le froid, le vent, la pluie, et son moral qui tombait dans le fond de ses bottes. Pourquoi ? elle ne le savait pas elle même. Trop d'absences, trop de présences, trop de mots qui donnaient de maux, un coeur qu'on lui avait conseillé d'écoute. Chaque battement lui donnait une pensée bonne, mauvaise, parfois cruelle lui arrachant un sourire en coin imaginant ses mains se serrer sur un cou et entendre chaque vertèbre ses brisées l'une après l'autre sans quitter le regard du sien...froid, glacial comme le temps dehors. Elle pourrait même s'en délecter et y prendre plaisir.

Elle devait elle aussi chasser ses démons. Sa maison, son fauteuil, sa cheminée et une bouteille de poire dans sa main. Volets clos et coeur ouvert, la réflexion était de mise.


Les idées se bousculent, les choix se dessines puis elle les efface d'un coup de gomme chassant la première idée par une autre puis recommençant encore et encore. Rien de plus difficile de faire des choix quand on ne sait pas.
Le savoir...elle devait tout d'abord en apprendre sur elle même avant d'en apprendre sur les autres. Et ce nom qui lui revient en tête...encore et encore...le chasser, le balayer, ne plus lui accorder d'importance, l'ignorer...y penser c'est s'y intéresser et elle ne le voulait certainement pas. Ne plus le prononcer, ne plus y penser juste...l'oublier...

Tour et détour dans sa maison, elle passa devant son bureau, y vit parchemins, plume, encre. Elle tira sa chaise et y posa son séant, saisi sa plume et la plongea dans l'encrier, l’égoutte et la laisse marquer ses mots sur le parchemin devant elle :




Des mots légers comme une brise
Des baisers échangés devenant souffle
Des caresses balayants mes bêtises


Non, ça va pas, déjà fait...elle froissa, chiffonna et jeta et en reprit une autre :



J'ai tant rêvé de toi que tu hantes chacun de mes désirs
J'ai tant rêvé de toi que tu habites chacune de mes pensées
Mes bras se resserrent sur un corps absent
Mes lèvres se posent sur une plume d'un oreiller solitaire
Je le prend et l'enserre respirant des parfum
Yeux clos et coeur ouvert à la multitude des sentiments

Ô solitude grisante, Ô sentiment me maltraitant

Comment ne pas oublier la douceur de tes lèvres ?
J'erre dans les ruelles dans l'espoir de te croiser,
Me glisser, sombrer et ne plus te lâcher
Attirance des nos âmes repoussant mes démons
Âmes guerrières plantant une flèche dans mon coeur

Je me hisse au sommet de l'espoir d'un éventuel retour
Je retombe dans les abîmes si noires m'y laissant porter...

Je viens
Je pars
J'aime et je hais
Mon coeur bat à des rythmes plus fous
Je suis là ne me vois tu pas ?
Aimes moi, parles moi, regardes moi...


Elle repose sa plume laissant le parchemin sur son bureau puis revient dans son fauteuil genoux sous le menton le regard de braise dans lequel se reflète les flammes de l'âtre...elle pense, elle pense...elle pense qu'elle ferai mieux d'oublier.
_________________
--Elfy
Elfy vivait dans la foret abritée par tous les regards et elle s'y sentait merveilleusement bien.

Un bruit, des bruits, des coups de haches puis le bruit d'un arbre qui cri sous la douleur quand il tombe. Un autre cri, celui d'un homme qui tombe...
Elle court se frayant un chemin parmi fougères et branchages puis voir un corps étendu sous la cime de l'arbre. Du rouge se mélangeait au vert et marron du début des feuillages d'automne.
Elle saisi ses mains puis le tire de toutes ses forces. Il ne bougeait plus. Elle s'approche de son visage pour sentir un souffle à peine perceptible. Qui est ce ? quelqu'un le connait en ville peu être ?


Elle retourna à sa cabane et prit sa brouette et retourna près du corps inerte et le hissa comme elle puis se dirigeant ensuite vers le village. Des mois qu'elle n'y avait pas mit les pieds mais cette fois, elle se devait de faire un effort.

