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[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

pnj
La Baronne de Fol entra au bras de son époux. Elle lui jettait des regards de reproche. Comment avait-il pu laisser Fairy entrer seul, comment la retrouver avec tout ce monde? Vraiement il l'enervait, en plus elle l'avait prévenu qu'elle porterait robe crème et verte qu'il fallait qu'il fasse en sorte de s'assortir. Mais il avait opté pour une tenue bleue. Bleu vert et crème, rien n'allait ensemble. At fur et à mesure qu'elle remontait l'allée elle dévisageait tout le monde espèrant voir la frimousse de sa princesse.
Son époux la tira vers 3 places libres sur un banc, elle resista et le fusilla du regard.

Tu n'oublierais pas que fairy est dans cette foule seule perdue! pas question que je pose mes fesses tant que je ne l'ai pas près de moi!
Elle commençait à penser au pire, elle aurait pu être enlevée, battue. non impossible elle aurait beuglé et on l'aurait entendu. elle continuait de srcuter les bancs place par place quand son regard arriva au premier rang.
Nom d'Aristote! Elle est là bas! devant! Avec le fils de la comtesse! Mais c'est pas possible hein, comment je fais moi?
Elle commença à faire des signes en direction du premier rang, elle agitait la main, faisait des moulinets recommençait. Fairy impatiente de voir la belle mariée se retourna pour voir son entrée. Elle vit sa mère, lui fit un coucou de la main avec un grand sourir. La baronne vit sa fille se penché vers le fils de la Comtesse puis disparaitre.
Ginger, elle est directement en train de parler avec le fils de Neb!
Puis le minoi de la petite apparu à l'autre bout de l'allée de bancs choisi par Ginger.
Viens t'assoir là et tu ne bouges pas, la Comtesse va arriver. Enfin j'espère.
Zalina
Et bien, ma Dame, que me vaut l'honneur d'estre vostre voisin en cette cérémonie ? Vous estes ravissante en cette journée, et vous attirez les regards de toute cette Cathédrale comme une fleur orpheline au milieu d'une pelouse.
Bon, j'espère que t'en as profité, des discours comme ça, t'en auras pas tous les jours ! Mais quand même, jamais je n'aurais pensé te voir habillée de la sorte ... ça va, tu supportes ?


Zalina écouta son Frère en levant simplement un sourcil. Ainsi donc il avait décidé de la faire tourner en bourique ? Et bien non. C’était le mariage de Stannis. Elle ne crierait pas, ne s’énerverait pas et resterait sage toute la cérémonie. Elle le devait bien aux futurs mariés.

J’en ai profité, mon Frère. Et ne t’avise pas de recommencer de sitôt. Gardes donc çà pour quelques damoiselles que tu croiseras plus tard dans la journée.
Et pour répondre à ta question… Difficilement. Ces corsets sont une torture. Je ne rêve que de reprendre une armure. Mais ce cher Stannis vaut bien un petit sacrifice… juste pour quelques heures.


Zalina n’eut pas le temps de plus discuter avec ses amis. Baillant arrivait enfin.
Comme à son habitude, la Petite Peste s’assura qu’il allait bien. Pas de blessure apparente, pas de canne pour marcher… Il semblait plutôt bien se porter.
Visiblement très en forme même. Lui aussi voulait la mettre en colère. Non, la Petite Peste a décidé de se mettre en grève aujourd’hui. Elle ne s’énerverait pas. La Poitevine se contenta d’hausser les épaules et tourner les yeux vers l’allée. S’il ne voulait pas la voir, et bien elle non plus. Na.

Dans l’allée justement, une petite tête bien connue vient d’arriver. Adrian !! Mais sans maman protectrice ? Le jeune Vicomte avait bien un garde mais que Daresha l’ait laissé seul, ce n’était pas dans ses habitudes. Surtout avec un seul garde. Le pauvre homme.
Zalina se promit de garder un oeil sur le gnome pour éviter toute tentative de fuite qu’il aimait tant. Elle le regarda, amusée, traverser la Cathédrale et aller s’installer tout devant. Digne fils de son père celui là.

Puis la valse des salutations reprit. Signe de tête au couple Icie-Gaelik avant de reporter le regard sur le Tonton indigne. Toujours pas envi de la voir ? Elle va jouer les fantômes alors ?
Tant pis… Nouveau signe de tête et sourire à Sibella et Azdrine. Ils sont en vie tous les deux. Petit soupire de soulagement. Elle ne les avait pas revu depuis le départ de Montmirail.
Maathis
Descendant du coche de la baronne de Mervans et dame de Meyssac, c'était effectivement Athanase Maathis, le baron de Mellecey, son suzerain, qui l'accompagnait. Deux fois qu'il faisait le voyage en Limousin en quelques semaines. Par bonheur, cette fois-ci, une douce nouvelle en était l'objet, le mariage de dame Nebisa, qu'il avait connu lorsqu'il dirigeait la diplomatie bourguignonne et de messire Stannis dont on lui avait dit beaucoup de bien.

