Jean.de.cetzes
Jean avait reçu une ferme éducation religieuse. Il avait été élevé dans le strict respect de la foi Aristotélicienne et connaissait bien le livre des vertus. Il se remémorait souvent la promesse de Dieu à Ysupo qui lui avait demandé si la fin du monde était inéluctable : "Non, Je déciderai de détruire le monde si les humains sabandonnent tant dans le péché quils ont fini par donner raison à la créature à laquelle Je nai pas donné de nom". C'est pourquoi Jean s'efforçait de rester dans le droit chemin, celui de la vertu et de ne pas céder à la créature sans nom. Les épreuves étaient nombreuses. Il lui fallait chaque fois qu'il voyait une belle femme s'efforçait de ne pas avoir de pensées impures. Il s'efforçait également de ne pas envier les biens et qualités de ses semblables. Pourtant il était ambitieux.
Mais Jean savait qu'il ne pourrait toujours se contenir. Il n'était d'ailleurs pas prétentieux en la matière et savait que le juste pèche lui-même 7 fois par jour. C'est pourquoi se rendait régulièrement à l'office pour prier Dieu ainsi que son Saint patron Arnvald.
Il priait le premier pour sa famille, son père qui l'avait envoyé à Castres pour faire ses preuves et sa mère, pour l'amour qu'il avait reçu d'elle. Le second pour réussir dans la mission que son père lui avait confié : faire ses preuves avant de rentrer en son pays pour lui succéder à la tête de l'étude qu'il avait lui même reçu de son père.
Voilà pourquoi le jeune Jean, à peine arrivé, était venu faire ses dévotions dans l'espoir d'être entendu par l'Un et l'Autre.
Mais Jean savait qu'il ne pourrait toujours se contenir. Il n'était d'ailleurs pas prétentieux en la matière et savait que le juste pèche lui-même 7 fois par jour. C'est pourquoi se rendait régulièrement à l'office pour prier Dieu ainsi que son Saint patron Arnvald.
Il priait le premier pour sa famille, son père qui l'avait envoyé à Castres pour faire ses preuves et sa mère, pour l'amour qu'il avait reçu d'elle. Le second pour réussir dans la mission que son père lui avait confié : faire ses preuves avant de rentrer en son pays pour lui succéder à la tête de l'étude qu'il avait lui même reçu de son père.
Voilà pourquoi le jeune Jean, à peine arrivé, était venu faire ses dévotions dans l'espoir d'être entendu par l'Un et l'Autre.