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[RP] N°2 Rue de la Foret, chez Lana

Luthiene
luthiene arriva devant chez lana et toquas une boule au ventre de devoir lâchée jeni

coucou lana je viens te déposée jeni pour la nuit, je t'ai amenée quelques marchandises pour elle

sourit mais avais la boule au ventre de la voir partir elle aimais cette petite et ne le cachais pas
mais ne le montrais pas a jeni et lui sourit même

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luthiene de tourn
tête de mule professionnel

Jenifaela
[Le soir]

La puce arriva dans les bras de Luthiene qui toqua a la porte. La petite se mit a lui sourire pour ensuite rejoindre les bras de Lana,

Sa frimousse brune opta pour sa cachette favorite qui était le creu de l'epaule de l'adulte.
Une fois a l'interieur la petite, les yeux grand ouvert, se mit a bouger, gigotter pour que Lana la laisse aller au sol, ainsi elle pourait mieu se familiariser avec son environement, les main sur le sol ainsi que les genoux, et hop c'etait partie pour la découverte.

Apres plusieur pièces visité, la puce se demanda ou etait la cuisine?! L'endroit le plus interessant et aussi l'endroit à savoir en cas de besoins alimentaire... elle galoppait vide la petite brune passant de piece en piece puis; Miracle la cuisine, avec toute la panoplie d'objet brillant a la lueur de la bougie, celle ci dansait devant les yeux de la gamine curieuse d'aprendre, elle se redressa donc sur ses deux pieds à l'aide d'une poignée de placard et toucha un couteau qui retomba bruyament au sol se qui fit sursauter l'enfant et la fit retomber sur ses fesses, mais aucun pleurs, ayant plus la peur de se faire disputer que par la chute.

C'est ainsi qu'elle decida de fuire la piece pour aller dans une autre.
Ses yeux se posèrent alors sur une chose à terre, celle ci bougeait aussi vite qu'elle voir plus vite
Cela resemblait à une petite boulle noir avec pleins de pattes, l'enfant pencha de nouveau la tête et s'aprocha pour mieu voir l'animal minuscule.

Elle etait amusante car au niveau de sa tete elle fesait bouger ses deux crocs,de haut en bas avancant a grande vitesse vers Jenifaela
elle se deplaca sur les pattes arrière fesant pédaller dans le vide ceux de devant.

La petite trouvait cela amusant, et ne connaisant pas encore ce qu'etait une araignée elle voulu l'attrapper, mais trop tard la bestiole passa de sa main au sol pour filer se cacher sous les meubles, laissant sur la main de la petite deux petit points entouré d'une rougeur.
La petite n'y fit même pas attention, toujours intrigué par l'animal.

Frustré de ne pas l'avoir attrapé, elle ronchona pourtant Jenifaela savait que si elle la voyait de nouveau, elle la montrerait a Lana qui lui expliquerait ce que cela pouvait être.

Puis de nouveau sur ses mains et ses genoux l'enfant retourna vers Lana, les bras tendu et les yeux rougit par la fatigue, ronchonant de nouveau pour etre priseà bras et surtout contre l'adulte....

[Le matin]

Elle dormait pres de Lana, au creux de son ventre, son bras droit replié sur son ventre a elle, et l'autre bras sur le ventre de Lana agripant le tissu de son vetement, bercé par sa respiration
Jeni resta endormie, paisible et surtout...heureuse
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Petite fille de cinq ans

Lana_
[Toujours ce fameux soir...]

Il est de ces journées qui, à la lueur d'un simple rayon de soleil, s'annonçant comme la précédente, offrent son lot de surprises, de rencontres, de découvertes.

Cette journée ci allait offrir à Lana bien plus que cela. Elle allait lui offrir à elle mais aussi à l'Ours, un bouleversement dans leur vie, une rencontre à laquelle ils ne s'attendaient pas.

Jenifaela, petit bout de choux au environ de 2 ans poussant la porte de la taverne de Lana et galopant au plus vite sous une table.
Qui était cette enfant et surtout comment était elle arrivée ici, à Joinville...? Tant de questions qui fusaient dans la tête de la Tribun, questions auxquelles elle n'aurait sans doute jamais de réponses.

Lana était tout simplement tombé sous le charme du petit ange déposé sur son chemin par Aristote. Et elle le prenait comme tel.

La journée passa, tranquille ou presque laissant la vie semer quelques embuches sur la route mais que Lana tentait au mieux d'enjamber. L'ours avait su calmer les pleurs de Jeni, l'ours avait prit la petite dans ses bras.
Les rires de Jeni, ses pleurs, ses sourires, son pouce qu'elle suçait au rythme des caresses faites dans l'étreinte de sa poupée. Lana ne pu résister à un tel appel et la petite fille semblait les avoir tous deux adoptés.

