Nille
Enfin.
Enfin la fameuse Dame, qui la sortira d'après Alexander du cercle de gredins qu'elle fréquente.
Elle la regarde, un peu inquiète, effrayée peut-être. Et balbutie quelques mots.
- Eh bien pour commencer ... Je suis Adèle Blanche Lefebvre née dans les mois chauds il y a quinze années.
Ma Mère m'a battu et un soir un paysan est entré dans notre château en Auvergne afin de tuer Mère avec une hache et puis j'ai dû partir n'ayant plus rien, mon Cousin parti, ma Tante sans doute très occupée, j'ai pris la route et suis arrivée en Bretagne.
On m'a amené en Limousin pour rencontrer Grimoald, puis il m'a dit d'aller voir notre Cousine au Mans, elle m'a fiancé, mais ça n'a pas marché et un soir où je soupais chez un ami on m'a enlevé et amener à Tours, je me suis rendue à Saumur grâce à un pacte fait avec un brigand, puis nous sommes allés à la Rochelle avec un groupe de brigands, ils m'ont appris à délester les gens de leur bourse, et un peu à me battre.
Elle marqua une pause, regarda la femme en face d'elle, perplexe, avait-elle sentie que la Rousse avait menti au sujet de la mort de sa Mère ?
Peut-être mais elle se devait de continuer son récit, pour le bien de l'entretient.
Rassurez vous je ne ferais pas usage de cela en ces lieux.
Après un hochement de tête de la part de la Dame elle reprit le récit de sa vie.
- Je suis retournée à Limoges pour rencontrer un homme, un helvète, cependant il ne s'est pas beaucoup manifester, alors quand Alexander m'a prévenu qu'il y avait une possibilité que vous vouliez d'une camériste je lui ai dis que cela m'intéressais, vous savez lorsqu'on est seule on a peur, et puis j'ai été la camériste de la Mère d'Alexander, une gentille femme, très bonne avec les gens. Elle m'a materné un peu, jusqu'à mon premier départ de Limoges.
Une seconde pause, la Rousse soupire doucement et redresse la tête.
- Enfin voilà, vous savez tout maintenant. J'aimerais bien que vous me parliez de vous, je ne sais que le peu de chose qu'Alexander m'a dit et c'est un peu faible.
Un léger sourire, elle ne s'attardait pas sur sa vie, elle ne voulait pas qu'on lui pose des questions embarrassantes.
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Un visage d'ange, dans le corps du diable.
Enfin la fameuse Dame, qui la sortira d'après Alexander du cercle de gredins qu'elle fréquente.
Elle la regarde, un peu inquiète, effrayée peut-être. Et balbutie quelques mots.
- Eh bien pour commencer ... Je suis Adèle Blanche Lefebvre née dans les mois chauds il y a quinze années.
Ma Mère m'a battu et un soir un paysan est entré dans notre château en Auvergne afin de tuer Mère avec une hache et puis j'ai dû partir n'ayant plus rien, mon Cousin parti, ma Tante sans doute très occupée, j'ai pris la route et suis arrivée en Bretagne.
On m'a amené en Limousin pour rencontrer Grimoald, puis il m'a dit d'aller voir notre Cousine au Mans, elle m'a fiancé, mais ça n'a pas marché et un soir où je soupais chez un ami on m'a enlevé et amener à Tours, je me suis rendue à Saumur grâce à un pacte fait avec un brigand, puis nous sommes allés à la Rochelle avec un groupe de brigands, ils m'ont appris à délester les gens de leur bourse, et un peu à me battre.
Elle marqua une pause, regarda la femme en face d'elle, perplexe, avait-elle sentie que la Rousse avait menti au sujet de la mort de sa Mère ?
Peut-être mais elle se devait de continuer son récit, pour le bien de l'entretient.
Rassurez vous je ne ferais pas usage de cela en ces lieux.
Après un hochement de tête de la part de la Dame elle reprit le récit de sa vie.
- Je suis retournée à Limoges pour rencontrer un homme, un helvète, cependant il ne s'est pas beaucoup manifester, alors quand Alexander m'a prévenu qu'il y avait une possibilité que vous vouliez d'une camériste je lui ai dis que cela m'intéressais, vous savez lorsqu'on est seule on a peur, et puis j'ai été la camériste de la Mère d'Alexander, une gentille femme, très bonne avec les gens. Elle m'a materné un peu, jusqu'à mon premier départ de Limoges.
Une seconde pause, la Rousse soupire doucement et redresse la tête.
- Enfin voilà, vous savez tout maintenant. J'aimerais bien que vous me parliez de vous, je ne sais que le peu de chose qu'Alexander m'a dit et c'est un peu faible.
Un léger sourire, elle ne s'attardait pas sur sa vie, elle ne voulait pas qu'on lui pose des questions embarrassantes.
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Un visage d'ange, dans le corps du diable.