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[RP] Si les mouettes grillées m'étaient contées

Sylste
La brigande essaye de montrer son envie, même si celle-ci est bien enfouie...Depuis qu'elle avait eu des "ennuies", Sylste s'était fermement décidée à ne plus être une assistée, et surtout à ne plus mettre la vie de ses amis en danger....Elle se refusait les bons sentiments, les moments de joies, de partage, tout ce qui pourrait la faire succomber....Se montrer forte, ne plus avoir à être secourut...
La seule chose qui restait près d'elle sans cesse restait son animal...Bien qu'elle aurait aimé ne pas avoir à être aidée même par une bête, elle n'avait pas le choix, l'était aveugle, elle se devait d'avoir un chien pour brigander et retrouver sa route.

Cependant, elle était là, devant la compagne de Hanort, qui dégagea lors du premier contact, une aura bien diabolique, le genre de sentiment qui nous traverse quand on à l'impression de se faire fusiller du regard...

La danseuse ne dit rien, puis sourit à la remarque de la femme. Puis ensuite on lui présente Sara, sa marraine qui l'avait aidé bien des fois...Une sorte de mère et de confidente....L'Aveugle s'en voulait d'avoir mélée cette mère à ses ennuies...

Penser à autre chose...ne pas repenser à Chaos...Ne pas repenser aux blessures...ni au maintes fois où il a tenté de la tuer par jalousie....

Aristote soit loué il y a de l'alcool...Digne fille de son père, elle boit, boit , boit....et re boit....Le soleil cogne...elle se sent toute chose...toute insouciante....

Elle apprécit l'instant et remarque que dans son coin on s'agite...Lea avait l'air d'avoir plus ressentit l'alcool qu'elle....

La brigande, savoure les quelques moments de répit, de bonheur, ou tout est joyeux...Puis c'est le drame...Elle est prise de rire nerveux...et se laisse tomber dans le sable comme une vieille souche...Les muscles sont lourds...lever une main devient un fardeau...on est bien là...pourquoi chercher compliquer...

Sylste ne veut même pas essayer de parler...La langue de son chien vient caresser son visage..Il a du remarquer qu'un truc allait pas bien...

La maîtresse reste inerte...Elle se repose enfin.....L'a l'impression de s'enfoncer dans l'sable tellement qu'elle est molle et lourde....

Le cabot aboie...perturbe le silence et le sommeil de la femme...Faut il vraiment s'inquiéter ?...

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Leamance
_ Allez mon cœur on va se boire la fin de la bouteille de Whisky ? … a moins que tu ne préfère t’allonger que ta tête arrête de tourner en rond ?

DU Whisky? ce liquide brûlant infame?? Il vaut m'achever c'est sur, pense Lea. Le teint aussi presque aussi vert qu'une algue, la Réfomée sourit quand même au baiser d'Han sur son front. D'ailleurs il est tout mouillé, ce qui donne envie à Lea de vite s'immerger pour un éventuel dégrisement (loin de la nourriture à poisson quand même).

Une evacuation stomacale et un bain fraichounet plus tard, Lea va un peu mieux, et retourne vers le groupe.

Ca va mieux ?…je te dirais c’est mieux de pas le garder après c’est pire…et ne sois pas gêner t’inquiète pas….on a tous fait pire je pense… !

Rire encore alcoolisé

- faudra que je m'habitue, c'est ça? Je débute en alcool, comme pour le reste, il faudra m'apprendre !

Entre temps, Maelle s'est assoupie dans le sable. Elle semble partie dans de doux rêves, un moment d'accalmie, entourée de ceux qui l'aiment. Mais pourquoi ce chien aboit il? Sans doute un coup du sale corbeau de Thoros, ça...

Lea cherche le volatile des yeux, il est où celui là? et son propriétaire d'ailleurs aussi? surement parti planté devant le panneau d'affichage des offres d'emplois à la mairie..Il aime pas travailler à la mine, le blond.

La Réformée attrape une carcasse de mouettes grillées, et la jette au loin, dans le but d'occuper le clébard, afin que sa maitresse puisse roupiller sereine.


- Sieste générale! demain, réveil aux aurores en forme et de bonne humeur.
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Aristotelicienne Réformée en voyage
Thoros
[Bien avant l’arrivée de Sylste]

ooouf..c'est bon elle n'avait pas pleuré..il avait pourtant completement oublié de la nourrir..Le brigand "sanguinaire" restait la debout dans le sable donnant à boire du lait de vache..à Lilith..tout ce qu'il pouvait lui offrir..
Thoros lui souriait tendrement,en la bercant dans ses bras, le tableau devait etre particulierement attendrissant..