La pauvre petite avait visiblement vécu des choses qu'une enfant de son âge ne devrait avoir à vivre et elle devait retrouver une certaine plénitude et vivre sa vie de petite fille.

Ce fameux soir, Lana rentra un peu plus tôt chez elle pour préparer tout ce qu'il fallait pour l'arrivée d'une enfant. Au vu de l'heure tardive, elle ne pu préparer grand chose, juste faire avec ce qu'elle avait sous la main. Pour dormir, l'Ours étant sur les remparts, elle avait prévu de la faire dormir avec elle.

On toqua à la porte. A peine eut elle ouvert que déjà Jeni était dans ses bras, nichée au creux de son épaule. Un sourire tendre se dessina sur les lèvres de Lana amenant une main quasi maternelle sur la brune chevelure.

Un autre sourire s'adressa cette fois à Luthienne :

Merci beaucoup Luthienne, je te promets d'en prendre soin...

Elle saisi le sac tendu puis, après l'avoir salué, elle referma la porte alors que le petit vers de terre se débattait pour aller au sol.

Elle laissa Jeni vadrouiller là où bon lui semblait, sursautant par moment à la chute du couteau qu'elle rangea soigneusement après avoir fait comprendre à Jeni que c'était dangereux, ou bien à la venu de cette araignée qui semblait intrigué la douce enfant...

Lana s'assied à même le sol, à la hauteur de Jeni pour mieux la contempler et découvrir la maison.
L'heure avançait, elle prend cette douce enfant dans ses bras, la cajole, la câline, la garde tout contre elle. Elle savait qu'une enfant de cet âge, encore un bébé, avait besoin de la douceur d'un bras qui se devait d'être maternel. Lana se transformait, devenant ces bras dont Jeni avait besoin, et elles se le rendaient bien.
Dans la douceur d'une étreinte, un pas doux, lent, en direction de la chambre. Doucement, gardant Jeni contre elle, elles s'allongent l'une contre l'autre, gardant ce contact qu'elles cherchaient chez l'autre. Doucement, elles se laissent aller dans les bras de Morphée...


[Toujours ce même matin...]

L'étreinte se fait douce, la caresse sur la joue se fait lente, l'abandon des bras de Morphée pour retrouver ceux de l'autre se fait paisible. Les paupières s'ouvrent alors qu'un rayon traverse la petite chambre illuminant la peau de porcelaine de Jeni. Lana se redresse gardant une main posée à plat sur le ventre de l'enfant contemplant cette merveille endormie. Un sourire se dessine alors que ses yeux d'enfants restent clos. Elle a l'air si heureuse.

A peine éveillée, Jeni vient s'accrocher au cou de Lana avant de quitter le lit témoin d'une douceur encore jamais vécue puis prenant ensuite la direction de la cuisine. Un bol de lait chaud fraichement tiré de ses vaches, des biscuits et une fois le tout avalé se regardant l'une et l'autre, s'échangeant leurs victuailles, laissant échapper un rire lorsqu'un doigt vient chatouiller un cou, elles prennent la direction du marché.

Une bourse bien remplie devait se vider pour offrir à une enfant de 2 ans tout ce dont elle avait besoin.
Un lit à barreau, des langes, des robes, un chapeau qu'elle posa sur la tête de Jeni qui se mit à rire aux éclats quand il lui cacha les yeux. Un peu plus loin, quelques tentures qu'elles choisirent pour agrémenter la fenêtre de la chambre d'amis qui deviendrait chambre d'enfant. Plus loin encore, un cheval à roulettes sur lequel Jeni pourrait passer de longues heures pour s'entrainer avant de prendre le dos de l'Ours pour celui d'un cheval. Cette pensée fit sourire Lana collant dans l'instant un tendre baiser sur la joue de Jeni.

Une fois la bourse vide et les mains pleines, elles prirent la direction de la maison rue de la foret et déposèrent le tout sur la table. Jeni fut posée à terre tout près du cheval qui ne mit pas de temps à être monté. Jeni avait vite comprit comment il fallait s'y prendre pour avancer et elle s'était mise à faire la table en riant et entrainant Lana dans un rire commun.



