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[RP]Au 11 Quartier de la Violette - Dispensaire de Montauban

Kindjal
Kindjal voyant les larmes couler sur le visage d'Ajowan posa sa main sur son épaule. Elle l'écouta exprimer son désespoir et répondit calmement :

Non, Dame, ça n'a rien à voir, je vous l'assure. Simplement, ce sont des choses qui arrivent... Vous n'avez rien à vous reprocher.

Elle sentait que ses mots ne suffiraient pas à la calmer et la laissa se défouler un peu contre le matériel. Puis Ajowan sembla reprendre le dessus et lui annonça qu'elle était prête. Kindjal hocha la tête et lui expliqua :

La procédure est un peu douloureuse, je vais donc vous donner quelque chose qui vous fera somnoler, cela rendra la chose supportable... Je reviens tout de suite...

Elle sortit un instant, se rendit dans son bureau pour y préparer la décoction de coquelicot et sortir sa curette et ses bougies métalliques. Elle alla les nettoyer précautionneusement à l'eau bouillante, et les plaça dans un linge propre. Son regard fut attiré par la missive toujours au sol. Elle ne put s'empêcher une petite grimace en la ramassant, la fourrant hâtivement dans sa besace. Mais elle ne pouvait laisser son esprit vagabonder. Ajowan avait besoin d'elle.
Elle rentra à nouveau dans la chambre, posa la décoction sur la petite table de chevet et dit à Ajowan :


Buvez en autant que nécessaire. Le gout n'est pas agréable mais cela vous assommera suffisamment. Je vais faire le plus rapidement possible.

Elle s'assit enfin au pied du lit et souleva les jupons, s'armant d'une bougie et de la curette. Elle prit une grande respiration et commença à distendre le col à l'aide de la bougie métallique. Une fois le diamètre suffisant, elle introduisit doucement la curette et commença à abraser la muqueuse jusqu'à ce qu'elle se désolidarise de la paroi.
Elle sentait que l'exercice était douloureux pour Ajowan, et maintenait fermement son bassin immobile, répétant dans sa tête :
I Olfatif ; II Optique ; III Oculomoteur ; IV Trochléaire, V Trijumeau ; VI Abducens ; VII Facial ; VIII Vestibulo-cochléaire ; IX Glossopharyngien ; X Vague ; XI Accessoire ; XII Hypoglosse ; ...

Et les mots s'enchainaient de plus en plus vite, sans même qu'elle y prête vraiment attention.
Enfin, le supplice toucha à sa fin. Kindjal retira ses instruments, se leva et regarda le visage baigné de sueur d'Ajowan. Elle écarta une mèche collée sur le front et dit doucement :


C'est fini...
Ajowan
Ajowan grimaça quand elle porta la tisane à ses lèvres. Le goût était amer. Mais elle en bu tant qu'elle pût sachant qu'elle allait passer sans doute le pire moment de sa vie.

Après un certain temps Ajowan sentit les effets de la tisane. Son esprit commença à se diluer, ses yeux se fermèrent. Son corps se détendit centimètres carré par centimètres carré.

La douleur ne vint pas immédiatement. Ajowan ne sentait presque rien et son esprit était au repos. Mais à partir d'un certain moment la douleur devint lancinante puis de plus en plus insupportable.

Elle serra les dents et les poings de toutes ces forces ayant l'impression qu'on lui arrachait les entrailles. Les larmes coulaient le long de ses joues, la sueur perlait à son front. Ajowan se sentit presque sur le point de défaillir.

Elle vit défiler sa vie. Son enfance avec sa soeur et sa grand-mère, sa vie de jeune femme avec cet homme qui la brutalisait et sa vie d'aujourd'hui avec tous ces gens qu'elle aimait.

Ajowan ne lâcha pas.

Puis elle sût que son calvaire était terminé. Elle sentit la main douce de Kindjal lui écarter une mèche de son front et lui murmurer :


C'est fini...
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Kindjal
Kindjal hésita un instant, ne sachant si Ajowan préférait être seule ou, bien au contraire, désirait une compagnie. Sachant que l'action conjuguée de la décoction et l'épuisement physique et moral qui résultait de l'opération auraient bientôt raison de sa conscience, elle prit une chaise. Ajowan aurait tout le temps d'être seule plus tard, sans doute. Mieux valait pour le moment lui parler un peu. Elle prit un linge propre et épongea doucement son front.

