Lebarbu
Gênes encore !
Toujours autant de mains qui sagitent et de doutes dans leurs traductions.
Plus il observe et plus le barbu se dit que ce nest pas un langage de signes, pas réellement, mais un accompagnement des mots.
Aely et Lona lui ont aussi dit que lItalien avait une réputation à défendre, une réputation tactile dirons-nous. Et bien quil veille, plus ou moins discrètement, il sait aussi que sa belle sait parfaitement mettre les distances quand il faut. Il se demande aussi si elles nen rajoutent pas un peu, juste histoire de le taquiner connaissant son caractère méfiant et protecteur .elles en sont capables, croyez-moi !
Mais dans le doute ..il surveille les paluches autochtones. Et garde les siennes au plus près de sa Aely.
Le voyage continu, les villes pour le moment se suivent et se ressemblent. Toujours la mer dun côté et le reste de lautre. La mer toujours la mer quon voit danser .
La troupe sest agrandie, nous voici maintenant six à parcourir la botte, Lona ayant retrouvé son biscuit. Je dois vous prévenir que cest un têtu biscuit. Têtu et très amoureux, ce qui pousse à faire des choses inconscientes parfois.
Donc nous avons retrouvé Kikou, qui lui a retrouvé Lona et Louise-Anne.
Et nous voici, tous, avec comme objectif de rejoindre Venise.
LAcanthe ne quitte pas sa toute belle tant quil le peut, il se sent perdu loin delle en ces contrées. Perdu et vulnérable ..mais ça le peu de fierté quil a le presse de ne pas lavouer.
Alors parfois, pour faire le brave, il embarque leur progéniture ou la mouflette pour un périple à travers le dédale pavé des marchés locaux. Cest bien les marchés, on y passe inaperçue sans trop de difficultés avec ce monde. Un avantage.
Mais aujourdhui il va taquiner la poiscaille, depuis un moment déjà il ne la pas fait, depuis quils ont débarqué et remis les pieds sur terre à vrai dire.
Louise-Anne occupé à découvrir la vie de famille, Aely lui ayant fait comprendre quelle ferait de ladministratif aujourdhui et connaissant son homme, lui avait conseillé de faire autre chose.
Le barbu sétait alors résigné à ressortir la canne à pêche.
- Buongiorno signore! Ci sono pesci oggi?*
Voilà que ça recommence, le François pêcheur entre dans un autre monde. Mais le monde de la poiscaille est peut-être universel, on se comprend peut-être assez vite. Au secours mon amour !
- Si ! Si ! Lui montrant sa prise
Lautochtone le toise, surpris certainement dune réponse si courte.
- Italiano ?
- Francese !
- Francese ! Benvenuti in Italia amico. Sei qui da sola?*
- Grazie mille ! Puis la barbe est grattée, il essaie de déduire, traduire le dialecte .sola .solo .seul ? Pourquoi pas !
- Con mi amore y .notre enfant petito fait le geste de bercer y ami .amico !
- No petito !!! Bambino ! Si dice bambino Souriant
- Bambino .Grazie ! Y mi amore si dice ? Le barbu répond au sourire et essaie dapprendre, il aimerait épater sa toute belle.
- Moglie o Donna ! Lei parla Italiano ?
- Mi Donna ? Si, si .heu !.....parla italiano Il ny croit pas lui-même, le voilà qui tape la discute. Cest assez simple comme discussion, mais il est certain quelle serait fière de lui sa Aely si elle lentendait.
- Bene ! Bene ! Digli : Ti amo il mio amore ! Capisci ?
- No ! No .capisci !
- Amore amor .amo ! Capisci ?
Il croit saisir la nuance
- Amore .amour ! y ...amo aimer ? Ti amo ..hannn !!! Capisci Offrant la paluche et son sourire à son professeur dun jour.
- Grazie mille amico !
- Di niente ! E buona giornata.
- Grazie ! Le barbu le salue chaleureusement et sempresse de remballer son attirail, sefforçant de retenir la leçon.
