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[RP OUVERT] Campement des Ecorcheurs

Le_g.


Ils étaient enfin arrivés, du moins, une partie d'entre eux. L'accueil par certains lorrains serait certainement compliqué, pour d'autres, plus amicaux. En attendant, il installe les charrettes, les tentes, prépare le feu de camps.

Dédé ? Tu peux m'filer un coup d'main ? On déplace le tronc là, ça f'ra un banc pour l'rapprocher du feu... Nicolas ? les cailloux là, on va les mettre autour du feu, histoire d'pas tout crâmer.

Il poursuit ainsi, et sort les vivres de sa charrette, déposant les caisses de bois au sol, et regarde Gab', avec un sourire.

T'sais qu'j'ai pris goût à tes gâteaux ?

Ayant voyagé nu, à savoir sans dagues et sans épée, il se sent pas trop bien, mais tente de faire bonne figure malgré tout. Observant la cité, il s'arrête un instant, secoue la tête, et poursuit l'installation du campement. La visite en ville attendra un peu, pour le moment, il leur faut surtout un endroit pour se retrouver, pour se sentir bien.

L'emplacement choisi est proche de la cité, une auberge un peu délabrée semblait les attendre, alors ils se sont installés là, près de cette auberge, qu'ils retaperont. Attrapant sa hache, il va couper du bois, pour le feu. Le bois vert fera de la fumée, mais il s'en moque, il sait que de toutes façons, il doit déjà y avoir du monde à les observer des remparts, et les archers lorrains, il a pu goûter ce que ça vaut, sa jambe ne le faisant plus trop boiter que lorsqu'il est vraiment fatigué, il s'étire, fait craquer son coup, et hop, attaque un arbre, le débranchant pour allumer le feu, attrapant une bonne suée pour le coup.

Enfin, il revient, fait plusieurs allers-retours pour rapporter le bois.


Qui veut se charger de la corvée d'eau ?

Il montre ensuite, tout en s'essuyant le front.

Vous pensez quoi d'la bâtisse là ? J'pensais en faire notre repaire, comme à Polignac.

Se tournant vers les Ecorcheurs, il esquisse un sourire.

J'ai oublié de prévenir...

Pierre, Nicolas, vous resterez ici, vous serez mes yeux et mes oreilles pendant qu'on sera absent. Sam, comme tu veux, tu nous suis, ou tu restes veiller ici... Ah, et j'ai reçu une missive de Lest, il va bien, mais semblerait qu'il y ait eu des fuites, Toto est furibard, Titi aurait listé les notres à sa demande. A croire que je me suis trompé sur la valeur de la parole de Tonic.

Ils nous ont pas invité à leur petite saut'rie, et maintenant, ils nous en veulent de pas être à leur côté. J'préférais qu'vous l'sachiez.


Agacé par le fait que Tonic puisse vouloir les poutrer, après ce qu'il s'est passé, il lance sa hache pour la planter sur un billot de bois.

Comme si on avait des comptes à leur rendre ! Qu'ils viennent plus m'parler de liberté... Sont même pas capable d'respecter la parole donnée. Alors j'préfère prév'nir, l'premier que j'surprend à avoir des contacts avec Fatum ou l'Eldo, sans en avoir causer à l'un des Maîtres, j'l'écorche vif moi même. Z'êtes prév'nus. On nous offre un havre, même si ça va pas être simple d's'installer ici, mais c'quand même pas rien... Alors j'veux pas d'entourloupe, j'veux qu'on montre qu'leur parole, les Ecorcheurs, ils la tiennent, quoi qu'il en coûte.

A croire que de d'user ses nerfs sur la coupe du bois lui a pas suffit. Du coup, c'est lui-même qui va chercher l'eau, avec deux seaux, après avoir préparé le tonneau qui leur servira de réserve. Plusieurs trajets à porter les seaux, et il va finir par se calmer. Lorsque la barrique d'eau est pleine, soit près de 10 trajets plus loin, il inspire profondément pour se détendre, et chercher une solution pour leurs amis restés à Polignac.

