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[rp] La renaissance du Domaine de Lières

Chevalier_bayard



Ah vi elle doit être autant impatiente que je le suis de la retrouver! Si tu me le permets, je vais en éclaireur, pour la prévenir que tu arrives!

Et Bayard se rua jusqu'à l'appentis de la grange, aménagé en maisonnée. Il remarqua la porte réparée, et entra, un peu inquiet mais surtout pressé de retrouver sa belle!

Toc, toc, devine qui est rentré ??? fit il en faisant une entrée magistrale... heu... disons remarquée... enfin, pas discrète quoi...

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Yosil


Yosil vit le Bayou filer comme un lièvre.

"Surement des petites surprises entre eux que je ne dois pas voir et qu'il va cacher avant que je n'arrive...hmmm."


Le Bourrin prit donc son temps, passa sur la place du marché, soupesa les légumes, croqua dans quelques fruits en laissant glisser quelques écus sur les étals.
Il repensa à l'époque où, plus jeune et plus necessiteux, il volait avec ses frères et sœurs quelques fruits succulents qu'ils allaient déguster sous les charrettes des marchands.

Après avoir perdu pas mal de temps il décida enfin de prendre le chemin du Domaine. Peut être le fouet et la dentelle avaient été rangé ? Enfin ça, c'était dans les rêves brumeux de Yosil pas bien réveillé.

Marchant d'un pas lent et tranquille il s'engagea sur le sentier de la maison de sa chère petite rousse.


Chevalier_bayard



Après la venue de Yosil, avec qui ils s'en jetèrent quelque unes, Bayard en apprenant plus sur l'histoire de Cambrai et des Bourrins, aux bons souvenirs de Yosil et Maé, après la venue de Yosil donc, Maé et Bayard eurent le temps de fêter leurs retrouvailles, d'essayer tant et plus le nouveau lit fabriqué par Maé, en ayant soin de cacher la dentelle et autre fouet, au cas où...

Mais ils ne purent en profiter fort longtemps, appelé par Aterfalco pour rejoindre son armée. Prenant armes et baluchon, ayant rempli la mangeoire du bambi, lui laissant les consignes habituelles de veiller sur la maison et de pas faire ses besoins n'importe où, ils rejoignirent Ater à la porte de la ville...

Puis ils partirent en ce début janvier 1458. Ils allèrent jusqu'à Calais où ils patrouillèrent dans et autour de la ville, Maé et Bayard s'échappant à l'occasion pour un tour mémorable en barque... les pècheurs anglais s'en souviennent encore!

C'est en revenant de cette ballade que Bayard trouva le message de son filleul. Après en avoir discuté avec Maé, il fit sceller son cheval et se mit en route...



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Quelques jours plus tard, cape au vent, Bayard franchit seul les portes de Cambrai, galopant jusqu'à leur abri. Il fit un rapide tour d'inspection, emplit à nouveau la mangeoire du Bambi, fit un tour rapide dans leurs champs, histoire de voir que tout allait bien. Il constata avec satisfaction que la neige avait fondu. Bien, le chantier allait pouvoir bientôt recommencer.

De bonne humeur, malgré la fatigue de la chevauchée et d'une nuit presqu'à la belle étoile, il rentra chez lui, prit plume, encre et parchemin, pour écrire à sa Belle.

Il prit ensuite quelques heures de repos. Bientôt il devrait continuer son voyage, une triste célébration l'attendait. En Flandres.


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Chevalier_bayard



Enfin, Cambrai en vue!

Bayard était de retour de Tournai, où il avait assisté à l'enterrement de Léalie de Clairambault, sa marraine. Triste cérémonie, chargée d'émotion. Bon, comme tous les enterrements me direz-vous. Mais quand même, Bayard avait une pensée pour Wuggalix, qui se retrouvait veuf, et pour Duncan et Aidan, privés d'une mère. Mais bon on a coutume de dire la vie continue... "Machin est mort, c'est la vie!" C'est con quand on y réfléchit.

C'est pour ça qu'il faut pas trop réfléchir!

Hé, hé, laisser parler l'instinct!

C'est ainsi qu'il fait son entrée à Cambrai! Le cheval au galop, jusqu'à la remise qui sert de maison, sautant à terre alors que le canasson (destrier en fait, mais après plusieurs heures de cheval, les fesses en compote, c'est canasson!) n'est pas encore à l'arrêt (ça impressionne toujours les plus jeunes^^), hop, saute par dessus le bambi qui ronge un os à moelle, ouvre la porte, court jusqu'à Maé, la prend dans ses bras pour un baiser renversant... avant de lui dire, les yeux brillants et même presque pas essouflé:


Qu'est-ce que tu m'a manqué toi !

