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[RP]La cueillette des pâquerettes

Arthor
Avait-il fait quelque chose drôle, ou bien dit une bêtise ? Si cela se trouve, c’était le jeune Maledic qui avait encore amusé la galerie avec son tire complètement raté. Arthor aussi pouvait le faire, lui. Pas la peine d’être un roi pirate pour manquer une cible immobile de 5 pieds de haut. Mais ce qu’Arthor venait de faire n’était pas si mal que ça, si ? Peu lui importait au final, car il en restait fier. Empoignant fermement le pommeau de son épée, il regarda le monstre dépouiller la pauvre victime qui se laissa faire totalement. Le blond n’attendit pas que la meute eut terminée pour s’enfuir en courant. Il ne lui restait plus qu’à récupérer sa part. Mais étrangement, il n’en moquait un peu. Il était plus là pour apprendre que pour s’enrichir, d’autant que son dû ne devait pas être mirobolant.

Pourtant il avait pris l’habitude de récupérer quelques piécettes au cours des pillages auxquels il avait participé, ne serait-ce que pour vivre un peu. Ce jour ne dérogea ainsi pas à la règle, et il alla piquer quelques écus, le regard satisfait et le visage heureux d’avoir réussi son premier larcin. Il n’était pas spécialement fier de ce vol, mais plus de sa réussite. Remettant son épée dans son fourreau, il se tourna vers Amalio, un sourire en coin sur le bout des lèvres.


Facile non ? La prochaine fois, qui qui doit aller mettre son poing dans la figure de la fleur ?
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Quand Arthor parle en Oc, la traduction n'est QUE pour le joueur ! Jouer donc sur la phonétique, ou sur l'ignorance totale ... ou pas
Amalio
Sourire en coin du grand maigre, environné par la légère fumée de sa pipe (pipe qu'il avait bourrée de plantes pour se stimuler et combattre l'insidieux étourdissement qui ne le quittait pas depuis la veille)...

Le prochain coup, c'est toi qui commences, Arthor. Mais fais gaffe, ça sera ptet un gars plus coriace que celui-là... ou bien il sera pas tout seul !

Cette première attaque, bien que n'ayant rapporté qu'un butin insignifiant, satisfaisait l'italien. Avec deux gosses et un débutant dans le groupe, c'était une bonne manière de commencer l'enseignement des choses de la vie. Nizam était là comme bras droit pour lui si les choses se compliquaient un peu. Il savait qu'il pouvait compter sur son expérience, à laquelle on pouvait ajouter la force brute d'Arthor. D'ailleurs, Amalio savait le barbu moins sot qu'il n'y paraissait, bien que beaucoup aient tendance à le considérer comme simple d'esprit à cause de ses difficultés de langage. Il ferait une bonne recrue, aussi. Quant aux deux gamins... c'était une autre paire de manches. Il fallait en priorité leur enseigner la discrétion... plutôt que le combat. De toute façon ils étaient déjà capable d'égorger des porcelets à eux tout seuls. Suivant du regard les dernières gesticulations de Maledic qui tentait visiblement de retirer à leur pauvre pâquerette la moindre de ses possessions, il tira sur sa pipe, puis reporta son attention sur la petite.

Lili. Ton bras ?

On peut être un gros méchant et s'enquérir de la santé des mômes du clan. Si si. Et puisqu' Amalio était médecin, il était constamment tiraillé entre son caractère brutal et froid, et la nécessaire attention qu'il se devait de porter à chacun. Lili avait eu le bras cassé quelques semaines plus tôt, au cours d'un épisode des plus romanesques, durant lequel Amalio avait du descendre la chercher au fond d'un puits pour la ramener au campement et la soigner. Pas toujours facile d'être à la fois brave sauveur de gamines et impitoyable grand vilain. M'enfin. L'air neutre affiché la plupart du temps par l'italien permettait d'atténuer l'écart entre ces deux configurations.

Allez, on s'casse. Retour sous les arbres. Maledic ! ...

Ta gueule.
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Selena_d_alaric
"Quand même sympa c'te p'tite virée non?
Qu'est c'que t'en penses Tam?
Tranquille et tout et tout.....ça fait du bien tiens!!!"


