Gautier.de.kestel
... je lui avais fait des trucs énormes, j'avais composé une chanson.
Huum... Bahia toute belle tout de bon.*
Dans l'idée, ce n'est pas bien compliqué : honorer sa femme. Elle n'est pas vierge, elle n'est pas moche. Pan. On élimine d'un coup deux complications. D'ailleurs quand Gautier y pensait, il ne présageait qu'un moment agréable passé avec une femme comme il avait passé d'autres moments agréables avec d'autres femmes. La seule différence ? Cette fois ci ce serait son épouse. La deuxième différence (la première n'était pas la seule, finalement) ? Entre temps le jeune homme était tombé bien plus amoureux de Maureen qu'il ne l'avait prévu. Enfin maintenant qu'il était marié et qu'Elisabeth lui avait promis de douces nuits, et même, au besoin, de douces journées, autant en profiter sans trop culpabiliser.
Arrivé le jour précédent, le brun avait passé une nuit tranquillement chez lui, le lendemain il avait croisé sa femme dans Sémur et le soir, Gautier était allé dîner à Lusigny. Il était à présent temps de passer la "nuit de noces" dont les mariés avait évité le jour du mariage à cause de la grossesse d'Elisabeth. C'est idiot mais Gautier s'aperçoit qu'il appréhende un peu. C'est le plus simple pourtant dans ce mariage. Coucher avec une inconnue oui, mais son épouse... Bon. Prendre les choses en main.
Une fois la porte refermée sur eux, le brun ne perd pas le nord. Deux chandelles ont été allumées : de quoi donner une ambiance tamisée à la pièce. Si la blonde voit peut être l'amour comme quelque chose de violent, c'est tout le contraire pour Gautier. D'ailleurs, le baiser donné debout à la Stilton n'a rien de passionné, il est doux, tout doux. Le Vaisneau prend ses aises sur ce corps inconnu mais pas trop vite, ne forçant rien à la chose. Seule une main s'est glissée sur la nuque de son épouse. Il est à peu près certain que cette douceur ne lui plaira pas mais il serait bien incapable d'autre chose.
*Zoufris Maracas - Bahia
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Huum... Bahia toute belle tout de bon.*
Dans l'idée, ce n'est pas bien compliqué : honorer sa femme. Elle n'est pas vierge, elle n'est pas moche. Pan. On élimine d'un coup deux complications. D'ailleurs quand Gautier y pensait, il ne présageait qu'un moment agréable passé avec une femme comme il avait passé d'autres moments agréables avec d'autres femmes. La seule différence ? Cette fois ci ce serait son épouse. La deuxième différence (la première n'était pas la seule, finalement) ? Entre temps le jeune homme était tombé bien plus amoureux de Maureen qu'il ne l'avait prévu. Enfin maintenant qu'il était marié et qu'Elisabeth lui avait promis de douces nuits, et même, au besoin, de douces journées, autant en profiter sans trop culpabiliser.
Arrivé le jour précédent, le brun avait passé une nuit tranquillement chez lui, le lendemain il avait croisé sa femme dans Sémur et le soir, Gautier était allé dîner à Lusigny. Il était à présent temps de passer la "nuit de noces" dont les mariés avait évité le jour du mariage à cause de la grossesse d'Elisabeth. C'est idiot mais Gautier s'aperçoit qu'il appréhende un peu. C'est le plus simple pourtant dans ce mariage. Coucher avec une inconnue oui, mais son épouse... Bon. Prendre les choses en main.
Une fois la porte refermée sur eux, le brun ne perd pas le nord. Deux chandelles ont été allumées : de quoi donner une ambiance tamisée à la pièce. Si la blonde voit peut être l'amour comme quelque chose de violent, c'est tout le contraire pour Gautier. D'ailleurs, le baiser donné debout à la Stilton n'a rien de passionné, il est doux, tout doux. Le Vaisneau prend ses aises sur ce corps inconnu mais pas trop vite, ne forçant rien à la chose. Seule une main s'est glissée sur la nuque de son épouse. Il est à peu près certain que cette douceur ne lui plaira pas mais il serait bien incapable d'autre chose.
*Zoufris Maracas - Bahia
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