[rp pour tous] La forét de Poitou

Un beau matin, Jeustin Bibore se promener dans la forét. Il avait revétut son armure et ses muscles luisait sous le soleil.
Son étalon qui s'appelait flame piafaient d'impascience car l'envie de galloper le démangait. Il était rester longtemps dans les tables et c'est tout fier qu'il caracaulait dans la nature.

ooooh... doux ! fier Flame. Pas si vite on se promene. dit Jeustin d'une voie calme.

Le chevalier serrer les jambes autour du pelage de l'étalon mais il étais nerveux. Pour le calmé, il entra dans une clairière rempli de fourré. Les oiseaux chantait dans le ciel. L'étalon sembler se calmé quand tout a cou, un lapin fonsa sur lui pour l'attaqué. Sortant ces grifes Flame énit à qui mieumiieux et Jeustin bascula en arrière dans les fourré.

ouch ! ça fait mal dit Jeustin en se frottant les fessards. Il regarda tout autourt pour voir si quelqun l'avaient vu.

Ouch ! ça fait mal !

La châtaigne en pleine cueillette des premières plantes sorties de terre se redressa en sursautant de derrière un tas de fougères. Un garçon venait d'atterrir presque sur ses pieds. Elle avait bien entendu un cheval hennir non loin, mais sans s'en intéresser plus que ça.

Qu'est ce que tu fabriques ?

Poings sur les hanches, Apoline regardait le blondinet en dodelinant de la tête.

Tu as écrasé tout ma récolte de plantes !

Un peu fâchée sur le coup, Apoline se ravisa.

Tu t'es fait mal ?

les grands yeux bleus de la jeune fille fixait le piètre cavalier, qui semblait bien sonné.

Jeustin regarder la fille qui l'agréssait. Sa tête lui tournait du choque de la chute pendant que son belle étalon partait à toute vitesse derrière le lapin éfrayer.

Hééé ! Flaaaaaaaame sifla t il Tuiiit Tuiiiit ! Reviens !

Le cheval été obissant et revenait vers son maitre en baissant les oreille.

Je m'appelle Jeustine Bidore dame. Et vous vous êtes qui ? Je suis un chevalier.

Le chevalier regardez la jeune fille qui lui semblez bien jeune pour etre dans les fourés à cet heure, toute seule.
Le soleil du soir éclérais le cheval faisant luir ses couleurs chatoillante. La dame aussi.
Il été bien étonné de voire une si belle dame

ET non j'ai pas mal. Mon armure me protége. Heureusement que je suis pas tomber sur mon épée elle m'aurez transpercez le vantre.

Un petit sourire espiègle se figea sur les lèvres carmines de la châtaigne quand elle vit le cheval revenir.

Il est beau !

Elle tendit la main vers le chevalier pour l'aider à se relever.

Et que fait un chevalier ici ? je m'appelle Apoline ! je cueillais des plantes.

La jeune fille regardait autour d'elle, elle ne savait plus bien si il faisait jour ou presque nuit. Peut-être était il temps de rentrer.

Mais ton armure n'est pas solide si une épée peut la transpercer. heureusement que tout va bien alors !

Elle lui sourit en l'aidant à se mettre debout.

Je crois qu'il est l'heure que je rentre. Vous êtes de quel village ? Moi de Poitiers.

[/b]

Il est beau !

La voix de la jeune fille résoné comme un douce mailodie aux oreilles de Jeustin. Elle avait une voix de fée et comme elle sortez des buissons c'était peut être un créatture d'Achristote. Sans doute si Jeustin avait été le curé de la ville il aurait su la reconaitre mais la, il tentez de scrupter ses yeux pour voir si elle été bien réelle.
Il allez pour la pincé lorsqu'elle le pris par le bras pour l'aidez à se relever. SA main étais comme un plume, signe qu'elle devait etre un ange de la création. Sa bouche elle été carmine, d'une belle couleur rose qui fesait réver. Comme un pétal de fleur sur l'herbe d'un jardin.

Jeustin été imprecionné et Flame lui été content. Il souriez de toutes ses dent et se fesais caliné par la fille.

S'est un beau prénom Apoline, ma cousine s'appele comme ça et ma grand mère aussi mais elle est morte. Un loup l'a mangé alors qu'elle cueillait des oeufs à Paques. c'été une vraie boucherie, il avait laissé que les boillots.

Sinon, oui je suis de Poitiers mais je voyage beaucoup à cause de la guerre.
J'été à Saumur là et je me battez avec les anjouvins. J'en ai tué plein.

Héé vous allez pas rentrer si vite ! Je viens à paine d'arrivé et mon fier étalon vous aime bien.

Elle en avé des formes la gueuse, volutueuses a souete ! An se promenen dans la foret elle le vit le bel homme. Il été tout ce qu'elle desiré. Bô comme un dieu qu'on auré pu lui dire grec.

Ses yeux lancere des eclaires sur la femme qui se collé a lui

Corne de bouc, il été sien. Ors de question de laché son Biberon favori. Cé qu'il été bien monté le bougre. Rien a anvié a son FlaMe.

Ni une ni deux, voilà, la Vietrolée toute grife dehor.

