Nathan
Loin dans les montagnes de ses rêves. Loin dans les pensées au doux mélange d'harmonie et de discorde, dans le symbole paradoxale de l'antithèse par excellence, Nathan se retrouvait face à des personnes. Dans l'inconnu, il tâtait, il perdait, il ne reconnut plus. Oh le diable de la vie, dans un élan de peur, il recula. Pas après pas, il dévisagea les inconnus, ils ne furent plus que simples invités de connaissances, l'inconnu lui fut trop peur après réflexion.
Pas après pas, il haït davantage chaque membre se trouvant ici. Sur une dizaine ils étaient quatre. Le végétal eut l'idée de s'emparer des autres.
Il faut du secondaire dans une histoire. Il faut du rebondissement. Il faut du sentiment.
Nathan était dans une période émotive. Un rien l'embrasait, un rien l'énervait, un rien le rendait amoureux, un tout s'animait en lui et à chaque occasion au demeurant de s'enfoncer davantage dans la peau pâle d'un histrion affectueux. Enrobait par la richesse il se décorait lui-même des titres du fanfaron provinciaux. Un nom, un prénom, une scène ? On aurait pût se croire au théâtre.
Sans conflit, il n'y a pas de théâtre.
Théâtre de ta soeur! Ouééé ouéé! Nathan finit par s'auto-plaquer contre le mur. Le lambris crut un instant être craqué par la force déployée par le jeune blond. Une brute épaisse. Non pas la plupart du temps, mais, parfois, par moment, lorsque la haine prend le dessus sur toutes les émotions ressentit.
-Ma mère n'a rien pu m'apprendre. Elle est morte à ma naissance. Cruelle femme! Tu ne mérites pas ta place ici. Zelgius! Ouvre lui les portes! Qu'elle puisse partir, sinon, je commets un meurtre!
Il était sérieux, même. Il se refusait l'idée que l'on puisse l'attaquer sous l'angle de sa mère. Innocemment ou volontaire, la douleur restait la même. Nathan demeurait un être sensible à cet égard maternel.
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Le Berry, en TUMBLR, par moi.
Pas après pas, il haït davantage chaque membre se trouvant ici. Sur une dizaine ils étaient quatre. Le végétal eut l'idée de s'emparer des autres.
Il faut du secondaire dans une histoire. Il faut du rebondissement. Il faut du sentiment.
Nathan était dans une période émotive. Un rien l'embrasait, un rien l'énervait, un rien le rendait amoureux, un tout s'animait en lui et à chaque occasion au demeurant de s'enfoncer davantage dans la peau pâle d'un histrion affectueux. Enrobait par la richesse il se décorait lui-même des titres du fanfaron provinciaux. Un nom, un prénom, une scène ? On aurait pût se croire au théâtre.
Sans conflit, il n'y a pas de théâtre.
Théâtre de ta soeur! Ouééé ouéé! Nathan finit par s'auto-plaquer contre le mur. Le lambris crut un instant être craqué par la force déployée par le jeune blond. Une brute épaisse. Non pas la plupart du temps, mais, parfois, par moment, lorsque la haine prend le dessus sur toutes les émotions ressentit.
-Ma mère n'a rien pu m'apprendre. Elle est morte à ma naissance. Cruelle femme! Tu ne mérites pas ta place ici. Zelgius! Ouvre lui les portes! Qu'elle puisse partir, sinon, je commets un meurtre!
Il était sérieux, même. Il se refusait l'idée que l'on puisse l'attaquer sous l'angle de sa mère. Innocemment ou volontaire, la douleur restait la même. Nathan demeurait un être sensible à cet égard maternel.
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Le Berry, en TUMBLR, par moi.
Zelgius
La tension entre Grâce et Zelgius n'était qu'un pâle reflet de la tension qui se faisait de plus en plus oppressante dans cette pièce, la clef commençait à brûler sa poitrine à mesure que les sons revenaient à son esprit.