Un long moment plus tard, alors que la matinée touchait à sa fin, Lana s'adossa au mur et se laissa glisser lentement jusqu'au sol regardant le petit ange qui semblait oublier pour un temps ce qu'elle avait vécu. Lana la contemplait sans jamais s'en lasser, son sourire ne quittaient plus ses lèvres. Jeni stoppa devant elle et les iris plongèrent l'un dans l'autre. Une complicité était née entre elles, une complicité que Lana ne pensait pas vivre si vite, elle ne se sentait pas prête, mais visiblement elle l'était.
Jeni descendit du cheval, venant en sa direction pour venir dans le creux formé de ses jambes croisées prenant la position du foetus, la tête posée sur un genoux. Lana posa une main sur sa tête caressant la douce chevelure, l'autre prit la direction de son ventre. Le pouce dans la bouche sucé lentement, la respiration paisible, Jeni s'endormit alors que Lana chuchote doucement :
 « Je t'aime... »
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Jenifaela
[Une journée magique]

Une fois levée, lavée, changée, habillée et avoir mangé l'ange brun plongea son regard dans celui de Lana, heureuse, l'enfant l'était elle sentait que tout changerait pour elle.

La matinée fut accompagné de rire complices, de sourire, de regards tendre, Raphie la fille de Luthiene avait parlé à Jenifaela, lui expliquant ce qu'était une mére, biensure le petit bout ne pouvait pas comprendre ni connaitre, la seule chose qu'elle sache c'est qu'elle avait eu un pére un jour, froid, autoritaire mais adorable en privé lorsqu'il était avec elle.

Ce pére, elle l'avait reconnu en Alexandre, elle avait littéralement craqué sur lui, elle qui était si farouche, si peureuse..Enfin la matinée passa et donc Lana la couvrit pour ensuite aller se promener dehors.

La petite ne sachant pas marcher, resta à bras. Et oui parfois les traumatismes ses présentent différemment, car La petite savait comment faire pour marcher, mais elle ne le voulait pas trouvant cela désagréable de rester debout sur ses deux jambes.
Deux fois elle s'était redressé:
Dans la maison de Lana pour attraper le couteau
En taverne s'agrippant à Alexandre pour rester stable.

[Le marché]

La petite ne savait plus où en donner de la tête, tant d'étalages, de personnes qui vente la qualité de leurs marchandises;
Observant curieusement les villageois de Joinville la petite passa du rire, a la peur, des gros yeux étonné aux petit yeux rieur.

L'étalage sur lequel elle eut le plus peur était celle du bouché, les carcasses pendu par le haut, le tablier blanc souillé de sang enfin Lana ayant vu la peur de l'enfant la ramena au creux de ses bras pour aller vers l'étalage pour les enfants.

Et là, un sourire réapparut sur le visage enfantin de Jeni, des lits, des jeux, des doudous, des habits, elle etait absorbé par toutes ses choses les yeux brillant d'impatience voulant tout prendre dans ses bras et ne jamais rendre , mais, Lana fit son choix et Jeni approuvait d'un signe de tête.

Et hop prés a repartir, mais Lana la surpris avec un chapeau qu'elle plaça sur sa tête,

les franges de tissu de celui ci lui cacha les yeux, étonnée l'enfant resta stoïque. Lana releva le bout de tissu et l'enfant se mit à rire au éclats!

Elle était si heureuse, un lien fort liait Jenifaela a Lana, la petite voulait à jamais rester prés d'elle, ne jamais plus la quitter! Ni elle, ni Alexandre...
Et cela le destin l'avait décidé ainsi!
Et la L'adulte repartie vers les tentures, ce que la petite ne compris pas, dans sa tête d'enfant elle dormirait tout le temp dans les bras de Lana, et quand elle s'apercevra du contraire, ca deviendra trés compliqué de la coucher sans pleurs, mais cela les adultes s'en rendrons compte tout seuls!
Puis c'est là, à ce moment là que Jeni vu le cheval que lui avait choisi Lana. Pour montrer qu'elle le voulait, elle tapa dans ses mains et ceci était accompagné par le plus beau des sourires d'enfant

[Le retour à la maison]

Les regard encore éblouit par tout ses trésors, elles regagnèrent la maison et Lana posa tout sur la table, sauf le cheval en bois qui biensure fut poser au sol, et de ce fait, Jeni voulait egalement retourner par terre pour essayer son nouveau jouet, montrer que cela lui appartenait et que surtout elle l'appréciait. Donc elle se dandina de gauche à droite.

Au contact du sol, la petite se dirigea vers l'animal de bois, tout d'abord elle l'examina, ne sachant comment s'y prendres'allongeant tout d'abord dessus, puis quelques minutes plus tard elle compris et passa sa petite jambe au dessus pour le monter, une fois ceci fait elle le le fit rouler à la force des pieds, fesant ainsi la longueur de la table, accompagné de cries de joie et de rire qui soudain fut rejoins par un échos, ceux de Lana.

[Quand la fatigue arrive...]

Elle avait passé toute la fin de matinée a jouer sur son nouveau jouet, Les yeux emplis de bonheur, mais un bâillement, puis un autre...

