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[rp] La renaissance du Domaine de Lières

Duncan.
Et la voilà partie au galop, pas facile à suivre la gamine hein ?
Mais bon, Duncan ne serait pas un bon père de famille s'il la laissait partir seule devant, avec tous les dangers que ça comporte.

Entrainant avec lui son épouse et la Plus Belle Blonde de Flandres (traduction : Rosa), il accéléra l'allure. Il ne fallu pas trop longtemps pour rattraper Camille Agathe, les cris avaient indiqués la route et en s'approchant, d'autres cris leur indiquait qu'elle n''était pas seule.
Y aurait il une autre gamine dans e coin qui hurlerait comme une Camille surexcitée ?

La réponse ne se fit pas attendre, ce n'était pas une autre gamine mais Maéva.
La triplette ralentie l'allure avant de les rejoindre.
Duncan pensait que ce serait son frère qui serait venu à leur rencontre mais on dirait qu'il c'était fait coiffer au poteau.

Une fois arrivé à hauteur des furies, un sourire non dissimulé, Duncan salua sa presque belle sœur.


Bonjour Maéva,
Merci pour ces cris qui nous ont aidés à nous repérer mais...en suivant le chemin, nous aurions certainement trouvé le château tu sais...

Sourire en coin du Beau Blond
Maeva83


Très excitée de les voir enfin arriver, ça faisait quand même des semaines qu'ils les attendaient...
Maé sauta à terre pour serrer la ptiote dans ses bras. Un premier contacte plutôt chaleureux et presque violent.

Un pas en arrière pour toiser de bas en haut Agatille? Millegath? Bon sang voilà qu'elle avait carrément oublié le prénom de la nièce de Bayard.


- Tata Maéva ! C'est moi Camille j'ai grandi ! Tu me reconnais ?

Ben dis donc, Camillllleuh t'as sacrément grandi toi! Et t'est toute mignonne! Tu chevauches comme une guerrière, t'as plus rien d'un bébé héhé! Je crois qu'on va s'entendre toutes les deux!


Maé lui tata un peu les épaules et les bras... Tu as l'air costaude et vive, je suis sûr que tu aimes pêcher et chasser! Je crois qu'on va bien s'entendre toi et moi!

Le reste de la troupe arrivait enfin à leur hauteur, et les retrouvailles furent chaleureuses.

Soyez les bienvenus en Artois et à Cambrai, c'est grand plaisir de vous accueillir chez nous mes amis!
Maé regardait Duncan, il avait pas beaucoup changé depuis sa dernière visite, et était maintenant presque aussi séduisant que Bayard

Le rouge aux joues, elle fit une petite révérence de circonstance devant Rosa et la rousse convia tout ce petit monde à remonter en selle pour prendre la direction du Domaine.
Bayard était surement de retour et devait s'impatienter...

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Rosa
"Tata Maeva" était manifestement ravie de revoir Camille et vice-versa. Elle fit même une révérence honorable à Rosa, à son grand étonnement. Tout heureux, la troupe se dirigea vers le Château, où enfin ils pourraient se sustenter et boire à volonté. Dieu merci, ils n'avaient pas eu à combattre des créatures étranges en chemin.

Une fois arrivés, ils descendirent de leurs montures, Rosa s'étira le plus gracieusement possible et se prépara à saluer leur hôte.
Chevalier_bayard



Tel un général en plein milieu du champs de bataille, ou un Capitaine sur un navire en pleine tempête, à vous de voir, Bayard courait en tout sens, vérifiant les chambres, la chaleur des pièces (c'est que les soirées étaient déjà bien fraîche!), les cuisines et l'état d'avancement de préparation des victuailles, la salle à manger, la température des fûts de bières, surveillant les nains, courant à gauche, courant à droite, lorsque l'ouïe perçante de ses sens aux aguets perçut le bruit du sabot résonnant contre le pavé de la cours... ils arrivaient!

Il se précipita au perron pour les accueillir...

