Andrea_
[ Quand on arrive en ville...]
La vie dans la peau d'une comtesse est quand même bien plus simple que dans celle d'une brigande.
Là où la chiasse devait passer incognito -quitte à parfois ramper en mode furtif-, elle peut désormais lever le museau, décliner son identité et même tenter une petite blagounette de son cru.
Alaric, lui, est plutôt du genre " tendu" comme bonhomme. On évite de rire, on évite de plaisanter, on ne fait pas de grimace, on évite de sourire, et surtout, on économise sa salive -dans tous les sens du terme, je vais y revenir-.
Les affaires sont rapidement montées dans la chambre, Victoire est confiée au soin d'une nourrice, ce soir elle prendra son bain et dormira avec un autre enfant de son âge, le but étant de ne pas en faire une sauvage. Maman a d'autres projets...
On ne repousse pas la Colombe. Jamais. Elle ne supporte pas ça. Elle n'a jamais supporté qu'on lui dise non, qu'on ne cède pas à ses caprices. Elle ne supporte pas qu'on lui refuse un biscuit, une tenue, un baiser. Elle déteste ne pas avoir le dernier mot. Elle a toujours été comme ça, et ce n'est pas Ombre qui changera cet aspect de sa personnalité -pas ce soir du moins-.
Le trajet s'était déroulé sans un mot, Madame en mode "boudeuse", Monsieur en mode " boude j'm'en fiche".
Pourtant lorsque la porte se referme, la Belle accule * l'Ombre contre la porte. Un soupir contre la peau de son cou et voilà l'Ombre qui perd pied.
Tu ne peux pas fuir Ombre, et crois moi, ma vindicte n'est pas terminée.
Il est temps que vous soyez à l'aise avec votre corps. Je vais rester habillée et toute cette auberge pensera que j'ai pris mon pied comme jamais. Prêt ?
Et la respiration de se saccader alors que le visage s'allume d'un sourire en coin.
Oh RIC' !
Allez Alaric, c'était ça ou le coup de la migraine.
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La vie dans la peau d'une comtesse est quand même bien plus simple que dans celle d'une brigande.
Là où la chiasse devait passer incognito -quitte à parfois ramper en mode furtif-, elle peut désormais lever le museau, décliner son identité et même tenter une petite blagounette de son cru.
Alaric, lui, est plutôt du genre " tendu" comme bonhomme. On évite de rire, on évite de plaisanter, on ne fait pas de grimace, on évite de sourire, et surtout, on économise sa salive -dans tous les sens du terme, je vais y revenir-.
Les affaires sont rapidement montées dans la chambre, Victoire est confiée au soin d'une nourrice, ce soir elle prendra son bain et dormira avec un autre enfant de son âge, le but étant de ne pas en faire une sauvage. Maman a d'autres projets...
On ne repousse pas la Colombe. Jamais. Elle ne supporte pas ça. Elle n'a jamais supporté qu'on lui dise non, qu'on ne cède pas à ses caprices. Elle ne supporte pas qu'on lui refuse un biscuit, une tenue, un baiser. Elle déteste ne pas avoir le dernier mot. Elle a toujours été comme ça, et ce n'est pas Ombre qui changera cet aspect de sa personnalité -pas ce soir du moins-.
Le trajet s'était déroulé sans un mot, Madame en mode "boudeuse", Monsieur en mode " boude j'm'en fiche".
Pourtant lorsque la porte se referme, la Belle accule * l'Ombre contre la porte. Un soupir contre la peau de son cou et voilà l'Ombre qui perd pied.
Tu ne peux pas fuir Ombre, et crois moi, ma vindicte n'est pas terminée.
Il est temps que vous soyez à l'aise avec votre corps. Je vais rester habillée et toute cette auberge pensera que j'ai pris mon pied comme jamais. Prêt ?
Et la respiration de se saccader alors que le visage s'allume d'un sourire en coin.
Oh RIC' !
Allez Alaric, c'était ça ou le coup de la migraine.
* : vous n'êtes pas joueur...
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