Et puis c'était si drôle quand la petite passait dans les jambes de Lana, mais là, présentement, elle n'était plus debout mais assise au sol qui inquiéta a premiere vu la petite, qui descendit de son jouet retrouvant le sol, toujours a quatre pattes se dirigea maintenant vers l'adulte.


La petite pencha la tête comme a son habitude, voyant par la suite le sourire de Lana, elle y répondit avec tendresse gardant le lien visuelle, plongeant son regard enfantin dans celui de la tribun du village, la petite s'entait comme un tourbillon dans son coeur, des sentiments qu'elle n'avait jamais ressentit... Peut être que c'était cela que Raphaelle lui expliquait? Que son coeur de petite fille avait choisit sa maman...

La petite se mit dans le "nid" que formait les jambes de Lana, son pouce prit la direction de sa bouche, sa tête la direction des genoux de Lana et au rythme des caresse tendre de Lana sur les cheveux de l'enfant, la petite pris le chemin des rêves.

[Debut et fin de soirée peut ordinaire]

En taverne, il y eu une drôle de conversation entre Lana et Luthiene dont la petite n'en compris pas le sens mais, cela l'avait touché. Elle avait sentie que cela tournait autour d'elle et son attachement envers Alexandre et Lana, une seule frayeur, celle d'être séparé d'eux la seule chose qu'elle put murmurer dans les bras de Lana était "J'veus 'éster 'vec papa" et cette toute petite phrase fut sortir de la taverne Luthiene qui boudait.
Le regard rivé sur Alexandre la petite eut peur, mais un sourire discret de celui ci la fit sourire à son tour. Puis une interrogation toujours le regard rivé sur Alexandre la petite lui demanda:

-"L'ma...man n'a moua?"

Tout en pointant Lana du doigt, Alexandre lui fit comprendre que c'était à elle de décider, mais la décision était prise, c'est donc avec le sourire que l'enfant regarda Lana et lui répéta

-"T'ma..ma..man.."

C'est donc ainsi qu'en une journée, l'enfant avait de nouveau un pére, et pour combler son bonheur une mère!

Dans cette même taverne la petite réclamait les bras de son pére donc, elle s'endormie au creux de ses bras, son visage blottit dans son cou son pouce en bouche le tétant doucement.

[A son réveil]

Elle ouvrit les yeux et encore une fois, elle etait dans les bras de Lana, Alexandre ayan dormi à sa forge. La raison pour laquelle elle dormait dans les bras de Lana? Et bien c'est qu'a chaque fois que Lana la posait dans son lit a barreau l'enfant hurlait à s'en étouffer, il etait encore trop tôt pour elle d'être de nouveau abandonné.
Abandonné pour une nuit seule, même si une nuit c'est "court" l'enfant n'était pas prête d'etre de nouveau loin de sa "mére" elle avait besoin de ses bras, son contact ses calins alors elle avait placé son visage sur le ventre de celle ci, un bras sur le ventre de Lana et l'autre replié contre elle pour pouvoir téter son pouce au rythme de sa respiration paisible....
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Petite fille de cinq ans

Jenifaela
[Le 25° jours de mai]

A son réveil, la puce était dans les bras de Lana, comme d'habitude mais, toujours aussi boudeuse, la puce ce laissa glisser sur le sol pour vaguer à ses occupations.
La petite voulait progresser, elle voulait avancer mais biensure on ne pouvait pas demander a une enfant de courrire, de parler comme un adulte préoccupé par tout cela, elle décida d'aller jouer, elle prit la poupée que luthiene lui avait offerte et s'approcha du cheval a roues.
Enjambant celui ci, Jenifaela le fit avancer par la force de ses jambes, sa poupée dans la même position q'elle sur le cheval elle alla de plus en plus vite, et la PAF, elle se prit un mur, la poupée glissa sur le coté pour rejoindre le sol, Jeny fit pareil, essayant de retrouver ses esprit biensure, l'enfant se mit a hurler, chose comune a chaque enfants!
Elle n'avait rien, jusque un bleu sur la joue et le ventre, du a la projection contre l'animal de bois, et le mur.

Tout en pleurant, ses yeux brun, bleuté se figèrent sur la fenetre qui laissait passer le soleil, un soleil chaud et agréable qui donnait envie de sortir, peut être en taverne? Non bien trop de monde et il n'y a même pas de jeu pour elle, la seule chose a faire c'est: manger, boire, essayer de marcher faire des dessin et se faire prendre dans les bras.
L'une des seul chose qu'elle adorait c'était de jouer avec le clown! Mais avec cette periode de deuil que son pére lui avait demander de faire, c'etait moin drôle, le noir ca ne lui plaisait pas, ca la rendait triste.