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Maeva83


Telle une chenille dans son cocon, la belle avait flemmardé depuis la veille qu'elle était arrivée de Calais, l'avait même pas vu le temps passer.

Frigorifiée, saisie par l'humidité de la fonte des neiges, transie par la fraicheur d'un vent du nord qui ne les lâchait plus depuis son départ de Calais, enroulée dans ses couvertures, la Maé n'avait pas montré le bout du nez depuis la veille.
Elle avait pris son temps, s'était baignée, chouchoutée, l'avait vidé la réserve des bons crus, l'avait tout mangé le saucisson, le maïs soufflé, et le jambon fumé...
L'avait même un peu mal au ventre de s'être goinfrée...

Ce n'est que lorsqu'elle entendit un cheval au galop, les abramements du Bambi (sisi ça y est, il y arrive presque à aboyer) qu'elle risqua un œil par la fenêtre, et revint à la réalité...

Il ne fallu pas plus d'une minute, d'un mouvement de doigts dans sa chevelure, d'un saut artistique dans ses jupons pour se transformer en ravissant papillon frais et vigoureux.

Adossée nonchalamment à une poutrelle, tête légèrement jetée en arrière, on aurait pu penser que la belle attendait son amoureux, là, figée depuis des heures, éclairée d'un pâle rayon de soleil qui ravivait sa beauté...Les yeux brillants, les lèvres humides (je pourrais en rajouter encore, ça le fait hein?)

Citation:
Qu'est-ce que tu m'a manqué toi !


J'ai senti votre parfum à des lieues mon ange, je vous attendais! Vous aussi m'avez tellement manqué!

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Chevalier_bayard



Après le renversant baiser, une main qui caresse doucement le visage, qui passe lentement dans les cheveux, et il se remémore, juste avant le baiser...

Il revoit Maé, adossée nonchalamment à une poutrelle, tête légèrement jetée en arrière, les pâles rayons de soleil nimbant ses cheveux d'un halo de lumière, couleur or cuivré... Dans sa jeunesse, à Venise, Bayard avait vu des icônes byzantines, réputées les plus belles au monde... et bien n'importe quelle Madone auréolée d'or était bien loin de la beauté qu'il avait là, devant lui. Beauté qui tourne son visage vers lui, les yeux plus brillants et éclatants que le plus précieux des joyaux, les lèvres humides, voie lactée invitant au voyage vers sa bouche, explorateur infatiguable des ses baisers qu'il était... Et ce, sans parler du corps divin que Bayard ne pouvait s'empécher d'admirer, de caresser d'embrasser...

Même Aphrodite sortant nue des eaux n'attirait aucun regard en comparaison de Maéva. Car si la beautée de Maéva sautait aux yeux, c'était aussi plus que cela, elle était énergie, elle était vive, elle était vraie... Elle était l'amour et la liberté à laquelle Bayard voulait être enchainé pour l'éternité, et elle était le feu et la brise, qui allumait sa passion et rafraîchissait toute sa vie... Elle était sa moitié et son tout...

Et lorsqu'elle lui souriait, qu'il lisait l'amour dans ses yeux... c'était renversant de beauté, de bonheur, et s'il se savait le plus heureux des hommes auprès d'elle, il le ressentait dans tout son corps, son coeur et son âme.

Inutile de vous dire qu'il était amoureux, raide dingue d'elle.


Maeva83 a écrit:

J'ai senti votre parfum à des lieues mon ange, je vous attendais! Vous aussi m'avez tellement manqué!


Sourire radieux et yeux remplis d'amour. Gorge nouée par le bonheur, mots qui sortent difficilement. Il pose un genou à terre, prend doucement sa main, et plonge dans ses yeux.

Maéva, je t'aime. Il n'y a points de mots pour exprimer à quel point, mais je t'aime!

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Maeva83


"Sourire radieux et yeux remplis d'amour. Gorge nouée par le bonheur, mots qui sortent difficilement. Il pose un genoux à terre, prend doucement sa main, et plonge dans ses yeux."

Maéva, je t'aime. Il n'y a points de mots pour exprimer à quel point, mais je t'aime!