Doucement, plus que les sons les paroles parvinrent à son esprit et le sourire Champlecyen s'étira sur le visage de Zelgius. Oh oui, si son propre jeu en venait à être compromis par le fantôme d'un passé oublié alors les jeux du présent viendront pour faire pâlir les pires esprits du royaume des morts.
Cependant, ce fut le bruit du mur heurté qui ramena définitivement le Dément à la réalité. Et les propos tenus par chaque participant à la conversation furent alors tel une tempête revenant à la charge après laccalmie de son il.
Et comme pour déclencher une nouvelle tempête, le poignard aussi noir que son regard alla se planter à à peine un ongle du visage de l'Ambroise.
Personne ne sortira d'ici sans mon accord et chaque personne ici présente y a sa place.
S'approchant doucement d'Andhara, il plaça les mains sur ses épaules comme il l'avait senti quelques instant auparavant, peut-être même était-ce cela qui avait commencé à le ramener... Mais qu'importe ! Il continua à fixer son filleul.
Je viens de te fournir une arme, prouves-nous donc que tu as retenu MES enseignements.
Libérant les épaules de sa rousse, Zelgius fit un pas en arrière sachant pertinemment qu'elle possédait elle aussi une arme.
A moins que nous en revenions au sujet premier de cette entrevue ?
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Doucement, plus que les sons les paroles parvinrent à son esprit et le sourire Champlecyen s'étira sur le visage de Zelgius. Oh oui, si son propre jeu en venait à être compromis par le fantôme d'un passé oublié alors les jeux du présent viendront pour faire pâlir les pires esprits du royaume des morts.
Cependant, ce fut le bruit du mur heurté qui ramena définitivement le Dément à la réalité. Et les propos tenus par chaque participant à la conversation furent alors tel une tempête revenant à la charge après laccalmie de son il.
Et comme pour déclencher une nouvelle tempête, le poignard aussi noir que son regard alla se planter à à peine un ongle du visage de l'Ambroise.
Personne ne sortira d'ici sans mon accord et chaque personne ici présente y a sa place.
S'approchant doucement d'Andhara, il plaça les mains sur ses épaules comme il l'avait senti quelques instant auparavant, peut-être même était-ce cela qui avait commencé à le ramener... Mais qu'importe ! Il continua à fixer son filleul.
Je viens de te fournir une arme, prouves-nous donc que tu as retenu MES enseignements.
Libérant les épaules de sa rousse, Zelgius fit un pas en arrière sachant pertinemment qu'elle possédait elle aussi une arme.
A moins que nous en revenions au sujet premier de cette entrevue ?
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Nathan
Nathan ne sut quoi faire. En fin de compte il fut de nouveau le prisonnier de son sanguinaire parrain. Même si dans la décadence de leur relation il sut toujours apporter l'amour qu'il se devait de le lui apporter, Nathan désenchanta de la tournure des événements. Il haïssait le fait d'être prisonnier, cruel paradoxe sachant qu'il était le prisonnier du Berry par excellence.
Disons qu'il ne supportait pas être double prisonnier.
Ça craignait à mort.
Il voulait s'en débarrasser en se lavant.
C'était impossible.
Il n'eut plus qu'à pleurer.
Le jeune blondinet, n'eut pas d'idée géniale. Il se considéra, une fois de plus, comme la victime des actions Zelgiusienne. Il était chez lui et subissait la folie de son parrain.
Il avait trop ouvert sa vie à ce monstre. Il eut l'envie de se baffer, de se gifler, de se couper. Oh la bonne idée!
Le garçon au poisson orange, dans un élan de colère et de désespoir céda à ses propres menaces. Une frénésie s'était emparée de la pièce, impuissant, il se lança dans la tentative désespérée. Se goinfrer de macaron ne fut pas l'idée. Il dut enfin, pour une fois, prendre sa vie en main.
Il ne jouissait plus de sa liberté. Il ne bénéficiait plus des avantages liés à son rang. Il crut bon de céder à la tentation.
Il est plutôt pas mal Zelgius. Bwah! C'pas cette tentation.