Il fallait prévoir un plan pour partir seule, comme une grande! et découvrir cette ville avec le lac, la foret le marché et tout ses biscuit. Pour le moment, sa mére ne tarderait pas a arriver vu les cries que l'enfant avait poussé. Mais a un moment il fallait pensé à découvrir les choses qui l'entourait.

Elle voulait rendre fière ses parents adoptifs, pour cela il fallait etre grande, et pour etre grande il fallait avoir le courage. Il y avait surment des endroit emplis de monstres comme dans les contes de fées que les grand lui racontait, elle se voyait pas princesse, mais chevalier ou héros! Celle qui découvrirais les trésors, celle qui vivait des aventures. Pour cela, elle était prête a prouver a sa mére que si elle avait pas peur de partir toute seule elle serait capable d'avoir un chien, son pére sera surment fière d'elle et ne poura dire non a sa demande.

Mais pour cela, il fallait trouver le bon moment
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Petite fille de cinq ans

Alexandre908
[Ce même jour au matin, de retour de sa forge.]

Le pas était lent, fatigué, las. Le Fainéant commençait à s’essouffler lentement, et pour cause...La Situation de la Bourgogne. Pas une seconde de sa journée n'était traversé par la pensé de ce Duché déchiré, la déchirure Joinvilloise semblait bien ridicule à côté de cela.
La nuit entière il avait veillé, martelant le fer dans sa forge, prêt à recevoir un courrier annonçant la mort d'un de ses austres amis...Et pourtant, il n'en fut rien. Les 3 armées n'avaient pas attaquer Dijon, cela n'augurait rien de bon à ses yeux.

Ce n'est qu'au matin, ne voyant aucun courrier que le Chancelier, Illégitime à présent selon le Duc tout aussi illégitime, décida de rentrer chez lui, ou plutôt chez sa Reyne, cet endroit ayant été préféré pour élever l'enfant qui était venu s'immiscer dans leur vie, secouant la routine de ses caprices et de ses rires.
Alors qu'il allait pour ouvrir la porte ce dernier ne pu qu'entendre les pleurs de l'enfant, mais c'est pourtant non pressé qu'il rejoignit la pièce d'où émanait ses pleurs, allant s'accroupir auprès d'elle pour ensuite s'asseoir, l'invitant à prendre place sur ses jambes, plongeant son regard, habituellement si peu expressif et pourtant si maussade lorsqu'il se retrouvait seul ses derniers jours, dans le sien.

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Jenifaela
[Quand la porte s'ouvrit]

La petite pleurait encore, car dans sa tête, elle venait de tomber premierement, et puis elle n'avait aucune idée du moment oportun pour s'enfuir.
S'enfuir, non pas car elle est malheureuse mais parce qu'ils fallait prouver au grand qu'elle pouvait elle aussi malgres son age etre grande.

Son regard se leva vers la porte ouvert, un homme de noir vetu entra, elle sut immédiatement que c'etait Alexandre.

Il rentrait calmement , surprise elle pencha la tête, c'était bien la premiere fois depuis son arrivé qu'elle vit Alexandre chez Lana. Enfin!
Alexandre se mit a la hauteur de Jeni, pour ensuite s'assoir et l'inviter.
Les larmes aux yeux, elle s'avança pour s'installer sur ses genoux, il plongea son regard dans celui de la petite, qui comme par magie s'arêta de pleurer, il etait triste, et la petite inquiete lui aggripa le cou pour lui deposer un baiser sur la joue puis lui dit

-"L'a l'air criste papa! p'quoi?"

Elle pencha la tête comme a son habitude sur le coté
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Petite fille de cinq ans

Lana_
[Dans l'embrasure de la porte...]

Les jours passaient sans aucuns ne se ressemblent depuis que la petite puce est arrivée dans leur vie sans crier gare.
Ils s'en occupaient l'un et l'autre du mieux qu'ils pouvaient n'ayant ni pour l'un ni pour l'autre quelque habitude que ce soit avec les enfants. Elle développait peut à peu un instinct maternel au contact de Jeni et son amour pour elle grandissait jour après jour.

Pour la première fois, une enfant l'appelait Maman et chaque fois que ce son sortait de la bouche de Jeni, Lana en ressentait une grande fierté.

Cette nuit là ressemblait aux précédentes. Jeni refusant de dormir dans son lit et finissant dans les bras de sa mère alors qu'Alexandre reste à surveiller sur les remparts ou bien forgeant la nuit entière. Ils se croisaient seulement ces derniers temps mais elle le sentait préoccupé. La situation à Dijon, la perte de son Cher ami Guiguil, des amis qui s'entredéchiraient prenant parti pour l'un ou l'autre en la capitale. Lana en était attristée mais ne laissait rien paraitre devant lui voulant se montrer la plus forte possible chassant ici ou là sa tristesse par un sourire ou un rire ou une petite moquerie.