Maé était en pleine conversation avec Camille, derrière venaient Duncan, Margaux et Rosa... Il était si heureux de les revoir... Il alla d'abord accueillir sa douce et tendre, plaisir chaque jour renouvellé mais qu'il ne manquait pour rien au monde, ce moment délicieux ou elle se jetait en bas de son cheval et qu'il devait faire tout pour la rattraper dans ses bras... la retrouver surtout, car même une heure loin d'elle lui parassait une éternité...

Puis il aida Camille à descendre de cheval, tout heureux de revoir sa nièce... qui avait déjà bien grandi! Il la réceptionna aussi dans ses bras, la fit quelque peut tournoyer, bises échangées, nouvelles données, flot de paroles qu'il doit comprendre très très rapidement, avant de faire une galant baise-main à Rosa et à Margaux, et de terminer par accueillir son frère en le serrant dans ses bras...

... et de terminer par prononcer les paroles que tous attendaient certainement...


Et si on allait au salon, je suis sûr qu'après ce long voyage un houblonnesque rafraîchissement ne serait pas de refus!

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Rosa
Le soulagement d'être enfin arrivés, la joie de revoir Bayard et Maeva, associé au plaisir de voir Camille tenter de résumer la moitié de sa vie, le plus rapidement possible, en moins de phrases possibles. De quoi donner le vertige au plus chevronné des guerriers.

Une phrase la ragaillardit plus qu'une troupe de bretons à occire ou un bataillon de soldats à seringuer.


Et si on allait au salon, je suis sûr qu'après ce long voyage un houblonnesque rafraîchissement ne serait pas de refus!

Un grand sourire s'épanouit sur le visage de la Blonde, réponse témoignant plus sûrement son approbation qu'un "Oui!" retentissant. Elle suivit donc le mouvement, d'un pas aussi léger que possible.
Chevalier_bayard



Une main dans celle de Maé, l'autre dans celle de Camille, ils traversent la galerie qui mène de l'entrée du corps de logis du château vers le grand salon. Une galerie où trônent de nombreux blasons. Bayard les montre à sa nièce. Oooh pas pour frimer... c'est pas le genre de la maison, mais tous contiennent une partie de l'histoire de sa vie... son blason personnel, celui de la seigneurie de Flobecq, reçue de Slamjack, la baronnie de Rubroëk, déjà marque de confiance de Wuggalix, baronnie perdue pour ses principes de loyauté envers leurs alliés, et le tout dernier de son côté, celui des Clairambault... De l'autre côté de la galerie, il y a la même chose pour Maéva, ses blasons, racontant son histoire, celui de sa famille, les Isle d'Ambroise, celui de Dourges et celui de Nièlles-les-Ardres... Deux murs parallèles ainsi joliment décorés, deux lignes colorées longeant le mur, pour se rejoindre sur l'entrée du salon, entrée au dessus de laquelle ne se trouve aucun blason... une place vide pour un rêve... le rêve d'un seul blason mélangeant le tout, leurs vies, leurs histoires, leurs âmes, leurs corps... un blason signifiant une union, que le chevalier rêvait, désirait... un regard dérobé vers son amour... son coeur qui s'accélère, ses yeux qui brillent...

Mais déjà ils entrent dans le salon. Où trône un fût, des chopes (un mélange de crânes champipis et hollandais... c'est que les crânes champis deviennent difficiles à trouver sur le marché maintenant qu'il y avait la paix *soupir*), un plateau avec quelques victuailles, fromages et saucissons, mélanges du cru et de Flandres,...

Et le fût - à température idéale bien sûr - contient de la tastevine rousse, la fameuse bourrine, bière inégalable, dont les chopes en sont vites remplies (même pour Camille, il fallait qu'elle apprenne ce qu'était de la vraie bière! ^^) et vidées entre deux entre-choquements et toasts divers...


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Maeva83


Elle était bien heureuse d'avoir conduit tout ce petit monde au château. La joie de Bayard à retrouver son frère sa filleule et ses amis lui emplissait le cœur de joie et de bonheur.

Tout semblait en ordre. Maé partageait la fierté de son chevalier lorsqu'il guida leurs hôtes à travers les pièces et les couloirs de leur nouvelle résidence.
Quelques œillades amoureuses échangés, un petit baiser volé à la sauvette, et tout le monde fut conduit jusque dans la salle de réception où un immense buffet n'attendait plus que les invités...

