Sylste
Deux silhouettes longent les chemins poussiéreux du comté de Narbonne. Sylste, une main solidement appuyée sur le manche en bois, et lautre maintenant la laisse de son chien, séloigne de la ville de Bézier, bien trop agaçante à son goût.
Elle navait eu de cesse dêtre réveillée brusquement par des maréchaux, et dêtre convoquée devant le tribunal .La brigande commençait bien à connaitre les gardes et même à sympathiser avec eux Chaque arrestation, devenait un plaisir qui enrageait les royalistes, en quête de tête à trancher. Etrangement, la femme savait jouer de sa cécité, et savait attendrir les curs ..
Sylste retira sa cape et sa capuche, lair était désormais plus lourd et sous cet attirail, les gouttes de sueurs se faisaient plus présente sur son front.
Une pause .Il lui fallait boire un peu, se reposer et sa bête fera de même.
Fourbe, pause ! Sous cet ordre lanimal quelle avait mit des années à dresser la conduisit hors du sentier, et senfonça vers la forêt.
Le bois du manche sencrait dans la terre, tant la brigande avait marché et cherchait un soutient
Elle relâche la corde, puis le manche, retire sa sacoche et enfin dépose son accoutrement sensé cacher son identité, avant de se laisser tomber au sol.
Enfin, elle respirait .Plus de poids sur ses épaules et ses jambes désormais allongée ne la lançait plus.
Mmmmm .No aguento mas
Ses doigts se portent à son front, essuie la sueur et elle retire quelques liens de son corset, histoire daugmenter son confort.
La fatigue la gagne, et cest sur ce tapis moelleux quelle finit par sendormir
Quelques heures peut être, ou quelques minutes Elle nen savait rien, mais la marque de lherbe devait être encrée sur son visage .Un sommeil profond qui prit fin brutalement quand son chien se mit à sagiter.
Que pasa ¿....que te ocurre ¿ La brigande se tait, et écoute Son ouïe fine se veut encore plus précise. Du bruit ! Des voyageurs ?
---------[acte 1 : scène 1 : une aveugle perdue et esseulée...]
Un sourire sadique, la journée semble bien sannoncer !
Ni une ni deux, elle lace un peu son corset et cache son identité.
Le manche en main, la sacoche bien remplie qui ne demande qua sempiffrer de quelques autres denrées puis elle se laisse à nouveau guidée par le canidé.
Une voix de donzelle, qui trouve malin de chanter ces amourettes sur les chemins .Et si on lui jouait un petit tour à le senora entre femmes on se comprend et on saide non ?...
La brigande se précipite vers le sentier, et sallonge avant de recouvrir son visage dun peu de poussière .elle force son chien à sallonger sur le sol et lui ordonne de ne point bouger et il reste une dernière touche pour mettre en place son scénario Sylste se concentre, pensant à quelque chose de triste « Une vie sans brigands et remplie de donzelles et d'hommes cul cul »
Enfin, une larme coule, peut être pas de tristesse mais plus de désespoir .
Les pas de la femme se rapproche Cest parti !
Quels monstres !!! Mon chien .jai mal Mes écus je nai plus rien !!....Quelques sanglots et une prise de manche en bois, plus tard ..
La donzelle nen revient pas une femme ainsi seule égarée, un chien qui semble mort et elle paressait avoir été racketté selon ses propos .
Il y a quelquun .Sil vous plait aidez moi je nai plus assez de vivre .je suis Aveugle !!...dit-elle la voix enrouée...
Pour faire croire au réalise de sa pièce, elle retire son capuchon, montrant la couleur acre de ses yeux Pitié aidez moi .
La dame savance, et se met à parler Sylste nécoute rien, trop concentrée dans la préparation de l'acte final.
Une main se pose sur son épaule, et se veut réconfortante. Le visage change brusquement, effaçant comme par sadisme les larmes de tristesse. La brigande saisit au hasard la tignasse de la donzelle de sa main libre puis elle lui offre un bon coup de bâton sur le crane .
Un son creux et un bruit sourd létait pas allé de main morte laveugle
Pffff !!!...Ce quil faut pas faire jte jure !....
La brigande tâte le corps, et finit par trouver la bourse .elle cherche les écus Mais ne trouve presque rien 2 écus !!!
La gueuse !! Boudeuse, et rancunière, la femme, siffle sa bête, et reprend ses affaires, rangeant les écus dans sa sacoche
Elle regagne son endroit propice au repos .Suivant le pas de son chien, puis elle donne la viande qui lui sert désormais à rien à son fidèle confrère ; puis elle se prélasse .rêvant de la seconde pièce quelle pourrait mettre en place pour demain .