Après être passé par la charrette il part en quête de sa petite famille et ne met pas bien longtemps à les retrouver. Apercevant ses merveilles sur un muret de pierres, Kundera dans les bras de sa mère.
LAcanthe sait ce que représente ce voyage pour son attachante, il connaît son histoire et voit bien que le passé refait surface peu à peu. Mais il ne sait pas quoi faire, pas vraiment. Parfois il se dit quil vaut mieux la laisser seule, parfois il se dit quelle a besoin de lui toujours à ses côtés, mais il sait aussi quelle sera se faire comprendre si daventure il devenait trop présent, quelle avait envie de se retrouver seule.
Elle a besoin de revenir sur ses terres et le barbu est heureux dêtre là ..avec elle, sur les traces de son passé, de son histoire, de sa vie.
Partager lhistoire de sa belle est peut-être le plus beau cadeau quil puisse lui faire.
Il sapproche doucement, se met à leur hauteur ..remarque les larmes qui coulent. Il caresse de sa paluche légère le visage nostalgique pour essuyer les rejets lacrymaux et dépose le mouflet dans le panier.
- Aely !
Elle relève la tête, renifle un coup cque tes belle quand ton ptit nez se retrousse comme ça et plante ses yeux dans ceux de son homme.
Lui, dépose un baiser furtif et la prend dans ses bras, la serre tout contre lui. Sans un mot, ils sont parfois superflus ou le deviennent.
La belle se blottit au creux des bras pleins de douceur, il a toujours limpression quelle devient minuscule quand elle fait ça.
Comme une petite fleur fragile risquant le moindre souffle que lAcanthe enveloppe de son amour. La brunette se fait écureuil. Ils restent comme ça un long moment, lui pourrait rester des heures avec sa promise tout contre lui.
- Jsuis là mon amour ! Avec toi .avec notre enfant ..
Toujours autant de mains qui sagitent et de doutes dans leurs traductions.
Plus il observe et plus le barbu se dit que ce nest pas un langage de signes, pas réellement, mais un accompagnement des mots.
Aely et Lona lui ont aussi dit que lItalien avait une réputation à défendre, une réputation tactile dirons-nous. Et bien quil veille, plus ou moins discrètement, il sait aussi que sa belle sait parfaitement mettre les distances quand il faut. Il se demande aussi si elles nen rajoutent pas un peu, juste histoire de le taquiner connaissant son caractère méfiant et protecteur .elles en sont capables, croyez-moi !
Mais dans le doute ..il surveille les paluches autochtones. Et garde les siennes au plus près de sa Aely.
Le voyage continu, les villes pour le moment se suivent et se ressemblent. Toujours la mer dun côté et le reste de lautre. La mer toujours la mer quon voit danser .
La troupe sest agrandie, nous voici maintenant six à parcourir la botte, Lona ayant retrouvé son biscuit. Je dois vous prévenir que cest un têtu biscuit. Têtu et très amoureux, ce qui pousse à faire des choses inconscientes parfois.
Donc nous avons retrouvé Kikou, qui lui a retrouvé Lona et Louise-Anne.
Et nous voici, tous, avec comme objectif de rejoindre Venise.
LAcanthe ne quitte pas sa toute belle tant quil le peut, il se sent perdu loin delle en ces contrées. Perdu et vulnérable ..mais ça le peu de fierté quil a le presse de ne pas lavouer.
Alors parfois, pour faire le brave, il embarque leur progéniture ou la mouflette pour un périple à travers le dédale pavé des marchés locaux. Cest bien les marchés, on y passe inaperçue sans trop de difficultés avec ce monde. Un avantage.
Mais aujourdhui il va taquiner la poiscaille, depuis un moment déjà il ne la pas fait, depuis quils ont débarqué et remis les pieds sur terre à vrai dire.
Louise-Anne occupé à découvrir la vie de famille, Aely lui ayant fait comprendre quelle ferait de ladministratif aujourdhui et connaissant son homme, lui avait conseillé de faire autre chose.
