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[RP OUVERT] Campement des Ecorcheurs

Vitoria_eva
Il était temps qu'elle visite un peu. Elle n'était pas sortie depuis son arrivée de la taverne, la peur sans doute ? Non c'était la fatigue, elle avait eu besoin de sommeil. Mais elle avait rencontré des gens bien qui s'occupaient d'elle. C'est ainsi que Vitoria prit la route du campement de roulotte. Elle avait eu de rencontrer une vraie Princesse, c'était approprié un tonton, Suzanne aussi qui la protégeait et le Grand qui jouait avec elle. Elle arriva au camp des roulottes. C'était ici que devait bruler une roulotte, elle avait mis un certain temps à comprendre que c'était une roulotte qu'on brulait pas toute.

Ainsi la jeune noble pourrait s'épanouir à loisir. Elle avait une quête qui lui tenait à coeur, celle de trouver le Très Haut, mais comment ? Il n'avait pas laissé d'adresse, tonton Louis avait dit qu'il l'aiderait, ca c'était chouette. C'est avec son arme de prédilection, c'est à dire l'oreiller que tonton Louis lui avait donné qu'elle arriva. Elle vit Suzanne et courut la voir, enfin ce qui lui permettait ses petites jambes. Et lui fit une énorme bise, version bagarre à la Vitoria.


Tata, tata, je suis là !! A tes ordres !!! Tata Naude m'a dit qu'il fallait que j'aide. Ils sont ou les tontons ?

Elle s'était mise droite comme un "i" une espèce de garde à vous avec son coussin, elle ne le quittait plus, en plus il sentait la lavande, ca c'était mieux.

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Suzanne


Suzanne lui sourit chaleureusement.

Xhander, je ne vous ferai pas d'affront, mais je ne vous laisserai pas mourir de faim. La seule chose, c'est que nous n'avons pas de dattes par ici ! mais une bonne soupe.

Elle inspira profondément, et reprit : je suis soulagée de votre présence ici, ma marraine me manque. Il faudra que je lui écrive. Xhander... notre roulotte sera brûlée demain, jour de...
Elle fut interrompue par la petite Vitoria, Suzanne pourrait la qualifier d'un perce-neige. Petite fleur qui arrive quand tout est figé et froid, un petit cœur pleins de couleurs et bras ouverts en corole pour faire ses câlins magiques qui guérissent les grands de leur tristesse.
Elle s'agenouilla pour rendre un bisou à la petite et lui sourit doucement : Justement, nous les cherchions les tontons, je te présente Xhander, c'est un ami de ma marraine qui est loin d'ici. Crois tu qu'ils jouent à cache-cache ? Tu nous aides à les trouver ?

Se relevant lentement, elle sourit de nouveau à Xhander . Je vous l'avais dit, des allers venues ! ... Demain aura lieu la cérémonie pour Marine.

Elle avait cette impression qu'un mur de pierres s'était érigé autour de son cœur, incapable de briser cette digue qui pourtant vibrait de toute part.

Les "tontons" sont en fait les maîtres écorcheurs, Lestat, Louis, et... Seth, mais lui est en chemin. Ils ne doivent pas être loin.

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Vitoria_eva
Quoi les tontons y se cachent ? chouette chouette, voila l'idée de Vitoria dans sa tête. Elle regarda en relevant le nez de la personne que tata Suzanne lui présentait.

Bonjour, je suis Vitoria Eva de Vandimion. Puis à nouveau à l'attention de Suzanne. Oh oui, on va traquer du tonton ! C'est comme ca qu'on dit ? T'as vu j'ai mon arme !!

Parlez d'une arme, une gamine de cinq ou six ans avec un oreiller sentant la lavande, ca n'avait rien de bien méchant, mais sinon, elle avait une arme secrète que seule Suzanne connaissait.

Dis tata ? On va bien les trouver hein ? et après on les attache et on les chatouille ?

En à peine quelques jours, Vitoria se sentait déjà comme chez elle, elle avait des gens qui veillaient sur elle, elle ne comprenait pas tout, pouvait on vraiment lui en vouloir ? elle se permettait bien des choses qu'une personne d'age de raison n'aurait jamais osé. Mais pour elle c'était si naturelle. Elle se plaisait tellement qu'elle voulait vivre à leur côté, ses parents seraient fous, mais après tout qu'en avaient ils à en faire depuis février, elle était partie, la question de sa mère était tombée mois de mai, bon "t'es ou ?", un peu tard, la fillette leurs en voulait même si au fond elle les aimait.