Il se précipita vers la cheminée.
-J'en ai marre! Je souffre! Je veux la fin! Vous ne vous en rendez pas compte. Tous autant que vous êtes, occupés à vos propres griefs, me salissant toujours plus et davantage! Je cède à la faucheuse!
Il prit une dague au pommeau incrusté de pierres précieuses et se la mit sous le cou.
-Zelgius la vie d'ma mère que tu vas le regretter si tu ne résous pas la situation! Je me suiciderai, même! Rah!
On l'eut cru réellement désespéré, là.
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Le Berry, en TUMBLR, par moi.
Disons qu'il ne supportait pas être double prisonnier.
Ça craignait à mort.
Il voulait s'en débarrasser en se lavant.
C'était impossible.
Il n'eut plus qu'à pleurer.
Le jeune blondinet, n'eut pas d'idée géniale. Il se considéra, une fois de plus, comme la victime des actions Zelgiusienne. Il était chez lui et subissait la folie de son parrain.
Il avait trop ouvert sa vie à ce monstre. Il eut l'envie de se baffer, de se gifler, de se couper. Oh la bonne idée!
Le garçon au poisson orange, dans un élan de colère et de désespoir céda à ses propres menaces. Une frénésie s'était emparée de la pièce, impuissant, il se lança dans la tentative désespérée. Se goinfrer de macaron ne fut pas l'idée. Il dut enfin, pour une fois, prendre sa vie en main.
Il ne jouissait plus de sa liberté. Il ne bénéficiait plus des avantages liés à son rang. Il crut bon de céder à la tentation.
Il est plutôt pas mal Zelgius. Bwah! C'pas cette tentation.
Il se précipita vers la cheminée.
-J'en ai marre! Je souffre! Je veux la fin! Vous ne vous en rendez pas compte. Tous autant que vous êtes, occupés à vos propres griefs, me salissant toujours plus et davantage! Je cède à la faucheuse!
Il prit une dague au pommeau incrusté de pierres précieuses et se la mit sous le cou.
-Zelgius la vie d'ma mère que tu vas le regretter si tu ne résous pas la situation! Je me suiciderai, même! Rah!
On l'eut cru réellement désespéré, là.
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Le Berry, en TUMBLR, par moi.
Zelgius
Des menaces de suicide maintenant ? Le Nathan que nous avions tous connu aurait-il périt sous le poids de tout cet or ? Peut-être même avait-il oublié tout ce que le Champlecy lui avait appris... Non, ça devait être resté là, quelque part au fond de toute cette crasse de richesse et de vantardise ! Mais où ?
Sans lâcher les épaules d'Andhara, il tourna légèrement la tête pour suivre le mouvement de Nathan.
Aurais-tu tellement honte de ce que tu t'apprêtes à faire que tu n'oses en salir mon arme ? Ou bien as-tu honte de ton passé et de tout ce que je t'ai appris ?
Et alors Nathan en arriva aux propos de sa mère... Voilà qui offrait un nouveau terrain de jeu.
Ta mère est morte Nathan, sauf si tu parles de Choose auquel cas, je ne bougerai pas. Bé dame, si tu veux Grâce, je te l'offrirai de bon coeur, peut-être te mettra-t-elle du fer dans le crâne.
Oui, frapper fort sans même le toucher pour lui faire lâcher son arme ! Voilà qui était parfait !
Non... Non non, reprenons les bases plutôt. Andhara, ne voulais-tu pas lui montrer quelques "passes d'armes" ? Je suis sur qu'une fois en face de la vraie vie, il se souviendra de ce qu'il sait plutôt que de tenir sa lame à l'envers.
Une nouvelle fois un sourire vint orner son visage alors qu'il se reculait pour laisser la place aux "combattants".
Réglez donc cela que nous revenions à notre sujet de départ.
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Sans lâcher les épaules d'Andhara, il tourna légèrement la tête pour suivre le mouvement de Nathan.
