Padoor
Padoor venait de rentrer de taverne et la première chose qu'il effectua en arrivant chez lui ce fut d'allumer la bougie il adorait cette atmosphère ou la lueur de la flamme venait danser contre les murs .
Il alluma un feu dans la cheminée car on ne peut pas dire que l'air était encore bien chaud et s'assit à même le sol jambe croisée devant l'âtre.
la soirée en taverne ne s'était pas passé comme il avait espéré ,un certain messire avait très mal prit de recevoir un seau d'eau pour s'amuser et cela avait beaucoup contrarié Padoor,il lui aurait bien dit ce qu'il pensait mais préféra s'abstenir afin de ne pas créer une ambiance délétère mais il pensa tout bas
si on est pas capable de savoir s'amuser en taverne on ne vient pas et on reste cloîtrer chez soit
mais il était loin le gaziot pour qu'il entende ce qu'il avait a dire et franchement ce ne valait pas la peine que padoor se prenne le choux pour cela ,il n'en valait pas le coup.
sa décision était prise il allait quitté cette endroit ou on ne sait plus s'amuser pour aller voir ailleurs si l'herbe était plus verte et ou l'ambiance et la bonne humeur régnerai en maître comme il avait connu autre fois.
juste le temps de mettre ses affaires à jour et il sera parti
Padoor
Padoor n'arrivait toujours pas à dormir ,il avait cette homme en tête et cela le perturbé. Devait il le combattre en lice?,non il n'était pas comme ça pour lui la violence ne résout rien,c'est alors qu'une idée lui vint.
il s'installa à sa table et sortit un carnet de sa besace ainsi que son matériel d'écriture ,il trempa sa plume dans l'encrier et commença à rédiger ces quelques vers
Citation:
L'HOMME
Si un jour par malchance
Vous croisez ma corpulence
Je vous planterai ma lance
Dans votre grosse panse
Vous m'apportez que mépris et indifférence
Et dans ces circonstances
Votre ignorance
Ne m'est pas en concordance
Padoor se relut ,il était content de lui et cela lui permettais de refouler son esprit de vengeance,il pouvait enfin allait dormir tranquille sans omettre de souffler sur la bougie
Padoor
Pad comme ses amis le surnommaient ,c'était réveillé du bon pied et d'allure guillerette,la journée s'annonçait belle ,si car il y a toujours un si, un imbécile bien heureux ne vient pas lui casser les bonbons.
un petit tour au baquet d'eau froide ,même si Pad a horreur de l'eau afin de se débarbouiller ,car fallait bien reconnaître qu'il sentait un peu le cramoisie.
Son carnet était toujours posé sur la table à la page ou il avait composé ces derniers vers,il passa devant et le prit afin de se relire une dernière fois,quand soudain il pensa à une personne en particulier,l'inspiration lui vint d'un seul coup et il s'assit ,trempa sa plume dans l'"encrier et commença à composer
Citation:
AMOUR
Ta beauté comme un épi de blé
Des nos premier regards échangés
M'ont subjugué
C'est par un beau jour d' été
Que nous nous sommes rencontré
Dans une taverne peu éclairé
Ton image m'a transpercée
Tel une flèche empoisonnée
Car l'amour n'est que cruauté
Ne soit pas vexé
Car je me suis amouraché
Et ça c'est la réalitée
padoor se relut afin de voir si il n'avait commit aucune faute,il était maintenant temps pour lui de rassembler les maigres affaires qu'il avait acquit au fil du temps passé
Padoor
Padoor venait de rentrer de sa journée de dur labeur du champs de chez Omane,il ne connaissait pas cette personne et n'en avait cure ,du moment qu'il ou elle payé(e) c'était bien le principal.
Ereinté non pas par se travail harassant ,mais plus tôt par la mauvaise nouvelle qu'il avait eu se matin par les résultats des élections municipal,il décida qu'il ne mangerai qu 'un quignon de pain rassit pour ce soir ,cela lui ira très bien comme cela et sa lui permettrai d'avoir du temps pour concocter un plan à toutes épreuves .