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Xhander_


Il l'écoutait toujours regardant autour de lui, et eut un regard plein de compassion quand elle lui montra la roulotte qui ..finirait dans les flammes.
Feu pour purifier, chaleur pour chasser le froid mortel, cendres pour fertiliser le renouveau, si seulement..
Subitement, comme pour matérialiser ses pensées, un toute jeune fille fit son apparition, vive, joyeuse, bavarde, comme avait du l'être Marine, avant que la main glacée de la mort s'empare de son cœur.

Xhander s'inclina à nouveau, s’efforçant de paraitre moins grave que ses idées du moment.

Bonjour jeune demoiselle, je suis Xhander.

Il se redressa et suivit l'échange entre la fillette et Suzanne, se sentant un peu de trop, et fit quelques pas pour les laisser parler.

L'idée de la soupe le séduisait, un peu plus tard sans doute.

Son attention fut attirée par une hache abandonnée sur un billot, le jeune homme était passionné par les armes blanches et leur entretien.
Il en vérifia le tranchant du bout du pouce, puis sortit de sa ceinture une pierre, commençant a affuter la lame d'un mouvement lent et précis.
Lglvh
On les croyait partis...?


Enfin le voyage en Savoie avait pris fin et nous voilà de retour au bercail.

Uhm..

Cela voudrait-il dire que je commençais à considérer cette ville comme chez moi ? Il semblerait que c’était sur la bonne voie vu que tôt ce matin là, j’ouvris les portes de ma boucherie, fraîchement acquise…

Moi, artisan

La bonne farce

Ne vous en déplaise

Une autre façon de gagner des écus.

A la sueur de son front et honnêtement

Et puis il y avait la famille…

Une petite merveille dont on avait la charge, Louis et moi, notre rayon de soleil, notre petite Vito…

La présence de mon frère à nos côtés qui avait joué les apprentis moribonds..à croire que la mort le trouvait pas assez bien à son goût vu qu’il semblait reprendre du poil de la bête…

Une bagarre, un homme qui ose importuner Djazia, Ma nièce par alliance, mon frère qui se jete entre lui et moi et ramasse le coup à ma place…La lame qui a transpercé ma cuisse me semble dérisoire en voyant la flèche plantée dans son ventre…

On est beau Les frères lioncourts..une oreille en moins, un œil perdu..les deux boiteux…

Pas deux lions, plutôt deux chats de goutière…

Malgré les épreuves que nous inflige cette vie, tantôt douce, tantôt chienne, on est là, on est de retour.

Un regard vers mon Amour, clopin clopant, je me tourne, ma main dans la sienne, vers notre avenir….

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Sarahelisabeth
Les longues marches et le peu de ravitaillement avaient transformés la jeune demoiselle si fringante.

C'est une Sarah maigre et pâle, au visage grave et sans expression qui tapie dans un coin de taverne helvète griffonnait quelques mots sur un vélin pour prendre des nouvelles de ceux de son corps d'armes restés en Lorraine.

Elle avait reçu des nouvelles alarmantes et bien que de son coté, ces derniers jours avaient été lugubres, elle rédigeait la missive avec application, choisissant chaque mot avec soin.


Citation:
Louis,

je vous écris de Fribourg pour prendre des nouvelles. Ici, nous stationnons tandis que les politiques agissent. La faim est la principale préoccupation de chacun et je reprends quelques forces avec les rations que nous avons pu recevoir. J'ai en effet du me serrer la ceinture une partie du trajet à en faire peur d'après certains. Mais je retrouve un peu de forme maintenant, le sac d'os se porte mieux. C'est dans ces moments là que je voudrais être homme et ne pas avoir à souffrir des Lunes qui vous laissent épuisées et vides...

J'espère que de votre coté la situation est meilleure. J'ai eu des échos des combats en Lorraine, et j'espère que vous avez eu le temps de récupérer de votre santé et de votre dextérité à temps. Cette guerre va peser un moment sur la Lotharingie, et pour ma part, je dois songer à ce qu'il me faudra faire une fois les combats clos car mon duché est durement touché et réclame ses forces vives. Quand le moment sera venu, je prendrai le temps d'en parler avec vous et l'Empereur.

Soyez tous prudents et veillez bien sur votre havre. Mon coeur est avec vous, embrassez chacun pour moi,

Sarah



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Natys
Le ténébreux avait ramassé la dague laissée par le Gaucher en taverne une heure plus tôt. Il l'avait laissé au cas où Natys et Lest ne s'entretue. Mais rien ne s'était passé. Le ténébreux avait gardé son calme au milieu de ses ex frères d'armes.

Cette dague, il devait lui la rendre. C'est donc une fois sortit de taverne qu'il prit le chemin de son ancien campement. Il n'avait pas d'armes sur lui, à part la dague de Louis. Si les Écorcheurs voulaient sa mort ce ne serait pas difficile pour eux de parvenir à leur fin.

