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[RP fermé]Le domaine des Fées : Domaine de Montoiron

Helena.
Maly a écrit:
Le visage de Maly s'éclaira d'un sourire, rassurée d'être au bon endroit, la femme faisant état du compagnon de sa maitresse en parlant de l'homme qu'elle cherchait.

"Oufff...je suis au bon endroit alors ! Oui c'est bien lui que je cherche.
Voyez vous il était un ami de ma mère et...je cherche ma tante, qu'il connait aussi. Dans son dernier courrier il me propose son aide, sous forme d'un point d'attache pendant mes recherches...mais..je ne voudrais pas déranger votre maitresse
"

Elle avait fait seule la plupart de ses démarches, interrogeant, questionnant, fouillant des archives depuis son arrivée dans le Comté, se reposant que lorsqu'il lui fallait travailler pour se nourrir, mais elle ne savait plus ou aller, ne pouvant qu'attendre d'avoir des réponses.

Savez vous si Sire Fransdunord est disponible ? Au moins pour le tenir au courant de mes dernières découvertes et le saluer.
--Ophelie..


La jeune domestique écouta de nouveau la Dame qui recherchait le blond. Le mystère s'éclaircissait doucement...Helena était elle au courant? Il faut dire qu'elle était partie précipitamment chez les nonnes.
Ophélie hésitait...laisser entrer la dame ou bien la laisser là....Si seulement Lam était là!!! Il saurait mieux qu'elle,jeune villageoise d'un village retiré la bonne décision à prendre. Humm ne prenons pas de risque....
Elle lui sourit et répondu


Je ne sais point si Messire Frans est là mais je vais le prévenir. Avez vous un message à transmettre plus précis?
Helena.
Maly a écrit:
Maly réfléchit un instant avant de répondre à la femme.

"Dites lui...Que Sofy.d est passé le voir au sujet de sa tante Sophie qui contrairement à ce qu'il pensait ne semble plus être dans le Comté...Que je vais poursuivre mes recherches dans les villes voisines du Comté à tout hasard et que je reviendrais d'ici quelques jours, en espérant qu'il trouvera un moment pour me recevoir prochainement...et s'il a une autre idée pour ma tante..."

Elle commença à faire demi-tour et se ravisant rajouta d'un léger sourire...

"Au cas ou...je suis la fille de Formarie et de Jerome.d...je suppose qu'avec ses occupations et les gens qu'il cotoie, il peut avoir oublié qui est Sofy.d...surtout que tout le monde m'appelle Maly...pis la dernière fois qu'il m'a vu..j'étais pas plus haute que trois pommes pour ainsi dire.
Vous vous en souviendrez ?
Ce n'est pas bien simple tout ça...et je ne veux pas vous déranger plus que de raison, ni votre maitresse ou Sire Fransdunord.
Je vais aller sur Thouars, Rieux...et la première ville angevine voir si j'arrive à découvrir quelque chose..."


Elle soupira doucement et sourit plus franchement à la femme attendant la confirmation qu'elle avait bien saisi le message.
--Ophelie..


Humm la jeune femme avait elle été trop froide. enfin qu'importe il y a certaines choses qui fallait qu'elles soient bien clair et visiblement la femme semblait pas être au courant de tout.
Quoi qu'il en soit maintenant elle semblait pressée de partir..et ben...qu'elle parte comme aurait dit son grand-père.


Très bien je transmettrais le message à Messire Frans. Bonne journée et bonne route.

Elle partie à son tours faire ses petits courses...
Helena.
[Août 1460 ~ Un matin pas comme les autres... ~ ]

Un matin comme beaucoup de matins au domaine. La vie tranquille du domaine de Montoiron se déroulait paisiblement accompagné du soleil de l'été et du chant magnifiques des oiseaux.

La jeune brunette depuis plusieurs semaines avait beaucoup plus de temps pour elle et sa famille. Il faut dire que l'armée n'est pas tellement compatible avec une vie de famille. Helena avait enfin fait le grand pas. Elle avait donné sa démission de Commandante de la garnison de Thouars il y a quelques jours mettant ainsi fin à sa carrière militaire dans l'ost poitevin tout du moins. Carrière qu'elle avait commencé dés son plus jeune âge poussé par son parrain de cœur et aristotélicien le Comte Cyphus Garion. Une nouvelle page se dessine dans l'avenir de la jeune noble. Un nouvel avenir qui faisait peur à Helena.

Ce matin là, la jeune brunette était installé à son bureau. Le soleil venait caresser sa joue. Perdue dans ses pensées elle rêvassait. Elle venait de ranger tout un tas de parchemin et était tombée sur un très vieux parchemin et une petite boite en écrin noir. Une relique de son passé...un passé mystérieux...elle s'était juré de découvrir ce mystère et de le résoudre un jour. Était-ce le moment ? Cette démission était elle un signe du destin pour qu'elle retrouve sa vrai famille ?...son origine réelle ?