Aurais-tu tellement honte de ce que tu t'apprêtes à faire que tu n'oses en salir mon arme ? Ou bien as-tu honte de ton passé et de tout ce que je t'ai appris ?
Et alors Nathan en arriva aux propos de sa mère... Voilà qui offrait un nouveau terrain de jeu.
Ta mère est morte Nathan, sauf si tu parles de Choose auquel cas, je ne bougerai pas. Bé dame, si tu veux Grâce, je te l'offrirai de bon coeur, peut-être te mettra-t-elle du fer dans le crâne.
Oui, frapper fort sans même le toucher pour lui faire lâcher son arme ! Voilà qui était parfait !
Non... Non non, reprenons les bases plutôt. Andhara, ne voulais-tu pas lui montrer quelques "passes d'armes" ? Je suis sur qu'une fois en face de la vraie vie, il se souviendra de ce qu'il sait plutôt que de tenir sa lame à l'envers.
Une nouvelle fois un sourire vint orner son visage alors qu'il se reculait pour laisser la place aux "combattants".
Réglez donc cela que nous revenions à notre sujet de départ.
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Andhara_velvet
-Ma mère n'a rien pu m'apprendre. Elle est morte à ma naissance. Cruelle femme! Tu ne mérites pas ta place ici. Zelgius! Ouvre lui les portes! Qu'elle puisse partir, sinon, je commets un meurtre!
Cruelle femme ? Hum ? Simple haussement de sourcil à cette singulière insulte qui était probablement vraie. Elle était habituée à des paroles moins retenues mais soit ! Passons.
Un meurtre maintenant ? Regardant le blond gringalet qu'elle avait devant elle, elle était loin de l'imaginer en train de la tuer.
Personne ne sortira d'ici sans mon accord et chaque personne ici présente y a sa place.
Enfin, avant même qu'elle ne réponde quoi que ce soit à Nathan, Zelgius prit finalement la relève, étant apparemment sorti de son illusion fantomatique. Et bientôt, alors qu'il venait de poser ses mains sur les épaules de la rousse, un poignard qu'il avait décoché se planta dans le mur à côté du blond névrosé comme pour appuyer ses dires précédents.
La rousse, resta du fait, plutôt spectatrice de ce qu'il se passait sous ses yeux, observant les différentes réactions pour mieux apprendre de ceux qui l'entouraient.
Je viens de te fournir une arme, prouves-nous donc que tu as retenu MES enseignements. A moins que nous en revenions au sujet premier de cette entrevue ?
Andhara n'avait pas encore sorti la moindre lame. D'ailleurs elle n'en avait prise qu'une, légère, discrète, dont elle s'était déjà servie auparavant sur la gorge de Zel lors d'une "promenade" peu commune.
S'attendant un peu à tout, elle préféra attendre de voir ce qu'allait faire le Sidjéno plutôt que de, de suite, révéler certaines de ses "cachettes". De toute façon, elle n'avait aucun doute quand à sa propre réactivité et "l'aiguille" serait très vite sortie en cas de besoin.
Manque de bol pour elle, ce n'était pas encore pour maintenant qu'elle se frotterait à ce jeune écervelé, car il fallait bien dire qu'elle trouvait l'idée assez séduisante. Mais ce jeune chiot de Luxe avait préféré se menacer lui-même.
Et la réponse de Zel ne se fit pas plus attendre
Ta mère est morte Nathan, sauf si tu parles de Choose auquel cas, je ne bougerai pas. Bé dame, si tu veux Grâce, je te l'offrirai de bon coeur, peut-être te mettra-t-elle du fer dans le crâne.
Non... Non non, reprenons les bases plutôt. Andhara, ne voulais-tu pas lui montrer quelques "passes d'armes" ? Je suis sur qu'une fois en face de la vraie vie, il se souviendra de ce qu'il sait plutôt que de tenir sa lame à l'envers.
Réglez donc cela que nous revenions à notre sujet de départ.