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Myla.
Sa petite main est logée dans celle de son oncle tout nouveau tout beau, et heureusement, parce que vu comment elle a le nez en l'air pour admirer les blasons, elle trébuche régulièrement. Enfin elle en repère un qu'elle connait.

Cui là c'est cui à mon papy et à mon papa ! déclare-t-elle à tout le monde et personne en particulier quand ils arrivent devant la tour d'or sur fond de gueules des De Clairambault. Un jour si je suis sage moi aussi je l'aura, hein tonton Bayard dis ?

On s'approche du salon. Son oncle et sa future tante vont vite s'apercevoir que rien, ou presque, n'échappe à son regard aussi clair qu'il est curieux. Elle lâche la main de Bayard pour aller dans les jupes de Margaux, déclarant d'une voix claire,

Je viens avec toi passque il faut laisser les amoureux tranquilles quand leurs yeux ils pétillent, sinon, ils peuvent pas faire leur bébé. Si c'est vrai regarde, y se sont fait un bisou quand tu regardes pas.

Heureusement pour le couple, la vue du festin distrait Camille, qui grimpe vite fait sur le siège qu'on lui indique et attend, un grand sourire aux lèvres, qu'on l'autorise à se ruer sur la bouffe.

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Chevalier_bayard



Bayard ne répondit pas tout de suite à Camille, à propos que si-elle-était-sage-elle-recevrait-le-blason... après tout, lui et Maé en avait pas mal, sans jamais avoir été sage... mais ça il l'expliquera plus tard à Camille... s'agissait de pas dynamiter l'éducation parentale de Duncan et Margaux...

Pis, entré au salon, la voilà qui court chez Margaux, parlant d'amoureux, de bisous et de bébé... bon y'avait quelques raccourcis... un instant il imagine Duncan parler à sa fille "des choses de la vie"... et c'est avec un sourire aux lèvres qu'il perce le fût, sert une chope à chacun, et lève le premier toast de la journée...


- Aux amoureux, aux bébés et à la famille!

Puis un clin d'oeil complice vers Camille, oui, oui, elle pouvait se jeter sur le buffet! Peut-être cela l'occuperait-elle assez pour que lui et Maé puissent échanger quelques nouvelles avec Duncan, qu'ils n'avaient plus vu depuis sa venue en Artois pour annoncer une triste nouvelle, ainsi qu'avec Margaux et Rosa, histoire de bavarder des Flandres, de l'Artois, de Wuggalix, des FSF...

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Chevalier_bayard



Après avoir discutaillés, goûtés aux spécialités artésiennes, surtout brassicole, Bayard et Maé guidèrent leurs invités vers les chambres du chateau, pour qu'ils puissent un peu se reposer du voyage, et se rafraîchir aux étuves.

Ensuite ils veillèrent aux préparatifs de la fête qu'ils donneraient le soir. A la fois pour la famille tournaisienne et cambrésinne, mais aussi pour pendre la crémaillère du château, et aussi... enfin tout simplement faire la fête, faire du bruit, et aller coucher à pas d'heure quoi! Les sangliers, cochons de lait et autres volailles (tous chassés en forêt... ou piqués aux nobles voisins) étaient sur leurs broches, les ragoûts mijotaient dans les casseroles, les pains cuisaient au four - si les miches étaient la réalisations de Maé (et quelles miches! Tout simplement divines...) la farine provenait du moulin Bayard... hé hé, voui toujours du travail d'équipe à eux deux (et quelle équipe!) - quand aux légumes, ils... heu... ils végétaient dans leur coin, on verrait pour eux plus tard...

Ceci allant bon train, lui et Maé purent se charger de passer en taverne, inviter famille et amis pour pouvoir parager tout cela avec les cambrésiens qui leur étaient proches et qui aimaient faire la fête...


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Chevalier_bayard



Avec l'aide de Camille, croisée en taverne, et de Maé, ils préparèrent le domaine à recevoir tout qui viendrait... des torches brûlaient devant l'entrée, et tous le long de la route qui menait au château.