Contente la rouquine,les derniers pigeons reçus lui faisaient savoir que les chemins semblaient tranquilles par ici et ça faisait deux soirs qu'ils passaient des soirées vraiment chouettes avec lapins grillés aux herbes que tout le monde adorait.
La première fois que Espoir avait ramassé ses proies elle avait fait un peu la grimace disant que c'était trop sec .....Que le lapin..Boff bofff....
Le mari de Séléna quant à lui était encore reparti dans son délire de lapin enragé.....Que c'était des animaux dangereux.....Que ça attaquait sournoisement.....Que ..Eurk il en mangerait pour rien au monde....
Que les chats étaient bien plus goûteux.....

Bref ...l'était habituée à l'entendre sur le sujet...

N'empêche lorsqu'elle avait frotté la bestiole avec les herbes qu'elle avait ramassé en route trois jours avant et qu'elle avait fourré un gros bout de lard dans son ventre avant de le refermer avec des petits bouts de bois taillés en pointe......
Alors là!!!
Personne disait plus que le lapin Eurk!!!!!

Arrosé du sempiternel Armagnac que la "patronne" trimballait toujours,ça avait été de sacrées soirées!!

Ils espéraient bien remettre ça ce soir et hataient le pas pour se trouver un coin tranquille ,le chemin qu'ils suivaient depuis leur dernière halte semblait se rétrécir et la nuit tombant doucement ils commençaient à moins repérer les alentours.

Les autres étaient partis devant,son époux avait émis l'idée d'aller jusqu'en ville mais la rouquine se prenait au jeu des campements qui lui rappelaient "le bon temps" et Tamarra était bien comme elle quand il s'agissait d'oublier la vie de tous les jours...
C'était presque des vacances quoi.....

Zelf avançait silencieusement.
Le mercenaire n'était pas bavard....Normal.
Séléna n'avait jamais rencontré de mercenaire bavard...Ces deux mots là n'allaient pas ensemble apparemment.
Capuche baissée,il avançait...S'arrêtait...Mangeait.....Dormait.....Repartait...Toujours aussi taciturne et muet.

A peine si le fameux Armagnac déliait parfois sa langue....Mais si brièvement qu'après coup on se demandait toujours si il avait vraiment parlé ou si on avait eu la berlue.

Restait Saziri....
La médicastre qu'était Séléna restait pertpétuellement inquiète en la regardant.
Elle était d'une faiblesse préoccupante malgré qu'elle fasse tout pour le cacher.
Depuis que sa Criquette avait décidé de retourner au village ,elle semblait tristounette en plus et ne valait guère mieux côté conversation que le seul homme du groupe.

Heureusement qu'il y avait Tam et son éternelle bonne humeur...

"Va falloir s'arrêter ..On n'y voit plus assez clair...."

Séléna écarquilla les yeux pour tenter de repérer le second groupe qui les avait bien devancé....
Merdasse......On les voyait plus.....
Tant pis y'allait falloir se décider et trouver un coin possible avant que la nuit soit complètement tombée.

Séléna avait toujours été la meneuse dont tout le monde ou presque acceptait les décisions,d'abord parce qu'elles étaient souvent de bonnes décisions...
Ensuite parce que de toutes façons si elle avait décidé quelque chose valait mieux pas lui dire le contraire..

Seul son cher et tendre tentait le coup de temps en temps ,mais ça lui réussissait tellement peu qu'il préférait souvent s'écraser même si c'était avec force jurons et malédictions qui pouvaient aussi bien menacer ceux qui avaient le malheur d'être là à ce moment là...Les chats ....Qu'il détestait...Les lapins ...Dont il avait peur (je vous l'ai déjà dit^^)....Ces abrutis de nobles.....Ces idiots congénitaux de Rome.....
Ces crevures de politiques....

Mais jamais sa fureur rousse...Sa cassonade.....Sa divine femme.....

"T'as pas entendu quelque chose?"
Nez froncé et sourcil levé........Y'a eu un drôle de bruit pas loin.....

Réflexe plus qu'autre chose ,la spadassine sort légèrement son épée en scrutant le noir absolu des taillis alentours.

"Bon on s'arrête....
C'te p'tite clairière semble pas mal......
ZELF!!!!!
Fais l'tour et r'garde si y'a rien qui craint...On s'pose....
Tam? "

Elle a déjà sauté a bas sa monture et passe la longe de Shadow autours d'une branche basse,puis va vérifier dans la charrette comment va Saziri.
Fais suer quoi....Espoir et Bubu sont dans l'autre groupe et ce sont eux qui ont les derniers lapins chopés la veille....