L'opération s'est bien passée et n'entrave en rien vos futures possibilités de grossesse. Pour l'instant, il vous faut du repos pour vous remettre de tout cela. Vous aurez quelques difficultés à vous déplacer et à vous tenir debout par vos propres moyens dans les jours qui viennent. Vous pouvez rester au dispensaire si vous le souhaiter, ou rentrer chez vous, à condition d'avoir à domicile quelqu'un pour veiller sur vous pour les prochains jours.
Quoi qu'il en soit, n'hésitez pas à me faire part du moindre symptôme ou du moindre souci...


Kindjal sourit doucement à Ajowan, essayant de la réconforter.
Ajowan
Ajowan se sentait vidée. Elle avait la sensation que son corps et son esprit s'était séparé.

Elle remercia secrètement Aristote de lui avoir mis sur sa route un si bon médecin que Dame Kindjal. Kindjal qui lui parlait d'une voix douce, si rassurante.

Elle écoutait ce qu'elle lui disait mais sa voix semblait très lointaine.


Quelqu'un qui veille sur vous pour les prochains jours ...

Ajowan ferma les yeux tant les larmes brûlaient. Elle se maudit de cette erreur qu'elle avait pu commettre. De ce moment de faiblesse qui l'avait marqué dans sa chair.

Elle pensa aussi au bébé. Et se dit que ce petit bonhomme n'avait pas voulu naître dans de telles conditions. Se sachant non désiré. Sachant que ces parents ne s'aimaient aucunement et que de ce fait lui non plus ne recevrait pas l'amour qu'ils avaient pour mission de lui donner en abondance.

Ajowan balaya ses idées noires en secouant la tête. Puis elle se tourna vers Kindjal et murmura :


Merci ... merci pour tout

Ajowan sourit et ajouta :

Si cela ne vous dérange pas je vais un peu rester là. Puis je vous demander un service ? Pourriez vous prévenir Messire Erotès. Il ne sait pas que j'ai dû subir cette opération. J'avoue ne pas lui en avoir parlé car je pensais qu'il s'agirait juste d'un examen de routine. J'espérais vraiment qu'il n'y aurait aucune complication. Pouvez lui dire aussi que je suis ... désolée.

Je me sens très fatiguée. Je pense que je vais dormir un peu.


Elle sourit à nouveau à Kindjal, ferma les yeux et commença à sombrer dans un sommeil sans rêve.
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Kindjal
Quand Ajowan eut finalement fermé les yeux, Kindjal vérifia à nouveau son pouls. Tout semblait aller bien. Elle déglutit, sortit pour nettoyer et ranger ses instruments. Son esprit était embrumé par les derniers évènements. Tout était arrivé si vite... Comment y comprendre un dessein supérieur ? Cela ne semblait être que le résultat d'une multitude de hasards.
Une fois terminé, elle pensa à Messire Erotès, qu'Ajowan lui avait demandé de prévenir. Mais elle ne voulait la laisser seule...
Elle sortit sur le perron du dispensaire et appela une jeune fille qui bataillait contre son linge au lavoir d'en face, lui mettant une pièce dans la main.


Pourrais-tu aller à l'auberge chercher un homme, un cadurcien, qui se nomme Erotès ? Dis-lui que Dame Ajowan a eu un ennui de santé et qu'elle se repose au dispensaire... qu'elle souhaiterait le voir. Va !

