Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

[RP] Convalescence

Lys
Lys dormait encore. La jeune fille en avait assez de dormir tout le temps.
Elle avait beau tanté de résister en traînant son corp en taverne et ainsi échapper à la vigilance des moines. Quelques instants plus tard elle revenait vraiment épuisé de son escapade.

Elle mangeait peu et avait conscience d'avoir maigri. Son oeil avait du légèrement desenfler car elle arrivait à voir un raille de lumière. En ce qui concernait son épaules et son poignet, aucun changement ce qui attristait la jeune fille. Bien sur pour finir si sa Zefman la voyait elle ne la trouferait pas très propre et ses cheveux lâché et emmêle n'arrangeraient rien à sa mise.
Zach avaient nouer u e échappe autour de la nuque de la jeune fille afin que son épaule la fasse moins souffrir. Comme quoi elle avait eu un peu raison d'aller en taverne.
Elle s'eveilla en douceur le sourire du à son rêve seffaça peut à peu.
Se redressant avec difficulté et en grimaçant à cause de son épaule elle arrêta surprise en découvrant Otan et Zephyre à ses côtés. Elle savait qu'ils viendraient mais était tout de même un peu surprise et ému.

Vous êtes là
Alphy
Elle n'avait pris qu'un peu de repos au lever du jour en arrivant à La Rochelle puis de convenue avec Ely, cette dernière irait à la recherche de Sglurp et elle chercherait le lieu où avait été rapatriés les blessés.

Elle demanda aux habitants, aux taverniers, enfin demander c'était plutôt une mise à la question et ils avaient intérêt à lui donner vite son renseignement...


Les blessés ? Au cabinet de la dame de la Gadoue... Hein ? Prise par le col et secouage express Ah... dame Kiyo ? Fallait le dire plus tôt... Relâchage aussi sec mais pas entièrement... C'est où ? C'est où que je dis ? La main sur la hache maintenant, il n'en fallait pas plus pour avoir le plan détaillé, elle s'y rua aussitôt.

A l'entrée du cabinet, c'était un bazar monstre, des visiteurs se mêlaient aux moines, aux soignants. Seuls les blessés enrubannés étaient reconnaissables. Elle fit alors le tour de toutes les paillasses pour retrouver "le sien"


Gill ???? Je suis là... C'est Alphy...
Autant sa voix était douce qu'elle avait pu être dure il y a quelques instants. Elle s'accroupit près de lui et lui caresse la joue.

Gill ??? Mon terrible chevalier.... Je suis là...
_________________
Serregill
Je suis assoupis dans le cabinet de dame Kiyo, sur la paillasse qui m'a été attribuée. La douleur commence à s'estomper, et, bien que je n'arrive toujours pas à bouger le bras, la simple sensation du tissus sur la plaie ne suffit pus à m'arracher une grimace de douleur.

Je suis assoupis donc, quand une voix connue me parvient à travers le brouhaha ambiant dû aux visiteurs, aux soigneurs, et aux râles des blessés qu'on soigne. Je sens quelqu'un s'asseoir au bout de ma paillasse de paille et de tissu. Une main vient se poser sur ma joue, la caressant doucement. Cette sensation est celle qui finit de me réveiller. J'ouvre mes yeux, qui se posent sur le visage d'une jeune femme que je reconnais instantanément. Alphy.

Je me redresse et m'assoit sur ma paillasse. Je ne suis pas vraiment surpris, ayant appris le matin même que Madfly l'avait vu arriver alors qu'il montait la garde sur les remparts. Je ne suis pas surpris mais je suis quand même très heureux de la voir.
Je lui sourit franchement avant de me pencher pour déposer un rapide baiser sur ses lèvres.


Alphy... Tu ne peux pas savoir à quel point je suis content de voir que tu est saine et sauve. Comment tu vas? Tu n'as rien j’espère?
Zephyre
Lys. Lys. Lys. Lys.... Une obsession, comme une ritournelle, tournait et retournait dans sa tête depuis l'annonce de ... arf.. elle n'osait pas même en pensées y songer à ce mot-là, cette presque mort envisagée lui glaçant le corps d'effroi !

