[rp pour tous] La forét de Poitou

Ouch ! ça fait mal !

La châtaigne en pleine cueillette des premières plantes sorties de terre se redressa en sursautant de derrière un tas de fougères. Un garçon venait d'atterrir presque sur ses pieds. Elle avait bien entendu un cheval hennir non loin, mais sans s'en intéresser plus que ça.

Qu'est ce que tu fabriques ?

Poings sur les hanches, Apoline regardait le blondinet en dodelinant de la tête.

Tu as écrasé tout ma récolte de plantes !

Un peu fâchée sur le coup, Apoline se ravisa.

Tu t'es fait mal ?

les grands yeux bleus de la jeune fille fixait le piètre cavalier, qui semblait bien sonné.

Un petit sourire espiègle se figea sur les lèvres carmines de la châtaigne quand elle vit le cheval revenir.

Il est beau !

Elle tendit la main vers le chevalier pour l'aider à se relever.

Et que fait un chevalier ici ? je m'appelle Apoline ! je cueillais des plantes.

La jeune fille regardait autour d'elle, elle ne savait plus bien si il faisait jour ou presque nuit. Peut-être était il temps de rentrer.

Mais ton armure n'est pas solide si une épée peut la transpercer. heureusement que tout va bien alors !

Elle lui sourit en l'aidant à se mettre debout.

Je crois qu'il est l'heure que je rentre. Vous êtes de quel village ? Moi de Poitiers.

[/b]

Elle en avé des formes la gueuse, volutueuses a souete ! An se promenen dans la foret elle le vit le bel homme. Il été tout ce qu'elle desiré. Bô comme un dieu qu'on auré pu lui dire grec.

Ses yeux lancere des eclaires sur la femme qui se collé a lui

Corne de bouc, il été sien. Ors de question de laché son Biberon favori. Cé qu'il été bien monté le bougre. Rien a anvié a son FlaMe.

Ni une ni deux, voilà, la Vietrolée toute grife dehor.

Z'allez laissé mon hommevous ? Cé mon pur sang ! Un vrai de vrai avec des boules à vous faire palir le plus beau sapin de noelle !

Tu es à mouah .....ton gros viet reste à moi ! Je veu te sentir encore me chevauché jusqu'à ce que la ptite mort nous enporte !

Qui s'est quetes vous donc ? Voleuse et briseusse de coeur! Voyé pas que vous pouvé pas t'nir la distance ?

Quen il me chevauche il cravache dur ! J'aime sentir son gros gourdin ! Parté avant que je vous arache les tifs !

Quen a toi scelerat tu a interé a vite me fère oublié cette vilaine fille !

Regard antendu a son dou.

OH non non....!! son chéwi d'amoure la regardé pa.

Elle tené dans sa min un mesage d'amoure quelle lui fourga dans la sienne.

Poure toi.....je ne veu pas te perdre. Mon biberon a moi !

Laissé le je voue en pri !! Voyé bien qu'il ait perdu !


Dessin



Edit Calamity_Jane pour image hors normes mise en lien.

Oui mais je dois rentrer !

Dit-elle en l'aidant à le relever. Et avant qu'elle ait pu faire un pas, elle sentit le sol trembler et une voix affreuse se fit entendre.
La petite Châtaigne tourna la tête vers... oh la vache ! .. euh non plutôt... C'était quoi ça ?! Le langage que tenait cette femme était peu cohérent et Apoline, loin de de se sauver, attrapa les rênes du cheval et les tendit tout sourire à la femme.

Voilà votre pur sang ! Chevauchez bien au centre surtout, un déséquilibre est si vite arrivé.

Puis sourit au "chevalier" "heyy pssst, c'est vous le chevalier, pas moi ! "

Oui mais je dois rentrer !

Le sang de Jeustin ne fais qu'un tour. La moche et vilaine Vietrolee lui tent un parchemain tout grifoné comme un enfant de 5 ans et plaint de faute en plus !

Pouah ! Quelle horreure pense t il dans sa tête. Il faut absolumant que je me débarasse de cette harpic !