Elle s'était laissé emportée par la douceur des bras de Morphée et ceux de sa fille tant et si bien qu'elle ne se rendit pas compte que Jeni s'était levée. Ce ne fut qu'une fois les pleurs en résonance dans la maison qu'elle fut arrachée à un rêve. Elle se leva les yeux encore gonflés de sommeil puis se dirigea au son des cris de l'enfant.

Alors qu'elle poussa la porte, elle vit son aimé et sa fille en pleine discution, les regards fixés dans celui de l'autre, l'un marquant une tristesse, l'autre encore humide d'un pleur.

Elle ne fit pas de bruit, restant dans l'embrasure de la porte, les laissant tous deux se parler. Un sourire marqua son visage au baiser d'une fille sur la joue de son père puis ce sourire s'effaça à la question de Jeni. Elle laissa la porte entre ouverte se reculant un peu attendant que son Roy réponde et avant de se montrer devant eux.

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Alexandre908
[Au sol, tenant le marmot..]

Sa main parcourait la chevelure de l'enfant, doucement, marquant l'affection qu'il pouvait lui porter et dont on pourrait douter en le voyant publiquement. Au baiser enfantin l'homme ne pu réprimer un sourire un peu plus vrai qu'à l'accoutumé, la façade était pourtant son point fort.

-"L'a l'air criste papa! p'quoi?"

La tête hoche légèrement, un léger soupire s'évade entre les lèvres du fainéant.

C'est complexe...Disons que c'est en parti pour cela que tu dois te vêtir de noir...

Jamais bien loquace, le but n'est pas de parler, le but est de communiquer. Doucement l'homme se penche doucement, venant déposer son front contre celui de l'enfant, fermant légèrement les yeux, l'instant est bref et pourtant si long à la fois..
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Jenifaela
[ Dans les bras de son père]

La petite resta dans ses bras le fixant tendrement, elle portait beaucoup d'affection pour ses parents. Sa mére Lana l'avait recueillit et se battait chaque jours pour que l'enfant soit heureuse, oublie tout ses souvenirs passé d'un pére mort sous ses yeux. Alexandre l'homme qu'elle avait identifier comme son pére etait tout aussi tendre que sa mére envers elle, mais, différement. Lui preferait ne rien montrer au autres.
Elle l'écouta attentivement, sans comprendre ses propos, elle savait qu'il était triste, et que de ce fait elle devait porter sa robe noir.
Jeny ne comprenait pas toutes ses choses de grands, mais sentnd le front de son pére contre le sien, elle souria, fermant les yeux pendant ce court instant qui les liaient. Pui elle lui dit

-"Faut pas l'ete criste là la nous maman y moua. nous on l'aime fort toua!"

Puis elle lui fit un calin
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Petite fille de cinq ans

Lana_
Elle resta derrière la porte outre ouverte ne pouvant que les entendre. Elle s'adossa au mur puis se laissa lentement glisser jusqu'au sol ramenant ses genoux sous son menton.

Le silence, puis une réponse se fit de la bouche de l'homme qu'elle aimait plus que sa propre vie. Tant de choses se passaient ces derniers temps. La perte de Guiguil, la chute de la Bourgogne laissée aux mains d'un homme qui ne veut que rien de plus qu'un trône de plus, des amis et des proches blessés pour un duché pour lequel ils étaient près à donner leur vie. C'en était trop sans doute. Elle restait là à ses côtés aussi présente et disponible qu'elle le pouvait. Il est parfois des regards qui en disent bien plus que des mots.

Elle les écoutait, échangeant des mots de tendresse pouvant parfois cacher une tristesse bien plus profonde. Jeni avait vécu des moments bien trop difficiles pour une enfant de son âge. Voir son propre père mourir sous ses yeux est une chose qu'aucun enfant ne devrait supporter.
Lana faisait tout pour lui faire oublier son douloureux passé mais les derniers évènements avaient semble t'il fait rouvrir de profondes blessures. Jeni pleurait beaucoup et Lana tentait tout pour lui faire retrouver le sourire, mais en vain. Elle en arrivait même à se demander si elle faisait une bonne mère. Tout lui était arrivé dessus si vite qu'elle n'eut le temps de s'y préparer mais, pour l'amour de sa fille, elle ferait tout ce qui lui était possible pour la rendre la plus heureuse possible.

-"Faut pas l'ete criste là la nous maman y moua. nous on l'aime fort toua!"