Kindjal regarda la fille s'éloigner et rentra, vérifiant sur le pas de la porte d'Ajowan que sa respiration était toujours régulière. Elle retourna donc à son cours d'anatomie, mais les nerfs crâniens étaient incapables de retenir son attention. Elle lisait et relisait son manuscrit sans parvenir à s'y fixer.
Mais Ajowan était en bonne santé, alors pourquoi se sentait-elle si étrange ? Un peu coupable, peut-être ?
Erotes
Erotès n'avait plus vu Ajowan depuis bientôt deux jours, il était sans nouvelles d'elle, il venait de passé la nuit seul dans la maison d'Ajowan, sans qu'elle ne vienne le rejoindre, cela devenait inquiétant, il restait assis au fond d'une taverne à attendre son retour. Personne ne savait où elle se trouvait, à croire qu'elle n'avait pas ou plus d'amis. Ses pensées furent interrompue par le fracas de la porte d'une jeune fille maladroite qui n'avait visiblement pas l'habitude des tavernes, elle entra sans un mot, elle se dirigeait vers le tavernier occupé à nettoyer ses chopes vide. Étrangement, il le désigna du doigt, elle le regarda un instant avant de s'avancer tête basse et elle lui bredouilla timidement quelques mots presque incompréhensible.

Messire....vô....vôtre dame ... est au dispensaire.

Aussitôt dit, elle s'en alla sans lui en dire plus. "Comment diable savait-elle cela pensa-t-il?"
Sans tarder, il se leva et se pressa pour trouver ce dispensaire, on lui indiqua de suivre la rivière, il y trouverait le lavoir et juste en face, le dispensaire.

Il marcha quelque temps, le long de la rivière, il arriva au lavoir, une de ces jeune fille accroupie était sa messagère, il n'eut qu'un bref regard, il se dirigea vers une bâtisse imposante, Il poussa la lourde porte et entra inquiet dans ce corridor glaciale par son atmosphère . Kindjal arriva vers lui, un peu contrariée et toujours aussi froide.

Après s'être salué brièvement, elle le conduisait au chevet d'Ajo, elle venait de lui donner des consignes qu'il avait à peine entendu, comment ne pas pouvoir rester trop longtemps, comment ne pas avoir envie de rester un long moment avec celle qui faisait battre son coeur plus que de raison. Arrivé devant une logette elle lui expliqua les raisons de sa présence, elle ouvra un rideau ou il vit Ajowan dormir, il prit un tabouret et se posa à ses cotés, il lui prit la main alors que Kindjal retira le rideau et s'en alla. Il ui caressait la main la regardant dormir, elle semblait mal en point...

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Ajowan
Ajowan ouvrit tout doucement les yeux. Sur le moment elle se demanda où elle se trouvait. Une pièce glacée à la seule lumière d’une bougie. Puis une douleur dans le ventre l’aida à se remémorer les derniers événements. Elle gémit et les larmes coulèrent sur ses joues.

Ajowan sentit une présence, elle tourna la tête et vit Erotès, endormi, à ses côtés lui tenant la main. Son cœur se mit à battre plus vite. Il était venu, il était là près d’elle. Elle se demanda depuis combien de temps elle était là. Elle commençait à se sentir étouffée dans cette atmosphère angoissante. Elle devait sortir d'içi et très vite. Elle regarda Erotès.


hmm il dort bien je ne vais pas le réveiller...

Elle retira tout doucement sa main et s'assit sur le bord du lit. Elle fut assaillie par une douleur continue dans le ventre et serra les dents. Elle posa ses pieds sur le sol froid. Et tout en prenant appui sur le lit elle essaya de se lever. Ses jambes se dérobèrent. Elle se retint de tomber.

Bon ça ne va pas être si simple au début mais il faut que je sorte d'içi sinon je vais devenir folle !

Elle recommença. Cette fois-ci elle réussit à rester debout. Elle commença à faire quelques pas. Cela semblait aller. Ses membres tremblaient un peu, la douleur au ventre était toujours présente mais tout cela était supportable.

Elle regarda Erotès avec un sourire. Elle s'approcha de lui et lui déposa un léger et tendre baiser sur le coin des lèvres.

Elle ouvrit le rideau et observa le moindre signe de mouvement dans le dispensaire. Le bureau de Kindjal était un peu plus loin. Avec un peu de chance elle y était.

Elle sortit de la pièce et longea le corridor. En passant devant le bureau de Kindjal Ajowan marqua un temps d'arrêt. Elle se sentit coupable sur le moment. Elle secoua la tête, et continua à avancer petits pas par petits pas. Elle ouvrit la lourde porte ouvragée et se retrouva dehors. Elle ferma les yeux un peu éblouie. Elle respira à pleins poumons l'air de Mautauban. Qu'il était bon de se retrouver à l'extérieur !