Redressant la tete il sourit en voyant sara jouer avec son fils mais Hanort et Lea avaient disparus, cela le fit immanquablement grommeler..


Tsss et voila..à peine arrivés les amis nous abandonnent deja..

Redevenant d'humeur sombre, il s'installa devant le feu, le bout de ses doigt le touchant presque, pour se rechauffer.
Les yeux rivés sur les flammes dansantes qui lui rapellait des tas de choses, il restait la absorbé par ses pensées jusqu'à ce qu'une voix douce lui parvienne


Ca va…Thoros ?

Surpris il se tourna vers Sara, il ne s'etait meme pas aperçu qu'elle c'etait assise la, pret de lui

oui, sa va..par contre toi..tu m'a l'air d'etre fatigué..dit il en baillant.

Il senti Sara se blottir contre lui, puis se coucher..il fit de meme et sombra petit à petit dans le sommeil, n'apercevant plus qu'une tache lumineuse et crepitante et vacillante..puis le silence et la nuit..

Thoros se reveilla subitement avec un mal de crane intense, il se demandait quelle heure pouvait il etre, emergeant lentement, il voyait le jour poindre au dela de la mer.
Sara dormait toujours le souffle leger, par contre Lilith gazouillait dans son couffin, cette vision fit sourire Thoros


eh eh deja d'attaque de si bon matin! comme son papa!

Son papa qui en realité avait une gueule de bois incroyable, sans avoir bu grand chose pourtant..c'est sa le pire..
mais Alwin..ou était Alwin ?

Inquet Thoros parti à sa recherche nerveusement,Lilith dans ses bras, avant de le trouver tout proche du campement en train de jouer dans une mare d'eau salée abandonné par la mer lors de la marée basse..

Il ne fesai rien de mal, il n'yavai apparemment aucun risque à le laisser la tout seul mais Thoros resta tout de meme un peu le surveiller, caché, afin d'avoir la conscience tranquille.

Le petit finit par revenir au campement, Thoros l'entendit crier:


Moman...Moman faimmm !

Bon voila Sara allait se reveiller, elle allait veiller sur le petiot, Lea et Hanort allait sans doute revenir..
Thoros s'eclipsa donc discretement vers la ville, besoin d'etre seul..
uniquement avec sa fille, qui grandissait de jour en jour..ses petites quenottes commencant à apparaitre..
Il redoutai vraiment que cela ne la fasse souffrir,il lui arrivait de pleurer parfois..mais Thoros arrivait le plus souvent à la calmer..

Apres un peu de marche sur la plage, puis la garrigue, il atteind Narbonne.
Il eu un soupir et un regard triste vers cette ville comme si tout le poids des miseres du monde s'abattait sur ses epaules, ce qui est tout de meme assez faux il faut bien le dire..

Thoros et sa fille disparurent aux yeux de Han, Léa et Sara pendant trois jours..



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Mon passé ne regarde que moi...et la moitié des policiers du royaume..
Hanort
Et Hop, Léa Vidée de tout poids sur l’estomac… ils retourne près de Maelle et Sara … Sara, cocasse, elle devait vraiment bien l’aimer la petite Léa, l’amour de son frère … Enfin c’était compréhensible … Vue qu’elle le rendait heureux … et comme elle ne manquait pas de le faire remarquer a la première occasion … ‘Si tu est heureux mon frérot, je suis heureuse’ … Il doutait quelques peut de ces propos … mais dans son état d’ébriété … il était prêt a tout croire …

_Hummmm…. Une sieste Bonne idée !