Pfff va falloir se contenter des restes de charcutaille.......

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Lililith
Oh ouais ! 'Zam avait accepté ! Attentive, elle l'écouta, acquiesça, et partit jouer.
Puis ce fut le temps de choper la première pâquerette. Oh ouais, trop bien !
Elle s'était campée à côté d'Arthor et garda son sérieux alors qu'il parlait. Ben ouais, que voulez-vous. Elle, quand elle était plus jeune -bon d'accord, un an ou deux-, elle parlait pas bien du tout. (La faute à sa Maman, la vraie, qu'avait pas eu le temps de lui apprendre.) Et ben, personne s'était foutu d'elle (valait mieux pour eux.). Donc elle voyait pas pourquoi elle se serait moquée d'Arthor. Elle serrait bien fort la dague si gentiment donnée par Nizam (ben quoi, il avait pas dit qu'elle s'appelait « retour », hein !)
Elle regarda Maledic fouiller.


- Héééé ! T'm'en laisses un peu, hein ?!

Puis, pour être quand même sûre, elle lui piqua une poignée d'écus.
Elle était contente et Ama' ordonna le repli de la troupe. Elle trottina à sa hauteur et lui assura que ça allait. D'ailleurs, elle tenait toujours la dague dans sa senestre, qu'elle lui montra. Elle était « bien bien contente de pas avoir dû se battre parce que sinon ça aurait pas été de la tarte. », selon elle.

Plus tard, elle colla un taquet à Mal'.


- J'sais bien qu'c'était pas une vraie pâqu'rette. J'suis pas débile.

Non mais et puis quoi encore ?

Un peu plus tard encore, elle partit faire pipi, et s'éloigna de l'endroit où se trouvait son groupe. Ama' lui recommanda de pas se perdre sinon ça allait barder. Elle acquiesça et fila sous les arbres. Crac. Merdouille, la branche ! Elle fit sa petite affaire et se redressa lentement en plissant son nez. Y'avait pas eu un drôle de bruit pas loin ?
Le plus silencieusement possible, elle revint en trottant (fidèle à son habitude) près des Corleone & cie, pour murmurer :


- J'crois qu'y'a des gens, là-bas...

Et de tendre le bras (le droit, elle avait oublié) dans la direction en grimaçant.

Saleté de chat. Y'avait pas intérêt à ce qu'elle doive se battre. Si ça foirait, ce soir, il y aurait du ragoût de félin à bouffer.

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Tamarra
—oui, c’est assez calme, l’endroit, mais l’heure qu’il est sur tout, ça m’a tellement manqué ces chevauchées nocturnes …

Ha ça oui ! Manqué comme jamais, encore que je préférais voyager seul, mais il valait mieux être en bonne compagnie, et quelle meilleur compagnie que celle de la rousse, bien sur Criquette me manquait, a moi et a Saziri semblait il, d’avantage a Saziri d’ailleurs …
Mais voila que la rousse proposait de s’arrêter ! enfin, je n’aurais pu être contre un peu de repos, j’attachais snow tout pres de de shadow, dans l’idée, un peu risible, que les deux chevaux papotent entre eux, oui oui c’était risible, je l’avais préciser, mais entre ce Zelf qui ouvrait rarement la bouche et Sazi qui déprimait, nos soirées s’étaient révélé bien calme, heureusement j’avais Séléna et plus important encore, sa fiole d’armagnac ! D’ailleurs j’en aurais bien pris une lampée ou deux.
— Hain ? non rien entendu … si non la vie nocturne qui reprend ses droits, sur moi aussi d’ailleurs, je fatigue !

Sortant quelques carottes de mon sac de voyage, j’offris une a ma jument et tendis l’autre a shadow, flattant leurs crinières aux couleurs inversé, rien ne me détendais davantage que la compagnie d’animaux, je leur parlais l’air enjoué, ravie de faire enfin une pause.