Il n'oubliait pas son ami Milamber qu'il avait porté en terre quelque jours auparavant, pour Maathis, il avait été un ami proche... Et être en Limousin était nécessairement penser à lui. Avant de rentrer en Bourgogne, il ferait le voyage de Tulle, pour aller sur la tombe, il savait qu'il le devait...

Puis se consacrant entièrement à l'objet de sa venue, il offrit son bras à la baronne de Mervans pour rejoindre leur place parmi l'assemblée des fidèles et des invités, dont ils avaient l'honneur d'être, et ils montèrent les marches, suivis de Mathilde portant Aliénor dans ses bras.

Entrant dans la nef jonché de lys blancs, ils s'avancèrent jusqu'aux stalles des nobles avant de s'installer confortablement pour suivre l'office.

C'est un sourire aux lèvres qu'il regarda la foule assemblée et qu'il salua discrètement ceux ou celles qu'il avait le plaisir de connaître, au nombre desquels se trouvait notamment dame Sibella et messire Guillaume de Lasteyrie...

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Guilhem*
|Le jeune homme reste un instant pensif puis sourit doucement, s'asseyant avec Aliénaure, un peu timidement. Il sourit amusé et hausses des épaules alors qu'elle lui parle de sa marraine.

« Hum, ça je n'en sais rien, marraine ... elle sera plus qu'un peu nerveuse je crois » Le jeune homme à un sourire faible. « j'espère que notre présence saura la soutenir dans sa décision. Je l'espère ... ma présence la parfois aidé ... enfin, moins que je l'aimerais je suppose » petit soupir.

Il se tourne vers Barahir un instant et sourit doucement. « Bien sur que je vais bien » gardant son doux sourire. « Je suis vraiment très heureux pour marraine. Cette journée est particulièrement radieuse je le pense bien » Guilhem se tourne à nouveau vers Aliénaure, un peu rêveur.

« Messire Stannis ... Oh... Hum ... je ne le connais qu'un peu de vue ... alors je ne saurais pas trop dire ...
» il rosit légèrement de son ignorance. « Mais je n'ai du le croiser que deux fois en tout et pour tout alors ... »
Phillau
Dans la cathédrâle


Phillau avait vu le sourire, certes faible, mais présent sur les lèvres froides de sa cousine. Cela faisait longtemps qu'il n'en avait vu de si faible mais de si expressif. Le masque de sa cousine commençait à s'ouvrir et Phillau était fier d'en être l'ardent ouvrier.

Ils venaient de s'asseoir sur un banc, au plus près de l'hôtel et la traversée de la nef, fastitdieuse avec l'afflux des badots permit de toucher du doigt l'ampleur de la réception.


J'ai la vague impression que nous ne serons pas seul.

Notre cousin, LouisHubert, doit venir n'est-ce pas ? Cela va faire fort longtemps que je ne l'ai point vu.


Phillau retira sa veste portée à la hussarde, un des reste de la campagne bretonne qui l'avait marquée.
Juliette
Juliette prit le bras de Maathis et le suivit jusque dans la nef où ils trouvèrent place.

Elle reconnu à son tour le neveu de son époux, Guillaume. Elle ne savait pas trop si son beau frère serait là. Elle n'avait pas eu le temps de lui écrire dernièrement. Le Limousin lui devenait de plus en plus famillier, elle ressentait moins de timidité à y venir.

Ses yeux se portèrent sur la décoration, les mariés se faisaient désormais attendre.


dites moi Baron, connaissez vous du monde ici?
Maathis
Maathis répondit à voix basse à Juliette avec un sourire amusé :

Oui, baronne, j'ai travaillé avec dame Nebisa et dame Sibella quand j'étais chambellan de Bourgogne. Et votre époux m'avait présenté sa famille et notamment son neveau que j'aperçois, lors du baptême d'Aliénor à Amboise, après la joute, vous en souvenez-vous ?

Le baron de Mellecey se reprit et affecta de regarder si d'aventure il ne lui était pas loisible d'apercevoir l'un ou l'autre des mariés.
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-fromFRAlienaure
Aliénaure regarda le jeune homme et pressa doucement le bras sur lesquels ses doigts étaient toujours posés. Si le geste avaient été naturel, presque instinctif, se rendre compte qu'elle le touchait toujours la troubla.
Ni l'un ni l'autre n'avait semblé trouver à redire à cet état de fait. C'était... étrange et pourtant, elle ne retira pas sa main pour autant.


