Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 18, 19, 20, ..., 67, 68, 69   >   >>

[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

-fromFRAlienaure
Je ne doute pas un seul instant des enseignements que j'aurais chez votre mère.

Aliénaure espéra un bref instant paraître on ne peut plus convainquante...et convaincue.
Sa marraine avait un comportement pour le moins étrange, ces derniers jours. Depuis le week-end dernier où ils étaient venus à Chabrières, Guilhem et elle, la Princesse n'avait cessé de la regarder étrangement, comme un insecte piqué contre un mur. Sans compter les questions sur son fils, sur ce qu'ils allaient faire pendant ces festivités, et ses tenues.
Comme si elle se méfiait de quelque chose...

Un sourire pensif vint illuminer son visage.
Entre l'attitude curieuse de sa marraine, et celle pour le moins extatique de sa mère quand le prénom de son cavalier sortait de sa bouche...


D'ailleurs, en parlant de marraine, je ne l'ai pas encore vue...
_________________
Enorig
Partie de Ségur et arrivée à Limoges

Le carosse avait roulé à travers la campagne. Ils avaient pensé laisser les deux petits à leur nourrice au Castel de Ségur et ne venir qu'avec Chlodwig. Mais ils avaient fini par cèder à leur supplique et après moultes leçons les avaient emmenés. Les petits assisteraient à la cérémonie et elle espérait qu'ils soient assez sage pour ne pas avoir à les confier aux nourrices qui attendraient sur le coté de la nef au cas ou.
Ils descendirent tous les 5 Chlodwig magnifique dans son habit. Il faisait la fierté de sa mère. Ils entrèrent dans la cathédrale et avancèrent ver le devant et s'assirent près d' Ann.


Bonjour Ann.

Et fit un signe à Guilhem.
pnj
Phillau a écrit:
Notre cousin, LouisHubert, doit venir n'est-ce pas ? Cela va faire fort longtemps que je ne l'ai point vu.[/b]

Phillau retira sa veste portée à la hussarde, un des reste de la campagne bretonne qui l'avait marquée.


Visiblement, la cérémonie mettait plus de temps que prévu à débuter. Chacun, en attendant, interpellait joyeusement amis et connaissance.

Se retournant vers son cousin, elle rebondit en riant sur sa phrase:


Je l'ai vu il y a peu puisqu'il a eu la gentillesse de m'accompagner à un mariage en Champagne? Je l'ai trouvé... ma foi! Songeur! Et je n'ai pu en deviner la cause... A mon grand désespoir d'ailleurs, vous connaissez ma curiosité!

La jeune femme vit arriver près d'elle dame Icie et sourit, ravie de la revoir

Ma dame! Quel plaisir de vous revoir! Bien du temps s'est écoulé depuis notre rencontre en les murs des ambassades poitevines! Comment vous portez-vous?
Shiska
[Parvis de la cathédrale]

Shiska hâta son cheval à la grande joie d’Elysia qui tapait des mains en encourageant le galop du jeune étalon qui faisait voler les pants de sa nouvelle robe dans la brise de cette belle journée. Arrivé au parvis de la cathédrale rempli de personnalités et de badauds, Shiska héla un des jeunes garçons qui attendaient postés devant la cathédrale afin qu’il aille mettre son cheval à l’étable.

Et fait attention à lui petit, il vaut son pesant d’or et il est plutôt fougueux…Vient vite ma puce on va se trouver une place en attendant que maman arrive…

Tandis que le jeune page se débattait avec l’étalon, Shiska mit Elysia à terre et courut avec elle pour se frayer un chemin jusqu'à la cathédrale. Freinage plus ou moins contrôle et agrippement de robe pour arriver à se signer à temps. Le père est aux anges de voir sa fille si épanouis et heureuse et ils échangent tout deux des rires complices en allant à la quête d’une place de premier rang. Tandis qu’Elysia se tâtait pour savoir quel place elle allait choisir, Shiska jeta enfin un regard aux alentours. La Cathédrale était bondée de monde mais il arrivait quand même à décerner des visages connus.

Les merveilleux bien entendu, toujours fidèles au poste. Best qui portait à merveille une robe, oui une vraie robe de moins de 5 ans avec un corset ! Sinjid et Eowin, les deux futurs parents qui semblaient au mieux de leurs formes respectives...Oh tien Syb. Ca faisait longtemps qu’on l’avait plus vu. La jeune Aliénaure et son fameux cavalier…hmm…je comprends mieux pourquoi elle avait envie de plaire la demoiselle…J’espère que je n’ai pas fais une bêtise moi…
Alcy qui porte à merveille sa robe et qui a bien fait attention à elle, ça c’est une bonne chose. Si mon intuition est juste vaut mieux pas courir de risque…Malgré tout il manquait quelque chose ! Bien qu’une grande partie des femmes présentes aient bénéficiées de ses services, il ne voyait nulle part sa plus belle création de la soirée : la robe de la mariée ! Je me dem…


Papa, papa !! Je veux aller là ! Allez vient !