Z'allez laissé mon hommevous ? Cé mon pur sang ! Un vrai de vrai avec des boules à vous faire palir le plus beau sapin de noelle !

Tu es à mouah .....ton gros viet reste à moi ! Je veu te sentir encore me chevauché jusqu'à ce que la ptite mort nous enporte !

Qui s'est quetes vous donc ? Voleuse et briseusse de coeur! Voyé pas que vous pouvé pas t'nir la distance ?

Quen il me chevauche il cravache dur ! J'aime sentir son gros gourdin ! Parté avant que je vous arache les tifs !

Quen a toi scelerat tu a interé a vite me fère oublié cette vilaine fille !

Regard antendu a son dou.

OOOH !!! MAIS QUELLE SURPRISE !

Jeustine été tout à la contempalpation d'Apoline quand Vietrolee arriva en cavalant. Ou plutot en roulant ça aurez été plus juste.

il sentez déjà la sueur lui coulé le long de les chines à l'idée d'un punition de sa fiancée "oficielle"... Il avais peur d'elle depuis que le duc du Poitou lui avez présenter en lui disant

Jeustine, il faut etre courageux, un chevalier ne faiblit pas, même sous un quintal... ce sera ton défit comme ceux de la table ronde.

aaah... mais non mais non ... la dame là elle ne fait rien du tout avec moi.... Elle m'aide juste à me relevé des fouré.

Jeustin regardez les buissons de jénévriet qui était tout écraser par la grosse Vietrolee....
Il se dit que ça avez assez duré, etre un chevalier c'est pas sa.

Aidez moi à fuir de cette monstresse... damoiselle Apoline pitié... c'est pas une vie de mourir si jeune....

[SNIP]

OH non non....!! son chéwi d'amoure la regardé pa.

Elle tené dans sa min un mesage d'amoure quelle lui fourga dans la sienne.

Poure toi.....je ne veu pas te perdre. Mon biberon a moi !

Laissé le je voue en pri !! Voyé bien qu'il ait perdu !


Dessin



Edit Calamity_Jane pour image hors normes mise en lien.

[ A chacun sa version...]

Oui mais je dois rentrer !

Dit-elle en l'aidant à le relever. Et avant qu'elle ait pu faire un pas, elle sentit le sol trembler et une voix affreuse se fit entendre.
La petite Châtaigne tourna la tête vers... oh la vache ! .. euh non plutôt... C'était quoi ça ?! Le langage que tenait cette femme était peu cohérent et Apoline, loin de de se sauver, attrapa les rênes du cheval et les tendit tout sourire à la femme.

Voilà votre pur sang ! Chevauchez bien au centre surtout, un déséquilibre est si vite arrivé.

Puis sourit au "chevalier" "heyy pssst, c'est vous le chevalier, pas moi ! "

L'abbé Tayère se promenait en réfléchissant à la création du monde lorsque une agitation attira son attention.
Une scène des plus cocasses se déroulait sous ses yeux. Un jeune homme, visiblement un peu sonné se faisait houspiller par une mégère cougar. S'approchant discrètement il s'aperçut que le sire était en réalité en train de tenter de séduire sa.... bonne ! Apoline ! La bougresse ! Lui qui la pensait portée uniquement vers la parole divine, il fut stupéfait.

Se cachant derrière un arbre pour voir la suite il constata également qu'un lapin tentait de lutiner un cheval.

Par tous les saints ! Où suis je tombé ?

Oui mais je dois rentrer !

Le sang de Jeustin ne fais qu'un tour. La moche et vilaine Vietrolee lui tent un parchemain tout grifoné comme un enfant de 5 ans et plaint de faute en plus !

Pouah ! Quelle horreure pense t il dans sa tête. Il faut absolumant que je me débarasse de cette harpic !

En plus il voyez bien que Apoline elle avez peur. il s'aprochat d'elle et lui murmurat doucement en chuchotant d'une voie douce sans qu'on l'entande trop.

Apoline... tu est belle comme un soleille et mon coeur il est à toi depuis que je t'es vu. T'ocupe pas de la mocheter, on va partire loin tout les deux avec Flame mon étalon beige.

[SNIP]

Ne rentre pas, d'ailleure le jour se lève à paine et mon cheval et fatiguée de jouez avec les lapins. Tu a bien fais de le refiler à la Vietrolee bien jouet !

- mmm.. c'est bon ça.. pis ça aussi c'est bon..

Kaputsein , mais on ne dira pas pourquoi, savourait du bout des doigts les petits fruits rouges chopés à droite à gauche quand des voix agitées le tirèrent de sa grande méditation sur les ongles incarnés.
Le nez plissé il s'exclama.

- Gnaaaa! Qu'est ce qu'ils foutent tous dans ma forêt?!!

Sautant de branche en branche le capucin se rapprocha du brouhaha pour constater l'étendue des dégâts. Stupides humains qui polluaient son atmosphère !
Que neni, n'était pas capucin vaillant si Kaputsein n'intervenait pas.
D'abord il sauta sur le derrière d'un curé caché, puis rebondit dans les fourrés et atterrit sur les reins d'un cheval, ceux ci étant occupés par un lapin.