Assit sur sa chaise et devant sa table une plume à la main et le quignon dans l'autre il griffonna quelques brouillons sur son carnet tout en croquant à pleines dents par moment son bout de pain dur
Citation:
1) envoyé du courrier aux habitants de Blaye (enfin pas tous ceux digne de confiance)
2)envoyé du courrier a ses amis lointains
3)leur demander qu'ils ramènent leur fraises au plus vite
4)parler avec eux afin de leur expliquer les faits et décider de la journée à convenir
5)faire sauter la banque
Padoor riait à gorge déployé dans sa demeure les murs devaient en trembler tellement il riait,un rire nerveux,presque sadique il se calma enfin et regagna sa paillasse s'endormant comme une crêpe tout habillé
Padoor
bougie allumée laissant passé un mince filet de lumière ,attablait à sa tablée,main reposant sur son front, Padoor chercher en vain l'inspiration pour composer quelques vers et c'est au bouts de quelques heures,qu'il finit par pondre quelque chose qui lui semblait correct
Citation:
LA PUTAIN
C'est une catin,
Qui habite Embrun,
et qui aime montrer son popotin,
A tous les passants du coin,
elle leur donne rendez vous le surlendemain,
Pour se faire démonter par leur engin.
Son conjoint n'est pas malin,
On peut même dire que c'est un crétin,
mais son conjoint,
Est lassé de tout son baratin.
Elle se croit un jolie brin,
Alors qu'en faîtes ce n'est qu'un boudin,
Elle mérite que crachin,
Cette dame que l'on surnomme putain.
ce poème ne s'adressait à personne en particulier,enfin c'était vite dit,mais ça Padoor préféra le garder pour lui c'était ordre privé.
Il s'endormit comme une masse bras croisés et tête reposant sur ceux ci ,à même la table.
Padoor
Padoor c'était levé du bon pied ce matin ,un petit tour à la fenêtre et que dire d'autre que la journée s'annonçait radieuse,malgrès que le froid persistait.
cela faisait un moment que padoor n'avait pas pondu un poème sur son carnet faut dire que par moment l'inspiration n'était point au rendez vous,mais ce matin c'était ou autre.
il s'installa à sa place favorite devant son carnet et commença à composer.
Citation:
Le MATELOT
OH hisse! matelot
monte la voile bien haut
pour naviguer à travers les flots
afin d'aller cueillir des noix de coco
et brave la tempête mon brave marin d'eau
ne pas confondre avec le maringo
afin de me revenir moins sot
une fois cela fait il passa quelques haillons sur lui et fila en direction du conseil municipal
Padoor
Dans la nuit du 07 avril 1461 et plus précisément à 00h45 en regagnant sa demeure
Padoor venait de sortir de la taverne à "l'ange déchu" en pêtard ,la tavernière l'avait mit dehors après une légère altercation avec lui.
Arpentant les rues de Blaye tant bien que mal,vue son degré d'alcool dans le sang,Padoor rumina tout seul.
Pour qui elle se prend la dame de la fiole ébréché avec ses grands airs de sainte nitouche,j'aurai plus dit du cerveau ébréché,enfin bref,une chose est sure c'est que je ne me pointerai plus dans ça taverne de m..... qu'elle compte plus sur moi pour que je lui rince son gosier à cette donzelle...rumina t'il...
Une envie pressante se fit sentir et Padoor s'arrêta net contre le premier mur venue,dégainant son engin,il se soulagea, mais on peut dire que le tangage était bien trop fort et Padoor alla mettre un grand coup de boule dans le mur ,un vif recule se fit sentir et Padoor alla s'affaler de tout son long quelques mètres plus loin le laissant totalement inanimé.Une légère mare de sang commença à se répandre sur la rue
Padoor
de retour au quartier des bas fonds
Padoor avait bien eu du mal à regagner son quartier qui n'est autre que celui du quartier des bas fonds , la ou la vie n'est que misère,rapine , bagarres en tous genres et autres larcins.
Il avait fait la route en large et en travers ,ruisselant de sueur et du sang coagulait sur le visage .
Personne ne lui avait porté assistance et il pestait contre tous ces maudits gens,mais il était rendu , il voyait sa masure a vue d'oeil plus que quelques mètres à faire et il pourrai enfin s'allonger sur son lit qui l'attendait les bras ouvert , il pouvait même l'entendre lui dire
padoor...padoor vient me réchauffer,je me sens seul sans toi
Un sourire se dessina sur ses lèvres rien qu'a imaginer la scène.
Ses yeux océans brillaient de mille feux en regardant sa masure il n'avait jamais était autant content de la retrouver.
Il se remit à marcher tout en titubant,il croisa quelques gens qui venaient de se lever et qui le regardaient avec un drôle d'air.
Il continua son chemin sans y prêter attention et enfin la délivrance la porte était sous ses yeux.
Il tourna la poignée et referma derrière lui,se dirigea vers son lit et s'écroula dessus,son corps se mit à trembler et prit la posture en "chien de fusil" .