Helena se frotta les yeux et déplia le parchemin. Elle posa son regard sur la fine écriture de sa mère...mère qui l'avait laissé au bon soin d'une autre famille....pourquoi ??.... Une larme vint se glisser au coin de l'oeil océan de la jeune femme. Certes elle n'avait pas été malheureuse avec ses parents adoptifs mais....Se mordillant légèrement sa lèvre,elle se mit à relire pour la énième fois la lettre.




Ma chère Enfant,

Je t'écris cette lettre pour que tu saches d'où tu viens. Lorsque tu liras ses lignes peut être serais je morte mais en tout cas tu seras devenue une belle jeune demoiselle bien élevée et très belle peut être sur le point de te marier à un homme qui t'aimera. Tu seras en train de voler de tes propres ailes.
Si tu lis ces lignes c'est que Marguerite t'aura remis en main propre cette lettre le jour de ton départ de leur demeure.

Ma chère fille, les jours passés loin de toi son une déchirure. Hélas à ta naissance j'ai du te confier au bon soin des Casomas. Je suis sûre qu'ils t'auront rendu heureuse. Ces deux personnes très gentilles n'arrivaient pas à avoir de fille. Ils t'auront j'en suis sûre chérie comme leur propre fille.

Je t'en pris ma fille ne me haïe pas..je n'avais pas le choix... Ton père était un homme marié qui ne voulait point quitter son épouse. Tu es née d'un amour passionnel, profond et sincère entre moi et ton père.
Un matin ensoleillé et chaud à regret j'ai décidé de partir même si cela déchirait mon cœur. Je l'aimais de trop pour le voir avec une autre femme,savoir qu'il partageait sa couche. Je le voulais pour moi toute seule mais il n'était pas capable de quitter sa famille. Je me suis donc éclipsé pour son bonheur et neuf mois plus tard tu arrivais. J'ai donc envoyé une missive à ton père...j'appris par la même occasion qu'il venait d'être papa d'une petite fille ce qui me plongea encore plus dans un désarroi total.
Je t'ai donc laissé au bon soin des Casomas et j'ai repris la route. Avec eux je savais que tu serais bien...Ce sont des nobles très généreux. J'ai repris la route te laissant le cœur de nouveau brisé.

Ne m'en veux pas ma fille. Je n'ai pensé qu'à ton avenir et ton bien être. Tu trouveras avec cette lettre un pendentif cassé. Si tu veux retrouver ton père il te faudra résoudre cette énigme : " La vérité se cache dans la beauté de la Lune"

Je t'aime et t'aimerais toujours ma chère enfant

Maman.
Léontina Di Rivombrosa.


Helena resta un moment à regarder encore le bout de parchemin et l'encre...Que faire ?? Oui elle voulait connaître son père mais comment faire ? Elle ouvrit doucement l'écrin noire et en sortie le pendentif. Elle le posa délicatement dans sa main et fronça les sourcils. Comment retrouver l'autre partie ? Qui pouvait bien le posséder ? Son père ? Sûrement. Plein de questions surgissait dans la tête de la jeune femme.
Que faire ?

_________________
Helena.
--Lamos a écrit:


A quelque kilomètre du domaine.


Lam s'était réveillé à l'aube, il avait plié sa tente, l'avait attaché sur Arod et était partit au galop.

Il parcourus des kilomètres et des kilomètres, et au milieu de la matinée, il aperçu les haut tour du domaine. Il inspecta le coin, l'herbe était fraîche, le vent souffler doucement, il ne faisait pas trop froid et personne à l'horizon, il s'arrêta alors pour manger.
Au bout d'une heure de repas, il repris la route. Il arriva quelque mètre du domaine, fis ralentir son cheval, et entra dans le domaine.
--Ophelie..


Ophélie qui était sortie sur le pallier pour balayer les marches du péron, ben oui faut le faire et faut que la demeure soit impeccable ^^, vit arriver le maître d'armes de Dame Helena.
Elle sourit et laissa son balais pour aller à sa rencontre un sourire aux lèvres contente de le revoir


Bonjour Lam. Comment allez vous? Alors ce voyage?
Venez dans la cuisine j'ai préparé une belle brioche au sucre.


Elle lui fit un clin d'oeil complice
Helena.
--Lamos a écrit:
Lam s'arrêta et la salut, avec un sourire de joie, il était heureux de la revoir aussi.
Il descendis son cheval doucement, tout en lui disant.

Très bon voyage, quoi que je n'ais pas eut les réponse que je cherchais.
Vous avez bonne mine. J'espère que personne ne s'est inquiet de mon retard, je devais partir un mois, mais certains évènement m'ont fait rester sur place.