Elle senti ses yeux perler d'eau salée la faisant renifler et allant même jusqu'à retenir un sanglot. Elle les aimait tant tous deux. Elle n'aspirait qu'à une chose, les rendre heureux. Et elle consacrerait sa vie à atteindre ce but.
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Jenifaela
[Le retour, d'une soirée en taverne boulversante]

La petite resta dans les bras d'Alexandre, son pére adoptif, véxée et toujours aussi bléssée, la petite ne broncha pas, ce qui était sûre, c'est qu'elle dormirait dans son fameux lit ce soir.
Anne la nourice n'etait pas présente, surment en train d'aller chercher de l'eau, ou même se balader au clair de lune, Alexandre était là, donc pas besoin d'elle pour l'heur.

Jeny ne disait donc rien, Alexandre lui avait promis une balade au lac le lendemain, mais la petite trop troublée d'être à son esprit remplacé par un garcon qui était vraiment beaucoup plus grand qu'elle lui fit oublier ses plaisirs et ses envies.

Elle qui savait que les papas préferait les garcon au fille, son pere qui fut mort dans l'accident lui répétait toujours: "tu aurais put faire ma fierté, si tu avait ete un garcon"

La petite à ce souvenir eut les yeux emplient de brouillard, ne voulant rien montrer, elle voulait aller à l'orphelinat, peut être qu'ainsi, un couple la prendrait elle, et personne d'autre.
L'orpheliant, un batiment qu'elle a beaucoup visité etans petite, son pere recherchait dans cette bâtisse un garcon qui aurait les epaules pour prendre sa suite lorsque la lumiere ce serait eteint sur lui.

Combien d'enfants eut la joie de trouver un foyer, une famille, certe jeny avait de la chance d'être avec Alex et Lana, mais dans sa tête d'enfant, ils s'étaient lassé d'elle, de ses caprices, de ses pleurs et ses rires.

Du fait qu'elle ne sache pas marcher, qu'elle n'arrivait pas a parler.. Cela devait être lassant, et puis ils ne l'ont pas choisi, c'est elle qui c'est imposé.

Comment réagir... L'abandon? Elle avait déja essayé et le resultat, elle etait revenue a la case départ.

Son pouce en bouche, elle se demandait comment elle pouvait grandir, marcher et partir... Partir pour laisser cette famille qu'elle aimait tans, la laisser vivre avec le garcon qu'elle avait choisi.

La vie et les choix sont dure, pour une enfant de deux ans!
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Petite fille de cinq ans

Lana_
[La vie n'est pas un long fleuve tranquille...]

Etre mère...qui a dit que c'était chose facile...? La plupart des mères développent leur instinct maternel lors de leur grossesse durant laquelle l'enfant grandi, bouge, vie en elles. Lana en avait été privée avec Jeni' mais, au fil du temps, cette une véritable relation mère/enfant qui se développait.

Aussi, lorsqu'il lui fut annoncé que Tobi fera lui aussi parti de la famille, ce fut un coup de poignard pour la jeune enfant. Lana la regardait, impuissante face à ce mot que la petite princesse répétait souvent : orphelinat... Ainsi donc elle préférait aller dans ce sordide endroit plutôt que de vivre auprès de parents aimants qui la chériraient plus que leur propre vie. Ce mot raisonnait dans la tête de la tséparée ribun. Jamais, jamais aujourd'hui elle ne pourrait supporter d'être de celle qu'elle considérative aujourd'hui comme sa propre fille.
De nouvelles larmes coulaient chaque fois que Jeni' prononçait se mot mais Lana ressentait aussi la douleur que l'enfant ressentait. Comme si elles le partageaient.

Lana était revenue tard ce soir là des remparts. Tôt même, alors même que le jour débutait. Une brume épaisse envahissait les rues Joinvilloises encore endormies. Elle passa au marché pour ramener quelques miches fraiches et encore chaudes qu'elle posa sur la table de la cuisine en arrivant. Le silence régnait dans la maison familiale. Elle se dirigea vers la chambre, en poussa la porte sans bruit les yeux rivés sur le lit, sure de les trouver tous deux dans les bras l'un de l'autre. Il n'en était rien. Jeni' dormait pour la première fois dans son petit lit, elle qui s'y était toujours refusé. Preuve qu'elle en voulait encore à ses parents et qu'elle était encore fâchée de l'annonce qui lui fut faite.

Elle vint s'assoir doucement sur le lit. Ses yeux se posèrent d'abord sur son fiancé paisiblement endormi puis se fut sur Jeni qu'elle se pencha. Un souffle vint se poser sur sa joue, un baiser tendre effleurant son front, un mot glissé au creux de son oreille :

Ma Douceur, je t'aime et je tiens à toi aussi fort que je tiens à ton Papa..jamais je ne t'abandonnerai et...t'arracher de mes bras c'est m'arracher à la vie...je souffre de te voir souffrir...je suis triste de te voir triste...je suis malheureuse de te voir malheureuse...