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Elle navait eu de cesse dêtre réveillée brusquement par des maréchaux, et dêtre convoquée devant le tribunal .La brigande commençait bien à connaitre les gardes et même à sympathiser avec eux Chaque arrestation, devenait un plaisir qui enrageait les royalistes, en quête de tête à trancher. Etrangement, la femme savait jouer de sa cécité, et savait attendrir les curs ..
Sylste retira sa cape et sa capuche, lair était désormais plus lourd et sous cet attirail, les gouttes de sueurs se faisaient plus présente sur son front.
Une pause .Il lui fallait boire un peu, se reposer et sa bête fera de même.
Fourbe, pause ! Sous cet ordre lanimal quelle avait mit des années à dresser la conduisit hors du sentier, et senfonça vers la forêt.
Le bois du manche sencrait dans la terre, tant la brigande avait marché et cherchait un soutient
Elle relâche la corde, puis le manche, retire sa sacoche et enfin dépose son accoutrement sensé cacher son identité, avant de se laisser tomber au sol.
Enfin, elle respirait .Plus de poids sur ses épaules et ses jambes désormais allongée ne la lançait plus.
Mmmmm .No aguento mas
Ses doigts se portent à son front, essuie la sueur et elle retire quelques liens de son corset, histoire daugmenter son confort.
La fatigue la gagne, et cest sur ce tapis moelleux quelle finit par sendormir
Quelques heures peut être, ou quelques minutes Elle nen savait rien, mais la marque de lherbe devait être encrée sur son visage .Un sommeil profond qui prit fin brutalement quand son chien se mit à sagiter.
Que pasa ¿....que te ocurre ¿ La brigande se tait, et écoute Son ouïe fine se veut encore plus précise. Du bruit ! Des voyageurs ?
---------[acte 1 : scène 1 : une aveugle perdue et esseulée...]
Un sourire sadique, la journée semble bien sannoncer !
Ni une ni deux, elle lace un peu son corset et cache son identité.
Le manche en main, la sacoche bien remplie qui ne demande qua sempiffrer de quelques autres denrées puis elle se laisse à nouveau guidée par le canidé.
Une voix de donzelle, qui trouve malin de chanter ces amourettes sur les chemins .Et si on lui jouait un petit tour à le senora entre femmes on se comprend et on saide non ?...
La brigande se précipite vers le sentier, et sallonge avant de recouvrir son visage dun peu de poussière .elle force son chien à sallonger sur le sol et lui ordonne de ne point bouger et il reste une dernière touche pour mettre en place son scénario Sylste se concentre, pensant à quelque chose de triste « Une vie sans brigands et remplie de donzelles et d'hommes cul cul »
Enfin, une larme coule, peut être pas de tristesse mais plus de désespoir .
Les pas de la femme se rapproche Cest parti !
Quels monstres !!! Mon chien .jai mal Mes écus je nai plus rien !!....Quelques sanglots et une prise de manche en bois, plus tard ..
La donzelle nen revient pas une femme ainsi seule égarée, un chien qui semble mort et elle paressait avoir été racketté selon ses propos .
Il y a quelquun .Sil vous plait aidez moi je nai plus assez de vivre .je suis Aveugle !!...dit-elle la voix enrouée...
Pour faire croire au réalise de sa pièce, elle retire son capuchon, montrant la couleur acre de ses yeux Pitié aidez moi .
La dame savance, et se met à parler Sylste nécoute rien, trop concentrée dans la préparation de l'acte final.
Une main se pose sur son épaule, et se veut réconfortante. Le visage change brusquement, effaçant comme par sadisme les larmes de tristesse. La brigande saisit au hasard la tignasse de la donzelle de sa main libre puis elle lui offre un bon coup de bâton sur le crane .
Un son creux et un bruit sourd létait pas allé de main morte laveugle
Pffff !!!...Ce quil faut pas faire jte jure !....
La brigande tâte le corps, et finit par trouver la bourse .elle cherche les écus Mais ne trouve presque rien 2 écus !!!
La gueuse !! Boudeuse, et rancunière, la femme, siffle sa bête, et reprend ses affaires, rangeant les écus dans sa sacoche
Elle regagne son endroit propice au repos .Suivant le pas de son chien, puis elle donne la viande qui lui sert désormais à rien à son fidèle confrère ; puis elle se prélasse .rêvant de la seconde pièce quelle pourrait mettre en place pour demain .
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