Une fois bien au sol, il murmura quel mot à l'oreille d' Arod et ce drnier partie direction le pommier le plus proche, lam se retourna vers Ophélie au moment où Arod partait.

Vous avez dit de la brioche au sucre, fait de votre main ?
Alors comment allez vous ma chère Ophélie ?
--Ophelie..


Ophélie sourit amusée. Elle savait que personne pouvait résister à ses brioches au sucre et encore moins quand elle sortait du four
Tout en marchant direction les cuisines du domaine,la jeune femme répondit à Lam.

Et ben... Dame Helena s'est inquiétez de votre absence. Je pense qu'il faudra aller la voir.

Elle ouvrit la porte et laissa l'homme rentrer dans la pièce. Une douce odeur flottait dans le lieu.

Installez vous. Humm je vous sers avec un grand bol de lait chaud? Je suis sûre que vous avez une faim de loup!


Elle laissa échapper un rire malicieux.
Helena.
--Lamos a écrit:
Lam entra et renifla la bonne odeur des brioches.

Aller voir dame Helena ! non mais ça va pas avec ses brioches qui viennent juste d'être mis aux fours. Non non et non, mais de chez non.
Oui, oui, oui, je vais aller la voir rassurez-vous. Mais d'un coup j'ai mal à la jambe alors je pense que si je mange un peu de vos bonnes brioches, la douleur devrait passer !

Un bol de lait de chaud ? pourquoi, c'est vrai que j'ai beaucoup voyager, après une faim de Loup non, non, et non. Heu en faite si si.

Lam s'installe
Un bol de lait chaud avec plaisir, et oui j'ai une faim de loup. Dit vous avez vue Charlotte ?
--Ophelie..


Ophélie sourit amusée et prépara un bol de lait qu'elle posa sur la table et coupa une belle tranche de brioche au sucre qu'elle déposa dans une assiette avec une petite cuillère de confiture.
Elle apporta tout ça à Lam et s'installa en face de lui fronçant légèrement les sourcils et haussant machinalement les épaules


Humm..... Charlotte...elle s'est comment dire volatilisé.....
Il faut croire qu'elle n'était pas aussi motivée que ce qu'elle disait.....


La jeune domestique pris à son tour un morceau de brioche et mordit dedans.
Helena.
Ce matin la brunette avait croisé Petitbonhomme en taverne. Qu'il était mignon et adorable et débrouillard. Après avoir passé un moment avec lui elle l'avait emmené avec au bureau de Police.
Elle n'avait pas voulu le laisser seule en taverne et pis elle était persuader que cela lui ferait plaisir de voir comme les grand travaillaient et surtout comment on arrêtait les méchants.

Finalement Petitbonhomme avait voulu partir jouer et la brunette lui avait donné rendez vous au bureau du tribun quand l’Église sonnerait 8 heures du soir.

Helena avait envoyé une missive à son cocher pour qu'ils viennent les chercher en ville afin de les ramener au domaine. Il n'était pas question qu'il fasse la route à pied même si souvent Helena le faisait ou bien prenait sa fidèle jument.

L'heure approchait. la brunette rangeait toutes ses affaires et regarda par la fenêtre dans l'espoir de voir la petite tête blonde....

_________________
Petitbonhomme
Petitbonhomme avait continué à faire connaissance avec les habitants de Millau, et ce jour là, il avait rencontré la belle Héléna, le Tribun.... ou la Tribune...? Il ne savait pas trop comment on disait. Elle lui avait offert un verre de lait chaud et des biscuits, puis, il l'avait suivie au bureau de la Prévôté où il avait ouvert grand les yeux sur les procédures de plainte, les avis de recherche, les procès verbaux dressés pour toutes sortes d'infractions. Un petit frisson le parcourut lorsqu'il passa devant les cellules où s'entassaient des prévenus qui pour certains allaient rejoindre les geôles du comté. Il absorbait comme une éponge les discussions des grands, avide de découvrir, relevant le moindre détail, la moindre incohérence ou incompréhension dans son monde d'enfant, les réservant pour plus tard.

Les uniformes l'impressionnaient. La mise simple des moines qui avaient peuplé sa vie jusque là contrastait avec les vêtements colorés des maréchaux. Qu'ils avaient l'air fiers ainsi...


Il avait passé un bon moment à observer, à écouter, donc. Mais l'heure tournait et il lui fallait rejoindre la mine. Il n'osa pas le dire à Héléna, de crainte d'inspirer la pitié. C'est qu'il avait sa fierté, le môme. Aussi, et bien qu'il soit volontiers resté davantage, prétexta-t-il vouloir jouer pour quitter la jeune femme. Rendez-vous était pris pour le soir. Il y serait.