Elysia tirait fermement sur le bras de son père si bien que celui-ci ne put que s’extraire de sa contemplation et suivre la jeune fille en direction de quelques têtes connues…Autant de plus en plus Shiska s’inquiétait de voir sa petite puce grandir et devenir autonome, redoutant de plus en plus l’âge ingrat et problématique que beaucoup lui annonce prochain : l’âge des garçons ! Autant là quand la fillete de 7 ans ne s’occupait que de lui…s’en était épuisant ! Heureusement qu’il y a sa mère…
_________________
Elra
Elra avait décidé que courrier soit délivré à Messire Stannis et Dame Nebisa. Il ne pouvait être présent, étant retenu en Poitou en ce moment. En pleine campagne, au nord du Poitou. Il songeait à ce courrier, souhaitant qu'il arrive au moment voulu.
Il aurait souhaité être présent pour ce grand événement. Il n'aurait voulu le manquer pour rien au monde pensa-t-il... Pour rien au monde...Seulement le destin en avait décidé autrement. Il ne pourrait être là, il fallait qu'il s'y résigne. Il imaginait le coursier remettre missive à Messire Stannis lorsque celui-ci serait disponible, lorsqu'il aurait le temps de la lire. Peu importe, il espérait que Messire Stannis et Dame Nebisa ne lui tiennent rigueur de son absence.


Citation:
Messire Stannis, Dame Nebisa,

C'est avec regret que je ne pourrai assister à votre union qui doit se dérouler ce jour.
J'aurai souhaité être présent et partager cette joie avec vous. Le destin du Comté du Poitou en a décidé autrement.

J'espère avoir d'autres occasions de pouvoir vous rencontrer, puissent-elles survenir bientôt.
Le Comté du Poitou me retient en ses frontières, j'espère que vous excuserez mon absence qui répond à des impératifs et non à un manque de politesse.

J'espère que cette union se placera sous les meilleurs auspices et vous offrira la joie de vivre ensemble avec la bénédiction de l'Eglise aristotélicienne.
Je ne manquerai ce jour de faire prière pour votre union.

Puisse Aristote se porter garant de votre volonté d'être uni et de veiller à la solidité de votre future couple.

Cordialement.



Haverocq Chénaneguène dit "Elra"
Comte du Poitou.
Nebisa
Toujours dans le coche comtal...

Je suis pas sure que ce soit une bonne idée... Ce matin j'ai vu un cochon s'échapper du baillage et cochon du matin, chargin ! Non c'est pas ça le proverbe ? Mais quand même, c'est inquiétant... Celà signifie que les clotures ne sont pas entretenues et pas sures. Je ne peux pas me marrier avec des clotures dans cet état ! Ce serait faillir à mon devoir ! Le peuple ne me le pardonnerait pas !

De piétres excuses en vaines tentatives, les minustes passent... Neb déniche dans son corsage une petite flasque, une flasquounette, de prune et entreprend de soigner médicalement son angoisse avant de remarquer que la foule gronde de plus en plus autour de la Cathédrale.

Faut dire que les routes de la capitales ont été coupées la veille pour permettre aux coches des invités de se ranger et de circuler sans faucher au passage un ou deux vilains à la minutie... Et que la populace locale commence à en avoir gros...

Nouvelle observation, elle entrevoit son promis arpenter le parvis... il compte creuser une rigole ou quoi ? C'est pas lui qui paie les pierres mais c'est pas une raison hein...

Oh il a l'air contrarié... elle aime bien quand il a cet air là... Mais quand même... il pourrait sourrire non ?C'est son mariage aprés tout ! Personne l'a forcé !

Un tilt se fait dans l'esprit Nebisien, la prune ayant quelque peu apaisé l'angoisse... Mais c'est son mariage à elle aussi ! Et elle rate tout là ! Et personne verra sa robe si elle se dépéche pas de ramenner ses fesses comtales ! Et elle aura pas sa nuit de noces ! Et surtout il risque de vraiment se facher cette fois...

Bon j'en ai marre là... T'as envie de l'épouser non ?

Oui bien sur... stupide question... le probléme est pas là...

Alors il est ou godiche ?

J'ai peur !

De quoi ?

Du mariage !

Mais non faut pas ... c'est comme le baptéme ! ça fait pas mal !

Et aprés ?

Ben aprés c'est pareil...Pis si ça fait mal et si ça finit mal ... Y aura eut du bon temps quand même.... Puis tu as connu pire nom d'une pipe !

C'est pas une raison...

Trouillarde...Dégonflée... Péteuse ! La Malemort est une chochote ! La Malemort est une chochote !

Non mais ça va ! Je t'interdit de dire ça !