Soudain... il a une idée.

Faut qu'j'vois l'Empereur... J'vais aller en ville. Qui veut v'nir ? On laisse nos armes ici, m'faut deux personnes pour surveiller notre camp'ment, faut pas l'laisser sans surveillance.

_________________
Loguen
Les courriers s'enchainait, les correspondances aussi et en ce jour au petit matin ses éclaireurs l'avait informé que les écorcheurs arrivait, portait ils des armes, même pas. Il obéissait aux consignes alors que l'empereur par sa jolie déclaration leur avait permis de ne pas le faire. Tant mieux en soit, il se prépara donc pour l'ocasion afin qu'on le voille de loin, l'Empereur voulait tous les égards du a leur rang pour les écorcheurs, soit mais il en profiterait aussi.

Sa tenue mise, son épée au coté, il sortit du castel accompagné d'une patrouille de 6 hommes trié sur le volet, des hommes d'exeption, sélectionné par un trait de caractére trés particulier. Le fait qu'il savait garder leur calme en tout cireconstance, bien utile pour ce genre d'opération ou on ne savait ou on allait. La petite patrouille traversa les rues d'Epinal pour rejoindre les murailles, ils croisérent quelques petite patrouille qu'il salua avant de prendre de leurs nouvelles, de les rassurer, les Ecorcheurs étaient devenu des types bien, aucune inquiétude à avoir. Du moins, eux non, pour lui en tant que capitaine, c'était son boulot d'avoir des inquiétudes.

Les portes de la ville était en vue, il demanda quelques informations aux gardes de fonction sur leur position, leur nombre et par la même donna ses instructions. Tout le monde agirait comme d'habitude, uniquement 5 homme qui l'accompagnait suivrer les écorcheurs en ville à la fois pour les arréter si ils posaient probléme mais surtout pour les proteger si jamais on leur poser probléme. Pas qu'il est besoin de se défendre eux même et qque cela se transforme en carnage. Il y avait donc 1 homme qui l'accompagnerait jusqu'au camps pour une petite visite de courtoisie.

Ils s'étaient donc installé prés d'une petite auberge délabré, un repère parfais, peut être pas digne d'une garde impérial, mais sa c'était autre chose qu'il devrait prendre en considération avec le temps. Quand il arriva à distance, il se permit de héler:


Bonjour bonjour, bienvenue en notre belle ville d'Epinal! J'espère que le voyage s'est bien passé ?

Ces quelques mots lui permirent de se raprocher du petit groupe et de saluer d'un signe de tête toutes les personnes qu'il voyait, mais quel ne fut pas sa surprise, il y en avait qui avait fait parti de sa petite altercation à Nancy, c'était donc eux, au moins il leur mettait un visage dessu, il se raprocha donc de Louis, celui qu avait paru être le chef à leur rencontre passé, il espérait ne pas faire d'erreur, il commença donc.

Bonjour, je supose que vous êtes Louis Track de Lioncourt, vous vous souvenez de moi ? A l'époque, j'étais sergent dans l'ost et nous nous étions taquiné mutuellement à Nancy avant que vous ne disparaissiez dans une émeute. Fort habil de votre pars je dois dire.

Puis se présentant pour tout le monde.

Bonjour à tous, je suis Loguen de la Fiole Ebréchée, capitaine de Lorraine, je vous souhaite la bienvenue à Epinal. Du fait que vous avez la protection total de l'empereur, je ne pourrais pas vous inviter a boire une petite mirabelle au castel pour qu'on discte du passé, c'est dommage mais bon. En attendant, vous pouvez bien sur aller à Epinal, je supose que l'empereur voudra vous voir, il réside non loin d'ici dans ses terres je crois, on vous indiquera le chemin. En ce qui concerne Epinal, des hommes de l'ost vous escorteront de loin dans vos déplacement, bien sur, c'est pour vous empécher de faire des bétises, mais aussi pour empécher les habitants de vous chercher des noises. Certain on encore en tête votre passage, ceci évitera donc une effusion de sang. Je vais aussi laisser l'homme qui accompagne avec vous au camps, histoire de dire qu'on vous surveille sans vous surveiller, sinon, c'est à peu prés tout des questions ?

