Alaric_
Chapitre I: Un Voyage comme un autre
il est minuit, en cette nuit du 22 au 23 Avril 1461...
Au loin, la lune éclaire paisiblement les collines du Gevaudan. La ruisseau Rieucros coule tranquillement comme à son habitude, et à Mende, on n'entend plus rien... La ville s'est endormie....
Tout à coup, une porte s'ouvre, et la lumière qui illumine l'intérieur vient mourir au dehors. Une ombre se dessine petit à petit, et sort. Il s'agit d'un homme tout de noir vêtu, encapuchonné. On devine à peine ses traits. Il est suivi d'une dame qui a l'allure d'une duchesse, mais la démarche assurée d'une aventurière. L'homme part vers les écuries, tandis que la femme remonte dans les appartements... L'homme revient avec des chevaux, tous scellés. La femme, elle, revient avec une jeune fille, qu'elle place sur un des chevaux avant de se placer en amazone derrière elle. Lhomme enfourche son propre destrier, et les voilà parti. Arrivés au corps de garde à l'entrée de la ville... aucun garde pour les accueillir? A croire que l'Homme a sagement calculé le moment où les gardes allaient jouer au cartes... Tout est fait pour ne rencontrer personnes. Voilà donc nos deux cavaliers lancés au galop dans la nuit...
Arrivés à la lisière de la forêt, ils ralentissent le pas de leurs montures... C'est alors que l'Homme entame une discussion:
Nous voilà en sécurité... Tout le monde va bien?
La femme lève les yeux au ciel, et lui répond:
Ombre... on est parti il y a 15 minutes... vous pensez qu'il nous est arrivé quelque chose en si peu de temps?
L'ombre lève les yeux au ciel...
Quel poésie dans vos paroles... Un bel exemple pour votre fille...
Tout à coup, une question semble le chiffonner...
Au fait... Votre fille... Qui lui montre l'exemple? Y a t'il quelqu'un qui lui apprend, hors mis vous, à lire, écrire, ou autre savoir qui pourraient lui être utiles?
Lhomme regarde la femme, se demandant s'il a bien fait de poser la question...
il est minuit, en cette nuit du 22 au 23 Avril 1461...
Au loin, la lune éclaire paisiblement les collines du Gevaudan. La ruisseau Rieucros coule tranquillement comme à son habitude, et à Mende, on n'entend plus rien... La ville s'est endormie....
Tout à coup, une porte s'ouvre, et la lumière qui illumine l'intérieur vient mourir au dehors. Une ombre se dessine petit à petit, et sort. Il s'agit d'un homme tout de noir vêtu, encapuchonné. On devine à peine ses traits. Il est suivi d'une dame qui a l'allure d'une duchesse, mais la démarche assurée d'une aventurière. L'homme part vers les écuries, tandis que la femme remonte dans les appartements... L'homme revient avec des chevaux, tous scellés. La femme, elle, revient avec une jeune fille, qu'elle place sur un des chevaux avant de se placer en amazone derrière elle. Lhomme enfourche son propre destrier, et les voilà parti. Arrivés au corps de garde à l'entrée de la ville... aucun garde pour les accueillir? A croire que l'Homme a sagement calculé le moment où les gardes allaient jouer au cartes... Tout est fait pour ne rencontrer personnes. Voilà donc nos deux cavaliers lancés au galop dans la nuit...
Arrivés à la lisière de la forêt, ils ralentissent le pas de leurs montures... C'est alors que l'Homme entame une discussion:
Nous voilà en sécurité... Tout le monde va bien?
La femme lève les yeux au ciel, et lui répond:
Ombre... on est parti il y a 15 minutes... vous pensez qu'il nous est arrivé quelque chose en si peu de temps?
L'ombre lève les yeux au ciel...
Quel poésie dans vos paroles... Un bel exemple pour votre fille...
Tout à coup, une question semble le chiffonner...
Au fait... Votre fille... Qui lui montre l'exemple? Y a t'il quelqu'un qui lui apprend, hors mis vous, à lire, écrire, ou autre savoir qui pourraient lui être utiles?
Lhomme regarde la femme, se demandant s'il a bien fait de poser la question...