En plus il voyez bien que Apoline elle avez peur. il s'aprochat d'elle et lui murmurat doucement en chuchotant d'une voie douce sans qu'on l'entande trop.

Apoline... tu est belle comme un soleille et mon coeur il est à toi depuis que je t'es vu. T'ocupe pas de la mocheter, on va partire loin tout les deux avec Flame mon étalon beige.

[SNIP]

Ne rentre pas, d'ailleure le jour se lève à paine et mon cheval et fatiguée de jouez avec les lapins. Tu a bien fais de le refiler à la Vietrolee bien jouet !

Elle se promenait tranquille dans la forêt en contemplant les fleurs et faisant des bouquets. C’était sa passion : faire des bouquets de fleurs. C’est joli, ça sent bon, ça fait plaisir quand on offre. Et puis quelle symbolique ! Celle de la vie : la fleur grandit, fleurit et fane.

Elles fanent… Pattie ressemblait à une fleur fanée lorsqu’elle entendit du bruit et vit le curé en train d’espionner des personnes qui parlaient fort. D’ailleurs ces curés, ils prônent la bonne attitude et ce sont les premiers à être à l’affût des potins pour mettre le bazar et faire de remontrances.

Pattie s’approcha et vit le jeune chevalier… Elle le reconnaissait… Elle cherchait dans sa tête d’attardée… Oui Pattie était un peu retardée comme femme. Bête sur les bords, un courant d’air passant entre ses oreilles. Tout à coup, elle le va le doigt et hurla :

« Jeustiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine mon bébéééééééééé !!!! »

Elle se rua vers le petit chevalier qui était en train de se relever et fit retoucher ses fesses par terre à cause de l’élan.

« Comme on se retrouve !! Mon enfant chériiiii. Viens dans mes bras » dit-elle en poussant la jeunette et la grognasse de 300 livres. « C’est qui ce gros thon qui te fait des dessins ? Et cette petite-là, c’est ta fiancée ? C’est de celle-ci dont toute la forêt parle ?? Bon le singe... je te le laisse en pin's»

L’attardée, comme on l’appelait, venait de retrouver son fils ! Elle ne l’avait pas vu depuis bien longtemps, enlevé à la naissance parce qu’elle était trop bête pour s’occuper d’un enfant. Elle lui caressait les cheveux comme elle caresserait un chien… Aucune différence entre l’un et l’autre pour elle.

Elle observait les gens autour. « Qu’est-ce qu’elle est grosse cette dame… Fiou, et puis qu’est-ce qu’elle pue !! C’est une horreur » se disait-elle dans sa tête sans se rendre compte qu’elle parlait à haute voix.

Non ! non ! nooon ! ça s'est plus possible !

Jeustin se débatait pour faire partir cette bète de son visage. Il voyez aussi qu'Apoline avait prit peur de la grosse Vietrolee.

Quelle sorcière celle là ! Je déteste ce duc qui m'a fais promettre de l'espousailler ! Et voila que ma mère arrive maitenant... !

Il sortis son épée brillante qui s'appele Eskual y Bourg qu'il avait acheté à la frontiaire ibhère dans une échope pleine de gueuzes pas faroutches. Elle été légére comme une plume mais solide comme une pierre sauf qu'elle est aussi tranchente, pas comme une pierre ronde, comme il l'a déjà dis à Apoline.

Jeustine commensa à fer des moulinez avec Eskual y Bourg ce qui fesait du bruit dans l'air de la clairière

Vohouuummm.. Wohoummm...

Sa fait peur aux ennemits crit il a Apoline ! Tu va voir ils vont partir la queu entre les jambes à leur cou !! AAAAAAAAAAhhhhhh !!! Ayez peuuuur !!! Je vais vous trenspersez !!!!!!

Jeustin Bibore cour partous avec son épée pour fer fuir les ennemits qui sont des femmes et un curé. Flame reste imobil et son pelage blanc étinselle et pique les yeux de Jeustin.

(plus tard)

Pattie souriait de toutes ses dents d’avoir retrouvé son Jeustine. C’était son joujou et elle aimait bien s’occuper de lui, enfin lorsqu’on ne lui retirait pas la garde de son fils pour mauvais traitement ou oubli de bébé dans l’eau du lac.