Il afficha un léger sourire pour détendre l'atmosphére, pour lui elle lui semblait calme mais ce qui pouvait se passer dans la tête des gens, sa il ne pouvait le savoir. Son homme servirait certe à surveiller le camps mais surtout a les obliger de laisser du monde afin de ne pas trop en avoir en ville, ce qui serait dur à controler. Il se permit de rajouter.

Je vois qu'aucun de vous ne porte d'arme, apparente du moins, je vous en félicite et vous remercie, si cela pouvait être la même chose en ville, je vous en serai grès.

Un nouveau sourire cette fois plus franc, il attendait les réactions, allez t'on lui sauter dessu pour le battre a mort, il avait prévut cet éventualité et avec son hommes espèrait défendre chairement sa vie. Ou allait il réagir totalement autrement, de façon surprenante, seul Dieu le savait.
Le_g.


Quelques remous, des murmures, des pas un peu précipités qui l'avertissent de l'approche de quelque chose, ou de quelqu'un. Le Gaucher Senior se met ostensiblement au-devant, s'ils doivent faire parler les carreaux d'arbalètes, autant qu'ils le fassent tout de suite et maintenant, et qu'ils ne s'en prennent pas aux autres. Il a toujours assumé, pas maintenant qu'il va laisser un autre prendre une flèche ou un carreau à sa place.

L'armement de celui qui arrive n'est pas pour le mettre à son aise, au contraire, mais il serre les dents, l'observe, patiente, calcule... pas loin de là, quatre hommes, plus le capitaine et le fameux garde... six... et pour eux, ils sont loin d'être au complet, certains devant encore traverser la moitié du Royaume, et avec en gros cinq ou six armées sur la traversée. Autrement dit, vite fait le calcul des forces, vu qu'il ne veut pas que son fils soit plus mêlé qu'il ne l'est déjà, et qu'il ne veut surtout pas qu'il prenne une arme pour le moment, il reste debout, balayant juste du regard les armes. Le Gaucher n'est pas comme certains qui foutent des épées dans les mains des gosses de six ans, lui, il veut pas que son fils risque de prendre un mauvais coup. Déjà que le pauvre gamin a l'immense chance d'être le fils du Gaucher et de la Chiasse.... pas la peine de lui rajouter d'autres tares, sa naissance suffit sans doute.

Le visage de l'homme ne lui est pas inconnu, et il tente de remettre un nom sur le visage en question, ce qui n'est pas des plus évident quand on voyage beaucoup et qu'on croise énormément de monde.


Bonjòrn. Je suis Louis Track de Lioncourt, en effet. Le voyage s'est bien passé dans l'ensemble. Nous ne sommes pas au complet, certains ont eu quelques soucis équestres et d'autres de poutres qui ont traversé la chaussée par erreur pendant qu'ils passaient. Sinon, deux incidents seulement à déplorer, l'un à cause d'une mioche à Dôle, l'autre pour un souci que la Maréchale Clostridium du Bourbonnais a eu pour suivre le rythme. Elle ne doit pas être habituée aux marches forcées, ça arrive.

il esquisse un sourire en coin, amusé du "rapport" fait au Capitaine. Pas des plus explicites peut-être, mais il ne va pas s'avancer plus sans avoir reçu ses ordres de l'Empereur. Il cause comme il faut, pour une fois, bouffe pas la moitié de ses mots... et ça, c'est plutôt signe qu'il tente de s'adapter, même si sans doute que ça ne fera pas grande différence. Lorsqu'il parle de Nancy, Le Gaucher porte la main à sa cuisse, et lève doucement la main en signe d’apaisement envers les Ecorcheurs, l'air de dire : du calme, on se détend, on cause simplement.