Le barbu sétait alors résigné à ressortir la canne à pêche.
- Buongiorno signore! Ci sono pesci oggi?*
Voilà que ça recommence, le François pêcheur entre dans un autre monde. Mais le monde de la poiscaille est peut-être universel, on se comprend peut-être assez vite. Au secours mon amour !
- Si ! Si ! Lui montrant sa prise
Lautochtone le toise, surpris certainement dune réponse si courte.
- Italiano ?
- Francese !
- Francese ! Benvenuti in Italia amico. Sei qui da sola?*
- Grazie mille ! Puis la barbe est grattée, il essaie de déduire, traduire le dialecte .sola .solo .seul ? Pourquoi pas !
- Con mi amore y .notre enfant petito fait le geste de bercer y ami .amico !
- No petito !!! Bambino ! Si dice bambino Souriant
- Bambino .Grazie ! Y mi amore si dice ? Le barbu répond au sourire et essaie dapprendre, il aimerait épater sa toute belle.
- Moglie o Donna ! Lei parla Italiano ?
- Mi Donna ? Si, si .heu !.....parla italiano Il ny croit pas lui-même, le voilà qui tape la discute. Cest assez simple comme discussion, mais il est certain quelle serait fière de lui sa Aely si elle lentendait.
- Bene ! Bene ! Digli : Ti amo il mio amore ! Capisci ?
- No ! No .capisci !
- Amore amor .amo ! Capisci ?
Il croit saisir la nuance
- Amore .amour ! y ...amo aimer ? Ti amo ..hannn !!! Capisci Offrant la paluche et son sourire à son professeur dun jour.
- Grazie mille amico !
- Di niente ! E buona giornata.
- Grazie ! Le barbu le salue chaleureusement et sempresse de remballer son attirail, sefforçant de retenir la leçon.
Après être passé par la charrette il part en quête de sa petite famille et ne met pas bien longtemps à les retrouver. Apercevant ses merveilles sur un muret de pierres, Kundera dans les bras de sa mère.
LAcanthe sait ce que représente ce voyage pour son attachante, il connaît son histoire et voit bien que le passé refait surface peu à peu. Mais il ne sait pas quoi faire, pas vraiment. Parfois il se dit quil vaut mieux la laisser seule, parfois il se dit quelle a besoin de lui toujours à ses côtés, mais il sait aussi quelle sera se faire comprendre si daventure il devenait trop présent, quelle avait envie de se retrouver seule.
Elle a besoin de revenir sur ses terres et le barbu est heureux dêtre là ..avec elle, sur les traces de son passé, de son histoire, de sa vie.
Partager lhistoire de sa belle est peut-être le plus beau cadeau quil puisse lui faire.
Il sapproche doucement, se met à leur hauteur ..remarque les larmes qui coulent. Il caresse de sa paluche légère le visage nostalgique pour essuyer les rejets lacrymaux et dépose le mouflet dans le panier.
- Aely !
Elle relève la tête, renifle un coup cque tes belle quand ton ptit nez se retrousse comme ça et plante ses yeux dans ceux de son homme.
Lui, dépose un baiser furtif et la prend dans ses bras, la serre tout contre lui. Sans un mot, ils sont parfois superflus ou le deviennent.
La belle se blottit au creux des bras pleins de douceur, il a toujours limpression quelle devient minuscule quand elle fait ça.
Comme une petite fleur fragile risquant le moindre souffle que lAcanthe enveloppe de son amour. La brunette se fait écureuil. Ils restent comme ça un long moment, lui pourrait rester des heures avec sa promise tout contre lui.
- Jsuis là mon amour ! Avec toi .avec notre enfant ..
Bonjour monsieur ! Il y a du poisson aujourd'hui ?
Français ! Bienvenue en Italie l'ami. Vous êtes seul ici ?
Français ! Bienvenue en Italie l'ami. Vous êtes seul ici ?