Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

[RP] L'amour est la première condition du bonheur d'un foyer

Mahelya
    D'avant en arrière,
    D'avant en arrière,
    D'avant en arrière,

Tu as mal Petite Flamme, tu souffres tellement que tu préfère tuer ton âme. T'abandonner dans ton monde d'essences, de chiffres, de mots, de calculs. De combinaisons complexes qui stimulent ton Esprit et musèlent ton cœur. Te souvenir que tu es vivante à défaut de le ressentir. Un Havre rien que pour toi, quiconque saint expérimenterait ton monde quelques instants deviendrait fou. Mais tu aimes la Folie, n'est-ce pas ?

    D'avant en arrière
    D'avant en arrière,

Regardes Étincelle, ne serait-ce pas ton cœur qui agonise à tes pieds. Regards Flamme et reconnait ses yeux. Tu as mal mais affrontes-le.

    D'avant en arrière.

Le Mouvement perpétuel s’apaise. Le minois se relève mais les prunelles sont toujours vides. Ca fait mal ! Je sais ... Mais regardes-le. Vois qu'il t'aime. Vois qu'il souffre autant que toi. Reviens Rouquine ! Reviens auprès du tien. Tu ne veux Kyl et Kyl est là.
Le léger baiser déposé accompli pour de bon, le retour de son âme dans l'enveloppe charnelle et faible qu'elle voulait cependant quitter. Elle pleure, elle ne savait pas. Elle a mal, elle n'en a que bien trop conscience. Son palpitant en miette implore qu'on l'achève tant il suffoque à présent. Les émeraudes se posent sur le visage de Kylian. Il n'est pas à elle, ne l'a jamais été, et le cœur esseulé bondi davantage, derniers soubresauts d'un noyé. Elle l'aime pourtant. Dieu sait combien son cœur appartient au Ténébreux. Il lui parle mais elle ne perçoit sa voix que comme un écho lointain. Un écho du bonheur qu'elle a pourtant un jour effleuré du doigts.

    Immobile.

Le mouvement n'est plus. Son visage encadré par ses lourdes boucles flamboyantes enfin libérées n'est tourné que vers lui. Son attention est captivée par les paroles du Deschenaux. Son esprit encore embrumé peine à saisir le sens des paroles prononcées. Fier ? Comment pourrait-il être fier ? Elle est faible ? Elle n'est rien. Une mauvaise épouse, une mauvaise Mère, une mauvaise Comtesse ... Les iris se fond incrédules, mais son corps frissonnant ne résiste pas à l'affection dont il la gratifie. Alors évidemment elle répond volontiers au second baiser cueilli sur ses carminées. Elle est là ! Enfin et la main blanche et délicate glisse sur celle plus virile de son mari. Déjà elle s'accroche à ses mots pour ne pas retomber dans la catatonie.

    Immobile et attentive.

Le dernier baiser s’apparente à la bouée. Dernier espoir de survie du noyé. Alors la Flamme s'y laisse entrainer. Si accroche comme si plus rien au monde n'avait la moindre importance. Pareille à une Condamnée à mort, elle exulte sur ses lèvres, toutes cette passion, tout cet amour, tout ce désir qui pendant de longs mois fut contenu, comme un dernier sursaut de vie. La silhouette maigrichonne se laisse glisser à genoux et le corps affiné se presse contre la carrure rassurante de Licorneux. Pour rien au monde le contact de ses lèvres sur les siennes n'est interrompu. Elle a besoin de lui pour vivre aussi surement qu'elle a besoin d'air pour respirer. Alors elle s'enivre jusqu'à plus soif et en quémande encore. Les bras - taillés dans les barreaux d'une cage à moineaux - se glissent autour du cou de son Aimé. * Encore. Étouffes-moi de toi ! *. Son baiser redouble d'intensité et tant pis si elle en oublie de respirer. La Vie c'est Lui, rien d'autre. Tremblante, en larmes, les griffes délicates, se plantent dans la nuque Du brun. * Fais moi vivre Kylian ! Fais-moi vibrer je t'en prie. Sans toi je ne suis plus. *. L'Amour la submerge et sans le moindre recule elle plante ses canines dans le charnues des lèvres prises en otage.


- Aimes-moi Kylian, je t'en supplie.

Voilà les seuls mots qu'elle autorise à rompre ce contact qu'elle avait désiré pendant des mois, des années, des siècles.
_________________
Kylian.
Aimes-moi Kylian, je t'en supplie.