Cette fois, la partie serait peut-être pour elle mais il fallait la jouer fine car nullement il n'avait été question de tuer le maître des lieux dans sa propre maison, quand bien même elle aurait eu le pardon zelgiusien.
Ce n'était qu'un jeune fou qui avait juste besoin qu'on lui remette les pieds sur Terre et le brun avait cherché à le rendre plus homme qu'il ne l'était vraiment. En vain.
Observant Nathan dans les yeux, elle y lut beaucoup de choses dont la folie de la dépendance des drogues, mais également un franc désarroi. Il se sentait perdu et acculé dans sa propre maison et bien qu'elle ne pouvait pas considérer le blond comme un ami, il n'en était pas davantage un ennemi à ses yeux. Elle le jugeait top jeune et irresponsable pour être réellement un problème pour elle.
Sur ce, pour la première fois depuis un bon moment, alors que les deux frères ennemis s'étaient échangé gentillesses en tous genres, elle parla, prenant sa voix la plus calme et apaisante possible, comme lorsqu'elle devait maîtriser un cheval fou et apeuré. Elle s'approcha très lentement du suicidaire du jour tout en lui montrant ses mains vides et ouvertes.
Nathan Sidjeno d'Ambroise, tu es jeune et riche mais la richesse ne se dépense pas six pieds sous terre. Elle s'arrêta un instant pour jeter un coup d'il à Zelgius et aux autres qui ne bougeaient pas.
Je ne suis pas armée, tu ne crains rien. Alors pose ce truc ridicule qui ne fera que te filer la gangrène. Regarde la lame un peu, si tu veux te tuer, y a quand-même moins long et douloureux.
Puis rapidement, faisant appel à sa dextérité de limier, sans même qu'il s'en aperçoive, elle lui subtilisa le poignard incrusté des mains pour mieux lui montrer ce qu'elle voulait lui faire croire
Non mais c'est vrai, c'est pas possible, ça, ça ne couperai même pas le cou d'un poulet. dite-elle en passant le pouce sur le tranchant de la lame d'un air expert.
Puis se reculant enfin, elle refila d'un mouvement de jet de la main, le couteau qui ressemblait plus à un ouvre-lettre qu'à autre chose, à Zelgius.
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Nathan
Sombrement dépassé. Nathan létait. Que devait-il faire encore ? Pas grand-chose à vrai dire. Prit dans la spirale infernale, il ne fut jamais aidé en profondeur. Les problèmes saccumulaient, il les abhorrait. A lacmé de sa prospérité, Nathan eut été un jeune homme tout bien comme il fallait.
Malheureusement, la volonté de rompre le fer avec beaucoup de personnages aux habits antipodiques.
Il nétait pas ladre de la verve, il sen amusait comme un politicien pourrit samuser de mener une fausse bonne politique. Nathan eut été, la pupille de Berry. Le protégé, le futur en qui, tout le monde crut bon, un jour ou lautre.
La peur de décevoir. Cette pétasse sincrusta en Nathan. Elle se greffa à chacun de ses organes. Le cerveau, il réfléchissait par la peur. Le cur, il battait par la peur. Les poumons, ils respiraient la peur.
Congru dans la forme de la terreur, il se laissa aller, devenant décadence. Il fut suivit par bon nombre.
Et, cest en ce jour, que Nathan connu, lapogée de sa déchéance. Toucher le fond.
Pour mieux rebondir.
Néanmoins, il dut surpasser les événements qui dressèrent devant lui.
Ce fut comme une apparition.
Andhara se moquait de lui, sans gêne. Effrontée. Il était duc. Elle se permettait par Zelgius. Elle eut tort. Non pas que Nathan allait rétorquer. Il creusa encore dans la décadence -à toucher le fond, mais creuse encore- dit-on.
-Je gère comme bon me semble ma fortune. La tutelle nest plus. Je suis en âge de prospérer à ma manière.
Il neut pas le sérieux escompté. Il alla farfouiller dans les étagères. Renversa une ranger de livre et ouvrit un coffre dérobé contenant sa précieuse drogue.