Elle ponctua sa phrase d'un baiser puis se redressa. Elle savait que la puce était endormie et qu'elle ne l'entendait pas mais, elle avait besoin de le lui dire, de l'exprimer.
Elle passa derrière le paravent, retira ses vêtements garder depuis la matin très tôt et qui commençaient à lui peser puis passa sa robe de nuit avant de se glisser sous les draps chauds. Elle ferma les yeux, puis parti à son tour dans un profond sommeil espérant qu'à son réveil, les choses seraient plus paisibles pour sa fille.

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Lana_
[Des semaines plus tard, jour de départ...]

La décision fut vite prise, les affaires vite préparées. Leur Princesse voulait aller se balader et cela ferait le plus grand bien à tout le monde de voir du pays.
Son dernier voyage remontait à si loin, bien avant sa nouvelle vie. Elle aimait tant Joinville, ses habitants -enfin presque tous les habitants...- se balader dans les rues, explorer la foret ou bien se ressourcer à son lac. Mais ils avaient besoin de voir autre chose, besoin de vacances.

Elle n'avait pas mit de temps à préparer ses affaires ainsi que celles de Jeni. Le minimum vital, quelques provisions, quelques vêtements, le tout placé dans une besace un peu plus grande que celle quotidienne.
Le soir venu, elle prit son bâton et son bouclier, glissa son bras dans la bandoulière de sa besace de cuir, puis fit le tour de la maison afin de vérifier si toutes les fenêtres étaient bien fermées. L'inspection faite, elle rejoignit Jeni qui patientait dans la rue avec Anne. La porte fut fermée à double tour et elle glissa la clef dans sa poche pour la redonner plus tard à Cam afin qu'il vienne surveiller la petite maisonnée durant son absence.

Un baiser sur le front de sa fille et une bourse glissée dans la main de la nourrice :


Merci de vos bons soins Anne, vous aurez quelques semaines de repos et dès que nous seront revenus, je viendrais vous voir. D'accord ?

La jeune femme fit un léger sourire prenant la bourse non sans laisser un léger soupire sortir de ses lèvres :

Y a t'il un soucis Anne ? la bourse n'est pas assez pleine ?

Non non Madame !! c'est juste que..., elle baissa la tête puis reprit plus bas d'une voix timide, je pensais vous accompagner dans votre voyage. Je n'ai personne ici et, je pourrais m'occuper de la petite pendant que vous et Messire Alex sortirez le soir...

Un sourire s'afficha sur le visage de la tribun posant sa main sur l'épaule de la nourrice :

Alors soit...vient avec nous, de plus, cela fera plaisir à Jeni qui t'apprécie beaucoup.

Merci Madame !!!

Un douce caresse se fit sur la joue de la tendre enfant puis elle reprit :

Et bien...en route !!!
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Lana_
[18 Juillet ...retour au pays...]

Un cheval pénètre les portes de la ville en provenance de la Capitale. Sur son dos, deux silhouettes se distingues dans la brume matinale. Une fine, élancée, pas très grande, le visage qui se cache sous la capuche de sa cape. Derrière elle, un homme, visiblement jeune mais pas gringalet, de carrure musclée et tenant sur ses jambes, vêtu simplement.
Les deux âmes arrivent épuisées de leur voyage avec pour seul arrêt, Langres. Les routes avaient étés peu sures fut un temps et c'est la boule au ventre mais la main sur son bâton que Lana avançait sur sa monture.

Elle dirigea le petit cortège directement vers sa taverne. Elle savait qu'elle y trouverait quelque chose. Si ce n'est à manger, ce serait à boire.
Elle avait laissé époux et enfant dans la grande ville. L'un restant inlassablement la tête plongée dans des dossiers, l'autre, se baladant avec la nourrice qui la prenait si tôt le matin et la ramenait si tard le soir, que la brune ne la voyait pas. C'était ainsi, elle tentait de s'y habituer, mais s'habitue t'on à la solitude...? On pouvait se demander si l'ennui du Roy n'avait pas gagné la Reyne...

Un pied fut posé devant la taverne toujours aussi bien placée dans la rue, puis un second. La bride fut saisie et enroulée autour d'un anneau placé devant l'abreuvoir alors qu'un regard souriant était lancé vers le bohémien :

Bienvenu chez moi Aries...

La porte s'ouvre devant elle laissant apparaitre une pièce encore silencieuse vu l'heure matinale. Elle le laissa entrer avant de refermer sur lui avant de l'inviter à s'installer :

J'espère qu'il y a encore quelque chose à grignoter;...je suis affamée !!!

Elle alla fouiller derrière le comptoir puis la réserve avant de revenir en grognant, sentant son estomac grogner aussi fort :

Z'ont tout mangé !!
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