La supplication est lancée et trouvera une oreille plus que réceptive . Des semaines que le Vicomte contenait l'amour qu'il eprouvait pour son épouse, des semaines a vouloir contrôler l’incontrôlable. celui qui aimé peut dire que c'est impossible, celui qui a aimé comme lui aime Marie trouvera que non seulement c'est la impossible mais complètement idiot de meme tenter d'y penser. Il ne fallait plus reflechir, et se laisser aller a l'appel de son Amour/ Sans faire plus de manière, il se saisit de ses levres pour un long baiser gourmand . Il la dévorait littéralement et dans un meme geste la fut basculer sur ses robes etendues comme un doux lit. Ces robes fruit de leur desamour et de cette dispute entre autre verraient l'amour revenir au grand galop/.

L'amour est une Folie, Mais la Folie de l'amour est si belle. Leurs corps epousés se lancent a l'assaut l'un de l'autre avant meme que leur peau ne se touchent dans une danse douce autant qu'intense. Ils se caressent, se devinent , se dévoilent ; Plus rien n'existe sauf ce desir passionnel de l'autre . Les vetements sont retirés sans y faire attention, les levres Vicomtale se font exploratrices sur ce corps aminci, voir meme amaigri mais toujours désirable. Les mains se font tentatrices en enserrant des parties de son corps, alors meme que ses levres ne se descellent pas des siennes. L'avoir à Lui , la posseder de toute son Ame , de tout son corps. Retrouver son Ame pour que la sienne ressorte de l'ombre dans laquelle il l'avait enfermé

La danse lancinante, réprimée depuis de longs mois se libère pour devenir féroce et quasi bestiale pour la première fois depuis leur mariage. Il n'avaient jamais pu vraiment s'aimer depuis que le ventre de Marie avait prit quelques centimètres. Etre doux et tendre pour que sa femme et son enfant aillent bien. Dans cette attente de pouvoir l'aimer a nouveau comme ils en avaient l'habitude Kylian avait été plutot chanceux. Sa femme avait été du genre "fais moi l'amour" quasi tout les jours alors que pour certains hommes s'etait .. rien , Nada. Meme si certains moments avaient été plus que tendre voir meme completement fou, il avait du se refreiner ; Eviter la bosse a sa fille .. quoique il parait que .. Aujourd"hui cela n'etait plus et il pouvait laisser libre court a ses propres envies. Lui faire l'amour comme il aimait.

La danse etait intense, les soupirs et gemissements donnaient un tempo plus marqués, les griffes et morsures enflammées sur la peau de Kylian le confortait dans ce choix qui etait sien. La Passion, rien que la Passion. La tendresse reviendrait en son Heure.

Le temps passait en une etrange lenteur inversement à ses deux corps en sueur qui se donnaient l'un a l'autre sans compter. Les mains se lièrent aux siennes ne laissant aucun centimètre de peau sans la Sienne. Trouble dans le regard plongé dans le sien alors qu'il est submergé retrouvant le plaisir d'un moment unique en son genre et d'un long rale le rythme se calme , et ce qui etait cris se trouve silence.

La mort de la Passion, Le debut de la Tendresse...

PLus tard ..

Les corps denudés etaient encore enlacés sur les robes froissées. Aucun mot n'etait sortis pour le moment, les levres de Kylian trop occupé a se repaitre de la sueur et de la peau de sa belle epouse. Ses levres se deplacaient lentement de sa jambe ou trônait un leger bleu du aux mains de Kylian l'ayant enserré avec force contre sa taille , jusqu'a son cou ou il s'attarda et surtout juste en dessous de son oreille et ces quelques mots rien que pour elle, ces mots qui resumaient tout.

Je t'aime mon Amour
_________________
Mahelya
    Il l'aime ! Enfin !

Comme au premier jour. Comme à Angers. De cette Passion brulante qui la consume comme une forêt en proie un véritable brasier. Ses entrailles vrillent, véritable chaire incandescente. Son épiderme frissonne, assaillit par les lèvres de son Époux. Les soupires contenues exultent enfin. La silhouette squelettique se cambre, se voûte et suit le rythme de la danse. Les paupières sont clauses mais l’Étincelle n'a plus rien d'une coquille vide. Elle est là et bien là. Consciente de chaque battement de son palpitant, de chaque souffle expiré.

    Elle vit ! Enfin !

La Kierkegaard redevient Femme, SA femme. Bien loin celle qui a donné vie, bien loin celle qui ne pensait qu'être un ventre, bien celle qui pensait rester cantonnée au rôle de Mère. Dans les bras du Deschenaux, la volcanique est en éruption, brûlée vive de sentiments dissimulés, détournés, presque voulu oubliés. La vie n'est jamais plus belle que lorsqu'on inspire pour la première fois alors qu'on pensait s'étouffer. Et la Noyée d'il y a quelques instants recouvre la vie, s'enivre de son Oxygène, s’étourdit de son Odeur, s'entête de sa Peau, se grise de lui tout simplement.