Mais jamais de siestes seul … Norf de Norf …il l’aide a s’allonger … lui même tanguant plutôt dangereusement … il en fit de même … le contact du sol … Non que dis-je, le sol ? Bien sur que non … le sable fin … sans demander son reste il passe un bras sur le ventre de sa Léa … et basculant sur le coté … il finis par s’assoupir … ronflant comme un sonneur … il ne manque pas de se prendre quelques coups dans les côtes … m’enfin … de qui ? aucunes idées …

Doux rêves … dans son esprit … il rêve de liberté … encore un peut retenu par ces démons … il sais que grâce a elle … Il sera heureux … enfin heureux … Dans son rêve il s’élance du haut d’une tour … un château ? hum… il tiens la main de Léa … et tous deux s’élancent sans filets … il se lancent dans le vide … des rires montent du précipices …

Des rires de bonheur … et la chute, le choc est inévitable … ils vont si vite … Mais l’homme avec une grande barbe … vêtu d’un simple draps et des sandales aux pieds … Oui oui c’est comme ça que c’est un très haut dans les rêves … mais alors qu’est ce qu’il est grand … Plus grand que le château … et de sa main bienfaisante il attrape des deux amoureux par le col et les ramènent a lui, les sourcils froncés une voix d’autre plan surgit de sa grosse bouche !

Hey Oh les nabots ! Ca va pas bien C’pas le moment d’jouer aux mouettes !! Alors j’vous ait réunis Ouai ! Mais pô d’conneries hein ! Franchement ces gosses !

Puis dans un flash les deux amoureux se retrouvent sur la plage, et d’un coups ils s’endorment …

Mais a quoi rime ce rêve Hein ? j’vous le demande ? Et le très haut c’est ça ? hum …. Ça mériterais l’écriture d’un bouquin tout ça … M’enfin … c’est pô le moment d’écrire … Arggg sa tête …

Mince la gueule de bois commence …
Mais au moins on est reposés … prêt a attaquer une dure journée … d’ailleurs quelle heure est il ?

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Correba


Le tocsin de la mairie retentit, une attaque venait d'être lancée contre celle-ci. Mais la défense avait fait son boulot et les attaquants durent se replier. Le signalement des assaillants ne fut pas trop précis, les miliciens, peu habitués à ce genre de sport, furent trop préoccupés à se défendre et ne leur prêtèrent guère attention, ce qui ne fût heureusement pas le cas des maréchaux.

L'alerte à la caserne fût immédiatement donné et lorsque les renforts arrivèrent les assaillants avait déjà plié bagage. Un soldat fit son rapport. Corre décida de laisser deux hommes en renfort et retourna à la caserne réunir la troupe.

Tandis qu’elle se préparait, Corre et son sergent se mirent à étudier la carte de la plage. Les brigands y avaient élu domicile et ils étaient temps d'aller leur rendre visite. De plus Corre avait promis à Hanort de le visiter et il ne s'attendait pas à y aller si rapidement.

Leur plan était simple, la troupe allait les encercler puis au signal, une flèche enflammée dans le ciel, elle fondrait sur le groupe. Les hommes à cheval par la plage, les troupes à pieds par les dunes, chacun ayant une place précise dans le dispositif pour s'assurer qu'aucun des brigands n'en réchapperaient.

Les soldats s'avancèrent vers la plage. Corre descendit de cheval et s'avança avec précaution sur un promontoire pour observer la scène. Les brigands étaient en contrebas. Tous étaient là, rigolant, s'amusant probablement de leur attaque et du tour qu'ils avaient joué aux autorités.


Corre fit un signe et les hommes se mirent en position, chacun attendant le signal pour agir. Il vérifia que tout était calme. Les brigands n'avaient rien vu du manège. Il donna alors le signal. L'archer envoya sa flèche dans les airs et la troupe se mit en mouvement, fonçant sur l’ennemi.
Corre rejoignit sa monture et s'avança à son tour vers les pillards, qui venait d'être encerclé par ses soldats qui, les armes à la main, semblaient prêt à en découdre au moindre signe hostile. Leur couleur flottant fièrement au vent ne laissant aucun doute sur leur appartenance à l'Ost de Narbonne




- Bonser, on vous dérange

Au nom du comté du Languedoc et de l’Ost de Lengadòc de la ville de Narbonne, vous êtes en état d'arrestation. Je vous somme de déposer les armes séances tenantes, l'usage de la force ou nous ferons usage de nos armes.


Puis s'adressant à Hanort, un sourire sadique

-Oui Hanort fais-moi ce plaisir résiste


Puis au groupe

-En raison de la loi martiale et de l'article Article 4.6.13. : Toute personne ayant été reconnue coupable de Crime par le Tribunal du Comté du Languedoc pourront être contrôlées dans tout déplacement sur les routes du Comté par ses armées légitimes. Leur sécurité ne saurait être garantie en cas de contrôle devant user de la force.