—Séléna, il te resterait un peu de ta fiole magique ? c’est que j’ai … heu, renverser la mienne en chemin.
Oui oui, renverser, un accident, dans ma bouche, tres bien visé oui, mais elle avait pas a le savoir hein ? et puis comment résister un ce si jolie sourire que j’affichais en posant ma question ?[/b]
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Arthor
Arthor jouait avec sa bague à sa main gauche. La tournant autour de son doigt, l’enlevant puis la remettant, il passait le temps comme il le pouvait. Quand Amalio lui avait dit qu’il serait le premier à essayer de jouer au grand méchant, il avait été content, mais surtout anxieux. La bonne vieille recette qui ne change pas bien sûr. Il n’attendait plus qu’une seule chose, pouvoir enfin faire ses preuves, et montrer à tous qu’il n’était pas qu’un mec au parlé bizarre. Le barbu s’était même trouvé une pierre où poser ses fesses pour reposer ses jambes durant l’attente. Silencieusement il réfléchissait à la meilleure méthode pour réussir son coup, et éviter de mettre à la honte à tout le groupe.

Continuant à tripoter sa bague, il attendait, patiemment, qu’une nouvelle fleur se présente à eux. Le regard plongé dans le sol comme si un détail avait été doué d’un soudain intérêt, plusieurs stratégies se faisaient jour dans son esprit. Et puis finalement, il était venu le temps de l’action – ou des rires et des chants, c’est selon. Plus questions de douter, ou d’être un faible parmi les forts, parmi les Corleone. Le barbu se redressa comme jamais et, épée à la main, il déboula le talus pour se retrouver là où provenaient les voix. Il essayait de faire comme Amalio, et il ne se le cachait pas. Il déboula ainsi au milieu d’un campement de fortune, et faisant rapidement le tour, il compta 4 personnes. Mince, il n’avait pas assez de main pour mettre des pains à tout le monde.


Ptssss Amalio, j’ai pas assez de mains.

Ha ben oui, il fallait bien tenir le chef au courant, d’autant que la situation était différente que précédemment. Empoignant fermement le pommeau de son épée, il ne savait pas trop quoi dire, ni trop quoi faire. Vite, il fallait improviser pour éviter que les quatre personnages ne se jettent sur lui.

Euh hum, ceci est un contrôle de cueillette par la brigade de répression des cueillages abusifs. Veuillez présenter tiges et autres pétales, et plus vite que ça.


Autant rester dans le thème, non ? Il lui fallait juste gagner un peu de temps pour que le reste du groupe puisse arriver. Une sorte de diversion si vous préférez, en attendant que la meute ne se poste à des endroits stratégiques. Autrement dit, Arthor faisait le clown pendant que les autres ne fassent tout le boulot.
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Quand Arthor parle en Oc, la traduction n'est QUE pour le joueur ! Jouer donc sur la phonétique, ou sur l'ignorance totale ... ou pas
Amalio
Jd Arthor, tu me feras mourir de rire à chaque post...


Pas assez de mains pour un seul homme, ça, c'était certain. L'attente du groupe Corleone n'avait pas été bien longue avant qu'un groupe de quatre voyageurs fasse son apparition. Couché dans les fourrés, à plat ventre et la dague déjà sortie du fourreau, Amalio guettait à côté de Nizam la "prise de contact" du barbu. Ils n'étaient qu'à une dizaine de pas du groupe et deux des voyageurs s'occupaient de leurs montures en bavardant entre eux. Arthor venait tout juste de se rendre compte qu'il risquait de se trouver débordé si les gentils se mettaient à devenir méchants, et Amalio ne laissa pas davantage l'occasion s'installer. Il se leva d'un bond :

Andiamo ! *
    En avant !


Et en quelques pas rapides sur ses grandes jambes, il rejoignit le montagnard. Les voyageurs n'avaient pas encore allumé leur feu et il était difficile de voir leur réaction, ni même s'ils portaient des armes. Seule la chiche lueur de la lune leur permettait de distinguer hommes, chevaux et bagages. Deux femmes se tenaient près des montures. Les deux autres voyageurs étaient hors de sa vue pour le moment. Il ne fallut pas plus d'un instant au grand italien pour en attraper une par un bras et la coller dos à lui, lame du couteau sous la gorge :

Salut signorina... T'aurais pas quelques écus pour moi ?

D'un bref coup d'oeil, il vérifia les positions de ses ouailles par rapport à celles de leurs nouvelles pâquerettes. Le fil du poignard appuya légèrement contre la gorge de la femme :

Tu m'excuseras, hein... J'ai des gosses à nourrir... Surtout le barbu, là, il bouffe comme quatre.