    Et ils détonent ! Enfin

Dans un ultimes râle, dans un ultime assaut, dans un ultime soubresaut. Leurs âmes se sont rencontrées, reconnues, apprivoisées et frôlées. Lui et Elle redeviennent Eux. Deux âmes pour un Tout. Ils se sont retrouvés, Ils se sont aimés, et s'aimeront encore. Ce n'était là que le prélude de la vie qui s'annonce devant eux. Alors leurs êtres de chair retombent presque inertes, presque morts. Petite mort. Mais ils se savourent encore car leurs lèvres jamais ne quittent la peau de l'autre. La Passion les a consumés, reste la tendresse désormais. Et la Flamme ne peut contenir quelques larmes qui s'échappent de ces cils. La vie est un cadeau et il lui offre en prononçant quatre mots à son oreille. Elle sourit, se redresse et pour seule réponse lui offre un long baiser qui vaut bien plus que les mots.

    L’existence reprend donc son cour normal au 16 rue de la Justice ... Ou Presque ...


- MA-RIE - A-ME-LYA - NOUS SOMMES RENTREES VOTRE FILLE ET MOI ....

Ça c'est une Bertille furibonde qui monte les escaliers d'un pas lourd et pressé. Marie risque de passer un sale quart d'heure la Généreuse ne tolère que modérément le pétage de plombs du Moment de la part de sa Petite Maîtresse. En vérité, la Bertille craint qu'une dispute éclate au sein du couple et qu'ils en arrivent à la conclusion extrême de se séparer. Les émeraudes affolées, la Rousse précédemment nommée regarde son Mari. Le palpitant de la jeune mère est bien trop saccadé pour qu'elle puisse réfléchir calmement.

- J'ESPERE QUE VOUS N'AVEZ PAS ACHETE DE NOUVELLES ROBES SINON ...
- Hiiii !!! C'est Bertille on fait quoi ?

La question est stupide, parce que bien évidemment les époux ne sont pas en faute. Mais Marie déjà roule sous une pile de robe, complètement dissimulée par la quantité des tissus. Avez-vous déjà vu un buisson de robe parler ? Non, et bien c'est tout à fait la Flamme à Présent.

- VOTRE MARI !!! ET IL NE SERA PAS RAVI !!!
- Kylian ! tu n'es pas en tenue ! va te mettre dans le lit.


Et la Rousse se fait souris pendant que son Ténébreux se dépêche de couvrir sa Silhouette. Mais trop tard, la Généreuse furibonde ouvre la porte à la volée sans frapper avant. L’étincelle s’aménage sous les étoffes un point d'observation. La cuisinière s'empourpre et bafouille. Un sourire s'esquisse sur le visage aux éphélides elle devine que Kylian ne doit pas être assez couvert.

- Vi - Vicomte ? Vous ... ici ... à cette heure ... dans ... Oui ... Hum hum ... c'est ça ... remontez le drap ... * Raclement de gorge * - Ou est ... Madame ? * Et les sourcils de la Bertille se froncent alors que son teint palis plus que de raison. * - Mais dites-moi ! c'est le bazar ici ? Qu'avez-vous fait ? Qui est avec vous ! COMMENT OSEZ-VOUS LUI ÊTRE INFIDÈLE ?
_________________
Kylian.
Le baiser echangé avec son epouse se poursuit avec langueur, le couple semblent etre sur le point de repartir pour quelques heures d'amour charnel quand une voix delicate se fait entendre. Bertille . Et la le Vicomte n'a pas le temps de comprendre . Marie va se faufiller sous ses robes et lui essaie tant bien que mal de se jeter dans le lit mais la Bonne Bertille est plus rapide que lui. Et il se retrouve nu comme un ver devant la genereuse. Sourire. Gêne. Remontage de drap discret.

Vi - Vicomte ? Vous ... ici ... à cette heure ... dans ... Oui ... Hum hum ... c'est ça ... remontez le drap ... * Raclement de gorge * - Ou est ... Madame ?- Mais dites-moi ! c'est le bazar ici ? Qu'avez-vous fait ? Qui est avec vous ! COMMENT OSEZ-VOUS LUI ÊTRE INFIDÈLE ?

Le sourire du Vicomte s'elargit. Il a retrouvé sa bonne humeur et voir Bertille imaginer des choses ca lui donne envie de rire, Cependant il se retient et entre dans un petit jeu qui pourrait lui couter quelques dents. Il se releva du Lit entourant sa taille du drap protecteur, laissant le reste de son corps exposé aux regards inquisiteurs, et se rapprocha de la Bertille en furie.

- Que je sache Bertille je suis chez moi et j'y fais ce que je veux .. Mais vous avez raison.. La voix plus forte semblant faussement depité.