Maman... , commença-t-elle en tentant de cacher son émoi, parle souvent de vous et en termes très élogieux. Elle vous apprécie énormément, savez-vous? Alors je ne doute point qu'elle sera ravie de vous voir si près d'elle en cet instant.

Puis elle tourna légèrement la tête vers l'autel.


Quant à mon futur beau-père..., léger soupir, disons que je suis heureuse de partir parfaire mon éducation à Paris auprès de votre mère... Nous n'avons pas vraiment... d'affinités communes. C'est plutôt une certaine tolérance.
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Lulue
Effervescence pour les derniers préparatifs, puis tout à coup, panique qui vient se rajouter en réalisant que le 26 signifiait également le mariage de l’une de ses sœurs. Lulue laissa donc son futur époux au milieu du bazar et fonça en direction de Limoges. Petit halte dans la nuit à Sarlat, chez sa filleule.

Arrivée devant l’église. L’émotion est grande et son regard cherche un visage connu. Ne trouant pas satisfaction à son souhait, la jeune femme entra dans la bâtisse. Petit regard à droite et à gauche, puis grand sourire en reconnaissant Escalibur.

Lucie s’approcha discrètement et prit place à côté d’elle.


Bonjour marraine… hum on dirait que pour une fois tu es à l’heure…

Sourire taquin et petit rire retenu…

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-fromFRAnn
C'était pas possible un froid pareil. Invraisemblable. Avec une chieuse pareille à la tête du Comté, même pas foutu de faire chauffer la chapelle? Ils avaient interet à faire en sorte que ça change, sinon elle faisait désateller les chevaux et elle les mettait autour d'elle. Ca pour sûr, elle aurait de la chaleur. Tiens et puis d'ailleurs, elle aurait du venir à cheval dans l'Eglise. Une bonne paire des braies, des cuissardes et vas-y mon kiki, c'est moi qui conduit c'est toi qui klaxonne et roule ma poule!
Ou alors, elle allait allumer quelques petits feux de joie ici et là. genre cette espèce d'étole de brocard que portait l'autre enturbanné là-bas à gauche. Où l'espèce de choucroute-merguez de la dinde assise au troisième rang.
Et puis ça mettrait de l'animation mine de rien. Parce qu'en plus de geler les miches, y a avait pas grand chose à voir mine de rien. Comtesse et Baron faisait leurs précieux et invités qui tappaient la causette façon réunion tuperwares. Pfff. Et le curé tiens? Il était où celui-ci? A causer avec la bonne soeur qui officiait peut-être?
Ah vlà t-y pas que ça commençait sévère à lui courir sur le haricot c't'histoire.

Mais... mais... mais... c'était son fils là qui entrait là. Avec Aliénaure cramponnée à son bras comme une moule sur son rocher. Bizarrement d'un coup elle eut très chaud, et sentit ses joues s'emprouprer brutalement façon homard au court-bouillon. Non, mais alors là... avec toute l'affection qu'elle avait pour sa filleule, ça n'allai certainement pas se passer comme ça! Et puis quoi encore? Marié, deux enfants peut-être? Une situation stable et un petit castel en périphérie parisienne?
Grmblblblbl. Et puis c'était quoi ce décoletté? On voyait toutes ces épaules. Ca, il était hors de quetion que ça passe aussi. Elle veillerait personnellement à ce qu'Aliénaure soit envoyé ponto presto rapido et pesto rosso en couvent, et que Guilhem retourne étudier les lettres en Pologne! Et il reviendrait en France lorsqu'il aurait 43ans et qu'il aurait déjà bien vécu en tant que Pape... Tiens c'était un bon plan de carrière ça. A creuser. En plus Kreuz pourrait peut-être le pistonner...

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Transat en cours de réféction
Escalibur2
Escalibur s'était installée non loin de la nef et voyait les différents invités du mariage entrer dans la cathédrale et s'installer. Au bout de quelques minutes à observer les différentes personnes, son esprit commenca à errer en attendant le début de la cérémonie. Tout d'un coup une voix familière se fit entendre juste derrière elle et la fit sursauter :
Bonjour marraine… hum on dirait que pour une fois tu es à l’heure…

Cette voix, c'était celle de Lulue, sa filleule au sein de l'Ordre des Dames Blanches. Une fois remise de sa surprise elle lui sourit, lui fit la bise et lui dit :
Et bien, en voila une manière de parler à sa marraine. En retard moi ? Où as-tu vu çà ?

Elle lui fit un clin d'oeil et lui chuchote :
Chut !!! Ils ne sont peut-être pas au courant de mes retards légendaire ici !!! Avec un peu de chance, ils ne s'en rendront peut-être jamais compte.