La succession d'évènements qui s'enchaînaient sans discontinuer depuis son départ de Guyenne avait conduit la Ventée inexorablement vers un rôle qu'elle avait longtemps rejeté, voire dénigré : celui de mère. Bien pour les autres, mais pas pour elle. Mais la vie est ainsi faite qu'elle vous donne souvent ce dont vous ne voulez pas.
Et après son retour à l'existence en son âme grâce à un mini-homme qui avait ravivé toute la flamme de son être intérieur avant de disparaître de la scène jusque il y a peu, la Pestouille blonde, digne d'une mini-tornade s'était elle aussi subrepticement immiscée dans le trouble de ses jours creux sans trop comprendre qui de l'aînée ou de la cadette avait le plus révolutionné la vie de l'autre.
Une grande petite fille, un petit bout de femme en héritage et en partage avec un Quart de moitié d'Elle parfois dépassé par les évènements. Un être à former, pas si malléable pourtant. Un être à s'adapter, guère plus conciliant. Et deux personnes de s'aimer et de s'accepter mutuellement : quoi de plus naturel qu'une mère et son enfant ? quoi de plus compliqué sans les liens du sangs ? Pourtant....

Pourtant la vie -déjà loin d'être monotone- de la Tempête s'en trouve soufflée par une force la dépassant : l'amour qu'elle voue désormais à cette blondinette pas comme les autres.

Ainsi donc, tout s'en trouvait relégué à l'arrière plan : vie, projets, amis, amour possible... plus rien ne comptait que savoir si elle allait s'en sortir. A s'en rendre folle. A s'en tourner les sangs de rester sans nouvelles. Faisant comme ci de rien était la plupart du temps malgré ce...

Tourne, tourne la tête à ressasser tous ces moments complices qui auraient pu définitivement s'envoler tout en suivant Madfly qu'elle a retrouvé en taverne de bon matin. Il s'est aimablement proposé de l'accompagner jusqu'à sa petite dès son arrivée de Niort.
Les bras chargés, elle parvient à le suivre tant bien que mal, sourit à Stat en lui passant devant -il a l'heur si affairé-, se retrouve avec Otan qui semble perdu.. -ah.. Otan, tout un poème- et est conduite devant ... pffff .. un tas de bleus tous plus jaunes et violets que les autres, et des bandages. Dépose au sol ce qui l'encombre, s'assoit précautionneusement sur le bord du lit, passe un bras par-dessus la convalescente mais sans la toucher, lui sourit aussi tendrement que faire ce peut et murmure, la joie au coeur et la peine dans les tripes qui vrillent


Bonjour ma Chérie ! Alors... tu as voulu essayer une nouvelle façon de te grimer pour faire suer ton père ?


La petite est en vie... amochée, salement même, mais en vie... et c'est bien tout ce qui compte en cet instant de retrouvailles qui aurait pu n'avoir jamais lieu.


_________________
Lys
Oh zephyre ! Je suis si contenté de vous voir !

Renifle un peu. La fatigue et les douleurs la faisait craquer facilement mais elle réussi à sourire à Sa Mère de coeur.

Je suis désoler vous n'avez du coup pas pu rester un mois tranquillement à Niort.
Tout ça c'est à cause de cette folle couverte de sang et couronné !
Je suis désoler de ne pas avoir été plus vaillante.
J'aimerais tellement rentrer à la maison mais on ma dit que ce n'était pas possible

Sachant de reprendre sa respiration, sentant sa voie détaillée par moment.

Ou est J ? Ou est Albunea ?
Alphy
Il ouvre ses yeux et lui sourit en se redressant sur sa paillasse pour l’embrasser.

Comment je vais ? Moi ? Alors que c’est toi que je retrouve ici dans cet endroit où l’on sent le sang et les blessures qui ont du mal à se cicatriser, on l’on entend d’un bout à l’autre cris et gémissements ? Et tu oses me demander comment je vais… Tu as de la chance d’être blessé où je t’aurai…. estourbi moi-même…


L’angoisse de ces derniers jours et la fatigue ont eu raison d’elle et elle sent sur ses joues les larmes de rage qui ont coulé. Elle est à contre-jour et les essuie d’une main rapidement et discrètement puis finalement rassurée vient le prendre dans ses bras, en faisant attention à son épaule…

Je vais très bien maintenant… Elle respire profondément, profitant de ce doux moment de répit pour reprendre entièrement contenance.

