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[RP] - Messe du grand rassemblement à la Cathédrale

Henriques
Un peu froid en ce jour, mais la prière ne regardait pas le temps qu'il faisait dehors. La cathédrale Saint Lescure était ouverte pour accueillir tous ceux qui voulaient partager un moment de fraternité au coeur du conflit le plus rude des dernières années.

A l'entrée de l'édifice, il attendait ceux qui voudraient partager un moment simple de paix : aristotéliciens, cathares, spinozistes....il s'en moquait finalement. Il voulait simplement rassembler les croyants autour d'un bel office.

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Daniel Marques Henriques
Grand Aumônier de France
Nini89
Je me promenais je ne savais pas trop ou aller quand soudain je me trouvais devant La cathédrale Saint Lescure Monseigneur était sur le parvis, si une messe allait être célébrée autant y aller et puis faisait partie de la famille aristo Lienne c'était aussi mon devoir en vers l'église et le très d'aller à la messe et pour moi aussi.
Je montais le parvis de la cathédrale et allais saluer Monseigneur.

Bonjour Monseigneur ,comment aller vous? bien j espère.
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En deuil de mon époux Satolas.
Apprentis Herboristes

Henriques
Nini était la première à arriver. Visiblement très en forme, elle le salua et le prélat de répondre:

Bonjour Dame Nini! Je vais fort bien merci, et vous-même ?

Habillé de sa traditionnelle aube mauve, couleur officielle des lescuriens, Daniel invita la sympathique Nini à entrer avec lui et demanda au bedeau, Etienne, de sonner les cloches encore une fois.

Allez va mon grand! Sonne l'appel!
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Daniel Marques Henriques
Grand Aumônier de France
Ecume_
La blonde avait entendu les cloches, c'est donc naturellement qu'elle se dirige vers la Cathédrale, elle ne connaissait pas celle-ci, venant du Béarn elle n'était jamais passée à dans ce Comté.

Dans la plus grande discrétion, l'Ecume prend place, elle attend le début de la messe, prier pour les autres, prier pour soi, prière pour se souvenir, prier pour rendre hommage, qu'importe la raison.

La messe est un moment de partage, un moment de paix et de sérénité, par ces temps troubles il fallait au moins ça.

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Nini89
Je vais bien pour ma par merci,j espère qu'il y aura du monde pour cette messe après tout nous somme tous des enfants de dieux.

Les cloches se mis a sonner.
J espère que d autre allais venir quand une dame arriva je ne la connaissais pas elle devais pas être du coin enfin je pense,elle étais discrète.
J attendais de voir si des personnes que je connaissais viendrais a la messe.
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En deuil de mon époux Satolas.
Apprentis Herboristes

Lavardens
Lavardens en remontant de la grande place de halle où il aimait à converser écouta comme toujours les choches sonnées.

Que de souvenirs jaillissaient en lui, mélanges d'odeurs que petit enfant en haillons il associait le pauvre à un mélange étrange de boulasse, de craintes impalpable et de jours de fêtes.

Il lui avait fallu du temps pour comprendre ou tout au moins ressentir juqu'au plus profond de sa conscience ces instants merveilleux où les hommes, quittant leur préocupation immediates, se regroupaient pour prier.

Il tourna la tête et pressa le pas.
Magie de la porte qui bat, murmures et lumières cheangeantes. Lavardens entra et trouva place.
Marion_delorme
Tiens ! les cloches sonnent ... un mariage ? un baptême ? Marion qui sortait de l'Université, décida de diriger ses pas vers la Cathédrale. Personne sur le parvis, normal par ce temps de pluie battante, autant s'abriter à l'intérieur.
Elle poussa la lourde porte et entra dans la nef.
Des dizaines de chandelles lançaient leurs flammes joyeuses vers la voûte, comme autant de petites prières au Créateur.
Deux jeunes femmes, inconnues, étaient là ; Marion les salua d'une inclination de tête et remonta l'allée jusqu'à l'Archevêque.

- Monseigneur, dit-elle en baisant l'anneau, à quelle occasion cette messe ?
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Sebelia
Pensées vagabondes à travers les ruelles criantes de vacuité d'une capitale. Qui de la monture ou de la cavalière guidait l'autre ? Sous le soyeux des gants de cette dernière les mains laissaient flotter la resne extérieure. Petite silhouette blanche encapuchonnée de fourrure de renard. La haquenée allait l'amble quand sous l'envolée soudaine des cloches de Saint-Lescure, elle se cabra de surprise et faillit désarçonner Querini. Étouffant un juron, penchée légèrement en avant, elle serra les flancs de l'équidé de ses jambes fuselées et la rassura de sa voix la plus calme.

Tout doulx ma belle. N'aie point peur...

Puis les yeux tournés vers la cathédrale qu'elle devinait derrière les maisons cossues de bois, se questionnant tout haut.


Pour qui sonne doncques... non point le glas... l'office à s'teurre ?