Verre en main, il versa le liquide dans le nectar ambré et but.
Nathan était un drogué compulsif.
-Alors. Revenons-en au point de départ.
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Le Berry, en TUMBLR, par moi.
Malheureusement, la volonté de rompre le fer avec beaucoup de personnages aux habits antipodiques.
Il nétait pas ladre de la verve, il sen amusait comme un politicien pourrit samuser de mener une fausse bonne politique. Nathan eut été, la pupille de Berry. Le protégé, le futur en qui, tout le monde crut bon, un jour ou lautre.
La peur de décevoir. Cette pétasse sincrusta en Nathan. Elle se greffa à chacun de ses organes. Le cerveau, il réfléchissait par la peur. Le cur, il battait par la peur. Les poumons, ils respiraient la peur.
Congru dans la forme de la terreur, il se laissa aller, devenant décadence. Il fut suivit par bon nombre.
Et, cest en ce jour, que Nathan connu, lapogée de sa déchéance. Toucher le fond.
Pour mieux rebondir.
Néanmoins, il dut surpasser les événements qui dressèrent devant lui.
Ce fut comme une apparition.
Andhara se moquait de lui, sans gêne. Effrontée. Il était duc. Elle se permettait par Zelgius. Elle eut tort. Non pas que Nathan allait rétorquer. Il creusa encore dans la décadence -à toucher le fond, mais creuse encore- dit-on.
-Je gère comme bon me semble ma fortune. La tutelle nest plus. Je suis en âge de prospérer à ma manière.
Il neut pas le sérieux escompté. Il alla farfouiller dans les étagères. Renversa une ranger de livre et ouvrit un coffre dérobé contenant sa précieuse drogue.
Verre en main, il versa le liquide dans le nectar ambré et but.
Nathan était un drogué compulsif.
-Alors. Revenons-en au point de départ.
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Le Berry, en TUMBLR, par moi.
Zelgius
Laisser faire. Ou LA chose que le Champlecy ne supportait pas. Mais cette fois, cela avait été drôle. Voir Nathan et Andhara, deux personnes importante dans sa vie, il fallait bien l'avouer, s'opposer et se tester était des plus plaisant. Le brun pouvait ainsi voir si les deux pourraient se supporter et si ils pourraient coopérer le moment voulu.
C'est pas l'heure !
Où en étions nous ? Oui, oui bien sur ! La véritable raison de leur présence à Louvières ! Mais avant, aller récupérer le poignard que le Champlecy avait envoyé à son filleul. Et attraper le coupe-papier de l'autre main. Le voilà avec deux armes... Enfin une et demie plutôt. Donc ! Rangeant la véritable arme, il entreprit une inspection de la lame de Nathan.
Qu'est-ce que c'est que ça ? Nathan, qu'as-tu fait des armes que je t'ai donné ? Ne me dis pas que tu te défends avec ça ? C'est d'un... Ridicule !
Voilà qui était fait, et voir Andhara mentir sur son armement failli le faire éclater de rire. Il était vrai qu'elle n'avait pas besoin d'arme pour tuer puisque ses mains en étaient... Des armes hein, on suit !
Bien, puisque tu as fini ton théâtre, nous allons p...
Il restait donc de l'alcool ici ? Quelle magnifique idée ! Un sourire s'esquissa sur son visage avant de disparaître à la vue de ce que le Blond rajoutait. Il n'en fallut guère plus pour que le Brun envoie le couteau de Nathan à son propriétaire, prenant bien garde à ce que la lame arrive là où Nathan serait obligé de lâcher le verre ou se prendre en pleine tête.
J'ai besoin de toi avec toute ta tête Nathan. Et prouves tes paroles plutôt que de faire le caniot délaissé. On dirait que tu ne sais supporter la vie sans moi ! Le point de départ était ton addiction, nous sommes là pour t'empêcher de plonger plus avant.
Oui, il mentait, ils n'étaient pas là pour Nathan mais pour lui-même. Mais il avait découvert la vérité durant le long débat qui avait suivi leur entrée dans la pièce.