J'aimerais voir l'Empereur, c'est exact. Je vous ai écrit aussi, que je me présenterai pour... un entretien.

Lorsqu'il lui parle d'une "escorte", dans la tête du Gaucher, ça sonne plutôt comme "prison", autrement dit, entrez dans la ville, ne touchez pas la mairie, et il vous faudra la jouer finement si vous voulez garder la tête sur les épaules. Chiabrenna de fot-en-cul, chienne de vie... Entre Titi et Toto qui veulent leur peau depuis hier, et maintenant ça, il va falloir apprendre à nager pour pas couler, dans le grand bain direct, et vite encore !

Nous n'avons pas l'intention de chercher des problèmes, et le message était passé de se tenir à carreau, avant même qu'on entre en Lorraine.

Regardant l'homme qu'il lui désigne pour être leur nounou, il déglutit, se rappelant le visage.

Vous êtes obligé de nous laisser votre cerbère ? Que se passerait-il si je refusais qu'il entre dans notre campement ?

L'idée de rester nu ne lui plait absolement pas, mais pour le moment, il s'y plie.

Vous savez que je vais difficilement pouvoir protéger l'Emperur et sa famille armé de seulement ma bite et mon couteau ? Pareil pour mes amis... Va falloir nous autoriser à porter les armes, j'attends les ordres de Son Altesse à ce sujet.

_________________
Dd0die
Le campement prenait forme... Il a poussé des troncs, porté des cailloux, élagué par ci, délimité par là, sous les consignes de Louis, et il l'a fait sans mot dire, éreinté d'un si long voyage mais pas malheureux de pouvoir enfin espérer poser ses fesses quelques temps... ou pas, faut voir...

Il se charge de la corvée d'eau, ramasse jarre, outre et autre récipient lorsque du coin de l'oeil il voit le Maître Ecorcheur se raidir... des hommes sont là, et pas des touristes... il aurait l'air fin, s'il fallait se défendre avec une gourde... Il jette un oeil à son épée, a demi enfouie sous la terre derrière le banc de fortune. Trop tard, puis de toute manière Louis avait été clair à ce sujet... Mais qu'un seul lève la main sur le Maître, et le Capitaine ramasserai pour tout le monde... Titi, Toto, Fatum, les Italiennes et les Allemandes, les feux de camps, la pluie, les courbatures et les ampoules... et tant pis si ça devait se faire à coup de casseroles.

Alors il garde le silence, et observe tour à tour les gardes, écoute le Capitaine et Louis se causer... Ecoute et jette un oeil à l'homme qui viendra peut être y tenir la queue quand il aura envie de pisser tard le soir. L'idée aurait pu faire sourire, sauf que...

Sauf que ca me regarde pas,
Sauf que j'y comprend rien,
Sauf que je suis fatigué et que j'en ai marre de pousser des cailloux et d'être reçu partout comme une vilaine maladie...
Va falloir en causer sérieusement à Lestat et Louis
.

Il balancerai bien un récipient à Nounou, histoire de le mettre dans le bain et de commencer à lui faire comprendre que le temps allait passer très lentement pour lui, mais il se retient et continue à faire ce qu'il sait faire de mieux... fermer sa gueule...
Gabryelle
Gabryelle se sentait assez perdu dans cette tourmente. Voilà deux semaines qu'elle avait rencontré Louis et qu'elle avait proposé de l'aider pour l'escorter. Oui mais voilà, apparement, leur groupe avait sévit partout. Sortant d'une longue retraite chez les nonnes, elle ne connaissait rien de ce qui se passait... Elle avait trouvé les personnes gentilles et attachantes. Voilà comment elle connaissait les écorcheurs.

La belle blonde avait passé les trente ans mais sa douceur, sa maturité et son calme plaisait. Ses yeux aigue marine se posaient sur les jeunes hommes et elle les attirait envariablement.

Citation:
T'sais qu'j'ai pris goût à tes gâteaux ?


Faire des gateaux ? c'était son dada.

