Serregill.
Je suis a pied, tenant mon cheval par la bride. Je dois sortir de cette ville rapidement. Si la gamine a réussi à m'y retrouver, d'autre peuvent le faire aussi. Je m'enfonce plus profondément dans la foule, en ce jour de marché. Il y a beaucoup de monde, tant mieux, je peux m'y dissimuler plus facilement.
J'avance rapidement, du moins, autant que possible avec ce monde. Je me faufile comme je peux entre les étals colorés des marchands. Une patrouille passe. Je leur tourne le dos rapidement et fait mine de m'intéresser à la marchandise étalée devant moi. L'homme me vente la qualité de ses foulards, mais je ne l'écoute que distraitement. Les soldats passent, sans faire attention à moi. Je reprend mon avancée.
Je serpente entre les bâtiments, restant dans les artères les plus fréquentées. Je finis par ne plus faire attention aux patrouilles. Elles ne semblent pas être au courant que je suis ici. Pour l'instant. Tant mieux.
J'arrive enfin en vue des portes de la cité. Quatre gardes surveillent les entrées et les sorties d'un air distrait. Il faut que je sorte avant qu'ils ne soient prévenus de ma présence, ou ils se mettront à contrôler tous les passants.
Je décide de monter en selle, prêt à m'enfuir au moindre signe indiquant qu'ils m'aient reconnu. Je m'avance tranquillement en direction des portes.
Je me sens contraster avec la foule, majoritairement composée de paysans venant vendre leur récolte au marché. Le claquement des sabots change quand je passe du pavé de la rue au pont de bois. Je passe devant les gardes. Je leur jette un regard furtif, remarquant leur air las et fatigué. Ils ne semblent pas faire plus attention à moi qu'aux autres passants.
Ça y est, j'ai quitté l'enceinte de la cité. Les quelques gardes en faction n'ont pas fait attention à moi. Je pousse un soupir de soulagement. J'ai beau avoir déjà échapper à plusieurs puissantes familles qui me recherchaient, je n'aimaient pas l'idée d'avoir à me cacher dans une cité inconnue, sans pouvoir en sortir, pendant que toute une garnison me cherche.
J'avance un moment entre les champs et les fermes qui entourent la ville. Après quelques kilomètres, je pousse ma monture au trot. Je veux maintenant augmenter le plus possible la distance entre moi et cette cité. La gamine ne vas pas tarder à prévenir tout le monde de ma présence, et je tiens à conserver mon avance.
J'avance rapidement, du moins, autant que possible avec ce monde. Je me faufile comme je peux entre les étals colorés des marchands. Une patrouille passe. Je leur tourne le dos rapidement et fait mine de m'intéresser à la marchandise étalée devant moi. L'homme me vente la qualité de ses foulards, mais je ne l'écoute que distraitement. Les soldats passent, sans faire attention à moi. Je reprend mon avancée.
Je serpente entre les bâtiments, restant dans les artères les plus fréquentées. Je finis par ne plus faire attention aux patrouilles. Elles ne semblent pas être au courant que je suis ici. Pour l'instant. Tant mieux.
J'arrive enfin en vue des portes de la cité. Quatre gardes surveillent les entrées et les sorties d'un air distrait. Il faut que je sorte avant qu'ils ne soient prévenus de ma présence, ou ils se mettront à contrôler tous les passants.
Je décide de monter en selle, prêt à m'enfuir au moindre signe indiquant qu'ils m'aient reconnu. Je m'avance tranquillement en direction des portes.
Je me sens contraster avec la foule, majoritairement composée de paysans venant vendre leur récolte au marché. Le claquement des sabots change quand je passe du pavé de la rue au pont de bois. Je passe devant les gardes. Je leur jette un regard furtif, remarquant leur air las et fatigué. Ils ne semblent pas faire plus attention à moi qu'aux autres passants.
Ça y est, j'ai quitté l'enceinte de la cité. Les quelques gardes en faction n'ont pas fait attention à moi. Je pousse un soupir de soulagement. J'ai beau avoir déjà échapper à plusieurs puissantes familles qui me recherchaient, je n'aimaient pas l'idée d'avoir à me cacher dans une cité inconnue, sans pouvoir en sortir, pendant que toute une garnison me cherche.
J'avance un moment entre les champs et les fermes qui entourent la ville. Après quelques kilomètres, je pousse ma monture au trot. Je veux maintenant augmenter le plus possible la distance entre moi et cette cité. La gamine ne vas pas tarder à prévenir tout le monde de ma présence, et je tiens à conserver mon avance.