Allonges-toi, tu n’es pas en état de faire le joli cœur voyons… Je vais regarder ta blessure et te refaire ce pansement avec un cataplasme d’herbes que j’ai rapporté de Niort. Elle le regardait du coin de l’œil, prenant un air mi-sourire mi-sévère… ne laissant aucune chance au blessé de s’opposer…

Elle alla très vite se laver les mains et prendre ce qu’il fallait pour refaire le bandage puis aida « son » patient à enlever sa chemise et une partie du bandage qui avait un peu collé.

Attention, cela va tirer un peu, lui dit-elle en tirant d’un coup sec sur le tissu pour le dégager, elle s’était approchée et l’avait embrassé en même temps espérant que cette surprise lui fasse oublier la douleur du moment…

Elle le laissa un peu reprendre ses esprits pendant qu’elle finissait de dégager la blessure qu’elle inspecta…

Hum, la dame de la Gadoue a bien travaillé si c’est elle qui t’a soigné, la plaie ne suinte pas et commence à cicatriser en profondeur… Je vais nettoyer ton épaule et ensuite j’y appliquerai ma préparation… tu me fais confiance ? Elle s’était approchée à nouveau de Serregill en souriant et s’apprêtait à acheter par un nouveau baiser un « oui » franc et honnête… lui précisant à l'oreille qu’il était un patient privilégié tout de même.

_________________
Serregill
J'ai de la chance d'être blessé? Je ne peux retenir un sourire à cette menace non dissimulée...

Bien sûr que j'ose... Qu'est ce que tu crois? Que je ne me suis pas inquiété de te savoir à Niort alors que Thoros s'y trouvait aussi?

Je l'inspecte sous toutes les coutures, à la recherche d'une éventuelle blessure qu'elle aurait tenté de me dissimuler mais ne remarque rien. Elle m'enserre dans ses bras, me rassurant alors complètement sur son état de santé. Je passe mon bras valide autour des ses épaules et la serre contre moi, heureux de la retrouver en bonne santé.

Le regard qu'elle me jette ensuite laisse entendre qu'elle ne souffrira aucune contestation. Je lui obéit donc docilement, et m'allonge sur le ventre sur l'épaisse paillasse qui m'accueille depuis maintenant 3 jours, lui laissant ainsi libre accès à la blessure située juste sous l'omoplate droite, dans mon dos.


Citation:
Attention, cela va tirer un peu


J'ai a peine le temps de réfléchir à cette phrase que ses lèvres viennent se poser sur les miennes, détournant mon attention de ses mains qui attrape les bandages et le retire, tirant sur la plaie par endroit ou le sang a coagulé. Sans quitter ses lèvres, je ne peux retenir un petit grognement.

Citation:
Hum, la dame de la Gadoue a bien travaillé si c’est elle qui t’a soigné


Oui, c'est elle qui a fait ce magnifique travail de couturière. Je l'ai prévenue que tu viendrai inspecter le travail, donc, j'imagine qu'elle s'est appliquée...

Eh oui. Même allongé dans un hôpital de campagne, blessé suite à un combat, je ne peux m'empêcher de faire de l'esprit.. Incorrigible.
Je vois ses lèvres s'approcher à nouveau quand elle me demande si je lui fais confiance.


Bien sur que j'ai confiance

Je répond, avançant la tête pour profiter à nouveau et au plus vite de ces baisers qu'elle me propose.
Alphy


Au chevet de Serregill

Maintenant qu’elle était maître de la situation, elle appliqua à la lettre le savoir appris auprès de ses pairs. Trouva un pilon où elle écrasa des feuilles de menthe et du thym de son jardin, mélangés à l’eau ces plantes nettoieraient parfaitement la blessure. Elle s’appliqua avec un tissu propre trempé à maintes reprises dans le mélange, en douceur, la blessure se trouva parfaitement nette. Les sutures étaient bien visibles et tenaient ; un peu de sang s’était à nouveau écoulé à l’arrachage du bandage mais cela n’était pas gênant, il était bien rouge et aiderait avec l’adjonction d’un emplâtre cicatrisant à refermer parfaitement la plaie.