J'aime bien en faire pour vous... Elle ne rajouta rien de plus. Ne sachant plus trop s'exprimer en public, ses réactions passaient pour bizarre parfois.

Elle rassembla les ingrédients et commença ses préparations
Dd0die
[De Retour]

Epinal, Luxieux, Dôle, Campement, Vesoul, Et il ne compte plus les bleds, les lieux, les lieues...
Sauf Dôle !
'Tain que cette ville est triste...
Sauf le feu de camp !
Avec la bête bizarre qui rôdait sur la colline, derrière un arbre aux fruits carrés...
Marche, dors un peu, surveille, ouvre tes oreilles, sursaute, ouvre tes yeux... pour ceux qu'en ont deux... garde, travaille, protège, écoute... a n'en plus finir.
Pour sûr, il n'est pas peu satisfait de rentrer sur Epinal s'octroyer un brin de repos.

Un passage en Mairie, histoire de faire d'Epinal son chez lui, comme le reste du groupe. Un groupe reconstitué, étoffé.
Puis un retour au campement.
Le vrai.
Chez lui désormais.

Il défait la boucle du ceinturon, laisse filer l'épée au sol près de sa couche, va pour se poser dessus dans l'espoir d'y dormir quelques semaines.
Puis...
"Woh ! Va ptet falloir s'organiser un peu si on doit se poser là..."
Puis tant qu'à faire, s'éloigner un peu du borgne et du gaucher... histoire d'être sûr de pouvoir dormir la nuit... Rapide coup d'oeil, le feu au milieu, des chevaux, du bois, une hache, des bras... les miens... quelques tonneaux d'eau, vide.
Merde !
Il les enverrai bien se faire tâter l'arrière train, mais puisque tout le monde est dans le même bateau... la même forêt... le même campement... il fait la moue, se tait et se met en charge de la corvée.
Que le ruisseau soit pas trop loin, et on alimenterait directement le campement avec des goulottes.
Ouais, le bon feignant est toujours organisé...
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Lorenzo83
J'avance à grand pas vers le campement, trop heureux de pouvoir annoncer la nouvelle. En me rapprochant, je vois Louis discuter avec un homme et préfère les contourner pour ne pas couper leur discussion. Juste un bref salut de la tête je suis pas un sauvage tout de même!

Tiens y a une activité frénétique ici... Voyant Dd revenir les bras chargés de seau d'eau, je vais à sa rencontre.


Salut Dd! t'a besoin d'un coup de main?
Dd0die
De l'eau, il en transpire plus que ce qu'il en rapporte... Mais faut bien que quelqu'un s'y colle.
Qu'il y en ai un qui se plaigne et il ramasse dans la gueule !
Une silhouette familière apparaît lorsqu'il lève la tête, enfin arrivé au campement.

"Tiens, de retour ?
Paraît que le jeune s'est oublié.
Paraît qu'un moins jeune l'attends toujours.
Enfin il a retrouvé son chemin, c'est l'essentiel, amaigrit et l'air las toutefois.
Il pose son fardeau, et va lui serrer la main.
"Ce serait pas de refus. L'âne à Nico nous ferait gagner pas mal de temps pour charrier l'eau. Puis nous faudrait abattre une paire d'arbres, tailler les rondins, avoir des cordes, en faire des abris un peu plus consistant, puis élaguer là bas... si on reste là, ça reste encore à déterminer...

Il pose finalement ses fesses à même le sol à l'ombre d'un arbre, s'appuyant contre le tronc, s'éponge le front avant de soupirer.
- T'as fait bonne route ? T'as l'air crevé..."
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Lorenzo83
Un large sourire puis un regret d'avoir proposé son aide quand Dd lui fait la liste des choses à faire...$

Oué enfin là!! Crevé oui j'avoue mais rien que de savoir que je bougerai plus d'ici avant un p'tit moment me redonne des forces!
Bon... vu mon état... je propose que j'aille cherché l'âne à Nico et je m'occupe de l'eau sa te vas? Après j'aurais besoin d'un coup de main aussi en ville!
Dd0die
Il le voit se déconfire a mesure qu'il énonce les taches... Une longue route, et le voilà déjà obligé de cravacher sur le campement.