Une fois arrivée en ville, elle voyait le regards des gens croisés et qui se murmuraient observant le corps du sieur sur sa brouette. Elle s'arrêta devant un couple :


Pardonnez moi mais...le connaissez vous ?

euh...oui...oui oui...c'est Wolfawk, le mari de Lana, le tribun de la ville. Ils vivent aux abord de la foret...près de la maison rose...est ce qu'il est....?

Elle ne leur répondit que par un signe de tête puis se dirigea vers la rue indiquée et toqua à la porte :

TOC TOC TOC !!!
Lana_
On frappe...Lana se dirige la tête pleine de questions sans réponses. Une jeune femme apparait devant elle, elle ne se rappelait pas l'avoir vue en ville ou où que ce soit d'autre :

Bonjour...que puis je pour vous ?

Bonjour Dame. Est ce vous Lana ? Tribun de la ville ? on m'a indiqué votre maison. Je suis Elfy et je vis en reclus dans la foret.

Lana la regardait intriguée se demandant ce qu'elle lui voulait. Des conseils ? Elles se regardaient. Lana voyait que la jeune femme avait l'air gênée, embêtée.

Que puis je faire pour vous Elfy ?

Et bien...en se poussant laissant apparaitre la brouette dans laquelle se trouvait Wolf, on m'a dit que c'était votre époux...

Lana découvrait avec effroi le corps inanimé de Wolf et se dirigea lentement vers lui. Etait il encore en vie ? Elle se dirigea vers lui le regard vide. Elle se pencha vers lui pour sentir son souffle. Il était encore vivant même si son souffle était à peine perceptible.

Aidez moi à le transporter à l'intérieur.

Elles le prirent toutes deux et le posèrent sur le lit.

Avez vous besoin d'aide Dame ?

Non...ça ira merci...je vais m'en occuper...merci de me l'avoir ramener Elfy.

Elfy la salua et s'en retourna vers sa foret brouette en main.

Lana avait dévêtit Wolf pour voir s'il saignait mais ne vit rien mis à part quelques contusions. Elle n'avait même pas demandé à la jeune femme ce qui s'était passé mais elle s'en doutait un peu. Wolf passait beaucoup de temps dans la foret à bucheronner donc il était presque évident de se douter ce qui s'était passé.
Etrangement, elle s'attendait presque à cette issue. Elle n'avait plus de nouvelles de lui depuis plusieurs jours déjà et pensait à une issue fatale. Elle l'avait cherché, en vain, allant et venant plusieurs fois dans la foret pour le retrouver mais il changeait très souvent d'endroit.

Elle s'occupa de lui du mieux qu'elle pouvait sachant que la vie le quittait peu à peu. Aristote avait un fort pouvoir contre lequel il était difficile de lutter contre lui.
Elle se pencha vers lui calmement pour venir effleurer ses lèvres dans un doux baiser en caressant son front et lui murmurai des mots doux. Il ouvrit les yeux et leurs regards plongèrent l'un dans l'autre. Leurs yeux qui avaient si souvent parlés à la place de leur bouche. Des regards qui en disaient long.
Des larmes coulaient sur ses joues s'éclatant sur les lèvres de son époux. Il referma les yeux une dernière fois, lâcha son dernier souffle et elle colla ses lèvres une dernière fois sur les siennes.
Heribert
Son amie depuis sa naissance, son amie d'enfance avait perdu un être cher. Elle semblait si forte face à cette évènement tragique. Quelle beauté d'âme avait elle.

Il vint doucement, frappa doucement, la regarda et ne dit rien, les yeux en disait tant qu'aucun mot n'avait leurs mot à dire.

Naturellement il lui fit une accolade partageant sa peine. Il n'avait pas de rapport exceptionnel avec Wolf, mais si il avait été son homme. Il devait être aussi un grand homme. Il ne dit rien tout était dit.

Il lui sourit chagrin et reparti, la réalité de la mine prenait toujours le dessus, il y parti d'un pas lent et mélancolique. Le ciel gris était morne, l'automne enfoncé encore plus sa chape, comme le temps, il partit empli d' affliction, elle savait aujourd'hui qu'elle pouvait compter sur lui. Si elle avait besoin, d'un réparateur de chaise... Il songea aussi à Ruta, où était elle aujourd'hui, puis il oublia....Dans le défilé monotone de la campagne en berne.
Lana_
Elle lui ouvrit, le regarda, pas un mot, juste leurs regards qui se croisent, qui parlent. Une pensée suffit, paroles inutiles. Une main posée sur sa joue. Il la sait, il la connait depuis toujours.