Il se siffla une bouteille de vipérine, cuvée que son père avait créé au Rouergue, jusqu'à l'entrée du campement. Il se planta devant la roulotte de Louis, qu'il partageait sans doute avec Lestat. Il se mit à beugler:


Le gaucher? J'ai quelque chose pour toi!

Une souche morte toute proche, il y posa son train arrière en attendant.
Le_g.


Après avoir refait le plein de la taverne des Ecorcheurs, il était retourné à leur campement qui n'y semblait plus trop, l'herbe poussant entre les roues montraient qu'ils étaient là depuis un moment, et ça l'avait fait sourire. Cela voulait-il dire qu'il était temps de reprendre la route ? Peut-être, ou peut-être pas, l'avenir n'était pas écrit.

Une lettre de Sarah l'attendait, et il lui répond rapidement.

Citation:
Sarah,

Je suis ravi d'avoir de vos nouvelles. Nous sommes de retour sur Epinal, et il semblerait que pour le moment, la Lorraine soit un peu plus tranquille. La faim est le lot de tous les hommes qui s'engagent en armée de ce que j'ai pu voir, devant ravitailler moi-même les hommes de l'armée. J'espère que vous allez vite retrouver des forces, et si besoin, revenez vers nous, nous saurons vous trouver ce qu'il faut pour les retrouver.

Ma santé est revenue, avec mon habileté. Pardonnez si je n'utilise pas la dextérité, étant gaucher comme vous le savez. Mes mains se portent mieux et même si pour le moment, je ne me risquerais pas avec un lancer de dague sur une pomme posée sur la tête de Lest, disons qu'une pomme sur un poteau de clôture est mon lot quotidien pour retrouver cela.

Nous avons tous hâte de vous revoir. Je me fais écho des Ecorcheurs, sachant que nul doute qu'ils partagent avec moi ce souhait.

A très bientôt,

Louis.


A peine a-t-il eu le temps de souffler sur la missive pour la faire sécher qu'on l'appelle dehors. La voix est loin d'être inconnue, même s'il est vrai qu'il l'a peut côtoyé. Natys... l'un des Frères de Lestat, à défaut d'être le sien, parce qu'on ne peut pas se prétendre Frères lorsqu'on ne fait rien les uns avec les autres. Lorsque Louis était maire de Mende, Natys était le Sans-Nom seul sait où, lorsqu'avec les Ecorcheurs, ils allaient en "cueillette"... Natys s'installait et briguait un mandat de maire... lorsqu'ils étaient venus en Lorraine avec fatum, Natys n'avait pas voulu suivre, et maintenant qu'ils y étaient avec l'empereur, encore une fois, Natys était à contre-courant, voulant piller. A n'y rien comprendre. D'ailleurs, Le Gaucher avait abandonné depuis longtemps, se contentant de le saluer, et du respect dû à la famille de Lest. Ca s'arrêtait là. Jamais ils n'avaient eu de discussion, Natys et lui, deux inconnus ou presque, même si pourtant, ils se connaissaient...

Sortant de la roulotte qui ne roule plus guère, Louis s'approche de Natys.


Je suis là.

Et de rester prudent, parce qu'il connaît l'oiseau, pas parce qu'aucune arme n'est visible qu'il n'y en a pas.

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Natys
Le ténébreux n'attendit pas longtemps que le gaucher sorte de sa roulotte.
Il ne se leva pas tout de suite, se contentant de fixer Louis en faisant tourner la dague dans sa main.
Le campement était désert, le calme qui y régnait faisait peine à voir. Mais qu'était devenue le joie de vivre au sein des écorcheurs? Quand avaient-ils cessés de rire?
Depuis combien de temps les trois frères ne s'étaient pas cuités ensemble?
Cela faisait une éternité du point de vue du ténébreux.

Louis était là devant lui, le Capitaine Louis Track en personne. Natys ne le connaissait que peu. Sans doute n'avait-il pas souhaité le connaitre. Il n'en avait pas ressentit le besoin, pas comme avec Kamy, pas comme Zyv, pas comme Kalum et pas comme Vlaad. Natys regrettait vraiment le temps de la fondation du clan. Était ce l'évolution qu'il n'avait pas digéré? De toute manière on ne pouvait pas changer le passé, ce qui était fait, était fait.

Natys sortit une pomme rouge écarlate de sa manche et en croqua une bonne partie avant de se lever. Louis tenait ses distances, il se méfiait sans doute de la visite Natyssienne. Le ténébreux s'avança doucement du Capitaine.
A un bon mètre cinquante de lui, il lança légèrement la dague en l'air pour la rattraper par la lame. Sans hésitation il la tendit à Louis.

Tiens, je crois que tu as oublié ça en taverne tout à l'heure. C'est une bien belle lame...
Le_g.