- T'es qui toi hein hein? Un lapin ou une lapine ?

Et pendant que grandes oreilles réfléchissait à la question , le singe lui fit un O- soto-gari, l'envoyant valser dans les fourrés.
Le cheval était à lui enfin! Il lui enfonça profondément le doigt dans l'oreille, le regard tourné vers le ciel dans un signe d'extase, et récolta le précieux miel qu'il goba aussitôt.
Kaputsein serait bien resté à parler de bout de gras ou bien même cérumen avec le cheval ,mais il se figea soudain, en proie à des tremblements tant ce qu'il aperçut soudain le subjuguait.
Les deux billes fixaient Jeustin presque dans un élan d'amour, la petite patte tremblante élevant religieusement un index fripé.

- Haaaa! Tu es là... si près... mon... mon précieeeeeuuuuuuux.

A quelques lianes seulement..., encore fallait-il les trouver... se tenait là, la chose la plus adorable qui lui ait été donné de voir. Ce pourquoi il était né, il en était persuadé. Le but de sa vie de singe...
En quelques bonds, tel un preux chevalier porté par sa quête du Graal qui voyait là l'ultime chemin le menant à sa conquête, Kaputsein sauta sur le morveux,
nouant ses petites gambettes serrées autour du cou gracile, il touchait enfin au but.
Son précieux était là, sur la joue rebondie du jouvenceau.

- Mon bouton d' Acné!!!

Jubilation extrême du capucin en pressant ses petits doigt fourchus autour du petit monticule rouge, surmonté d'une goutte laiteuse qui ne demandait qu'à exploser.

- AAAAAAH ouiiii... viens à moi mon précieuuuuuuuux...

Elle se promenait tranquille dans la forêt en contemplant les fleurs et faisant des bouquets. C’était sa passion : faire des bouquets de fleurs. C’est joli, ça sent bon, ça fait plaisir quand on offre. Et puis quelle symbolique ! Celle de la vie : la fleur grandit, fleurit et fane.

Elles fanent… Pattie ressemblait à une fleur fanée lorsqu’elle entendit du bruit et vit le curé en train d’espionner des personnes qui parlaient fort. D’ailleurs ces curés, ils prônent la bonne attitude et ce sont les premiers à être à l’affût des potins pour mettre le bazar et faire de remontrances.

Pattie s’approcha et vit le jeune chevalier… Elle le reconnaissait… Elle cherchait dans sa tête d’attardée… Oui Pattie était un peu retardée comme femme. Bête sur les bords, un courant d’air passant entre ses oreilles. Tout à coup, elle le va le doigt et hurla :

« Jeustiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine mon bébéééééééééé !!!! »

Elle se rua vers le petit chevalier qui était en train de se relever et fit retoucher ses fesses par terre à cause de l’élan.

« Comme on se retrouve !! Mon enfant chériiiii. Viens dans mes bras » dit-elle en poussant la jeunette et la grognasse de 300 livres. « C’est qui ce gros thon qui te fait des dessins ? Et cette petite-là, c’est ta fiancée ? C’est de celle-ci dont toute la forêt parle ?? Bon le singe... je te le laisse en pin's»

L’attardée, comme on l’appelait, venait de retrouver son fils ! Elle ne l’avait pas vu depuis bien longtemps, enlevé à la naissance parce qu’elle était trop bête pour s’occuper d’un enfant. Elle lui caressait les cheveux comme elle caresserait un chien… Aucune différence entre l’un et l’autre pour elle.

Elle observait les gens autour. « Qu’est-ce qu’elle est grosse cette dame… Fiou, et puis qu’est-ce qu’elle pue !! C’est une horreur » se disait-elle dans sa tête sans se rendre compte qu’elle parlait à haute voix.

Ah oui mais non non. Apoline n'avait dans le coeur que le Très-Haut et l'Abbé Tayere, qu'elle servait avec plaisir. Et puis, elle était bien traitée, que demander de plus ! d'ailleurs, si il la voyait là...

si si.. il faut que je rentre ! enfin d'abord que je recommence ma cueillette de plantes.

Et ahurie, elle regarda surgir de nulle part, la chose la plus improbable qu'il soit : un Capucin. triturant de ses doigts la joue de Jeustin. Avec prudence, elle recula, laissant la Vietrolee aux prises avec les rênes du cheval lui même aux prises avec le lapin, et Jeustin aux prises avec le capucin.. lui même aux prises avec la joue !
pfiou.. ça devenait compliqué, il était vraiment temps de partir, avant que l'Abbé ne s'inquiète vraiment. Mais non ! ça aurait été encore trop simple !

Un pas en arrière, deux... trois et ... VLAM ! la voilà les fesses par terre, poussée par une fanatique qui hurlait après son "bébé" ... ?

Heeeyyyy !

Il fallut peu de temps pour comprendre qu'il s'agissait de la "môman". Regard torve vers la dondon qui menaçait de tomber et pas forcément du bon côté !

Levant les yeux au ciel une seconde, elle émit une prière rapide et silencieuse, afin qu'elle se réveille de cet étrange rêve.