Serregill.
La jeune femme n'a pas le temps de répondre, qu'une autre personne entre dans l'auberge. Encore une femme. A peu près du même age que celle qui cherche à se faire conduire à Rodez.
Sans même me jeter un regard, alors que je me trouve entre elle et celle à qui je parle, elle s'agenouille devant elle et lui apprend que des description de nous sont affichées.
Cette nouvelle me fait frissonner. Les pensées se bousculent dans mon esprit. Je ne suis pas en sécurité ici. Il faut que je quitte la ville. Et rapidement. Mais les gardes doivent avoir ma description. Si je pars seul, il me remarquerons facilement. Je dois partir avec la jeune femme. Elle pourrait m'aider à passer les portes. Je pourrais toujours l'abandonner après.
La dernière arrivée s'en va aussi rapidement qu'elle est venue, me jetant un regard en s'en allant. Je réprime un rire nerveux. "Je suis sûr de les reconnaître" qu'elle disait. Heureusement, elle ne semble pas avoir bien vu le dessin. Mais je ne vais pas attendre ici qu'elle repasse devant et qu'elle me reconnaisse. je dois partir.
Je reporte mon attention sur la jeune femme, qui m'apprend tout ce que je veux savoir. Quel hasard. Elle semble être la compagne de l'Italien. Je réprime un nouveau fou rire devant la cocasserie de la situation. Si seulement elle savait qui j'étais...
Elle mannonce ensuite qu'une récompense de 100 écus est proposée pour ma tête. 100 misérables écus. Je suis presque déçu, moi qui pensait valoir plus que ça... Mais j'essaye de n'en rien laisser paraître.
Elle se lève et se dirige vers la porte, m'invitant à la suivre du regard. Je réfléchis rapidement. Je dois quitter la ville, ou je serai rapidement reconnu. Je dois le faire au plus vite, avant que mon visage ne soit gravé dans la mémoire de chacun.
'tendez moi dehors, j'vous y r'joint.
C'est décidé, je pars avec elle, et je l'abandonnerais sur la route. En cas de problème avec la garde, elle pourra même me servir d'otage, bien que je doute que des hommes d'armes se soucient de la vie d'une jeune femme. Je cours à ma chambre, y récupère les fontes qui y ont été déposés, et rejoint l'écurie.
Mon cheval s'y trouve. Je le prépare rapidement, installant selle et bride, et arrimant les fontes à leur place.
C'est en le tirant par la bride que je rejoint la jeune femme, prêt à partir. A quelques mètres de l'auberge, le marché est bondé. J'ai peur d'être reconnu. J'enfonce donc mon chapeau sur la tête, espérant ainsi tromper les esprits.
J'suis prêt. Z'avez queq'chose à prendre avant d'partir?
Sans même me jeter un regard, alors que je me trouve entre elle et celle à qui je parle, elle s'agenouille devant elle et lui apprend que des description de nous sont affichées.
Cette nouvelle me fait frissonner. Les pensées se bousculent dans mon esprit. Je ne suis pas en sécurité ici. Il faut que je quitte la ville. Et rapidement. Mais les gardes doivent avoir ma description. Si je pars seul, il me remarquerons facilement. Je dois partir avec la jeune femme. Elle pourrait m'aider à passer les portes. Je pourrais toujours l'abandonner après.
La dernière arrivée s'en va aussi rapidement qu'elle est venue, me jetant un regard en s'en allant. Je réprime un rire nerveux. "Je suis sûr de les reconnaître" qu'elle disait. Heureusement, elle ne semble pas avoir bien vu le dessin. Mais je ne vais pas attendre ici qu'elle repasse devant et qu'elle me reconnaisse. je dois partir.
Je reporte mon attention sur la jeune femme, qui m'apprend tout ce que je veux savoir. Quel hasard. Elle semble être la compagne de l'Italien. Je réprime un nouveau fou rire devant la cocasserie de la situation. Si seulement elle savait qui j'étais...
Elle mannonce ensuite qu'une récompense de 100 écus est proposée pour ma tête. 100 misérables écus. Je suis presque déçu, moi qui pensait valoir plus que ça... Mais j'essaye de n'en rien laisser paraître.
Elle se lève et se dirige vers la porte, m'invitant à la suivre du regard. Je réfléchis rapidement. Je dois quitter la ville, ou je serai rapidement reconnu. Je dois le faire au plus vite, avant que mon visage ne soit gravé dans la mémoire de chacun.
'tendez moi dehors, j'vous y r'joint.
C'est décidé, je pars avec elle, et je l'abandonnerais sur la route. En cas de problème avec la garde, elle pourra même me servir d'otage, bien que je doute que des hommes d'armes se soucient de la vie d'une jeune femme. Je cours à ma chambre, y récupère les fontes qui y ont été déposés, et rejoint l'écurie.
Mon cheval s'y trouve. Je le prépare rapidement, installant selle et bride, et arrimant les fontes à leur place.
C'est en le tirant par la bride que je rejoint la jeune femme, prêt à partir. A quelques mètres de l'auberge, le marché est bondé. J'ai peur d'être reconnu. J'enfonce donc mon chapeau sur la tête, espérant ainsi tromper les esprits.
J'suis prêt. Z'avez queq'chose à prendre avant d'partir?