Relâchant la pression de leur étreinte, elle le laisse partir ne le quittant du regard jusqu'à ce qu'il disparaisse au coin de la rue. Ils laissent les rues parler, eux seuls savent.

Elle referme la porte et s'y adosse, elle sait, il sait, il revient sans jamais n'être vraiment parti.
Elle entend la pluie, le froid, elle regarde l'âtre et le remplit.
Elle se doit d'avancer, ne pas sombrer mais sans jamais l'oublier. Il fut son époux et lui avait murmurer ces derniers mots :
Sois heureuse...vis pour moi...

Les souvenirs font avancer, le futur se construit sur le passé, la page doit se tourner sans jamais oublier.
Lana_
Les jours avaient passé, les semaines aussi. Elle avait reprit le dessus en passant en dessous.
La vie a Joinvilles était si triste ces derniers temps. Animée oui mais triste. Que de tristesse de les voir tous se déchirer pour une même place. Elle devait être bien bonne, y gouterait elle un jour peut être. Même si elle pense qu'elle a un gout amer et qu'elle n'aime pas l'amertume.

Un voyage repoussé de quelques jours et bientôt Lana au pays des merveilles. Mais avant il fallait s'occuper un peu.
Elle se posa telle la penseuse de Joinvilles et fuma par les oreilles. La pression montait. Le cerveau en éruption. La cocotte allait cocotter. Des idées, des pensées. Une jambe cassée qu'il fallait occuper et le reste du corps qui bougeait lui.

Des mots lui virent à l'esprit : marionnettes, fil, jeu, théâtre...
Elle sourit puis se leva. Elle se dirigea vers le marcher puis mit dans son petit panier un peu de tout : tissu, bois, perles, fil, bouton, peinture, tenture, aiguille...coupa quelques crins des chevaux à son retour puis s'enferma chez elle.

Le tout éparpillé un peu partout sur la table ou par terre ou par ici et même par là. On pouvait entendre de l'extérieur des sctich scritch....pannpannn...aïeaïeaïe...ouilleouilleouille....
On croirait qu'il se préparait un manège ou un sacré remue ménage. Mais nages ma jolie nages....

Le temps passait et le fil se tissait. La journée s'étiolait et le soleil commençait à se nicher entre les collines. Bientôt elle aurai finie.
Elle alluma quelques bougies pour y voir plus clair et termina son oeuvre qu'elle vint exposer dans sa salle.
Elle prit du recul les mains sur les hanches et sourit :


Pas mal...pas mal du tout...faut qu'il voit ça...





Une fois tout installé, elle courra à travers les rues pour aller le chercher.
Heribert
Humpfffff, oufffffff, hummpfffff, oufffffffff, humpffffff oufffffff.

Et Lana en mode athlète, visions de paradis. Clopin clopan, boiteux boitant, il admire l'effort.

Hummmm, alors ma douce on a perdu quelques choses on cherche quelqu'un?

Il songe en voyant la Féline, le regard qui pétille, au bouquet fleurie de ses parfums.

Ma chatte, invité divin de mes ondes
A l'échine électrique en queue d'aronde
Fibule accroche toi en bulle et glisse
Emule mes doigt sur ton pelage lisse
Lance d'affection d'un regard tigresse
Induit d'interligne en griffe d'hardiesse
Nourri mon appétit de mille transgresse
Empresse moi, vite de folie expresse
Lana_
Ah tu es là toi ! j'te cherche partout depuis tout à l'heure.

Elle arrive vers lui et le soutien sous l'épaule tout comme elle le soutien en tout autre chose. Baiser qui glisse et peau qui s'affine en féline croquant une crevette.

Viens avec moi, on va chez moi ou on va chez toi ? ou chez elle enfin chez moi quoi. Je m'ennuyai alors j'ai fait un ti truc de circonstances.

Elle sourit et aida son canard à clopiner tout doux tout doux. Une fois arrivés chez elle, elle ouvrit la porte laissant le théâtre trôner en sa place au milieux de sa salle sur sa table propre.

Alors ? ça te dit ? vu que pas mal parlent de marionnettes et de fils à tirer, j'ai eu cette idée. Même que tu pourras t'assoir et po bouger. Enfin que les jambes qui bougerons pas...les bras et les mains pourrons faire tout ce qu'ils veulent...le programme te plait ?