[i]Ses yeux s' habituèrent peu à peu à la lumière crue du jour. Elle vit une jeune fille au lavoir accroupie, se debâtant avec son linge. Ajowan l'appela. La jeune fille se retourna et s'approcha.


Peux-tu me rendre un service ? J'aimerais que tu m'aides à marcher car je ne suis pas sûre d'y arriver toute seule. Tu veux bien ?

La jeune fille acquiesca et demanda à une de ses amies de continuer à laver son linge. Puis elle tendit son bras à Ajowan pour que celle-ci puisse prendre appui.

Je te remercie beaucoup. Ajowan sourit puis donna une pièce à la jeune fille. Nous pouvons y aller !
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Erotes
Quand Erotès se réveilla, c'est un lit vide et froid qu'il trouva. Il reprit ses esprits et se leva, il se dirigea sans trop d'inquiétude vers le bureau de Kindjal, il y trouverait sans doute Ajowan. Il frappa à la porte avant d'être invité à y entrer.Il poussa la porte grinçante et tomba nez à nez avec Kindjal qui semblait bien seule.

Je vous croyais avec Ajowan...sont lit est vide et encore tiède, je pensais qu'elle était avec vous.

Erotès sentait monter une vive inquiétude en lui. "Mais où est-elle partie? pensa-t-il?"
Kindjal ne semblais pas inquiète de sa soudaine disparition, sans doute par l'habitude de voir disparaitre les patients qui se sentant mieux, préféraient fuir pour retrouver les leurs et les tavernes...

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Kindjal
hum ça serait possible de me laisser jouer mon personnage ? merciii~

Kindjal avait décidé de prendre le temps de relire ses cours sur le rhume, mais la fatigue accumulée ces derniers jours avaient eu raison de sa détermination, et elle avait simplement croisé les bras sur son parchemin, se laissant emporter dans de doux songes.

Ses yeux se rouvrirent brusquement quand on frappa à la porte, et elle se redressa brusquement, le regard sans aucun doute un peu hagard, voyant Erotès entrer.

Je vous croyais avec Ajowan...son lit est vide et encore tiède, je pensais qu'elle était avec vous.

Kindjal soupira. C'était bien Ajowan, ça. Elle aimait son indépendance et ne tenait pas en place... Elle regarda l'homme qui semblait inquiet et décida de ne pas en rajouter :
Elle est probablement rentrée chez elle. Je suis certaine que vous ne manquerez pas de l'y trouver. Renouvelez-lui mes conseils : qu'elle ne se surmène pas et qu'elle passe me voir si elle a la moindre inquiétude.

Elle lui sourit, essayant de le mettre un peu en confiance.
Ayorjo
Suite aux conseils de Dame Fantik rencontrée plus tôt, Ayorjo se retrouva face à la porte du dispensaire...

Il n'était qu'un simple voyageur, mais espérait qu'on puisse l'aider ici. Il se rendait compte maintenant qu'il était un miraculé, laissé pour mort par une armée qui l'avait empêché de retourner en pays toulousain, il était revenu vers Montauban, dieu seul sait comment.

Il était en colère d'avoir été si imprudent, ignorant des lois en vigueur, mais il n'avait jamais imaginé pouvoir se faire attaquer ainsi.
Cette colère envers lui même et envers ses assassins lui avait sans doutes fait oublier ses blessures, mais la douleur causée par sept coups d'épée ne pouvait plus être ignorée...

Fatigué et à bout de forces, il s'assit à même le sol devant le bâtiment, ses bras engourdis l'empêchant même de frapper à la porte...
Il resta donc là, regardant la rue et les gens sans les voir, attendant que quelqu'un vienne le trouver...
Kindjal
Kindjal revenait de la taverne, où elle s'était laissée aller à passer une bonne partie de la mâtinée accoudée au comptoir, à noter les dernières rumeurs. Ah cela lui manquait sans aucun doute... Mais les dernières informations étaient plutôt étranges et même contradictoires. Elle songeait à faire un schéma quand elle vit en levant les yeux vers le dispensaire qu'une personne était étendue sur le palier.
Elle accourut, observant avec inquiétude l'homme qu'elle ne connaissait pas. Ses blessures par contre ne laissaient aucune place à l'interprétation. Arme blanche, probablement une ou plusieurs épées vu la longueur des entailles.
Kindjal savait qu'une armée de Guyenne était en ville, mais ne put croire un instant qu'il y avait une corrélation. L'homme n'avait pas l'air d'un brigand, peut-être avait-il fait une mauvaise rencontre en chemin ?