A sept heures précises, après avoir poussé des brouettes de cailloux tout l'après-midi, il rentra dans son chez lui, ou tout au moins, la bicoque encore délabrée qu'il habitait, et se hâta de se débarbouiller pour ne pas arriver trop sale. Il se rendit au ruisseau qui passait à proximité, et remplit un seau d'eau. La toilette fut aussi longue que le pouvait permettre la température extérieure. Lui était propre, mais force était de reconnaître que ses vêtements n'avaient pas la même allure que les beaux uniformes des maréchaux.


On dirait que ze suis tout sale...

Il eut un regard un peu triste, mais se fit une raison. Il ne pourrait pas faire mieux. Dans sa besace, il fourra triomphalement la toupie que lui avait offerte un homme rencontré le matin même, et qui n'avait pas dit comment il s'appelait : c'est qu'Héléna avait dit qu'elle avait une petite fille, et... heu...

P'têtre qu'elle voudra bien zouer avec moi...

Il vérifia que son copain de chiffon était toujours là dans sa poche. Oui, Toupôtibonhomme était bien présent.

Allez, viens !! On y va !!

Il courut jusqu'à la mairie, tout content, et grimpa les marches quatre à quatre pour rejoindre le bureau de la jeune femme. Même pas essoufflé, le gosse.
Helena.
De loin, Helena vit le garçonnet qui courait à perdre halène. Un sourire illumina le visage de la jeune femme.
Elle eu à peine le temps de quitter la fenêtre et de tirer les rideau que petitbonhomme était déjà là. C'est précisément à cet instant que l’Église sonna.


Et ben tu es même arrivé en avance. Tu t'es bien amusé?? Normalement il doit y avoir une calèche en bas. Là tu vus?

Elle ne laissa pas le temps au petit blond de répondre et enfila sa cape soufflant la bougie qui éclairait encore le bureau.

Tu veux bien me tenir cela s'il te plait.

Elle lui tendit une chandelle et s'approcha de la cheminée pour étouffer le feu. C'est que c'était tout un rituel par ce temps froid et le début de l'hiver.

Je suis prête. Toi aussi??? Nous allons allez au domaine voir Anna et te faire découvrir la demeure. Tu verras il y a Ophélie et plein d'autres personnes.

Elle lui reprit la chandelle et lui ébouriffa ses cheveux d'or.

Allez vient.

Elle l'entraina dans les escaliers et ferma à double tours la porte de son bureau. Le cocher était là. Toujours à l'heure! Elle appréciait Jean pour cela.

Bonsoir Jean,comment allez vous?

Le cocher inclina la tête tout en répondant et se dépêchant de venir ouvrir la porte du carrosse.


Bonsoir Madame. Bien je vous remercie.

Helena sourit et souleva avec douceur petit bonhomme le faisant entrer dans la calèche spacieuse et confortable

Installe toi petit ange.

Puis aider de Jean elle se glissa également dans la voiture.

Direction le domaine cocher. Mais ne roulez pas trop vite.


Bien Madame

La voiture se mit en route...Les sabots des chevaux raisonnaient sur le pavé du village.
Rapidement la voiture quitta le village...les lumières se firent plus rares et seul le bruit des roues et d'un chouette comblèrent le silence.

_________________
Helena.
[Janvier 1460]

Depuis pas mal de temps la brunette ne cessait de courir un peu partout n'ayant très peu de temps pour elle. Dans un sens heureusement car Alex avait pris Anna avec lui. La jeune femme se sentait seule et avait l'impression de vivre qu'à moitié. La moitié de son coeur était à Rocheouart....

Installée à son bureau,la nobliote était plongé dans les dossiers de la justice. Presque tous les verdicts avaient été rendu un seul lui posait problème et il fallait qu'elle s'entretienne avec la Comtesse pour juger au mieux cette affaire.

Tandis qu'elle mordillait sa plume, Ophélie entra après avoir frapper à la porte légèrement. Helena leva la tête et lui sourit


Bonjour Ophélie. Vous m'apportez le courrier?


Oui Madame

Ophélie tendit le plateau en argent sur lequel reposait une missive.


Merci Ophélie


La servante s'inclina et s'éclipsa. Helena prit la missive et observa le cachet,cachet qui ne lui disait rien. Elle déroula le parchemin et ses yeux parcourir le parchemin.

Citation:
Salutations Dame,

Je suis bien arrivé sur Millau. Malgré quelques heurts en chemin, je me porte plutôt bien. Je suis accompagné de mon valet et d'une enfant dont je suis le protecteur. Elle sera à la charge de mon valet lorsque je ferai étudier votre fille, aussi ce ne sera point une gêne.

Souhaitiez-vous que nous commencions les cours maintenant ? Où aurai-je le loisir de vous rencontrer ? En votre domaine ?

Pour ma part j'ai pris chambre à l'auberge en attendant mieux.

Je vous salue bien bas, Dame,
Veuillez agréer mes sincères hommages,

Colhomban d'Eusébius

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