Installes-toi donc à côté de moi et racontes-moi comment se passent les préparatif de ton mariage à toi en attendant le début de celui de Nébisa
, suggéra-t-elle à voix haute.
Tiboulola
Comme d'habitude, Lola faisait ses allés retour entre le Château de Limoge, l'Hospital et Bourganeuf. En se dirigeant vers l'Hospital du coeur du Limousin elle trouva qu'il y avait bien foule en ce moment. Elle se demanda ce qui pouvait bien ce passer en ce jour. Elle n'eut même pas besoin de demander, les commères de la ville ne firent pas discrète sur le mariage de la Comtesse de Malemort.
Mais oui !!!! Qu'elle andouille, comment avait elle put oublier cela. Depuis des semaines, les gens ne parlaient que de ça. Elle fit demi tour, l'Hospital tournerait un jour sans elle, elle devait se rendre au domaine de Bellegarde en Marche.
Après une bonne heure de chevauchée, une alerte générale dans le domaine, elle se retrouva dans un bain, la robe demandée sur une chaise et Aicelina munit de plusieurs objets. Après des ablutions rapides, elle enfila sa robe et confia son visage et chevelure a Aicelina.
A l'extérieur, elle entendit Lyen sortir la voiture et les chevaux. Une fois prête, maquillée, coiffée, parfumée, Lola grimpa dans la voiture et refit le chemin inverse.
Les cloches de la cathédrale sonnaient déjà, des embouteillages c’était formé à l'entrée, c'était vraiment la folie. Elle fit arrêtait Lyen et décida de faire les derniers mètres à pieds.


Attends moi au coin de la rue.

Lola reconnut beaucoup de ses amis mais aussi des personnes de l'extérieur. Avec ce mariage, les forces de polices du Limousin avaient intérêt d'être en forme, les brigands allaient en profitaient. Elle rentra dans la cathédrale. Elle se rapprocha d'Alcy, de Sinjid et d'Eowin.

Bonjour ! Vous allez bien ?
J'ai cru que je n'allais jamais arriver avec ce monde.
J'espère que je n'ai rien loupé !
Juliette
Toujours en chuchotant, elle répondit à Maathis.

Oui je m'en souviens! et j'avais oublié que la diplomatie vous avez fait aussi connaitre des personnes ici. que c'est loin tout cela. du monde arrivait.
Fauconnier
Voila, main'ant qu'il est assis sur son banc, il fait quoi? Bon question. regard à sa droite, ça papotte. Regard à sa gauche, ça repapotte. Regard dernière soit en tournant sa caboche au risque de se coincer le cou, ça rerepapotte. Regard devant soit, ben ça rerererepap... Ah ben non. Y a rien fait.

Balancement des petites gambettes dans le vide tout en laissant taper ses pieds dans le bois du banc qui se trouve sous ses fesses - ben oui... il est tout devant vous avez oublié? Y pourra rien voir si reste pas devant....
Tac.
Tac.
Tac.
Tac.

On s'occupe comme on peut aussi. Y a rien a faire dans c'te... comment que ça s'appelle déja? Un cat qui râle... Alors un cat... Déjà, y voit pas ce que c'est que ce truc. Et qui râle en plus... Non mais là on tient vraiment le pompom. Encore y dirait trop rien sur le nom si y avait quelque chose a faire. Mais la.. Rien de chez rien! Y a que des gens qu'il connait pas. La Comtesse et ses fichues idées. Elle aurait pu v'nir quand même... Tout ça parce que à cause du bébé elle doit s'reposer. V'la qu'il est pas né et qu'il commence a enquiquiner son monde c'lui la. Une fille, à tous les coups.
Tac.
Tac.
Tac.
Tac.

Ah mais attendez... Y avait bien une tete là... Oui... une joli d'maselle... Ah lala... vi y connait quelqu'un... Et donc notre Vicomte se met debout sur son banc. Ou qu'elle est... Elle était là! Il est sur!

- ZALINAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!
Ben la voila... hey... tu regardes ou pas? Ah.. L'a pt'etre pas entendue... Et me regarde pas comme ça toi vieille peau, j'apelle ma copine.
pnj
Alcy qui prend place à leurs côté, chamailleries entre son tisserand de mari et sa cliente d'amie. Y'a pas idée aussi de se trimballer avec un corset à moitié noué ! Il allait forcément finir par tomber et dévoiler sa "ferme poitrine" comme l'avait fait valoir Neb lors des enchères de la liste PRUNE.

Eowin et Théo au milieu du "champ de bataille", sourirent chaleureusement à Lola qui venait d'arriver, visiblement essouflée.


Bonjour ma chère ! Rassure-toi tu n'as rien loupé, nous n'avons vu ni le futur marié, ni notre chère comtesse et pas de nouvelles de l'homme d'Eglise non plus !... Je me demande si ce mariage finira par avoir lieu !...

(Ljd Sin est absent pour une partie de la soirée)
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