Voilà… tout est propre, je vais maintenant appliquer ce que j’ai cueilli dans les talus. Elle sourit, imaginant qu’il pourrait avoir peur de ces explications. Ne t’inquiètes pas, ces feuilles là, elles ne sont pas du poison… Si je voulais t’empoisonner, je saurai très bien reconnaître les plantes…

Le pilon résonna à nouveau pour écraser des fleurs d’achillée et des feuilles d’aigremoine. Une pâte se forma qu’elle appliqua généreusement en cataplasme sur la blessure. Elle apposa par-dessus plusieurs couches de bandelettes qui maintiendraient la chaleur pour tirer le meilleur des plantes. Le tout fut maintenu par de longues bandes de tissus croisées sur l’épaule avec douceur.

Elle avait pris mille précautions, peu habituée à soigner encore.

Alors ? Que penses-tu de ton médecin personnel ? Est-ce que tu te sens bien, pas de tête qui tourne, cela va ?
Elle l’avait aidé à se redresser avant de prendre dans son sac la chemise propre qu’elle avait pensé à prendre… Je n’ai pas trouvé grand-chose de seyant sur le marché mais au moins elle est propre… Elle l’aida à y passer les bras et face à lui, refermait un à un les boutons en lui souriant.
_________________
Serregill
Je reste patiemment allongée, la laissant s'affairer dans mon dos à soigner cette blessure qui m'empêche de reprendre la route de Niort comme je l'avais prévue. J'en regrette presque d'avoir aidé le Poitou.

Pas de paye, pas de félicitations, pas de remerciements ni même une quelconque trace de considération de la part de quelque dirigeant que ce soit. Ni pour moi, ni pour un n'importe quel autre soldat, homme ou femme, avec qui j'ai pu parler. C'est à croire que le seul intérêt du Comte était de retrouver son siège après avoir fait écarter tout le dangers par d'autres... Car personne ne dit l'avoir vu combattre vaillamment aux cotés de ses hommes. Non, mais tout le monde se souvient de la façon dont il a déserter "vaillamment" le château...

Enfin, peu importe. Ce qui est fait est fait, et je suis là, étendu, à profiter des soins prodigués par ma médicastre personnelle.


Je te fais confiance. Excepté les plantes comestibles, je ne connais pas grand chose aux plantes qui soigne... Mais je te chargerai de me l'enseigner...

Je l'entend s'affairer avec son pilon, le bruit du matériel raisonnant dans la pièce étrangement calme et enfin exempte de crie de douleurs. Ses mains appliquent enfin délicatement la chaude pâte sur ma blessure avant de l’entourer de bandelettes pour maintenir le produit. Bonne nouvelle, je n'aurais plus à m'encombrer de cette fichue écharpe qui me maintenait le bras.

Eh bien, je pense qu'un médecin comme ça, je l'embauche à plein temps, j'ai pas envie que quelqu'un d'autre me le pique...
Non, pas de mal de tête, rien du tout, je me sentirai presque bien...


Je souris avant de l'aider à m'enfiler une chemise en faisant attention à ne pas trop tirer sur l'épaule nouvellement bandée, et lui rend son sourire, la laissant boutonner entièrement le vêtement.

Ne t'en fait pas, c'est très bien. Décidément, j'aime l'idée d'avoir un médecin prévoyant...
Alphy


Toujours au chevet de Serregill

Tu veux donc apprendre toi aussi l’art de l’herboristerie ? Mais je ne te servirai pas à tester tes mixtures… j’ai confiance oui mais de manière toute relative… Elle se mit à rire et continua sur sa lancée….

Alors comme cela tu veux te payer le luxe d’un médecin personnel ? Hum, aurais-tu des envies de grandeur, est-il prévu que tu deviennes un riche héritier car pour te payer mes services, il va te falloir beaucoup d’or… En tout cas maintenant, tu es beau… comme un sou neuf…


Elle le regarde dans sa chemise propre et lui sourit.
Si tu le mérites, je resterai tout près et je serai prévoyante pour toi puis lui murmura à l’oreille et si tu as besoin que je vienne enlever ta chemise à nouveau… mais dans d’autres circonstances, n’hésites pas… Elle se mit à rire à nouveau et rangea le nécessaire à potion.