- Maitresse de mon coeur et de mon corps, montrez vous nous ne pouvons plus nous cacher dorenavant, il fallait que cela arrive

Evitant un coup de poing de très peu il vit le regard de la cuisinière se poser sur le tas de robe d'ou depassait maintenant une jolie tete rousse et une main levée dans le genre "coucou c'est moi que vl'a" . Et c'est un visage deconfit de honte qui se posa sur le couple.

- Oh .. Hum Hum .. C'est .. oui .. Bon.. Je .. je vous laisse .. Les .. euh Invités arriveront d'ici deux heures
- Merci Bertille
- J'ai preparé les euh .. et puis..

Le vicomte poussa un peu la genereuse

- ET .. enfin vous etes ;.. Oh c'est bien..

Un peu plus dehors


- Bon .. on vous attend ..
- Aurevoir Bertille

Signe de la main et la porte qui se referme. Le dos appuyé sur la porte Kylian ne put s'empecher de rire en revenant vers son epouse

Tu crois qu'elle a deviné qu'on a ... Hum hum ? Un rire plus tard , les levres Vicomtales retrouvèrent les levres consort avant de retomber avec elle derrière le lit toujours sur ses robes et pour dernier murmure MMMmm ma Maitresse à moi avant que le couple ne se redonne l'un a l'autre plus tendrement mais avec toujours autant d'amour

Un heure plus tard, un peu plus habillé et un leger sourire aux levres, alors qu'il frottait la trace de morsure a la base de son cou, il revient gouter les levres de son epouse encore allongée sur leur lit de fortune.

Je vais voir si tout va bien en bas et je reviens.. Il va falloir qu'on se prepare quand meme . Le baiser se prolonge et les voici près a retomber dans les limbes de l'amour. Mais un jour il faut etre un Homme et savoir dire non .. enfin presque non.. peut-etre oui? MMhhhh faut vraiment qu'on y aille mon Coeur. Habille toi j'arrive

Et c'est tout joyeux qu'il quitte leur chambre pour aller embeter Bertille et voir la Princesse . La première finissait de dresser la table .


Ma Maitresse hein? Il claque une bise avait de fuir le salon pour se retrouver dans la chambre de leur fille qui ne dormait pas encore. La main doucement est posée sur son petit ventre Bonjour petite Princesse, tu devrais dormir a cette heure ci .. . Les gestes se font doux alors qu'il laissait sa fille s'endormir puis de revenir dans sa chambrée afin de se preparer aussi.

Marie venait de revetir la robe qui serait sienne en cette soirée de leur premier noel d'epoux et de parents. Et il passa quelques minutes à admirer sa femme avant d'aller la rejoindre devant le miroir. Les mains entourant sa taille fine et un baiser, puis deux, puis une exploration le long de son cou. Tu es magnifique .. Un dernier baiser avant de retirer ses vetements et se vetir lui meme de son costume

_________________
Mahelya
Tout était fin prêt. Les Deschenaux Kierkegaard paré de leurs costumes représentant les paons. Ils étaient assortis évidemment Elle, semblable à une Princesse, et Lui, semblable à un Prince. Tout avait été minutieusement préparé par la Généreuse Bertille. La décoration rouge, verte et blanche partout dans la Maison. Le repas sur la table dégageant une odeur alléchante tout autour du 16 rue de la Justice, quelques marmites fumant encore sur le feu fainéant. Ne manquait plus que les invités, heureusement les invitations avaient été distribuées à grande échelles, partout à Limoges ... Merci Kylian.


_________________
Clealan
Escorté de son mini blond , bec sucré, le plus beau de tout le monde, qui en avait plein la bouche de la Comtesse et surtout de ses tartes, et de sa Brunette, en tenuede gala, et visage recouvert d'un simple loup de satin, il se présenta aux portes de Mahelya et Kylian,


Il actionna le marteau qui trônait sur un des pans de la grosse porte de bois.

_________________
Leonie.
Première sortie officielle avec Cle. Pour l'occasion les deux avaient revêtu de très belles tenues, loups assortis. Ilan excité comme à son habitude avait hâte de dévorer des gourmandises, Leonie un peu intimidée, serra fort le bras de son blond et attendit qu'on leur ouvre la porte.
Albin.
Une lettre, une invitation parvenue il y a de cela quelques semaines. L'invitation parlait d'un bal costumé et l'idée ne déplaisait pas à Albin.

Comme dis en réponse, Orlane avait acceptée de venir aussi, comme toute chose, et après avoir apprit de ses erreurs du passé, rien sera fait sans en parler avec elle surtout pour ne pas l'offenser et faire des choses qu'elle n'approuverait pas.