Talonnant sa monture à la parfin de lui faire presser le pas, elle l'immobilisa sur le parvis de la cathédrale, déchaussa les deux étriers, passa la jambe dextre sur la croupe de l'animal et mit pied à terre, s'avançant jusqu'à l'entrée de la maison de Dieu. La lourde porte s'ouvrit en grinçant un peu et la jeune femme pénétra dans le lieu saint. Elle recula le pied dextre fléchissant légèrement le genou tout en se signant puis lorsque ses yeux se furent accoutumés à la semi pénombre de la cathédrale, elle entama la traversée de la nef centrale jusqu'au choeur. Elle obliqua alors vers un banc et son regard croisa celuy du sergent albigeois qu'elle salua d'une inclinaison courtoise du chef.
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Ab agendo
Melodie.
Un bras glissé sous celui de sa mèere la jeune femme calquait son pas sur le sien
Sans mot dire elle l'avait accompagné jusqu'a la cathedrale sur sa demande
Elle savait, Melodie, qu'il ne fallait pas l'interroger ni la contrarier lorsqu'elle revetait son air buté et triste
Les cloches sonnaient lorsqu'elles gravirent les marches et pousserent la lourde porte du Saint Lieu, elles saluerent Monseigneur puis les personnes presentes
Sur un banc, dans un coin reculé, Jalna choisit de s'assoire pour écouter l'office, deja recueillie les mains jointes
Mélodie baissa le front et pria de toute sa jeune âme pour que rien de malheureux n'arrive ...
Henriques
Et les toulousains se rendirent en masse vers le Lieu Saint. On avait beau dire....ils étaient toujours présents pour les rendez-vous spirituels, même lorsqu'ils ne concernaient pas le mariage d'un proche, le baptême d'un ami ou les funérailles d'un voisin. Ils avaient cette curiosité naturelle lorsque les cloches tintaient et n'hésitaient pas à se déplacer sur le lieu pour savoir ce qu'il en était.

Les visites étaient toutes féminines, ce qui ne déplaisait jamais à un homme, tout prêtre qu'il était. Bon....il fallait également des hommes, l'Henriqué n'était point sexiste.


Il n'y a jamais de mauvaise raison pour un office, lança-t-il à Marion qui était venue le trouver alors qu'il était déjà en train de se rendre vers l'autel. Je dois avouer qu'en ces temps étranges et sombres, j'ai pensé qu'un bon office, rassemblant tous ceux qui voudraient prier et écouter une sage parole, serait une bonne idée. Prier n'attends jamais !
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Daniel Marques Henriques
Grand Aumônier de France
Leyoun
Et comme il en fallait bien un, ce fût mon bougre ! Premier homme à venir parmi les fidèles.
Mais ne nous y trompons point, il était bien là pour entendre la bonne parole.

Arrivé sur le parvis, Leyoun se signa comme il se devait face au prélat et se dirigea vers l'entrée.

Il poussa la porte, mais avant de la franchir il jeta un oeil en arrière pour regarder le ciel. Un temps chargé de nuage, une journée à l'image de son esprit.
En pénétrant dans la nef, l'ambiance était tout autre. Les bougies illuminaient les sculptures présentes ci et là. Le fleurissement était soigné et une touffe de cheveux se confondait à cette intensité lumineuse.
L'endroit était donc emplie de doulceur, de générosité et surtout d'espoir ! Puisse mon bougre trouver la lumière pour éclairer le chemin de la raison.
Absorbé par ce bien estres qui l'entouré céant, il s'inséra dans la même rangée de banc que la tête aux cheveux d'or.
Il n'osa point la déranger, de fait il posa son petit fessier non loin d'elle.



Edit : Je me suis appuyer sur le RP de jd Henriques pour dire que mon perso était le premier homme à venir...mais je viens de voir qu'il y avait Lavardens avant mon bougre !
Désoler pour l'erreur ^^
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[HRP]Leyoun :
- correspond physiquement à son avatar
- est vêtu simplement
- n'a pas d'arme ni d'armure ni casque [/HRP]
Juliendetolosa
Ce matin là dans la campagne Toulousaine, un groupe de chevaux passait la frontière dans le silence le plus total. Évitant ponts et péages au cas ou certains affamés de combats leurs tombent dessus, nos hommes rentraient chez eux, de retour de la Guyenne ou ils avaient mis leurs épées au service de la cause du Roy de France.

Que peu d'informations ne leur étaient parvenues jusqu'au front, et l'éloignement de leurs chez eux commençait à peser. Retrouvant les champs et forêts Toulousaines, ils galopèrent journée entière pour regagner la capitale sans embrouille. Reconnaissable parmi le petit groupe pour son armure intégrale et sa rose aussi rouge que le sang, Julien menait le convois dans les rues pavées de la capitale. Remontant la rue du claustre en passant devant la tour Morand. Bien futé celui qui aurait deviné la destination visée par nos combattants, qui par delà les frontières étaient allés défendre des valeurs aussi nobles que dangereuses en ces temps troublés pour les Français.