Bon alors… maintenant je ne sais pas s’il est obligatoire que tu restes ici encore longtemps, puisque je suis là. Penses-tu que l’on puisse trouver un endroit plus confortable, pour dégager les lieux et ainsi limiter le travail des autres quitte à ce que l’on revienne faire tes pansements ici ? Je pourrai aussi donner un coup de main aux autres soigneurs, s’ils en ont besoin… A qui peut-on demander ici ? Je n’ai pas pris la peine de me renseigner en arrivant il faut dire… Elle lui sourit, se rendant compte qu’elle n’avait pas vraiment respecter le protocole médical pour le coup.
_________________
Serregill
Eh bien oui, pourquoi pas? Ça peut toujours servir de savoir quelles plantes utiliser pour soigner... Mais je suis déçu que tu ne veuille pas tester mes mixtures.... Tant pis, j’achèterai un cochon, et je ferai mes essais sur lui... Je suis sur que lui acceptera sans rechigner au moins...

Je ris avec elle, heureux que nous soyons enfin tout les deux réunis, et profite pleinement de ce moment de détente à ses cotés.

Bien sur que j'ai des envies de grandeurs... Et je suis sur que je trouverais un moyen de me payer tes services à plein temps. Avec de l'or, ou autrement...

Si je le mérite? Eh bien, je ne suis surement pas le mieux placé pour répondre... J'ai peur de ne pas être objectif... Donc, je te laisse seule juge...


Une petite phrase chuchoté à l'oreille et je ne peux retenir un sourire. Décidément, avoir été ainsi blessé a aussi ses bons cotés...

Non, tu as raison, je pense que j'ai été assez bien soigné pour pouvoir quitter cet endroit. Et pour tout dire, j'aimerai autant. Je n'aime pas l'odeur qui flotte ici...
Un endroit plus confortable? On doit pouvoir trouver ça. Mais je ne connais pas assez bien La Rochelle pour savoir ou... Encore une fois, je crois que je vais abuser de ta prévoyance envers moi, pour nous trouver un endroit agréable ou je pourrais me reposer...

Je ne pense pas que quiconque ici refusera tes services. Enfin, si tu ne soigne pas tout tes patients comme moi... Le mieux serait de demander à Dame Kiyo, mais je ne l'ai pas vu depuis quelques jours, elle voulait se retirer chez les nones...
Zephyre
Où sont-ils ? bonne question tient ! Même pas a-t-elle pris le temps de savoir si ses amis et "parents" avaient besoin d'aide pour dételer les animaux après leur voyage depuis Niort : elle a simplement accouru avec tout l'attirail demandé.


Ils viendront te rendre visite plus tard Petite. En attendant il va falloir que tu cesses de t'agiter. Les jours prochains seront longs, et ta patience mise à rude épreuve.
Et pour t'y aider regarde ce que je t'ai ramené

Elle se penche pour attraper une boite qu'elle a posé au sol en arrivant et la montre à la blondinette étendue

J'ai pris soin de faire voyager Fleur et Eole... me disant que tu serais heureuse de leur compagnie. Qu'en dis-tu ?

Deux paires de longues oreilles blanches, des moustaches qui s'agitent en tous les sens : oui... les lapins ont fait le chemin également !

_________________
Kiyo
Avec grand mal, Kiyo réussit à s'évader de chez les moines.
C'est qu'ils l'auraient presque séquestrée !

Elle courut dans les rues de la ville,
souriant devant la lueur des tavernes,
symbole que la vie était revenue à La Rochelle.

Mais la première chose qui la préoccupa,
fût le cabinet qu'elle avait ouvert en catastrophe suites aux derniers événements.
Elle entra en trombe dans les lieux.
Elle s'arrêta à l'entrée, afin de prendre connaissance de la situation.

Elle consulta le parchemin, où les blessés avaient été notés,
C'est vrai que dans la précipitation, c'est un détail qu'elle avait omis .. recenser les arrivants.
En même temps, elle avait préféré soigner plutôt que de griffonner ...
Et pourtant, cette action permettait à ceux qui prenaient sa suite d'être informés plus rapidement.

Puis, elle s'avança lentement parmi les blessés allongés.
Visiblement, pendant son absence, la relève avait été assurée,
elle s'en trouva rassurée.