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C'est pas l'heure !
Où en étions nous ? Oui, oui bien sur ! La véritable raison de leur présence à Louvières ! Mais avant, aller récupérer le poignard que le Champlecy avait envoyé à son filleul. Et attraper le coupe-papier de l'autre main. Le voilà avec deux armes... Enfin une et demie plutôt. Donc ! Rangeant la véritable arme, il entreprit une inspection de la lame de Nathan.
Qu'est-ce que c'est que ça ? Nathan, qu'as-tu fait des armes que je t'ai donné ? Ne me dis pas que tu te défends avec ça ? C'est d'un... Ridicule !
Voilà qui était fait, et voir Andhara mentir sur son armement failli le faire éclater de rire. Il était vrai qu'elle n'avait pas besoin d'arme pour tuer puisque ses mains en étaient... Des armes hein, on suit !
Bien, puisque tu as fini ton théâtre, nous allons p...
Il restait donc de l'alcool ici ? Quelle magnifique idée ! Un sourire s'esquissa sur son visage avant de disparaître à la vue de ce que le Blond rajoutait. Il n'en fallut guère plus pour que le Brun envoie le couteau de Nathan à son propriétaire, prenant bien garde à ce que la lame arrive là où Nathan serait obligé de lâcher le verre ou se prendre en pleine tête.
J'ai besoin de toi avec toute ta tête Nathan. Et prouves tes paroles plutôt que de faire le caniot délaissé. On dirait que tu ne sais supporter la vie sans moi ! Le point de départ était ton addiction, nous sommes là pour t'empêcher de plonger plus avant.
Oui, il mentait, ils n'étaient pas là pour Nathan mais pour lui-même. Mais il avait découvert la vérité durant le long débat qui avait suivi leur entrée dans la pièce.
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Pouikie
Rester planter sur une chaise et attendre que la situation se démêle, voilà l'attitude que la Gazoute décida d'adopter, comme celle des autres protagonistes. Avachie comme une poupée de chiffon, Pouikie les regardait se lancer des piques, des insultes, des poignards, des menaces de mort, le regard vide.
Son esprit restait coincé sur cette information : j'ai tué ta mère. Info ou intox ? Le plus commun penserait la seconde, la gazoute en était sûr, il l'avait fait, c'était si ... Zelgius.
Mais imaginer que sa propre mère avait pu tuer sa propre chair ? Elle ne le voulait pas. Pouikie préférait se persuader que son prétendu père avait appris par malchance sa naissance et avait tenté de la noyer comme on le faisait avec les chatons. Voulant défendre la vie de sa fille, Alix se serait battue à mort après l'avoir placée en couvent.
La version des nonnes, la version ayant le plus d'incohérences, la version la plus facile à accepter.
Il fallait aussi prouver la paternité de Zelgius.
Il a raison, tu ne dois plus douter, tu le sais Gazoute.
Les yeux vides se posaient sur la taupe. La bouche de l'enfant s'ouvrait pour laisser passer une énième contestation mais elle se referma aussitôt; ce n'était pas le moment de donner raison une fois de plus à son géniteur.
Le regard se réanime et continue d'observer ce qui se passe devant elle. Toujours des joutes verbales qui semblaient tourner vers une joutes en bonne et due forme entre le blond et la rousse, et le brun qui s'en délectait. Si bien qu'il désirait attirer l'attention de tout le monde sur les addictions de son oncle blond adoré. Léger raclement de gorge et Pouikie mit fin à son mutisme.
Quelle belle manière de mener une réunion familiale ! Mais ne devions-nous pas nous occuper de ta personne et de ton fameux empoisonnement ? N'est-ce pas pour cela que tu as tant voulu nous voir ici lieu ? Pour dévoiler le mystère ? J'ai le coupable en tête si ça t'intéresse toujours, Père.
Un petit mot pour le tester, un petit mot remplit d'ironie et d'amertume. Ou peut-être tout simplement, un petit mot pour montrer qu'une des vérités allait être acceptée.