Natys semble prendre autant son temps que lui, et Le Gaucher l'observe. Il patiente, s'arrêtant à plusieurs pas du ténébreux. Ils se jaugent, sans doute. Il sait qu'il est l'un des derniers arrivés au sein des Ecorcheurs et que certains comme Natys n'ont pas aimé qu'il gravisse si vite les échelons. Il se souvient qu'il en avait parlé à Lest, disant qu'il pourrait suivre en aveugle un temps, mais le constat était là. Vlad disparaissait de longs mois, revenait jouer les Grand-Maîtres une fois que les autres avaient fait le boulot, revenait sur les paroles données par les Maîtres... s'en était suivi un coup d'état si l'on peut dire. La suite avait suivi d'elle-même, les absents supportant mal de ne pas retrouver leur place après des mois et des mois de silence, c'était du moins la version de Louis, ce qu'il avait vu. Il n'avait pas voulu ça, mais c'était arrivé, la fougue de la jeunesse contre la mollesse des aînés.

Lorsqu'il joue avec sa dague, Le Gaucher le regarde et esquisse un sourire, pas vraiment terrifié, a priori, c'est pas le but de Natys. Il se méfie toujours, mais décide de ne pas ajouter à la tension qui existe, sentant les regards de plusieurs Ecorcheurs dans son dos.


Oui, une belle lame... de Tolède.

S'approchant alors, il pose la main droite sur la garde, et hoche la tête.

Merci de me la rapporter. Elle pourrait bien me servir, un de ces jours.

Ne voulant pas lui couper la main, il ne la retire pas, tant que Natys n'aura pas ouvert ses doigts sur la lame. Pourquoi cette sorte de respect ? Il n'en sait rien. Sans doute parce que l'homme qui lui fait face est celui qui est un Frère pour Lest, sans doute parce qu'il a l'impression de voir une famille voler en éclat et qu'il ne sait pas quoi faire pour empêcher ça, gardant pour lui certaines choses.... Allez savoir. Pour l'heure, il ne dit rien, la conversation entre eux a toujours été difficile, et il ne voit pas ce qu'il pourrait dire. Il ne peut qu'acter ce qui se passe, sans pouvoir vraiment intervenir entre les Frères, même si voir ça le désole, mais s'il avait un parti à prendre, ce serait celui de Lest.


Je vois qu'elle n'a pas servi.


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Seth.
Au campement à un moment donné...



Pleins de choses se passent dans un groupe et lorsque famille se mêle à groupe c’est pire.

Donc pleins de choses c’étaient passé, pas besoin de revenir dessus, les aventures de tout à chacun était conté par les ragoteurs du coin.

La brune majestueuse et le blond encore plus majestueux semblaient de retour au campement.
Ils avaient eu le temps de se lier, puis de s’apprendre, puis de s’accepter et enfin de faire avec.
Le gouape en est fou amoureux de sa brune, seulement avec la carapace qu’il s’est construit, comparable à une porte de prison, difficile d’exprimer l’amour qu’on porte pour quelqu’un.
C’est dans la jalousie, l’autorité et la possessivité qu’il lui avouait son attachement.

Khalan a du caractère et s’est à peine arrivé qu’ils se disputent la place au soleil.

« Bien mets ta roulotte au soleil ! Va ! De toute façon j’y suis tous les jours… »

Le gouape observe un moment le campement et toutes les personnes qui s’y affairent.

Regard sombre ténébreux sur Louis qui papote avec Nathys. Il est inquiet, a peur que ça dérape, connaissant les pensées du sanglier, faucon.
Lest n'est pas loin, un hochement de tête vers son frère de roux.
Heureux de les sentir à nouveau près de lui.
Pel lustre son luth, et, le blond ira le saluer de plus près lorsque tout sera bien rangé ici, parce que le rangement c’est important.
Les sœurs dandinent leur fesses et se trémoussent en rire près du feu. Djazia n’a pas changé, toujours aussi jolie.

*Coucher c’est tromper ?*

Le campement s’est fourni, pleins de têtes étrangères et des froufrous pour les habiller… La famille de L’Empereur sans doute.
L’escorte semblait leur plaire, et la famille de l’Empereur convaincu par les capacités de ses frères. Le blond en était heureux. Se faire ce genre d’amis après tout, on ne va pas cracher dans la soupe.

C’est un Seth dans son coin avec une Gwenn déchainé qui trotte partout.

« Khalaaaan TA fille n’écoute rien… Elle va finir par se faire mal ! Bon Gwenn !! Viens par-là maintenant ! Tu veux un bonbon ? »

Il parait que ça marche à tous les coups…

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Il est inutile que tu cherches des défauts en moi, je les ai tous.
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