« Mon petit, il va falloir que tu apprennes à mieux faire du poney… D’ailleurs ton poney est super moche !! Qui t’a acheté une horreur pareille ? Il a l’air tout mou… mais il a quand même réussi à te faire tomber » se marre Pattie sans se soucier des répercutions sur le p’tit cœur de Jeustine

Puis elle sentit un courant d’air sur sa figure. Un violent courant d’air avec comme une impression qu’elle allait se prendre quelque chose en pleine face. Elle recula puis vit son fiston faisait des moulinets avec son épée qui soit disant fait peur aux ennemis.

Le petit singe voltigeait dans les airs et se noyait dans le gras de la grosse qui pue. D’ailleurs celle-ci, après avoir fait du gringue à son fils chéri, la voilà qui essayait de chopper du côté d’Aristote alors que lui il essayait de faire revenir sa petite bonne…

« Hé bin, on se refuse rien chez les curetons dites donc, pensa Pattie une fois de plus à haute voix. Vous l’avez dégottée au couvent ? Piquée aux nonnes ? Vous ne vous embêtez pas hein.. J’espère que vous ne faites pas trop de bêtise avec cette petite »

Pattie avait un peu peur de ce singe qui avait finalement réussi à se sortir du piège dans lequel il s’était fourré. Il était sur une branche, pas loin au-dessus d’elle prêt à sauter… Mais à sauter sur quoi ? Ou sur qui ?

Ah mais non ! ah mais non !

pas question de laissez l'Apoline se carapaté avec le curé !

Il allez en faire de la bouilli de ce Tayère.
Jeustine fonsat a travert les jénévriez tranchant les ronces avec Eskual y Bourg qui coupaient comme une lame de razoir. Il se fesais un chemin dans les fouré qui était déja ecrassé par Vietrolee qui été passez devant.


Quelle est grosse, par Acristote ! On direz une boule de nège déguisé en manite faloïde avec ses points sur le body.

Mais l'avantage s'est quelle lui fesais le chemin et que s'été plus facile pour avancé. Il courrez à al vitesse du vent et de la lumière et la dépassat. Mais comme il n'avez pas vu sa mère devant il se cognat à elle et retomba sur ses fessards. L'épée voltigais dans les airs car dans le choque elle lui avez échaper des mains et vient se plantez dans le lapin qu'elle lempale.

Du sang jiclat partout, pistachant Flame, son beau cheval pomelet.

Mamaaan !! Aide mouaaaahhh !!!
J'ai un certifiquas qui prouve que Apoline dois devenir mon épousée et pas Vietrolee !!!

Toi qui connez le duc du poitou donne lui ça et qu'il se la rambarque la Vietrolee. C'est la preuve* que c'est moi qu'elle aime Apoline !!!!! Elle la écris !!!

Ma queue, le bougre de cureton s'était accroché à la prolongation de ma virilité! Trop c'en était trop!
Ni une, ni deux je bascule tout mon poids sur mes pattes avant, crachant le pissenlit que je me faisais pourtant une joie de machouiller et dans un presque réflexe, je balance mes deux sabots arrières dans sa tabatière.

PANNNNN dans sa G.....! Fier de moi, et enfin débarrassé d'un des agités, je regonfle mon poitrail, relève ma tête pour la tenir droit comme I majuscule et j'en profite pour envoyer une petite oeillade à Ka+de'seins qui venait d'opérer un rapprochement stratégique.

Mais, mais... ne voilà t il pas que le curé se retrouve projeté sur la Vitrolée, qui elle même, perd l'équilibre et tombe au ralenti sur la madrée, qui elle même bascule sur le fiston, qui lui même dégringole sur l'Apoline!

Je relève le nez vers le ciel, incrédule, étant bien obligé d'avouer, qu'Aristote existait aussi pour les ferrés. En un coup de sabots je venais de faire: Echec et Mat!

Un large sourire de contentement, dévoilant mes larges dents, vint parachever cette scène. Que de satisfactions!

Ritournelle en tête, je ne pouvais rien faire de plus que chantonner: C'est l'effet papillon...