Un déguisement de bouffon préparer pour la soirée et enfiler, restait plus qu'à mettre le chapeau avec les grelots, ce qui ne tarda pas à être fait.

Albin une fois donc totalement prêt parti en direction de chez Orlane pour aller la chercher.

Fort heureusement les ruelles étaient calme et le chemin n'était pas long, pour une fois Albin sortait seul sans escorte de la part de Quentin.

Arrivée devant chez la Sars, il frappa à la porte.

Marcillé, c'est moi.

Il restait plus qu'à attendre qu'elle ouvre, en espérant qu'elle soit prête.
_________________
[En travaux]
Mahelya
Le couple Deschenaux-Kierkegaard, de nouveau plus unis que jamais, s'extasiait devant leur petit Trésor, dormant à point fermés à l'étage, quand quelques coup à la porte d'entrée se firent entendre. Marie avait été claire avec Bertille, hors de question que la cuisinière ne délaisse ses fourneaux un seul instant, il fallait absolument que le repas soit parfait. C'était donc à la Flammèche d'aller ouvrir la porte. Oui, le 16 rue de la justice, était le pied à terre des jeunes mariés, au sein de la capitale. Ils y vivaient simplement, presque chichement, ne se contentant que d'un palefrenier qui passait la plupart de son temps auprès des chevaux et de Bertille. L'indispensable et inestimable cuisinière de Marie. Délaissant son époux, non sans lui déposer une tendre bise sur la joue, la Flamme se précipita en-bas, se tenant fermement à la rampe des escaliers, c'est qu'elle y avait déjà chuté, ou plutôt on l'y avait déjà poussée. Arrivée devant la porte, elle s'accorda quelques instants afin de vérifier que sa mise était parfaite. Puis ouvrit la lourde porte à la volée, ravie de voir Clealan et Léonie.

- Bonsoir à vous ! Je vous en prie, entrez, entrez ! Il fait plus chaud à l'intérieur.

Se dépêchant de dégager le passage avec sa belle robe de paon, elle laissa les invités entrer leur indiquant de la main, le salon sur la gauche. Une vaste pièce, aux murs de pierre recouvert de tapisseries dans les tons de Noël pour l'occasion. Tous les meubles avaient été retiré pour ne laisser trôner que l'immense table autour de laquelle s'alignait des chaises rembourrées, elles aussi dans tons verts, rouge et blancs. Marie y avait passé du temps, mais elle avait réalisé tous les tissus pour la soirée. Il fallait que le premier Noël d'Heliana soit parfait et ce même si le petit bout de chou dormirait sans doute toute la soirée. La pièce était largement éclairée, notamment par le feu vigoureux qui crépitait joyeusement dans la vaste cheminée, mais aussi grâce à la multitude de bougies et de torches qui habillaient murs, rebords de cheminée et table. Bien que le sapin décoré trônait à l'entrée de la demeure des jeunes parents, L'Etincelle n'avait cependant pas oublié d'étaler quelques branches de sapin, fraîche en chemin de table. Des décorations de bois sculpté et peintes agrémentait le tout.

Refermant la porte derrière le couple, Marie les suivit jusque dans la salle, guêtant avec un peu de crainte leurs réactions quand il verraient la décoration.


- Kylian ne va pas tarder à déscendre. Fin sourire sur les carminées. Il s'extasie devant notre bébé. Mais je vous en prie, prenez place, puis-je vous proposer une boisson afin de patienter ?
_________________
Ilan
Assit dans le baquet qui était censé le laver avec son beau bateau tout neuf que Selena de Thiers venait de lui offrir, s'amusant à le faire naviguer sur l'eau qu'il agitait lui-même avec sa main, faisant aussi une inondation dans la salle d'eau de son père, mais qui procurait au mini blond, de grands éclats de rire, mais attirait les foudres de sa nounou, la vieille Bertille, qui ne cessait de râler.

- oh mais tu vas te dépêcher de sortir de la dedans oui ? dois-je te rappeler que tu es attendu chez ta future marraine et parrain ?


Pris entre la colère de patauger dans l'eau qui inonde le sol et manquait de la faire glisser et celui de rire en voyant la tête d'Ilan les cheveux encore mousseux du savon qui dégouliné dans ses yeux qu'il s'évertuait à essuyer et qui commençait à lui piquer les yeux, lui faisant faire de vilaines grimaces.

Ni une ni deux, pas la peine de réfléchir, ne fallait faire évoluer les choses, surtout avec un pareil phénomène, la nounou attrapa le seau et rinça d'office la tête du jeune homme, l'attrapant ensuite par les bras pour le soulever et le sortir du bac, sans que celui ne se débatte, mais qui tenait fermement son bateau dans ses mains, de peur qu'on lui fauche surement.