Blonde, brune, rousse, qu'importe... La nuit, tous les chats sont gris.
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Selena_d_alaric
"—Séléna, il te resterait un peu de ta fiole magique ? "

Sacrée Tam elle perdait pas le nord celle là!!
De toutes façons elle savait bien à qui elle s'adressait!
Jamais la rouquine n'était en manque d'Armagnac et elle fafouilla dans sa besace pour lui sortir sa gourde qu'elle soulagea d'une bonne lampée avant de lui filer:
"Tiens!!!j'sais pas si tu mérites mais bon"

Eclat de rire et bavardages en attachant les chevaux que son ami gâta de quelque carottes sorties d'on ne sait où...
.
L'obscurité était vraiment épaisse à présent et si ils voulaient avoir la moindre chance de faire un feu il allait falloir se bouger un peu.
"Quand même.......Les autres auraient pu nous attendre ......Tu crois qu'ils s'inquiètent de savoir si tout va bien?????
Pffff j'te jure.......J'pense que Fab voulait s'payer une bonne auberge oui...L'a trouvé l'truc...En nous semant....
Pourtant c'est bien nos feux de camp...J'comprends pas qu'il soit dev'nu si pantouflard....
L'est beau le guerrier tiens!!
Et Bub' qui d'vient pareil qu'elle m'a dit Espoir....Les hommes...Rhaaaa..."


Coup d'oeil en coin pour voir si Zelf ne traine pas dans le coin...Sûr qu'il aimerait pas son analyse de la maturité masculine..

"Euh hum, ceci est un contrôle de cueillette par la brigade de répression des cueillages abusifs. Veuillez présenter tiges et autres pétales, et plus vite que ça."

Punaise ..Il sort d'où çui là??
La gourde manque tomber par terre tant Séléna est surprise.
Une espèce d'individu hirsute est là devant elles et elles n'ont rien vu venir..
Rien entendu non plus d'ailleurs..

Mais d'où sort il et qu'est ce qu'il raconte?
Contrôle de cueillette?
Répression des cueillettes abusives?
Un fou?

Rien de plus dangereux qu'un fou surtout si on le contredit tout le monde sait ça.....
Première chose que la rouquine ne pouvait louper c'est l'épée que le rustre tenait en main...

Contrôle ....Mon oeil....
De suite sur le qui vive et tous ses sens en alerte la d'Alaric sentit ses cheveux se dresser sur sa nuque et elle posa la main gauche sur le bras de Tam pour lui intimer de rester calme.

"Bonsoir.....Hum...Messire.....Contrôle.....Mais bien sûr.....
Sauf qu'on cueille point.....
Rangez donc vot........"


Pas le temps de terminer sa phrase qu'un second brigand...Car là elle ne pouvait plus se raconter d'histoires c'était bien une attaque et restait à savoir combien allaient débouler à la suite de ces deux là....
Un second donc sort de l'obscurité et se jette sur elle ,lui attrapant le bras violemment et la maintenant contre lui ,elle sent le froid d'une lame approcher sa gorge alors que l'odeur de l'homme envahit ses narines.

"Salut signorina... T'aurais pas quelques écus pour moi ?"

Eurk......Sueur acre et c'est pas seulement la saleté qui lui donne ce fumet....
En une seconde l'association se fait......Sueur.....Acide.....Maladie.....
....Fièvre.......Cet homme est malade.....
La médicastre en est sûre ......

Il n'empêche ..Le réflexe de la guerrière efface celui de la cathare compatissante.....Quand ta vie est en jeu,tu cherches pas plus loin...

Le reste du discours elle ne l'entend que dans une sorte de brouillard car ,dents serrées et raidie contre le corps qui la maintient,la rouquine n'est plus que sens en alerte et ce n'est déjà plus elle qui commande,mais ce corps rompu aux combats et entraîné mille et une fois au plus profond de la forteresse.

Son bras gauche bloqué par son agresseur,elle glisse sa main droite le long de sa taille et saisit la dague que lui a offert Mathieus avant leur départ.
Sans penser au geste de l'individu qui pourrait lui trancher la gorge par simple réaction,elle affirme la prise sur son arme et replie le coude en plantant la lame effilée là où elle peut,à l'aveuglette,derrière elle....

Le juron de l'homme lui confirme qu'elle l'a touché...
TAAAMMMM!!!!
GARDE TOI!!!!! ZELF!!!!!!! A MOI!!!!!