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Le Berry c'est trop géniaaaal!
Son esprit restait coincé sur cette information : j'ai tué ta mère. Info ou intox ? Le plus commun penserait la seconde, la gazoute en était sûr, il l'avait fait, c'était si ... Zelgius.
Mais imaginer que sa propre mère avait pu tuer sa propre chair ? Elle ne le voulait pas. Pouikie préférait se persuader que son prétendu père avait appris par malchance sa naissance et avait tenté de la noyer comme on le faisait avec les chatons. Voulant défendre la vie de sa fille, Alix se serait battue à mort après l'avoir placée en couvent.
La version des nonnes, la version ayant le plus d'incohérences, la version la plus facile à accepter.
Il fallait aussi prouver la paternité de Zelgius.
Il a raison, tu ne dois plus douter, tu le sais Gazoute.
Les yeux vides se posaient sur la taupe. La bouche de l'enfant s'ouvrait pour laisser passer une énième contestation mais elle se referma aussitôt; ce n'était pas le moment de donner raison une fois de plus à son géniteur.
Le regard se réanime et continue d'observer ce qui se passe devant elle. Toujours des joutes verbales qui semblaient tourner vers une joutes en bonne et due forme entre le blond et la rousse, et le brun qui s'en délectait. Si bien qu'il désirait attirer l'attention de tout le monde sur les addictions de son oncle blond adoré. Léger raclement de gorge et Pouikie mit fin à son mutisme.
Quelle belle manière de mener une réunion familiale ! Mais ne devions-nous pas nous occuper de ta personne et de ton fameux empoisonnement ? N'est-ce pas pour cela que tu as tant voulu nous voir ici lieu ? Pour dévoiler le mystère ? J'ai le coupable en tête si ça t'intéresse toujours, Père.
Un petit mot pour le tester, un petit mot remplit d'ironie et d'amertume. Ou peut-être tout simplement, un petit mot pour montrer qu'une des vérités allait être acceptée.
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Le Berry c'est trop géniaaaal!
Zelgius
Quelle belle manière de mener une réunion familiale ! Mais ne devions-nous pas nous occuper de ta personne et de ton fameux empoisonnement ? N'est-ce pas pour cela que tu as tant voulu nous voir ici lieu ? Pour dévoiler le mystère ? J'ai le coupable en tête si ça t'intéresse toujours, Père.
Ainsi donc sa "fille" n'était pas morte de catatonie ? Soit. Elle désirait donc éloigner la conversation de Nathan... Pourquoi ? Qu'avait-il vraiment manqué durant sa convalescence ? Elle avait eu l'air plus proche du Blond que de Zelgius durant une grande partie de la "réunion"... Bah ! Peu importait !
Nous occuper de trouver qui m'a empoisonné est en effet l'une des raisons de notre présence à tous ici. Mais ce n'est pas la seule.
Du coin de l'oeil, il la jaugea, avait-elle vraiment découvert que Grâce l'avait empoisonné ou se contenterait-elle de dire qu'il était bien capable de s'empoisonner seul pour attirer les attentions sur lui ?
Mais nous t'écoutons, gazoute. Exprime-toi.
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Ainsi donc sa "fille" n'était pas morte de catatonie ? Soit. Elle désirait donc éloigner la conversation de Nathan... Pourquoi ? Qu'avait-il vraiment manqué durant sa convalescence ? Elle avait eu l'air plus proche du Blond que de Zelgius durant une grande partie de la "réunion"... Bah ! Peu importait !
Nous occuper de trouver qui m'a empoisonné est en effet l'une des raisons de notre présence à tous ici. Mais ce n'est pas la seule.
Du coin de l'oeil, il la jaugea, avait-elle vraiment découvert que Grâce l'avait empoisonné ou se contenterait-elle de dire qu'il était bien capable de s'empoisonner seul pour attirer les attentions sur lui ?
Mais nous t'écoutons, gazoute. Exprime-toi.
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