Au bord de l'apoplexie, déroutée de voir ainsi son doux chevalier déposer genoux à terre, mesurant toute l'ampleur d'un tel geste, paniquée à l'idée de ce qui pourrait suivre pour avoir été témoin récemment d'une demande prenant les mêmes allures....

Maé plia également le genoux pour se mettre à la hauteur de son aimé. Petite respiration saccadée avant de lui répondre dans la foulée, ses mains jointes autour des siennes.

Mon doux chevalier, nulle musique n'est plus douce aux oreilles d'une bien aimée que ces mots prononcés avec tant de sincérité.

Point n'est besoin de s'emporter où de presser les choses, mon cœur vous appartient déjà, nos destins sont liés désormais, tout comme moi vous le savez.

Vous ais-je assez remercié de cette chance unique de vous avoir à mes côtés?
Si belle est devenue ma vie, auprès de votre cœur qui me ravit d'hier à aujourd'hui.
Vous êtes mon essentiel, mon monde sans vous n'est qu'une rivière sans eau, un paradis sans fleur, une phrase sans mots.

Oh mon Dieu que j'aime la couleur de nos nuits, votre corps contre le mien, la chaleur de vos mains en nos réveils unis.
Je me ressource en vous chaque heure, chaque jour, au pays de votre source, au pays de votre cœur.

J'aime tout de vous, la douceur de nos nuits pleines de chaleur et de lumière, la douceur de nos heure passées au coin du feu, où se retrouvent dans le bonheur nos cœurs amoureux.

Vos lèvres ont la saveur de mon espérance, votre merveilleux regard est mon horizon confiance.

Je vous aime autant qu'aimer ce peut de vous aimer. Je m'étiole loin de vous, et chaque fois que vous me revenez je bénie les cieux de vous avoir rencontré.


Époustouflée par ses propres paroles, bouleversée d'avoir osé enfin lui déclarer sa flamme et lui ouvrir ainsi son cœur, et se mettre à nue, elle se demandait si elle redoutait où si elle espérait qu'il fasse un jour ce geste, perturbée par sa réaction et son comportement, embarrassée de s'être ainsi laissée aller, elle ne pu que conclure ses paroles par un baiser pour couper court à toute réponse où interrogation qu'elle voyait déjà poindre dans les yeux pétillants de son chevalier...

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Chevalier_bayard



Elle s'agenouille comme lui, ils sont faces, proches, unis. Les mots de Maéva, sa déclaration, lui font tant de bien, éveillant en lui des sensations de bonheur pur. Si vous imaginez du champagne couleur azur, vous pouvez visualiser les yeux du chevalier en cet instant.

Ils s'embrassent, ce ne sont plus leurs bouches, mais leurs yeux et leurs coeurs qui se parlent. Qui se parlent de partage. Qui se parlent d'éternité, celle de l'amour toujours renouvelé. Qui se parlent de désir, celui des amants découvrant et se découvrant, encore et encore.

Et c'est avec une tendresse infinie dans sa force d'homme que Bayard prend doucement Maé dans sa bras, la soulevant et se relevant, se dirigeant vers leur chambre, où trône le lit fabriqué par Maé...


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Chevalier_bayard



Après un moment divin passé en amoureux, des fleurs et de jolis mots échangés, armés de cet amour chaque jour partagé, ils étaient prêt pour la suite...

Et la suite commençait par le matche de soule de Coupe royale, Cambrai recevant La Trémouille. Maé, excitée par ce match, s'était levée en premier, et avait couru au terrain tant pour s'assurer que tout était prêt que pour accueillir les visiteurs.

Bayard s'était levé peu après, et après de rapides ablutions, enfila son maillot des taureaux. Ah ah, prêt à en découdre! Puis son... short ? Mais où était son short ? Le petit short noir que Maé aimait tant ? Les bottes étaient là, mais pas de short!

Bayard fouilla partout, chercha, retourna, jura, mais pas de short... et le temps passait... l'allait tout de même pas devoir jouer cul-nu ???

Soudain, regardant par la fenêtre, il l'apperçoit. Le Bambi, à moitié dans sa niche, dors, la tête posée dessus! Salopiau d'bestiau! Bayard sort à toute vitesse, mais le bambi l'a entendu venir, et prends le short avec ses dents... s'ensuit une bagarre épique, chacun tirant sur le short, le bambi grognant, Bayard criant,...
Finalement, l'homme sort vainqueur, montrant pourquoi il est en haut de la chaîne animale. En fait, le Bambi a laché le premier, et Bayard, qui tirait le short de son côté, se retrouve le cul dans la neige...