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Amalio
AAAaarhh !!! CAGNA *!!
    *garce

Amalio se plia en deux en sentant une lame se planter dans sa cuisse droite, ouvrant malgré lui le passage entre la gorge de la femme et son propre couteau, le bras soudain moins fort et tous ses sens exacerbés concentré sur la douleur qui lui perforait le haut de la jambe. Le muscle qui se contracta à l'instant même où, tandis qu'il appuyait le pied par terre pour rétablir son équilibre, elle retirait le poignard, lui provoqua une telle douleur qu'il vit un voile passer devant ses yeux. Il trébucha vers l'arrière, contre le cheval qu'il heurta du dos avant de rétablir son équilibre en accrochant la selle. La rage l'envahit et il rugit :

NIZAM ! ARTHOR ! Tuez-moi tout ça !

Malgré l'obscurité, il devinait l'épanchement de sang qui déjà trempait sa jambe, et la douleur ne lui laissait guère de surprise quand au fait que la femme avait planté droit dans la chair. Il lui fallut quelques secondes pour se reprendre et sortir de l'abri provisoire entre les deux chevaux, et oubliant momentanément sa douleur, il se jeta sur une des deux femmes - elle ou l'autre, qu'importait après tout ! - pour lui planter sa dague quelque part en haut du bras. Elles allaient payer ! Sur une jambe ou sur deux, le Corleone était bel et bien réveillé et prêt à tuer...

Mais le petit groupe n'avait pas vraiment prévu de tomber sur des voyageurs capables de leur résister. Il allait falloir qu'Arthor et Nizam soient efficaces... le médecin, lui boitait déjà.

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Nizam
    Ventre sur terre entre ces buissons, Nizam observait ce nouveau bouquet de voyageurs repérés par la gamine. Il distingua les différentes silhouettes, dont au moins une masculine qu'il avait brièvement aperçue. Silencieux, il eut un regard à l'italien proche de lui, étrangement pâle ces derniers temps, Nizam avait un mauvais pressentiment. Les pâquerettes étaient nombreuses, ils n'avaient pas le droit à l'erreur, les mômes faisaient de bonnes diversions mais si les choses empiraient, le blond avait des doutes sur leur capacité à se défendre contre un adulte armé faisant deux fois leur taille. Arthor avait toutefois entamé la cueillette, il n'était plus question de reculer, voyons le bon côté : le Balafré avait jugé leur première prise bien facile, voilà qui contentera peut-être son éternel manque d'affrontements. L'occitan avait besoin de soutien, un sifflement du mercenaire accompagna l'ordre afin d'attirer l'attention des deux mioches, tout le monde devait rappliquer et il n'était pas temps de jouer, ni de se chamailler.
    Main sur le pommeau du messer - sa dague étant depuis hier officiellement "empruntée" par Lili - il suivit l'ombre du trentenaire jusqu'aux femmes faisant face au barbu, Amalio s'occupa de la rousse, lui s'approcha derrière la seconde. L'italien avait déjà agi, et sous-estimé la fleur. Nizam lâcha un juron en voyant le brun finir au sol et beugler leurs noms, tuer était inévitable désormais. Génial.

    Toujours proche et en arrière de ladite Tam, le Balafré la retint par le bras avant qu'elle ne puisse faire un pas vers son amie et laissa son poing violemment s'abattre sur sa tempe. Frapper un tel visage... La senestre agripant désormais sans ménagements les cheveux et la nuque féminine, il dégaina le coutelas allemand et menaça du tranchant la gorge de la jeune femme. Une seule parole fut lancée au montagnard désignant l'autre rousse.


    - Fais-la taire !

    [Edit: ortho/relecture]
Maledic
Ci toi la débile !!

L'amour vache. Maledic maugréait dans son coin. Il avait même pas parlé qu'il avait déjà le droit de se taire. La vie est vraiment trop injuste.

- J'crois qu'y'a des gens, là-bas...

A quoi répondit le morveux en se levant brusquement, pointant du doigt les gens en question :

Y'a des gens !! On peut n'y cueillir ?

Très discret le môme. Arthor, Amalio et Nizam entrèrent en scène. Ne voulant pas rester de côté, lui le plus beau Mal de la famille, il gueula comme un lapin crétin, juste après qu'Amalio se mette à couler le sang.