Vous serez conduit dans les geôles de la caserne en attente de votre jugement pour trahison et toutes les autres charges qui pèsent sur vous.




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Cricri2
A vos ordres mon Lieutenant.
Zazounette
zazou rentrait d un long et etonnant voyage mais deja le fourmillement de son epée la demangeait ....

a la tombée de la nuit apres avoir bu quelques choppes en taverne elle decida d aller se promener du coté de la plage et pourquoi d y rester dormir si elle trouvait un coin accueillant

un ami cher lui manquait et elle avait besoin de calme elle revassait quand soudain elle appercu une lueur dechirer le ciel .... remplie de curiosité elle approcha sans un bruit quand des brides de voix se firent entendre

elle etait encore loin mais sans peur decida d avancer prudemment en direction des voix ...... certaines lui semblaient familieres mais elle ne comprenait pas ce que tous faisait ici si tard ......

la ville lui etait apparu tres calme et aucun echos de fete en perspective et cet eclair venait d ou ... surement pas d un orage le ciel etait clair et etoilé
soudain en contre bas elle appercu le groupe d hommes qui parlait assez fort ....

elle ne pu comprendre que ces paroles
Citation:
Vous serez conduit dans les geôles de la caserne en attente de votre jugement pour trahison et toutes les autres charges qui pèsent sur vous.


dommage elle arrivait trop tard sur les lieux mais decida de rester en retrait pour le cas ou un deciderai de se faire la malle discretement ......

elle s installa en observant la scene et aiguisant d un geste machinal son epée
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Signature non conforme
Leamance
[Plage de Narbonne - 1° Juin 1457]

Les dernières heures avaient été grisantes. Tout d'abord la tentative de rentrer dans la mairie, echec sans contexte, hormis l'incendie provoqué par l'Aveugle. Puis Hanort et Lea avaient fui les lieux en courant et riant, pour se décider, dans le feu de l'action, à cambrioler l'Auberge de la Grenouille Bleue. Hanort y avait passé du temps, quand il vivait à Narbonne. Le Maire de Narbonne était venu les cueillir, mais était reparti aussi sec, après avoir lu le parchemin de convocation au tribunal exhibé par Lea..les escorter ne l'avait pas tenté.

Le Breton et l'Helvète étaient alors partis avec la charette consignée de Bazas, en direction de leur coin secret, où ils avaient merveilleusement terminé la nuit.

Et là, alors qu'ils sont venus rejoindre le ...groupe...mouai..petit groupe alors, il reste plus grand monde quand même, Correbba arrive et les sommes de le suivre. En plus, il est pas tout seul, Lea comprend que l'armée est là. Sans doute un mirage cette armée..l'Helvète ne se souvenait pas avoir vu le fanion ni aux portes, ni dans l'enceinte de la ville. Quel honneur en tout cas, tout ce déplacement de troupes pour eux ! Lea n'est même pas armée, c'est dire si elle ne va pas tenter de résister.

La Réformée se lève, s'époussette le popotin plein de sable, et s'approche de celui qui décidemment en veut à son amant


- Bonjour d'abord. * sourire moqueur* voici mon lance pierre, je vous le cède sans rechigner. Pour le tribunal, c'est gentil de vous être déplacé à autant, mais nous nous y sommes déjà rendu dans l'après midi pour répondre au procureur. Le juge attend maintenant le requisitoire de l'accusation.

* farfouillage dans sa besace*

- Par contre, regardez ce parchemin, émanant de la justice Languedocienne, dit elle en lui plantant sous le nez, comme à Chanteclair.

Citation:
Titre : Avis de plainte déposée à votre encontre

Expéditeur : Le tribunal du Comté


Par la présente, les autorités de police du Comté vous signifient votre mise en accusation.
Il vous est reproché notamment des faits de trouble à l'ordre public.

Votre procès commence dès aujourd'hui. Vous êtres prié de vous rendre au tribunal d'ici à deux jours ouvrables.

Pendant la durée de l'instruction, vous resterez en liberté.


Lea lui souligne d'un doigt la dernière phrase.

- Donc à moins que vous ne soyez au dessus des lois de votre Comté, vous n'avez aucune autorité à nous mettre en géole avant que ne ne soyons jugés.

L'Helvète reste debout, se demandant comment l'homme va s'y prendre pour faire attaquer son armée entière contre quelques voyageurs, sur une plage.
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Aristotelicienne Réformée en voyage
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