Cyriellle
Préparation...
Il est l'heure. L'heure où les villageois s'eveillent, les femmes lancent les fourneaux, les époux s'appretent à aller à la mine ou au bois ou encore aux champs avec leur fils pour certains, tendi que les filles iront aider leur mère dans leur journée de labeur. L'heure pour moi, debout depuis l'aube, de saluer les marchands arrivant en inspectant ici une étale puis en prenant là une pomme me faisant envie. Les missives de la journée était déjà partie chez leur destinataire, il ne me restait plus qu'a visiter la taverne du village encore vide pour l'heure. La cave était pleine, les soiffards auraient leur vin quotidien. Les cloches retentir, il était l'heure.
J'avais cherché partout dans Villefranche et finalement trouvé une batisse, près de la grand place de la cité, qui conviendrait parfaitement. Il ne restait plus qu'a préparer le tout et là c'était une autre histoire .
Ce lieu était sombre était pourvu d'un parquet relativement terne, le marbre des marched e l'escallier majesteux n'avait à dire vrai rien de majesteux tant elles semblaient recouverte de poussière. Et moi j'étais là paumé au milieu de tout ça. Dans le genre folie des grandeur on ne fait pas mieux.
Baste j'avais la journée devant moi et à dire vrai la nuit aussi et toute la journée du lendemain, ça irait bien pensais-je.
Non loin d'être décourager j'ouvri grand les portes et fenetres et armé d'un balaie je me lanca dans le nettoyage du sol.. Un heure passa puis deux et j'en étais arrivé à bout enfin du sol. Il restait encore cet escalier. Epuisée je tomba sur les genoux, soupirante.
Ça va Madame?
Madame? Une voix me fit sursautter dans ce silence apaisant. Je vis un homme dans l'entre-baillement de la porte qui me devisageait telle une folle. Le pauvre la vision ne devait pas être des plus plaisante. Ma robe était couverte de poussieère et je sentais des goutte de sueru perler le long de ma tempe. Je lui souris néanmoins et dans un effort sur-humain me releva.
Bonjour oui oui tout va bien. Je prépare juste cette salle pour le bal de demain. La tâche s'avère juste plus longue et epuisante que prevu. Il semblait rassurer et fit mine d'entrée. Dites moi, a cette heure-ci les tavernes doivent être un peu peuplée pourriez vous aller querir des bras pour m'aider? J'ai encore des tables à porter ici et des fûts.
Diligieant il s'obligea et parti querir les premiers venus et les pilliers de taverne du coin.
Il est l'heure. L'heure où les villageois s'eveillent, les femmes lancent les fourneaux, les époux s'appretent à aller à la mine ou au bois ou encore aux champs avec leur fils pour certains, tendi que les filles iront aider leur mère dans leur journée de labeur. L'heure pour moi, debout depuis l'aube, de saluer les marchands arrivant en inspectant ici une étale puis en prenant là une pomme me faisant envie. Les missives de la journée était déjà partie chez leur destinataire, il ne me restait plus qu'a visiter la taverne du village encore vide pour l'heure. La cave était pleine, les soiffards auraient leur vin quotidien. Les cloches retentir, il était l'heure.
J'avais cherché partout dans Villefranche et finalement trouvé une batisse, près de la grand place de la cité, qui conviendrait parfaitement. Il ne restait plus qu'a préparer le tout et là c'était une autre histoire .
Ce lieu était sombre était pourvu d'un parquet relativement terne, le marbre des marched e l'escallier majesteux n'avait à dire vrai rien de majesteux tant elles semblaient recouverte de poussière. Et moi j'étais là paumé au milieu de tout ça. Dans le genre folie des grandeur on ne fait pas mieux.
Baste j'avais la journée devant moi et à dire vrai la nuit aussi et toute la journée du lendemain, ça irait bien pensais-je.
Non loin d'être décourager j'ouvri grand les portes et fenetres et armé d'un balaie je me lanca dans le nettoyage du sol.. Un heure passa puis deux et j'en étais arrivé à bout enfin du sol. Il restait encore cet escalier. Epuisée je tomba sur les genoux, soupirante.
Ça va Madame?
Madame? Une voix me fit sursautter dans ce silence apaisant. Je vis un homme dans l'entre-baillement de la porte qui me devisageait telle une folle. Le pauvre la vision ne devait pas être des plus plaisante. Ma robe était couverte de poussieère et je sentais des goutte de sueru perler le long de ma tempe. Je lui souris néanmoins et dans un effort sur-humain me releva.
Bonjour oui oui tout va bien. Je prépare juste cette salle pour le bal de demain. La tâche s'avère juste plus longue et epuisante que prevu. Il semblait rassurer et fit mine d'entrée. Dites moi, a cette heure-ci les tavernes doivent être un peu peuplée pourriez vous aller querir des bras pour m'aider? J'ai encore des tables à porter ici et des fûts.
Diligieant il s'obligea et parti querir les premiers venus et les pilliers de taverne du coin.