Elle l'aide à se poser sur une chaise prenant garde de ne pas lui donner celle recassée...une jambe suffit pas besoin des deux. Son dos ne pourrait pas le supporter et elle courberait l'échine qu'elle préférait de porc.

Elle alla chercher les marionnettes faites de ses petites mimines et les posa sur la table devant lui. Il y en avait de toutes sortes. Des belles, des longues, des nobles, des paysans, des moustachus, des blondes, blond, bruns et brunes, des cyans et des red assez raides à faire eux d'ailleurs, des moutons, des toutous aussi...enfin un peu de tout. Ne restait plus qu'à jouer.

Elle eu soudain une idée, ce qui lui arrivait rarement ces derniers temps il parait. Il lui fallait plus de monde, bien plus de monde. Sa maison était pas bien grande mais elle avait chez elle et du monde, il en passait.

Regard, sourire, la féline ronronne à son félin :


On joue à deux ? ou je ramène du monde ? enfin j'essaye d'en ramener...chai po s'ils aiment jouer mais on peut essayer qu'en penses tu ?
_________________
Heribert
-On va ramener du monde, viendra qui voudra, mais plus on est de fou, plus on rit.

Il songe un quart de poil de seconde. Et ce dit pour avoir du monde quoi de mieux que les flyers. Il prend du vélin, de l'encre pas sympathique, de la bien gluante, et qu'on voit bien, quoique un petit message secret. Humm, non allez simple, plus tard pour les secrets de polichinelle.

Premier vélum rosum, sous la plumoune qui scribouille.


Fleur

Ici Héribert Stop
Lana et moi sommes en grave danger de manque d'éclate Stop
Viens vite, on tiendra plus longtemps Stop
Viteeeeeeeeeeeeeeeee Steeeeeeeeeeeeeeeppppppp

Hum sobre propre, clair et distinctif l'essentiel est là, La présente à sa douce en attendant une éventuelle critique avant d'envoyer. En attendant la sentence. Entamation d'un seconde secondo deuxième flyers.


Trix

Ici Héribert Stup
Blablab............... Stup.
Viteeeeeeeeeeeeeeeeeeee Steeeeeeeeeeeeeeeeepppppppp

Il transmet à sa douce, et toujours aussi véloce la plume poursuit sa route

vvvvvvvvvvvvvvvvvvrrrrrrrrrrrrrrrrrrrroooooooooooooooooooaaAAAAAAAAAMMMMMMMmmmmmmmmmmmmmmm



Showy
Blablab............... Stup.
Viteeeeeeeeeeeeeeeeeeee Steeeeeeeeeeeeeeeeepppppppp



Yselada
Blablab............... Stup.
Viteeeeeeeeeeeeeeeeeeee Steeeeeeeeeeeeeeeeepppppppp



Marco
Blablab............... Stup.
Viteeeeeeeeeeeeeeeeeeee Steeeeeeeeeeeeeeeeepppppppp


-Voilà ma douce pour un premier jet, dis moi à qui tu songe et je drive sur le circuit en formula one en trois lettres.
-Dis moi tout, mais fait un résumé quand même, sinon ça va être long.
Lana_
Faire court ? dis que je parle trop aussi ! Alors, en un mot et rien qu'un seul : ça me va !

Elle compte sur ses tis doigts :

Ah na euh...trois mots...désolée hihi. Mais tu as raison, plus on est de fous plus on rit mais penses tu que d'autre fous nous rejoindrons ? Je l'espère en tout cas, ça s'amuse bien trop peu en ce moment à Joinville. Sont bien trop sérieux ces derniers temps. Bon bouges pas de là, je reviens.

Elle lui glisse un baiser dans son cou délicieux puis va en direction de son pigeonnier. Elle lève le nez voulant choisir les plus beaux :

Alors, toi pi toi pi toi pi....nan toi j'te garde pour mes petits poids...toi pi toi pi....pi c'est tout. Je devrais en avoir assez.

Elle revient vers sa crevette quand son regard se posa sur un monticule de terre. Ô rage Ô désespoir !!! une taupe !!! dans son jardin secret !!!

