Anthelme_
il etait rentré rassurer de cette furtive entrevue, le quete de l'homme ne fut pas si difficile que ca. Il n'avait pas trainé non plus pour rentré, alors qu'il y a quelques jours, il aurrait flané au gré de ses envies.
C'est le pas pressé qu'il rentra a l'hotel, prevenant le duc que la blonde serait prevenu. anthelme resta un moment aupres de l'agonisant et ecouta ses consignes.
Il prepara donc une petite table avec un parchemin, une plume, une rose et la dague du maitre. il n'etait plus etonné par ses demandes farfelues pourtant il frisonnan a l vue de la dague. Entre ses veilles il guettait patiament l'arrivée de la personne demandé.
Arman
il etait la allongé sur cette couche qu'il ne quitté plus sombrant peu a peu vers l'inevitable moment ou il faudrait s'en remettre a lui. Qu'allait il lui dire au fond, allait il s'escuseait de sa vie de manipulations, de depravation et de plaisirs immoderés. Allait il se repentir de s'etre amusé avec certaines de ses dames, qui avait profité d'ouvrir les cuisses pour leur petit avancement.
Presque aveugle il ne se reperé plus qu'au bruit, on a beau etre le duc le plus titré de champagne, on en reste pas moins seul quand l'epreuve est la.etre a la tete de la champagne pendant des années ne conferent pas l'amitié et la compassion, qu'en resteras t'il dans quelques semaines, juste un nom, une broutille de l'histoire en sommes
Les adieux a son epouse et a ses proches fut fait promptement, il ne fallait pas se laisser aller aux effluves des sentiments trop prononcée, il se savait condammner et plaignait l'heritier, qui sera face au deshonneur et face a ses assasins qu'il lui ferait presque de escuse avec des " c'est pas nous les assassins.
Pourtant se sont bien eux qui attendait bien sagement a sainte menehoul, pendant qu'ils amplifiaient les rumeurs favrisant le lachage de la meute de chiens avides de sang. qu'il etait facile de rependre de fausses rumeurs pour recuperer son bout de pouvoir et suivre le chef de meute qui avait souillé auparavent la champagne.
Les champenois avaient donc la memoire courte, mais tout rentrerais dans l'ordre, ont appeleras au don prenant encore le hcampenois pour une vache a lait et on les ferait defendre encore et encore benevolement. Tant qu'il y aurait des gens asservit au desir de la maison d'airn qui recrutait comme on achete un petit pain. Ilk y aurait encore des moutons pour defendre leur cause, accroché a vouloir tout dirigé
Malgré la perte integrale de la vision,; malgré les blessures l'yant presque defiguré, malgré ses multiples blessures au ventre et au torse, ce n'etait pas ses blessures qui le faisait souffrir.
Il faut dire qu'il avait depuis lomgtemps su repoussé ses souffrances physique, par jeu, il avait ete toujours plus loin dans les limites du supportable.Mais les souffrances morales etaient bien plus douloureuses, de ses blessures qui sont insurportable, . La perte de sa fille valait bien plus qu'une armées de 50 hommes s'abattant lachement sur 8 personnes ne combattant pas.
Cette souffrance lancinante de n'avoir pas reussi et de s'etre fracassé contre un mur de pierre, lui le duc au cinq mandats et au mutiples postes de conseillers. souffrance de voir ce duché de moutons qui suivait quelques meneur avide de pouoir.
il savait que la demande a son valet serait la derniere, il fallait qu'il la voit une derniere fois, ils avaient tout deux une promesse a tenir, de ses promesses marquées au fer rouge de sorte qu'elle en soit indelebile.il l'a sentit etrangement arrivé. Un etrange sourire se dessinna sur son visage
laissez nous......
ce furent les seules mots qui sortir de sa bouche quand la porte se referma et qu'elle ferma le verrou, il savait tout deux ce qu'il allait se passer.