Elle se dirigea vers Lys :

"Bonjour, comment ça va aujourd'hui ?
Ca doit encore un peu tirer, ... mais je n'ai pas jeté ton écharpe que tu avais en arrivant,
tu vas pouvoir l'utiliser lorsque tu te sentiras suffisamment forte pour te lever"


Elle lui fît un petit sourire, salua ceux qui l'entouraient.

Elle s'approcha de Serregill :

"Ah .. je vois que vous vous êtes enfin réveillé !"
Regardant brièvement le pansement :
"Oh, mais je vois que vous avez eu des soins supplémentaires,
voilà qui est parfait !"

Se tournant vers Alphy et d'un sourire :
"Votre oeuvre ?
Félicitations !! ... N'hésitez pas à renouveler là où vous jugerez bon de le faire !"


Elle fit le tour des autres blessés, qui visiblement, avaient reçu les soins nécessaires,
mais fût surprise de ne pas trouver le lit sur lequel elle avait laissé Ulric.
Elle lança à la cantonade :

"Euh ... quelqu'un aurait vu Ulric ? ...
Où l'avez vous caché ?"

_________________

Quand une Femme du Monde dit "non", ça veut dire "peut-être". Quand elle dit "peut-être", ça veut dire "oui". Quand elle dit "oui", ce n'est pas une femme du Monde.
Alphy
A l’évocation du cochon testeur, elle fit une petite moue mais son rire lui faisait du bien et elle le laissa la taquiner pour l’instant, se réservant plus tard, le droit de lui rappeler la comparaison.

Tu as bien raison de n’être pas sûr de toi, à savoir si tu mérites mes talents à titre tout à fait personnel. Peut-être que d’autres patients voudront renchérir et je ne sais pas si tu arriveras à être assez convaincant… mais si je suis juge alors… j’essayerai d’être tout à fait juste vis-à-vis du paiement…


Tout était en ordre maintenant autour du blessé et à l’évocation de trouver un lieu tranquille, elle se décida à bouger.

Je vais voir alors si quelqu’un d’autre gère cet endroit et si l’on peut me renseigner et m’aider à t’enlever enfin plutôt t’emmener vers un lieu de repos en ville. Elle lui sourit… et vint l’embrasser discrètement.

Je reviens vite…
Aussitôt dit, aussitôt fait, la voilà qui part à la recherche de quelconques renseignements puisqu’elle n’avait pas vu non plus son ami rochelais, qui lui avait-on dit avait été blessé et tombe nez à nez avec dame Kiyo revenue de chez les nones. Elle laissa celle-ci regarder son pansement et hocha de la tête à la question posée.

Dame Kiyo, justement, je voulais savoir… j’étudie la médecine moi-même mais vu que nous sommes dans votre cabinet, je voulais votre accord. Pensez-vous que je puisse emmener Serregill dans un endroit plus calme et confortable ? Je le soignerai moi-même et le ramènerai pour avoir votre avis, si vous le souhaitez. Je pourrai aussi aider si cela est nécessaire. Et puis, je voulais savoir, vous avez vu Sglurp ? J'ai appris qu'il a été blessé lui aussi et ne l'ai pas trouvé ici.
_________________
Kiyo
Kiyo sourit à Alphy,

"Oui bien sûr, enfin s'il se sent suffisamment fort pour être bougé,
vous pouvez emmener Serregill dans un lieu plus calme,
vous trouverez un moine à l'entrée qui vous prêtera main forte."


Elle se retourna vers Serregill et jugea qu'en effet, il semblait apprécier l'idée de changer d'endroit.


"Ensuite, si vous désirez revenir aider, c'est avec plaisir que je vous laisserais une place !
Je suis moi-même étudiante, et pas encore médicastre officielle !
Mais devant l'urgence, j'ai pris la responsabilité d'ouvrir ce cabinet !
...
Pour ce qui est de Sglurp ...
En effet, il est passé par là ...
Je lui ai fait quelques points sur le bras ...
Mais vous le connaissez, le bougre, il est reparti sous sa barque !"


Elle esquissa un sourire amusé

_________________

Quand une Femme du Monde dit "non", ça veut dire "peut-être". Quand elle dit "peut-être", ça veut dire "oui". Quand elle dit "oui", ce n'est pas une femme du Monde.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)