Mon ange viens vite ! y'a une vilaine dans mon jardin ! vilaine ou vilain remarques j'y ai pas encore regardé....

Elle rentra en courant avec ses pigeons à la main et les déposa dans une caisse pour pas les voir s'envoler sans leur précieuse invitation accrochée à leur patte.

On a du boulot mon ange....je vais nous transformer en chasseurs de taupe. Mais t'en fais pas, si on y arrive pas, je connais quelques spécialistes qui aurons surement du temps à perdre et ils viendront chasser à notre place. Sont super doués tu sais ! pi ils ont rien d'autre à faire en ce moment je pense.

Elle sorti en le tirant par la main puis les arma de pelles.

Allé ! on creuse ! sauf si tu as une autre idée pour la dénicher ?
_________________
Heribert
Yep! j'ai plusieurs idée pour la chasse à la taupe.

Réfléchissant intensément pour la chasse à la taupe. Il entre en trans en trans en dance. Et mouve son corps en faisant la danse de la chasse à la taupe.

Puis s'arrête immobile en position du dieu plus que parfait. Ô déousse pourquoi tu m'as fait si parfait. C'est si chiant d'être un sérial perfect.

Il lève un premier doit en l'air.

Alors la première méthode consiste à séduire la taupe par un air de bon ton et lui l'achever à coup de boulet je te montre.

Méthode un. Il mime la méthode un. Coup de boulet

Second doigt lever en l'air. Et met à l'index le ciel.

Seconde méthode, le faire danser sous l'orage.

Méthode deux, il mime la méthode deux: coup de foudre.

Enfin il prend une inspiration sorti des abysses, hésite, un air grave, puis lève le majeur bien haut pour dénoter la troisième méthode, la plus profonde qui vous accule tout le monde dans les coins.

Alors voilà la troisième méthode. l'apothéose.

Méthode trois, il mime la méthode trois: Coup de champignon

Bien entendue cette méthode est dangereuse donc je la déconseille pour un public non averti.

Qéketandi?
Lana_
Quékjendi quékjendi...bah j'en dis qu'elle va morfler la pov taupe ! tu es d'une cruauté mon ange...

Elle lui sourit puis glissa ses lèvres sur les siennes :

Bon, j'te laisse t'occuper de cette vilaine. Moi, j'ai des crêpes à faire. Faut que je mette tous mes atouts de mon côtés si on veut du monde avec nous pour jouer. Des nouvelles de Fleur et de Trix ? ou bien de Yse ? Je pense qu'avec quelques bonnes crêpes, une bonne bouteille et du rire, on devrait y arriver.

Elle alla en sautillant et chantonnant en direction de la maison. Direction la cuisine. Farine, oeufs frais, lait directement arrivé de dame la vache qui se sentait soulagée de quelque poids, sucre et une pointe de sel.

Une jatte, une jarre, à ne pas confondre avec un jard qui n'a pas du tout la même utilité, et elle se mit au travail. Magie de la cuisine voyant les ingrédients se mélanger sous la douceur de sa cuillère.

Touille touille ma belle et fais nous de jolies crêpes dorées juste comme il faut...

L'appareil était parfait, lisse, sans aucuns grumeaux. la perfection naissant de la perfection.
Elle alimenta l'âtre de quelques belles buches qu'elle entendit crépiter. Elle posa la poêle sur la crémaillère.
Une louche, ça c'est louche et faut pas loucher dessus au risque de tout foutre à côté. Elle versa un peu de pâte sur la noisette de graisse bien chaude et la répartie sur tout le fond de la poêle. L'odeur lui chatouillait les narines et elle ne résisterai surement pas à l'envie de croquer la première. Chaud comme il le faut avec un soupçon de miel qui fond au creux de la chaleur. Elle en replit les contours et l'approche de ses lèvres en fermant les yeux. Sa bouche s'entre ouvre et elle laisse ses lèvres emprisonner le délice sucré :


MMMmmmMMMmHHHhhhHHHh.....quelle douceur...quel plaisir....

Elle engloutit le reste et se remit à l'oeuvre pour terminer la jatte de pâte. Les petits disques dorés sautaient les uns après les autres et finissaient ensuite sur un plat qu'elle posa sur la table.
Elle alla ouvrir la fenêtre et s'écria :


C'est prêttttttttttttttttt !!!!!!!!!!
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