Feuilllle
Alors en plus elle n'aime pas cette sucrerie de chouchen!Fichtre ça s'annonce mal.
Par contre, la braie de dentelle,... Moui elle est drôlement jolie, bien que ne cachant pas grand chose. Fine et tissé si fin qu'elle est presque transparente, et elle ne tient guère chaud.
Aussi elle se cache sous une grande couverture, qu'elle ferme et tient serré de ses deux mains sous le cou, après avoir revêtu lespèce de ... braie affriolante qui est en plus bien trop grande pour elle.
Remercie poliment d'un sourire forcé :
"- Irmat, et Cul sec!"
Elle grimace au passage dans la gorge du breuvage abhorré, mais l'alcool lui ôte le goût de fiente de coche et ça c'est formidable.
Elle en reprend donc sans rien dire, et une légère ivresse salvatrice l'amène soudain à chanter.
Malheureusement, l'esprit débridé, cela n'a rien d'un cantique, d'un psaume ou d'une antienne!
"- Le cochon a dit à sa cocheuu, rit cocheuu, ricocheuuuu, le cochon a dit à sa coche, rit cocheuuu, la cochonne rit, la cochonerie!"
Puis devant un Barelius médusé, elle continue gaillardement, ricanant stupidement par moment, avec un autre refrain:
"- Le canard a dit à sa caneuuu, rit caneuuuuu, rit caneuuuu, le canard a dit à sa caneuuuu, rit cane, la cane a rit."
Puis après un "Pardonne-moi Très-Haut" des plus fervents, murmuré tout bas, attiédie par les flammes de la cheminée et bien à l'aise, elle se tait, prête à l'endormissement, en remerciant Barelius de ses bons soins.
Vaguement, très loin dans son esprit, elle sait qu'elle ne doit pas sommeiller et que le travail l'attend, mais elle reste assise à regarder l'âtre flamboyer en craquetant.
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Par contre, la braie de dentelle,... Moui elle est drôlement jolie, bien que ne cachant pas grand chose. Fine et tissé si fin qu'elle est presque transparente, et elle ne tient guère chaud.
Aussi elle se cache sous une grande couverture, qu'elle ferme et tient serré de ses deux mains sous le cou, après avoir revêtu lespèce de ... braie affriolante qui est en plus bien trop grande pour elle.
Remercie poliment d'un sourire forcé :
"- Irmat, et Cul sec!"
Elle grimace au passage dans la gorge du breuvage abhorré, mais l'alcool lui ôte le goût de fiente de coche et ça c'est formidable.
Elle en reprend donc sans rien dire, et une légère ivresse salvatrice l'amène soudain à chanter.
Malheureusement, l'esprit débridé, cela n'a rien d'un cantique, d'un psaume ou d'une antienne!
"- Le cochon a dit à sa cocheuu, rit cocheuu, ricocheuuuu, le cochon a dit à sa coche, rit cocheuuu, la cochonne rit, la cochonerie!"
Puis devant un Barelius médusé, elle continue gaillardement, ricanant stupidement par moment, avec un autre refrain:
"- Le canard a dit à sa caneuuu, rit caneuuuuu, rit caneuuuu, le canard a dit à sa caneuuuu, rit cane, la cane a rit."
Puis après un "Pardonne-moi Très-Haut" des plus fervents, murmuré tout bas, attiédie par les flammes de la cheminée et bien à l'aise, elle se tait, prête à l'endormissement, en remerciant Barelius de ses bons soins.
Vaguement, très loin dans son esprit, elle sait qu'elle ne doit pas sommeiller et que le travail l'attend, mais elle reste assise à regarder l'âtre flamboyer en craquetant.
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