- pfff, tu'n'es même pas drôle Bertille. Façon avec toi on peut jamais faire des jeux dans l'eau.

Un haussement d'épaules, un petit bout de langue qui se tire et voila le mini blond qui sort de la salle d'eau tout nu et trempée, direction sa chambre pour déposer son bateau dans son coffre à jouets, tout ça pendant que Bertille elle, le sèche en courant et râlant après lui.

- Ilan, comment veux-tu que je t'aide si tu bouges sans cesse ?
- mais enfin, suis un grand moi maintenant, j'peux le faire tous seul.
- Il n'y a qu'a voir ce que tu viens de faire dans le bain, tu parles d'un grand.
- vi madame moi suit grand, pis façon toi tu fais que râler alors hein.

Une heure de négociations pour réussir enfin à habiller convenablement le jeune homme de belle braie toute propre de couleur cyan tout comme la chemise et les bottes, mais un col blanc et son beau chapeau tout aussi blanche histoire de cacher un peu sa chevelure bien trop rebelle à toute brosse, des petites bouclettes frisotantes dans tous les sens.

Le temps d'enfiler son gros manteau bien chaud et fourré, de prendre les jolies fleurs qu'il avait pris soin d'acheter et bien entendu le cadeau pour le bébé, un superbe hochet en bois qu'il avait commandé et acheté auprès d'un charpentier du coin et le voilà en route pour rejoindre son père chez Marie, Bertille sa nounou lui tenant la main pour l'amener a bon port.

Arrivé devant la porte, il donna trois coups sur la porte, mais pas trop fort quand même.

_________________
Neyco
Cookie on va être en retard.

Mais il m'a piqué ma boite.

Nom d'un biscuit, c'est un écureuil, un biscuit je veux bien mais toute une boite. Avoue que tu as tout finit ou que tu l'as perdu c'est pas grave.


Mummyyyyyyy!!!!


Crise d'un bambin? Non du tout, tout simplement un bambin qui montre quatre écureuil en train de se balader avec une boite à biscuit visiblement perdu.


Yeux écarquillé de la mini.

Alors celle là, bon sang j'espère pas qu'il y a tout le clan pourtant il n'y avait que....

Et réalisant.

Bon sang Spip je t'ai dis dans la forêt et si vous avez faim tu attends en cuisine, petit voleur chenapan rho tu va voir si je t'attrape
.

Et une mini brune suivit d'un mini brun qui courent dans le manoir de Limoges pour attraper une boite à biscuit qui semble avancer seule vu du dessus. Une esquive de James, puis de Paulo, et d'un valet, d'un des petits fils de James, puis op on tourne autour de Mathilde qui au passage fait tomber le linge plié qu'elle portait.


STOPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPP!!!!!!


Un coeur magnifique de deux voix.


Oups!!!

Pardon Nanny, mais nous avons affaire à des voleurs de biscuits.


C'est important vi.


Rien à faire vous allez me ranger ce basars et plus vite que çaaaaaaaaaaa!!!!


Moue des deux mini brun, l'arnaque c'était l'arnaque non seulement ils avaient perdu les biscuits, mais ils étaient de corvée. Monde cruel.


C'est pô juste.


Oui ça c'est la grande.


En plus on a plus de biscuit.


Et ça c'est le petit.

Et que je vous y reprenne moi à courir dans les couloirs c'est pas possible cette histoire, et vous, vous avez intérêt à vous calmer, dans trois semaines sinon je vous clou au lit et c'est pas des blague.

Le vous étant pour Mini qui en faisait qu'à sa tête même enceinte soyons honnête.

Quelques heures plus tard tout propre, sans miette, juste un panier dans les bras, un Cookie de l'autre coté qui lui tenait un cadeau. Le gamin avait voulu faire un dessin, pour la petit fille qu'il disait. Ne sachant la teneur du cadeau, mais ne voulant contrarier le gamin en lui expliquant qu'elle ne risquait pas par son jeune age d'apprécier le cadeau, elle s'était renseignée auprès de James qui lui avait dit la teneur de dessin. Toute la famille de leurs invité dessiné avec la petite fille dessus. Si c'était pas crooooooooooo mignon.


Et oublie pas, on ne court pas il y a un petit bébé.


Promissssssss.