Messire ? Messire ? Vous m'entendez ?

Sans attendre davantage de réponse, elle posa ses doigts sur la jugulaire de l'homme pour vérifier son pouls. Il était bien en vie.

Messire ? Pouvez-vous vous tenir sur vos jambes ? Je vais vous aider, nous devons vous installer dans un lit, pour que je puisse examiner nos blessures !
Fantik37
fantik avait ce matin près des portes de la ville trouvé un homme, affalé contre un arbre.
Il était blessé et semblait attendre du secours.
Comme il reprenait ses esprits, elle avait réussi à l'accompagner à la taverne la plus proche lui conseillant d'aller au dispensaire.

Elle se décida à passer voir si Kindjal l'avait accueilli.
Tournant le coin de la rue, elle vit son amie penchée sur une forme a demi allongé devant la porte.

Elle pressa le pas avec un affreux pressentiment.




Kindjal? tu as besoin d'aide?

Regardant l'homme, elle reconnu l'inconnu de la douane.



j'aurais du l'accompagner jusqu'ici!!! Est -t il en vie?

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souriez à la vie et la vie vous sourira
Ayorjo
Ayorjo avait fini par s'assoupir, peut-être pour ne plus sentir ses blessures...
Il ouvrit les yeux, après avoir senti une main sur son cou.
L'esprit encore un peu endormi, il entendait des voix sans les comprendre, ne réalisant pas tout de suite où il se trouvait.

Les yeux un peu plus ouverts, il reconnu ce visage maintenant familier de celle qui l'avait aidé plus tôt. Il vit alors également une deuxième femme qu'il ne connaissait pas. Cela le rassura, il n'était donc pas encore mort, bien que ces deux visages, qui paraissaient inquiets, ressemblèrent à ce moment à celui de deux anges...

Totalement éveillé maintenant, il se redressa non sans mal, bien qu'il ne voulu pas paraitre trop affaibli. Serrant les dents, il trouva en le mur près de lui un ami bienvenu!

Ne pouvant tromper personne, il s'adressa néanmoins avec le plus d'assurance possible à celle qui semblait être la responsable du dispensaire :


Oui Madame, je tiens sur mes jambe dit-il appuyé contre le mur.
Et de commencer à chanceler : Mais je crois avoir besoin d'un peu d'aide tout de même!

Avec un sourire un peu maladroit il posa sa main sur l'épaule de sa providentielle bienfaitrice, tant pour ne pas tomber que de savoir qu'il allait trouver ici un peu de soutien et de soins...
Kindjal
Kindjal fut soulagée de voir Fantik arriver pour lui prêter main forte. L'homme semblait déjà avoir repris un peu conscience, et elles purent à elles deux l'aider à rejoindre une chambre. Kindjal regarda un instant l'homme, sentant que la journée allait être longue. Elle lui demanda doucement :
Pourriez-vous enlever votre chemise que je voie l'étendue de vos blessures ? Peut-être voulez-vous me raconter ce qu'il vous est arrivé ?

Puis se tournant vers Fantik, elle ajouta à mi-voix :
Pourrais-tu aller chercher Mexicatl ou peut-être Ajowan ? Je vais avoir besoin d'un peu d'aide je pense...
Fantik37
l'homme avait repris connaissance.
A elles deux, elles avaient réussi à l'aider à rejoindre un lit.
L'homme semblait gravement blessé même s'il montrait beaucoup de courage.

Citation:
Pourrais-tu aller chercher Mexicatl ou peut-être Ajowan ? Je vais avoir besoin d'un peu d'aide je pense...


Fantik était impressionnée par tout ce sang sur la chemise de l'homme.
Elle s'empressa de répondre à Kindjal...




J'y vais tout de suite Kin...

Sans demander son reste, elle fila vers la rue.
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souriez à la vie et la vie vous sourira
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