Pas bien! Méchant bambi! fait-il à la bête hilare.

Pas le temps de pousser plus loin la phase moralisatrice-éducative répressive de l'éducation du bambi, là, l'était en retard le chevalier souleur! Il courut à la maison, réchauffer ses miches, avant de mettre le short... c'est là qu'il constata que le short était troué, au niveau de la fesse droite. Arf! Que faire ?

Comme il a pas eu le temps de coudre son nom sur son maillot, il a une idée. Découpant dans du tissu un B (pour Bayard) et un M (pour Maé), qu'il couds sur le short, le B côté gauche, pour masquer le trou, le M pour équilibrer...




Content de lui, l'essentiel étant sauf, il enfila le short, les bottes, et courut jusqu'au terrain, où on devait certainement l'attendre...

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Chevalier_bayard



Plus de neige ? Plus de Neige!

Et qu'est-ce que ça veut dire plus de neige ???

Les travaux peuvent reprendre ! Bayard va profiter que Maé est occupée à la procure et avec la soule pour faire avancer son futur château. Hop, ni d'une ni deux, Bayard saute dans ses braies, dans sa chemise, la cape et l'épée pour la classe, les bottes pour botter le cul aux nains, il siffle le bambi, et en route pour le domaine!

Il est encore occupé à enlever les baches et les planches goudronnées qu'il entend l'écho du fameux "Hey Ho!" entonné par des centaines de nains! Tonton Smurf a tenu parole, il a envoyé du renfort!

Bayard en était tellement heureux qu'il les auraient tous pris dans ses bras, s'ils ne puaient pas autant!


Ah bande de nains, c'est dur à avouer mais ça me fait plaisir de vous revoir!



- Nous aussi !
- Oui, nous aussi!
- Ben non Slip, pourquoi vous lui dites des conneries ? On en a rien à barrer de son chateau, on le fait pour le roi des nains et sa tune...
- Oh la ferme Nainportequoi !


Soit... Bayard resortit son fameux plan



- Bon les nains faites silence. Slip, on va diviser les nains en deux équipes. La première équipe va travailler là, pour creuser les fondations des murs, des bâtiments, corps de logis, salle de garde, chapelle, etc.
- Quoi encore creuser ?
- La ferme Nainportequoi!
- La seconde équipe va creuser un canal pour détourner la rivière qui coule vers le moulin des champipis pour amener l'eau dans les douves!
- Ah voilà, encore creuser, toujours creuser! On est bon qu'à ça ou quoi ?
- Bah... tu sais faire autre chose toi ?
- ... heu... non...
- Ben voilà!
- Mais t'as vu la distance pour le canal! Y'a des rivières plus proche!
- hé ho les nains, on va quand même pas détourner une rivière artésienne! Priver les enfants artésiens d'eau pour se laver! Priver les femmes artésiennes d'eau pour... pour... la lessive! Faut pas rêver! Quoi les champipis ? On s'en fout des champipis! Mais t'en fait pas Nainportequoi, j'aurai un autre travail pour vous après, et ce ne sera pas creuser!
- Vrai ? Je vais faire autre chose que creuser ? Je pourrai travailler tout près de la jolie Maéva ?
- Même pas en rêve! Lorsqu'il y aura de l'eau dans les douves, il faudra reboucher le canal, manquerait plus que les champipis viennent jusqu'ici en bateau! Voilà... à vos pelles les nains... et... aaaaaaarbeiiiiit !


Et tandis que dans le bruyantisme si caractéristique les nains couraient en tout sens, prenaient pelles et fûts de bière, se divisant en deux équipe, Bayard s'approcha du bambi.

- Bon toi tu monte la garde ici au domaine, tu mords celui qui fait semblant de travailler. Moi je vais surveiller ceux qui travaillent au canal.

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Maeva83


[Alors qu'elle se mettait en route pour Arras...]

Aujourd'hui était jour d'inspection des geôles, le contrôleur des services vétérinaires leur imposait de vérifier régulièrement que les animaux de compagnie des taulards n'avaient pas la peste où le choléra..

Un vrai boulot de *champi* que d'inspecter chaque rat pour voir s'ils étaient en pleine santé!
Mais bon! Le service sanitaire ne plaisantait pas avec les normes d'hygiène et la loi était la loi!