"Hum... Vu ton état, je propose que t'ailles te restaurer en ville et que tu te reposes ou t'occupes de ce que tu a à y faire... Nico n'est pas là, son âne non plus de toute manière.
Il lui fait un clin d'oeil
- Je vais arranger un peu le terrain et j'irai sûrement taper une petite sieste me refaire une santé."

Quoique la sieste, il se connaît...
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Lorenzo83
Nan nan nan.... Je suis là autant que je file un coup de main!Aller file moi ça! C'est plus de ton âge! laisse faire le jeune!

Il prend les seaux de Dd et se dirige vers le ruisseau sans attendre tout en sifflotant
Dd0die
Le voilà barré avec ses récipients !

"Ah ouais !
Il marque une pause
- Ben quand t'auras mon age.... tu seras bien content qu'un jeune se démène un peu... C'est ça, casse toi !" Un large sourire, il est sympa ce jeune. Enfin, on a croisé pire...

Il le regarde s'éloigner en se relevant, cherche la hache des yeux, s'en saisit et se met en tête d'abattre les petits arbres à proximité après avoir élagué un peu.
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Lorenzo83
Après une dizaine d'allers retours, le jeune décide de faire une pause. Il pose les seaux plein au sol et s'essuie le front. Les jambes lourdes et le dos endolori, il s’assoie un moment à l'ombre d'un arbre et ferme les yeux. Une légère bise venait lui rafraîchir le visage tandis que les bruit environnant le berçait doucement...
Suzanne


Tous deux avançaient vers le camp. Elle avait accepté pudiquement le bras tendu. marchant lentement, elle parlait doucement, lui indiquant leurs vies ici, sa rencontre avec Eden, le pourquoi du comment ils étaient arrivés là... la discrète parlait. Â un étranger. Mais elle parlait. Rien de confidentiel, juste.. ce qui fait une vie.

Nous y voilà.. Bienvenue au camp des Ecorcheurs. Il y a tout le temps des allers-venues.. certains coupent du bois, d'autres réparent telle ou telle chose... une vie de groupe en somme.

Et ils n'étaient pas tous là. La brune cherchait du regard quiconque viendrait à leur rencontre.

Notre roulotte est par là -bas. C'est sommaire, mais propre et chaleureux.

_________________
Xhander_


Il s'était raidit imperceptiblement quand elle avait posé sa main fine où courraient de fines veines bleutées sur son bras, puis doucement avait accordé son pas au sien.
Qui les auraient vus, aurait pu penser de vieux amis profitant de la douceur du soir pour faire une ballade.

La jeune femme parlait, se racontait, comblait les histoires qu'Eden lui avaient contées déjà sur sa filleule, petit à petit, Xhander se détendait, trouvant même agréable de cheminer ainsi et Suzanne semblait s’apaiser un peu.

Arrivés enfin au fameux campement, assez semblable en somme à ceux des peuples du désert, les tantes de toile en moins, ici remplacées par de curieuses maisons en bois sur roues, le jeune homme regardait en l'écoutant, curieux de rencontrer les autres membres de la famille, sa fatigue envolée.

La Lady lui avait parlé assez longuement d'un homme roux, Lestat, qui l'avait bien reçue, d'une jeune homme Lorenzo, fou de la petite Marine, et un autre, Louis, qu'elle qualifiait de plus sombre.
Certes le moment était mal choisi pour les rencontres, mais parfois partager la peine pouvait décharger un peu.

Il se tourna vers Suzanne

Sayyida Suzanne, ne vous donnez pas de peine pour moi, je sais me contenter de peu, dans mon pays quelques dattes et une galette de pain font souvent nos repas.
Et..je vous en prie, je suis ici pour vous, pour vous aider, demandez moi tout ce que vous voudrez, ne me faites pas l'affront de ne pas me laisser accomplir les vœux de ma maitresse.
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