Arthor
[AAAAAAAlouteuhh, je te plumerai. Je te plumerai la tête, et la tête
.
Du moins jessayerai ]
Comment appelle-t-on les habitants dAlbi ? Et bien les Alouettes pardi, c'pour ça.
Le choix de la nouvelle cible navait pas fait de but dans les têtes des Corleone qui y voyaient une nouvelle occasion de frapper les esprits. Comment ne pas manquer une opportunité dêtre craint ? La troupe avait donc repris la route, et au petit matin du24 avril, la horde de mercenaire était aux portes de la ville. Les consignes données, chacun se dispersa, préparant à sa manière lattaque maintenant inéluctable. Se faire discret, éviter de se faire prendre, et si possible, rester en liberté, ou à défaut, en vie. Cétait pourtant simple non ?
Le barbu, de son côté, décida de sisoler jusquà lheure du rendez-vous. A chaque tentative de révolte, le montagnard était toujours dans le même état, anxieux, douteux, mais survolté. Il ne tenait pas en place, et tournait même en rond, le tout en se rongeant les ongles, du moins ce qui len restait. Heureusement pour ces derniers, lheure de passer à lassaut sonna enfin. Tout de noir vêtu, si ce nest son col qui était dun blanc pâle, ses bottes martelaient les pavés jusquà trouver ses compagnons. Les uns après les autres, chacun arriva, soucieux ou non, mais toujours motivé. Les dernières consignes, directives et autres conseils, et cétait parti.
Comme ils étaient arrivés, tous repartirent en silence en direction de la mairie. Quelques mots, et Arthor sélança aussi. Il fallait même crier à ce quil paraissait, ça faisait peur aux défenseurs.
Aaaaaaaaaaaaaaahhhh
Ha ben, il fallait essayer de mettre toutes les chances de leurs côtés. Lhomme suivit tous les autres, épée et bouclier en main. Mais il fallait croire que finalement ce nétait pas une si bonne idée. Arrivé aux contacts de ceux qui étaient leurs ennemis du moment, les combats commencèrent. Un coup dil à droite, suivit dun à gauche lui fit comprendre que les choses ne tournaient pas à leur avantage. Largement en surnombre, les Corleone navaient pas dautres choix que de battre en retraite. Son cri ne leur avait pas autant porté chance que cela.
Aaaaaaaaaaaaaaahhhh
Quand on passe sous une échelle, il faut repasser dessous, cest bien connu. Il fallait conjurer ce mauvais sort, dautant que cette fois-ci il ne criait pas pour faire peur à ses ennemis, mais bien alors quil fuyait à toutes jambes ces mêmes ennemis qui voulaient lui faire la peau.
Lalouette qui plume son plumeur ? Impossible, non ?
_________________
Quand Arthor parle en Oc, la traduction n'est QUE pour le joueur ! Jouer donc sur la phonétique, ou sur l'ignorance totale ... ou pas
Du moins jessayerai ]
Comment appelle-t-on les habitants dAlbi ? Et bien les Alouettes pardi, c'pour ça.
Le choix de la nouvelle cible navait pas fait de but dans les têtes des Corleone qui y voyaient une nouvelle occasion de frapper les esprits. Comment ne pas manquer une opportunité dêtre craint ? La troupe avait donc repris la route, et au petit matin du24 avril, la horde de mercenaire était aux portes de la ville. Les consignes données, chacun se dispersa, préparant à sa manière lattaque maintenant inéluctable. Se faire discret, éviter de se faire prendre, et si possible, rester en liberté, ou à défaut, en vie. Cétait pourtant simple non ?
Le barbu, de son côté, décida de sisoler jusquà lheure du rendez-vous. A chaque tentative de révolte, le montagnard était toujours dans le même état, anxieux, douteux, mais survolté. Il ne tenait pas en place, et tournait même en rond, le tout en se rongeant les ongles, du moins ce qui len restait. Heureusement pour ces derniers, lheure de passer à lassaut sonna enfin. Tout de noir vêtu, si ce nest son col qui était dun blanc pâle, ses bottes martelaient les pavés jusquà trouver ses compagnons. Les uns après les autres, chacun arriva, soucieux ou non, mais toujours motivé. Les dernières consignes, directives et autres conseils, et cétait parti.
Comme ils étaient arrivés, tous repartirent en silence en direction de la mairie. Quelques mots, et Arthor sélança aussi. Il fallait même crier à ce quil paraissait, ça faisait peur aux défenseurs.
Aaaaaaaaaaaaaaahhhh
Ha ben, il fallait essayer de mettre toutes les chances de leurs côtés. Lhomme suivit tous les autres, épée et bouclier en main. Mais il fallait croire que finalement ce nétait pas une si bonne idée. Arrivé aux contacts de ceux qui étaient leurs ennemis du moment, les combats commencèrent. Un coup dil à droite, suivit dun à gauche lui fit comprendre que les choses ne tournaient pas à leur avantage. Largement en surnombre, les Corleone navaient pas dautres choix que de battre en retraite. Son cri ne leur avait pas autant porté chance que cela.
Aaaaaaaaaaaaaaahhhh
Quand on passe sous une échelle, il faut repasser dessous, cest bien connu. Il fallait conjurer ce mauvais sort, dautant que cette fois-ci il ne criait pas pour faire peur à ses ennemis, mais bien alors quil fuyait à toutes jambes ces mêmes ennemis qui voulaient lui faire la peau.
Lalouette qui plume son plumeur ? Impossible, non ?
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Quand Arthor parle en Oc, la traduction n'est QUE pour le joueur ! Jouer donc sur la phonétique, ou sur l'ignorance totale ... ou pas