Pas de carosses, pas de pingouin en livrée... l'idée était de se sentir comme chez soi... en taverne! Les portes grandes ouvertes, une longue tablée, une bonne grande table en bois artésien, de long bancs de chaque côtés, la table remplie de mets que chacun pouvait aller chercher en cuisine ou que des nains apportaient en grommelant et en se curant le nez, et surtout des choppes (toujours mélange de crânes champis et hollandais *soupir*) et des fûts au quatre coins de la pièce... un feu immense dans la cheminée...

L'on s'asseyait où on voulait, en mangeant ce qu'on voulait (enfin, sauf les autres invités et Hulk) et en buvant ce qu'on voulait, et avec qui on voulait...

Maé et Camille étant partie se préparer, une chope largement remplie à la main, Bayard attendait les premiers invités, discutant avec Slip et Nainportequoi de la différence entre une empreinte de cochon et une empreinte de bambi...


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Bique
Bique arriva au château de Maé et Bayou, elle sonna et entr noméo faisait pas chaud dehors pour attendre comme sa.

YOUOUUUUUUUU JE SUIS ARRIVEE, Y A QUELQU'UN?

Bique connaissait pas la maison donc n'osait pas si aventurer de peur de se perdre. Hulk était a ses pieds et attendait avec elle.
Le_nain



Une voix grommèle derrière la porte...

La porte elle est ouverte! O-U-V-E-R-T-E... Faut pas que je la pousse pour vous ou que je vous la tienne ouverte non plus ? Vous m'prenez pour qui ? Pour l'portier ?

*paf*
*aïe*
*mais tu ES le portier, nainbécile! ET elle est déjà entrée, va au moins l'accueillir!*

Le nain, à la barbe grise et fourchue, et avec un oeil au beurre noir, arrive devant Bique et Hulk.

Bienvenue, bienvenue, pour béqueter et boire à volonté c'est tout au fond du couloir, la grande pièce avec la grande cheminée ou un bon feu brûle. L'autre pignouf... heu... le maître de maison vous y attends... pour l'cochon... y peut y'aller aussi, moi j'm'en fout, c'est pas ma piaule...

Et de sa main crasseuse il montre le-dit couloir...
Bique
Bique était un peu écoeuré de voir le sale nain tout dégoutant lui ouvrir.
Elle espérait que la vaisselle soit propre, vu la tête du nain espérons que c est po lui qui fait la vaisselle ni le repas. Bique s avanca dans le couloir.

Rhooo l 'est grand se couloir!Je suis épuiser de marcher! :wink:
grogna t elle
Elle ouvrit la porte et regarda la pièce.

Coucou c est moua, elle bizouilla et pella sans oublier de tâter les popotins , fait po chaud dehors.

Elle se dirigea vers la cheminée ou elle prit place près de Hulk deja en train de se vautrer près du feu.
Entela


La jeune femme était outré elle avait reçut une non invitation pour des festivités chez Bayou, et Mae, m'enfin c'est ce qu'elle avait lu ...
Ayant un très léger, coup dans le nez, elle n'était pas très apte, a marcher, alors à lire sont courrier, je vous laisse imaginer !
Profondément vexée donc, de recevoir un courrier de Bayou, lui stipulant qu'elle n'était malheureusement pas invité, elle se pressa de se revêtir de sa plus belle houppelande, d'enfiler, son col ,sa cape et ses gants les plus chauds.
Et elle partit d'un pas vif en direction du château de la petite Mae et sont Bayou, histoire de faire un scandale ! NainMais ....OH on ne se permet pas de désinviter Eny comme ça !
Arriver sur les lieu du "crime", où une fête devait se tenir sans sa présence, la jeune femme frappa violemment à l'entrée, boudiou qu'il faisait froid !
- MAE !BAYOU ! C'est m*hips* ! FAUT QU'ON PARLE ! COMMENT SA SE FAIT QUE CHUI PAS *HIPS* INVITER ????
Elle continuait de marteler la porte d'une main, s'appuyant de l'autre à la porte pour rester debout. S'impatientant qu'on en lui ouvre point !

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