C'est à l'approche de la cathédrale Saint Lescure que le convoi finit par ralentir dans la brume épaisse des matins de février. Le genre de brume intense qui vous coupe la vue à six mètres aux alentours. Posant pieds à terre, le conseiller Toulousain flatta le museau de sa monture qui l'avait porté 4 jours durant au travers des belles contrées du sud français. Adressant un sourire taquin à Gabriel dont les bras étaient enflés depuis une sieste improvisée au pieds d'un buisson, Julien lui confit son épée, sa hache, et même sa dague, car tel était de coutume dans les églises françaises.

Remontant les marches marbrés de la cathédrale, notre homme s'approcha des grandes portes de bois et en poussa une, espérant que ce soit celle qui s'ouvre et non celle qui bloque. Eureka, la porte dans un grincement s'ouvrit et Julien fut ravis de reconnaître Henriques à l'autel. Qu'il était bon de retrouver son chez soit, l'homme à l'armure traverse l'église jusqu'à mi chemin et prit délicatement place aux côtés de Jalna, laissant une petite place pour que marion les rejoigne une fois sa discussions avec l'archevêque achevée. S'asseoir était une chose, se relever une autre, en bon croyant, Julien ne manquerait pas de prier pour un petit coup de main quand le temps viendra de soulever son propre poids accentué par celui de l'armure.

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Marion_delorme
Le bruit de la lourde porte qui s'ouvre, suivi par celui de pas pesants fit se retourner toutes les têtes.
Marion étouffa un petit cri de joie en reconnaissant son ami Julien : il avait donc réussi à passer les lignes de l'armée et à rejoindre Toulouse !
L'homme en armure vint s'asseoir dans un grand cliquetis de ferraille à côté de Jalna.

Se retournant vers Henriquès, Marion murmura :

- Monseigneur, votre sagesse a toujours su guider vos fidèles. En ces temps de trouble et de déchirement du royaume, puisse le Très-Haut vous inspirer une fois de plus et nous montrer le chemin.

Puis elle alla s'asseoir près de Julien et lui serra brièvement la main. Le visage du guerrier, amaigri, portait les traces de longues nuits de veille.


-Mon ami, comme je suis contente de te voir de retour parmi nous, tu nous as beaucoup manqué. Après l'office il faudra me raconter tes aventures ...

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Fofinha
Lassée dans un campement ou tout lui sembler bien foutaise, même l'avenir ne lui inspirer pas grand chose, dégoutée par les choses dites et par certains, elle étais assise au milieu se demandant bien ce qu'elle pouvait bien foutre encore là...l'envie n'étais plus, la force quitter son corps à fur et à mesure que les jours avançais... de la réflexion v'là à quoi elle avait passer ces dernières heures, voir jours...

Pourtant un son venait la coupé dans le calme qui régnait, les cloches...elle n'étais pas aristomachin , pourtant cela lui avait donne une certain apaisement, malgré les tensions passé et a venir certainement par ces temps nuageux, la vie continue son cours... Ces pensées à cet instant allait à son ami Bouche qui savait lui trouver des mots d'apaisement quand elle allait au plus mal, et que ces journées était porter par tant de questions. Un lieu d'apaisement v'là ce qu'il lui fallait, certes elle était cathare et que cela faisait bien des lustres qu'elle ne s'était pas rendu dans une église, mais à cette instant cela lui à parut évident ...

Et c'est d'un pas, pas très rassurer qu'elle décida de se diriger vers la cathédrale...devant, un regard vers la bâtisse un léger mouvement de recul, de reflexion et puis...arffff... hop... elle prit son courage et poussa la porte doucement ne voulant pas se faire remarquer. Elle aperçu les bancs vide au fond et décida de s'installer discrètement...

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Sebelia
L'or métal précieux pouvait présenter différentes couleurs d'ailleurs denrée rare le poivre était ainsy appelé or noir. Mais la chevelure de Sebelia Querini avait des reflets fuligineux qui n'étaient point sans rappeler la couleur de ce pétrole dont les vénitiens se servaient dans la préparation du feu grégeois ou pour incendier et couler les navires ennemis. L'arrivée des fidèles fut ponctuée par quelques battements d'ailes et la jeune femme leva brusquement les yeux vers les vitraux. La capuche de sa blanche pelisse ne suivit point le mouvement de sa teste et glissa offrant aux regards un fatras de jolis fils d'or noir sous coulis de prunelles noisette.

Le dos roide, la castraise attendait patiemment le début de l'office. Elle avait accoisé tous les mouvements de son intérieur pour écouter l'office de Monseigneur Henriques tout de mauve vestu et qui discutaillait pour l'heure avec ses ouailles. Quelle ne fut point la surprise de la jeune femme lorsque le visage tourné vers la dextre, elle effleura la haute silhouette de Julian. Elle se recula et heurta avec force le banc qui se renversa et chut à terre avec moult soubresauts. Les lèvres scellées avec volition, les yeux fixés sur le castrais, elle se tenait preste à défeurrer de la bouche et du regard lorsque son teint devint livide. L'odeur de l'encens venait de lui chatouiller les narines et rappeler à son bon souvenir l'endroit où elle se trouvait.

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Ab agendo
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