Alors qu'elle trainait un peu la patte pour y allait, elle fut surprise de croiser la route de nombreux nains...

Vraiment intriguée, elle les suivit discrètement pour voir où ils allaient...


Mais ils vont tous chez moi?

Elle poussa un peu plus en avant son travail d'investigation et fut surprise de voir le bambi qui montait la garde à l'entrée du domaine, laissant passer ceux qui portaient pioches, pelles et haches et mordant les trainards qui sifflotaient, mains dans les poches..

Étrange....vraiment très étrange...

Elle laissa les nains prendre un peu de distance, et l'air de rien, les mains dans le dos, sifflotant, flattant au passage le Bambi pour le féliciter de si bien monter la garde , elle voulut passer la barrière à l'entrée du domaine, lorsque le Bambi la prit en chasse montrant les dents, prêt à la mordre pour lui interdire le passage...

Mais t'es complètement fou? C'est moi boudiou! Tu va pas me mordre quand même? Allez, j'ai pas envie de jouer, laisse moi passer bourrique!


Impossible...il se mit à abrâmer si fort qu'elle comprit qu'il ne la laisserait pas passer et qu'il était bien prêt à la mettre en pièce si elle mettait un pied de l'autre côté de la barrière

Elle rebroussa chemin en ronchonnant et en pestant contre le chouchou de Bayard...Elle lui règlerait son compte en rentrant ce soir, gnétait pas potib de tout le laisser faire!

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Chevalier_bayard



On pouvait dire ce qu'on voulait sur les nains, purée qu'est-ce qu'ils travaillent bien! Bayard était toujours surpris par la rapidité avec laquelle ils travaillaient. Vraiment, ils creusaient comme personne!

La journée s'achevant, Bayard, content de l'avancée des travaux, retourna vers chez lui. Le bambi avait essayé de lui dire quelque chose, mais il n'avait pas compris. Il comprenait mieux son cheval que la bambi. Soit. Il écourta la 'conversation' d'une tape amicale sur la tête au Bambi, trop pressé de rentrer pour faire une surprise à sa Maé. Elle avait dû avoir une journée difficile, l'inspection des geoles étant vraiment un boulot de *champi*!

Il rentra donc chez lui, rangea la maison, fit brûler un peu d'encens qu'il avait piqué à la cathédrale pendant le mariage d'Odas, mit la table, avec un beau bouquet de fleurs au milieu, et se mit en cuisine, pour faire un des plats préférés de sa belle: le ragoût de rats! Moumoune lui avait donné sa recette... enfin une partie seulement...

Tout serait prêt pour le retour de Maé!


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Chany




Arrivée à Cambrai , Chany errait dans les rues quasi désertes , perdue dans ses pensées , elle ne s aperçut qu'un long moment après qu'elle était sortie de la ville et se trouvait devant le domaine de Maé et Bayou.

Elle entra et se dirigea vers la porte

youhouuuuuuuu, n a quelqu un???

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Chevalier_bayard



Chany a écrit:

youhouuuuuuuu, n a quelqu un???


N'ayant pas pensé que l'apprentis qui leur servait de maison le temps que le château de Maé soit terminé était plus petit que la cathédrale, bien plus petit, Bayard traversa en toussant le salon remplit de la fumée dégagée par l'encens en trop grande quantité, pour arriver à la porte.

Gné ? Je reconnais cette voix! Chany c'est toi ? Viens entre, Maé va pas tarder, tu veux une tite chopine en l'attendant ? Content de voir not' peronaine préférée à Cambrai!


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Chany




Sur l invitation de Bayou , Chany entra et fut aussitot prise d'une violente toux

toug toug toug !!!! arg boudiou Bayou toug toug, tu fait cramer le repas ou un hérétique , ca pue je t assure, toug toug toug....

Les larmes ruisselaient sur ses joues et elle avait l'impression que ses yeux allaient sortir tout seuls de leurs orbitres

Je suis contente de te revoir aussi et je veux bien de ta chopine , ca fera passer ce gout infecte ^^ , elle laissa volontairement la porte ouverte derrière elle malgré le froid , battant l'air avec ses bras pour évacuer la fumée au plus vite..

Dis donc , les travaux avancent bien , vous vous marier quand déja???

elle sourit en posant la question , le pèpère était il prêt a laisser sa fifille se marier , là était en fait la question!!

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