BAAAAAAAAAH ! Moi y tue tous !!!

Le mini diablotin leur courra dessus tel un taureau enragé. Il fit trois tour autour de leur feu, avant de se rappeler qu'il était censé les tuer. Lance pierre chargé, paré à l'attaque, chef. Ver de terre. Boue. Ver. Caillou. Boue. Brin d'herbe - pas très efficace celui-là. Crotte de nez. Boue. Caillou.

Alors t'y meurs maintinant ?

C'est qu'ils continuaient à rester debout ceux-là. Non mais ça va pas, ils trichent !

03/05/1461 04:13 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de xxx de xxx de xxx et de xxx (coefficient de combat 14), qui essayait de vous résister.

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Mon RP vous plait ? Alors vous attendez quoi pour vous incruster ?
Tamarra
A peine Séléna avait-elle donné l’alerte, ma main cherchait déjà mon épée a tâtons, seul bémol, l’objet en question était accroché a la selle de Snow, et il faisait nuit noir.

Puis un coup qui me fit valser, il faut bien le dire, a terre, lâchant au passage la gourde d’armagnac qui atterrit tout près de moi … ma tête , un mal de tête affreux … ma vision de troubla … quoi faire quand le corps lui-même ne répond plus, une main puissante m’agrippa par les cheveux, puis une lame froide caressa ma gorge, n’ayant méme pas eu le temps de voir mon agresseur, je me retrouvé a genoux, l’esprit brumeux, reprend toi ! … ma pauvre téte … griffant au possible cette main qui tenait l’arme, lachant un léger cris quand il serra d’avantage, j’était perdue …
- Fais-la taire !


Faire taire qui ? ha Selena ! je l’entendait appeler Zelf, rhaa mais il était ou le bougre ! si je pouvais aller le chercher, tâtant a terre a la recherche de quelque arme pour obliger l’homme a me lâcher, ma main n’y trouva que la gourde tombé tantôt, de l’armagnac ! et si … en y repensant, seul moyen pour qu’il lache ma tignasse, aurait été de l’étonnée, j’avais bien solution, étonnante et tirée par les cheveux, c’était le cas de le dire, mais a problème désespéré …
-lachez moi !! lâche !

Lachant le bras du bonhomme d’une main, il fallait bien lui donner l’impression que je me débattais toujours, j’attrapais le gourde et l’ouvris d’une main toujours, merci a mes habitude de poivrote … j’ai dit poivrote, je voulais dire bonne vivant ! … je tournais la téte asse pour rapprocher me bouche de la main tenant l’arme, et le mordis, y mettant toute mes forces, malgré le nuage de brume qui sévissais encore devant mes yeux, etant persuadée qu’il avait a présent la téte tourné vers moi, je balançais en arrière mon second bras, celui tenant la gourde, aspergeant mon assaillant d’armagnac .
-t'a soife gros dure ?

Il m’avait laché, du moins, je ne sentais plus cette pression sur la nuque, la lame sur ma gorge avait laissé un souvenir, une coupure bien nette et douloureuse, je tachais de me relever au plus vite, reprenant mes esprit peu a peu, mon épée il me fallait mon épée ![/i]
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Arthor
La diversion avait semblé être efficace non ? Arthor savait passer pour un gros naze et attirer l’attention par des phrases désormais cultes. Non, ses chevilles se portaient bien merci. Quoiqu’il en soit Amalio ne tarda pas à faire son entrée, mais l’obscurité l’empêchait d’apprécier la scène à sa juste valeur. A vrai dire impossible de distinguer grand-chose avec cette pénombre. D’ailleurs pourquoi on ne brigande pas la journée ? La nuit, il fait froid, on y voit rien, et en plus le barbu n’aime pas ça. Une idée d’amélioration à proposer au matriarche masculin. Pour le reste le montagnard fut sorti de sa réflexion par des cris. Il fallait croire que les choses sérieuses commençaient maintenant. Tous les tuer, ben pourquoi pas.