Toc toc toc.
_________________
Mahelya.
Clealan et Leonie semblaient bouche bée. La Rousse ne put retenir un sourire. Ravie que sa décoration pour les fêtes de la Noël éveille quelques sentiments chez les convives. Sans mots dire donc afin de ne pas les déranger dans l'examen qu'ils faisaient sans doute passer à leur Maison, elle sortit d'un coffre deux bois, deux bonne bouteille de vin de paille. Boisson préférée de la Rouquine, est-il besoin de le préciser ? Elle remplit trois verres généreusement et à peine avait-elle terminé que trois coups à la porte, se firent entendre. Montée sur ressort tant elle était heureuse aujourd'hui - Elle venait tout de même de retrouver son Mari - elle sautilla jusqu'à la porte d'entrée, l'ouvrant à la volée. Un grand sourire s'afficha sur le visage de la Rouquine quand elle vit le petit visiteur accompagné de Bertille. Ne pouvant y résister, la jeune Mère étreignit le petit blond tout contre elle.

- Bonjour Ilan, le plus beau de le monde ! Oh je suis tellement contente de te voir. Ton papa et Léonie sont déjà arrivés. Mais dis-moi tu es magnifique, le cyan te va bien dis donc !

Lui otant sa cape qu'elle accrocha au clou dans le mur, elle couvrit ensuite, LPB de bisous - Faut-il préciser que la Rousse adore le petit Ilan qui a sa cabane juste devant leur maison ? - elle avise la nourrice, qui, bien qu'elle ne la connaisse pas de vue, porte le même nom que sa propre cuisinière. Un sourire à l'attention de la femme. Pourvu qu'elle n'interdise pas les bêtises, c'est que Marie adore en faire en compagnie d'Ilan. Elle lui propose gentiment.

- Bonjour, vous devez être Bertille ?! J'ai entendu parler de vous. Si vous le souhaitez, vous pouvez vous rendre dans la cuisine, ma cuisinière Bertille - oui elle porte le même nom que vous - se fera un plaisir de vous servir un repas chaud et délicieux.

Les laissant entrer, elle referme la porte à leur suite puis la Flamme récupère doucement la main d'Ilan, lui murmurant rien que pour lui.

- Ilan, j'ai demandé à Bertille de te préparer un tarte à la Courge, rien que pour toi. Cela te fait plaisir ?

Mais la porte à peine fermé, manifeste déjà une nouvelle arrivée. Claquant un nouveau baiser sur le front d'Ilan, elle s'accroupit doucement devant lui, lui désignant la porte du salon déjà ouverte.

- Ton Papa et Léonie sont dans cette salle, ils sont tous sages. Si tu veux, tu peux aller les rejoindre, où monter voir Kylian, il est dans la chambre d'Heliana. Le première pièce en montant l'escalier. Ou tu peux aussi rester avec moi. Tu fais comme tu veux.

Elle lui sourit à nouveau avant de se redresser pour ouvrir la porte. Qui était derrière ? Surprise, surprise, elle n'allait pas tarder à le découvrir puisque la lourde porte en chêne s'ouvrait déjà. Et c'est un nouveau large sourire qui accueillit Monseigneur Neyco et son fils.

- Monseigneur Neyco ! Bien le Bonsoir ! Je suis ravie de vous voir ! Entrez, Entrez, je vous en prie. Il fit bien meilleur à l'intérieur. Clealan des Charmilles et la jeune femme qui l'accompagne, du nom de Léonie, sont déjà arrivés. Et juste avant vous, Ilan. Je vais prendre vos capes.

Puis se baissant vers le garçonnet.

- Bonjour toi ! Alors dis-moi, as-tu résolu cette histoire d'écureuil chapardeur qui t'embêtait déjà au repas d'après la Messe ?

Se décalant pour les laisser entrer, elle leur sourit à pleine dents. Vraiment la Rousse était comblée et pour sur, ce serait une très belle soirée.

[HRP : j'ai pris le partie de faire deux entrée différentes pour Ilan et pour Neyco et son fils. J'espère que cela convient à tout le monde ]
_________________
Ilan
Alors que la porte s'ouvrait rapidement pour laisser apparaître la jolie rouquine qui semblait tout comme à son habitude, débordante de vie et d'amour pour ses amis, tout comme il aimait la voir si joyeuse, lui offrant le plus magnifique sourire de sa panoplie, et Dieu sait qu'il en avait des sourires.

- Ma comtesse de la tarte, la plus belle des marraine, pardon si jl'a mis du temps, jme suis fait beau, pis aussi jl'a pris le temps de faire mumuse dans le bain avec mon super bateau.

puis ajoutant plus bas.

- pis même que Bertille bin elle a fait que râler, holala, pfff.

Il aida Marie à le dévêtir des vêtements qui le tenait au chaud dehors et lui donner surtout l'air d'un gros bonhomme de neige, posant les fleurs sur une surface libre avec la boîte contenant le hochet en bois, puis attendit le moment propice pour nouer les bras autour du cou de sa future marraine pour la couvrir de bisous, laissant entendre quelques petits gloussements quand les bises le chatouiller.