Arman
Un leger soupir d'apaisement quand il l'entendit s'approché, il tenta de redressé le buste en vain. Etrange sensation de se savoir condamnner, etrange sensation de deviner sa meilleure amie, la mere de sa fille, sa liberté comme il aimait l'appelé jadis.
il se tourna sur le coté du siege, puis d'une voix faible murmurra
si je pouvais te voir...... helas, ils m'ont oté ce plaisir
Ma liberté, viens donc t'asseoir a coté de moi, il me faut rendre mon dernier souffle, mais avant cela, il est temps de se confessé, comme cette eglise qui est partie en fumée dans notre dos. il nous faut parler avant que tu me libere......
un sourire malgré lui et une main qui se tend, a defaut de voir il faudrait utlisé d'autres sensations.il n'avait pas idée que de sortir trois phrases etait aussi epuisant. des larmes de sueur coulerent sur son visage. un cour instant et il reprit faiblement
soit ma main lylla, il nous faut devoilé certains secrets, les couchés sur le papier. il nous faut faire ce que nous aurions du faire il y a bien lomgtemps
un soupir et un long silence, il fallait puisé dans les dernieres forces qu'il restait encore
Arman
Ses mots, ses attentions et sa presence l'apaiserent. il fallait donc sortir ses mots lomgtemps refoulés, ses mots qui devait alors sortir avec temperences. Comme tout hommes, il avait eu ses travers, il avait lui aussi manipulés, il s'etait lui aussi servit de ses appuis pour satisfaire ses ambiton politiques. il faut dire egalement que quelques tetes couronnées ou pas s'en etait servi ecartant genereusement les cuisses pour monter les echelons
Cette cour n'etait plus la etrangement au derniers instants, elles avaient retourner leur veste pour plus grand et plus puissant.
Ses mots qui faisait mouche jadis, il etait loin se temps ou ceux ci sortait du coeur pour laisser la place a l'automatisme, et a la facilité de dires ce que les gens voulaient entendre. il etait loin le temps de conflans et de cette vie paisible.
se concentré et les mots viendraient par eux meme
qu'il soit dit qu'en ce jour du 30 mars 1461, Nous arman von frayner d'azayes d'apperault, duc de meaux et de nomeny, vicomte de provins, baron de villemaur,nogent et montmirail, seigneur de beynac
rien que ca provoqué un long essoufflement, il repris son souflle pour continué
encore sain d'esprit malgré nos blessures avons dictée cette missive a la baronne d'arzilliere, lylla cardinal d'erbail, cette lettre ne pourra etre rendue publique ou utilisé que part notre fils charles antoine von frayner d'azayes d'apperault.
mon fils.....
A l'heure de nous en remettre au tres haut, nous nous devons de vous mettre en garde et de vous dires enfin certaine chose.
il est venu le temps ou l'aiglon doit prendre son envol quand l'aigle s'eteint.A mon grand regret il n'est plus que l'ombre de lui meme et vous laisse a regret autour des vautours affamés de pouvoir.
eloignez vous le plus possible de ses von frayner qui se prenne pour des aigles mais qui ne sont que la pale copie des guise, des num et des enorig. Les animaux de proies ne sont devenus que des volatiles qui ne se contente des restes, a l'image de ce charlemagne qui se croit roy parce qu'il est de descendance royale ou de ce dauphin qui s'est dit qu'apres le brigandage il serait bon de faire roy.
un sourire malgré lui avant les larmes qui ne tarderent pas a venir
il sera dur a toi de faire face a l'opprobre et la rumeur qui va se rependre apres nous.L'histoire ne retiendras que les felons soit disant, les chiens de gardes champenois ceux qui se sont caché a sainte attendant que l'irreparable soit fait, ne se generons pas de salir notre memoire.
l'essentiel n'est pas la au fond je te sais capable de te preserver de tout ca.....
serrant la main de la baronne
l'essentiel sera de preserver ce qui compte le plus, la famille.....
il est temps pour moi de reconnaitre officiellement......
il s'arreta un long moment pour reprendre des forces ce passage serait douloureux pour certains.