Zieutant les alentour pour trouver une cible, le jeune Corleone ne jetait sur la seule proie qui se présenta à lui. Il s’agissait de la gueuse qui avait blessé le grand chef, qui plus est. Le montagnard ne se posa pas vraiment de question, et resserra son emprise autour du pommeau de son arme tout en se rapprochant de la femme. Arrivé à bonne distance, il ne put manquer du regard la dague que tenait sa prochaine victime. Un homme, une véritable masse, armé d’une épée de bonne taille, contre une femme, expérimentée ou pas, armée seulement d’une dague. Vos pronostics ? Le barbu ne réfléchit donc pas d’avantage, sachant pertinemment qu’il devait tenir à distance cette combattante à jupette – façon de parler bien sûr.

L’air méchant, comme toujours, il ne put s’empêcher de faire comme le petit monstre, et donc de crier un bon coup. Un « HAAAAA » accompagna donc sa marche, et son premier coup. En gros bourrin qu’il était, il n’était pas fan de la précision, bien que cette fois-ci il tenta seulement de désarmer son adversaire. Un coup d’épée puissant qui vint s’abattre contre la petite dague. Son coup réussi, il se jeta sur sa nouvelle victime pour la pousser violemment, espérant la faire chuter.


Anar, va tu log usas, e tu auràs lo vita.
[Aller, rends toi la gueuse, et t’auras la vie.]

Oui, dès qu’Arthor voulait être intimidant, ou juste sérieux, il reparlait en Oc. Peu lui importait d’être compris, sachant qu’elle allait sans doute finir embrocher.

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Quand Arthor parle en Oc, la traduction n'est QUE pour le joueur ! Jouer donc sur la phonétique, ou sur l'ignorance totale ... ou pas
Nizam
    Coriace. S'il avait réussi à la mettre à genoux, la jeune femme avait trouvé suffisamment de ressource dans ses ongles et ses dents pour martyriser la main du blond. Ainsi donc ils étaient tombés sur des pâquerettes ayant des piquants. Nizam tirait en arrière la chevelure mais la vive morsure le fit lâcher son arme. Le messer tombait à ses pieds, désormais seule restait l'épée bâtarde dans son baudrier qui serait bien maladroite dans ce corps à corps brutal tant qu'il n'aura pas maîtrisé cette créature. Pestant contre la résistance féminine, il voulut à nouveau se saisir d'elle et l'entraîner au sol, mais un jet d'alcool inattendu dans la figure l'en dissuada. Faire jaillir de l'Armagnac de nulle part pouvait être un don, mais là... Ça brûle beurdel ! Ses pauvres yeux, z'allaient être rouges pendant une semaine, minimum ! De quoi il aura l'air avec ses deux yeux d'lézard bigleux sur la face hein ? ... Elle allait payer. La vision trouble, il porta ses mains à son visage pour le débarrasser de ce dégoulinant breuvage, tandis que sa proie esquissait déjà une fuite. Elle commençait sérieusement à l'énerver c'te plante-là.
    Sursaut d'adrénaline, Nizam se précipita sur elle, entourant brusquement sa taille et la plaquant dos à lui pour la faire reculer.


    - R'viens par là ma jolie..

    Le bras gauche pressait ses hanches et veillait à ce qu'elle ne remarque pas la dernière arme du Balafré ballottant à sa ceinture, le droit, lui, se referma sur le cou si délicat de la fleur. Briser ? Étouffer ? Le mercenaire avait assez de force - et d'envie - pour le faire. Sa prise ferme se resserrait de plus en plus, il n'oubliait pas les bienfaits de la strangulation ni la perte de connaissance qui n'allait pas tarder à arriver si cette pâquerette cessait enfin de se débattre.
Tamarra
Un bras m’agrippa à nouveau, me faisant tombé en arrière, puis une main entourant ma gorge et la serrant a m’en étouffer, je me débattit au possible, griffant la main, poussant des coudes, mais l’air commençait a manquer, une chose évidente m’apparut, mourir étranglé, mourir comme Rose …
—Noon! lachez moiii !

Paniquée, je m’agitait sans relâche sans vraiment être consciente de mes gestes, me tortillant pour lui échapper, sentant la pression autours de ma gorge s’amplifier peu à peu, ce ne fut qu’après plusieurs minutes de lutte que j’arrivais enfin a me retourner, a une telle distance de mon agresseur, j’arrivais a voir son visage enfin !, un blond balafré et égratigné, mais il était déjà trop tard, ma vision se troublait déjà a cause du manque d’air, avant qu’une faiblesse ne me prenne, je le giflais, y mettant toute mes derniers forces, avant de sombrer, suffocant.
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