Quand Marie salua Bertille qui refusait aimablement l'invitation, normal vu que celle-ci avait un rendez-vous avec son amoureux, le vieil Arthurin, le mini blond lui laissait son regard voyager dans la pièce ou il se trouvait, allant même jusqu'à regarder derrière les autres portes en les entre-ouvrants simplement, reportant son attention sur marier qui lui parlait à nouveau.


- Oh vi, miam, ça me fait très beaucoup plaisir, j'espère que papa y va pas râler que je mange trop.
- nan, jva rester avec toi pour faire le sage qui l'est pas, hi hi.


Il la laissa ouvrir la porte, restant dans un coin de la pièce.
_________________
Neyco
Mini qui souriait à leur hôte tout du moins une des hôtes le monsieur hôte devant point être trop loin.

Salutation biscuitale à vous ma chère, mercé pour l'invitation. Merveilleux je vous avoue avoir crains m'être trompée de rue enfin pour un peu nous aurions juste eu un peu de retard.


Passant sur le fait qu'elle avait un sens de l'orientation pourri quand elle était en ville, autant en forêt elle s'était beaucoup et de loin amélioré mais en ce qui concernait la ville non pour elle une rue c'était une rue.
Se laissant alléger les capes d'hiver étant bien lourde, elle aida Riccardo à retirer le noeud de sa cape qui était bien serré.


Le gamin répondant pendant que la mini tendait cape.


O vi m'dame, papy James m'a aidé et pis maintenant Spip il est tout sage dans sa maison car je l'ai grondé et vi. Il est privé de biscuit pendant un mois maman qu'elle a dit.


Haussement des sourcils de la mini, cette histoire avait faillit la rendre dingue.


Si vous saviez une invasion d'écureuil en réalité. ils s'était réfugié dans une des pièces du dernier étage. Nous n'y allons que quelques fois pour monter des affaires qui ne servirons que plus tard et c'est en sentant les quelques réserves de biscuits que j'ai confectionné pour Paris qu'ils ont due être attiré et forcément ont envahis toute la maisonnée.


Le gamin explisant de rire.


Maman était toute rouge quand ils sont allé dans la cuisine.


Mini à Marie.


Oui j'ai honte je me suis énervée. Enfin c'est pas tout ça festoyons.

_________________
Mahelya.
- Une invasion d'écureuil ? Comment est-ce possible ? Et euh ... comment les avez-vous fait fuir ? Et pauvre Spip, privé de biscuits autant de temps ? Il va s'en remettre vous pensez ?

Puis se baissant une fois de plus vers l'Enfant, elle lui sourit gentiment, avec une pointe de tendresse. Marie qui adore les enfants ne manque jamais une occasion de s'amuser avec eux.

- Et tu dois être très impressionnant quand tu grondes, pas vrai ?

Les pupilles de la Rouquine étaient amusées quand Neyco et Cookie racontaient leur mésaventure avec les écureuils. Le Petit garçon avait l'esprit vif et taquin, nul doute que l’Étincelle s'entendrait bien avec lui. La Jeune Vicomtesse consort était toujours partante pour rigoler et faire quelques bêtises, oh bien sur des pas très grave hein ? Non des bêtises amusantes. Comme piquer la tarte que Bertille faisait refroidir sur le rebord de la fenêtre quand elle avait le dos tourner, puis courir jusqu'à la cabane d'Ilan pour partager le trésor. Ouais ça, elle adorait !

Tiens en parlant d'Ilan, le Plus beau lui avait bien dit qu'il restait avec elle non ? Mais le Blondinet se fait discret, dans un coin de la pièce, alors Marie doucement lui tend la main, afin de l'inviter à venir à elle. D'une parce qu'elle n'a pas l'intention qu'il reste tout seul, de deux parce qu'elle a envie d'un gros câlin.


- Oh oh Monseigneur, je manque à mes devoirs d'hôtesse, Vous le connaissez sans doute déjà, mais voici, Ilan des Charmilles, le fils de Clealan et le neveu de Victoire, mon futur filleul.

C'est un large sourire qui ponctue la phrase de la jeune Mère, car oui, elle est très fière qu'Ilan lui ai fait cet honneur, alors la Rousse sert davantage le jeune blond contre elle. Pas de doute, elle l'adore !

- Et si on allait régaler nos papilles à côté ? Bertille, ma cuisinière, la seule qui vit avec nous quand nous sommes à Limoges, a réalisé des mises en bouche absolument exquises. Et Clealan des Charmilles et la Jeune femme qui l'accompagne, au prénom de Léonie, sont déjà à côté.

Se tournant vers les enfants - Ilan et Cookie - elle leur chuchote doucement.

- Je suis même sur que Bertille a préparé des petites gourmandises pour vous.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)