J'ai le droit, je suis ta conscience, idiote ! Je peux tout dire et toi tu es forcée de m'entendre ! Alors tu vas arrêter de faire l'idiote, tu as fourrer ta cape sur tes épaules et tu vas rejoindre ce poitevin obtu, borné et insupportable et tu vas l'épouser sans faire d'histoire !

Ouais bon ça va... J'y vais ... Pas la peine d'être désagréable...

Emmitouflée sous sa cape immaculée, la Comtesse fait signe à Henri d'ouvrir la porte du coche. Lequel Henri attend depuis prés du heure, planté comme un piquet et s'en trouve légèrement congelé sur place mais bon c'est pas son mariage à lui donc on s'en tape...

Peid à terre, sourrire aux lévres, la Nebisa franchit l'espace entre coche et grosse batisse à vocation religieuse ... Ayez... elle est là... Déjà on est sur qu'elle posera pas un lapin monstreux au pauvre fiancé éploré... si si il est éploré, regardez bien !

_________________
Guilhem*
Le jeune homme sourit légèrement et hausses des épaules, puis secoue la tête délicatement, semble ne pas vouloir trop insister sur le fait qu'Aliénaure allait partir avec Ann, après tout elles auraient le temps de s'habituer l'un a l'autre. Du moins il l'espérait. Il lui sourit doucement, fait semblant de la croire; il avait souvent pratiqué cette méthode avec sa mére, c'était fou ce que cela apportait comme bénéfice parfois. Et ça évitait aussi des discussions longue alors qu'il aurait l'occasion de la convaincre sans doute plus tard.

« Maman ... Bah ... je suppose qu'elle arrivera avec marraine, c'est sa témoin après tout. Oui, c'est cela elle doit être avec marraine, en train de faire je ne sais pas quoi encore » sourire amusé.

D'ailleurs ...Cela commence a faire quelques temps que nous sommes la... je croyais que nous n'étions guère en avance, mais je ne vois pas encore les principaux acteurs ... »
Guilhem reste un instant pensif , puis hausses des épaules.

Apres tout, ce n'est pas comme si attendre avec Aliénaure à ses cotés, sa main sur son bras, lui etait désagréable. Au contraire, d'ailleurs, il aurait aimé peut être rester assez longtemps comme ça, un peu timidement il la contemple un instant rêveur, la dévisageant a moitié timidement. Mais , il semble que la marié se décide enfin à entrer dans la salle, Guilhem tourne le regard dans la direction.
Ursin
Le comte et la comtesse de Comborn après avoir passé une nuit dans le demeure de Nébisa, avait pris la route vers la GRande Cathédrale de Limoge, les chemins étaient mauvais, Le Procureur Génréral pensait que ceux ci n'avaient pas du voir de corvées les rempierrer depuis de nombreux moi, les arbres étaient tristes et même les corbeaux volaient sur le dos pour ne pas voir la misère dans laquelle était tombée le Limousin durant ces quatre derniers mois. Enfin Ursin était rassuré, Nébisa aux commandes du Comté les choses allaient s'arranger, il ne pouvait en être autrement.
Mais il était tout de même perplexe, tout en tenant la main de son épouse il se demandait ce qui avait pu conduire Nébisa à convoler.
bien sur il connaissait Stannis et le savait homme de vertu et d'honneur, mais tout de même Nébisa qui se marriait, il n'en revenait toujours pas.
Le Matin il en avait même confondu son collier du Grand Couvain avec celui de Grand Maitre de l'Hospital....
Nébisa allait se marier.
Décidément le Limousin avait changé.
Enfin c'était avec grande joie qu'il avait repondu à l'invitation qui avait été lancée.
Vetu d'or et de brocard, il avait pour cette occasion unique laissé de coté son habituelle tenue austère de l'ordre Hospitalier.
Avec son épouse ils s'étaient fait tailler deux magnifiques tenues.
Derrière leur carosse cheminait plusieurs voitures contenant leurs bagages.
Il fallait avoir un peu d'éclat pour l'occasion.
Son palfroie ouvrait la marche conduit par un jeune escuyer.
Le comte voulait tenir son rang dans les joutes qui allaient suivre.
La cathédrale Saint Pierre se devinait dans la brûme.
Ursin rajusta sa tenue, et se préparait à parraitre dans le saint lieu.

_________________
Sibella
Sibella et Azdrine pénétrèrent dans la cathédrale se tenant par la main. La beauté du lieu, les immenses gerbes de fleurs, les torches, le soleil filtrant à travers les vitraux faisaient de ce lieu quelque chose de féérique.

Le couple avança dans la nef et alla s'asseoir sur les nombreuses chaises prévues pour les invités.
Alessandr0
Un jeune homme arriva sur le parvis de la cathédrale. Brun et rablé, était vétu d'un grand mantel blanc frappé d'une croix verte, qui couvrait un costume sobre. Sous ses vêtements était cachée une dague florentine, simple mesure de précaution.

L'homme sourit. Voila bien longtemps qu'il n'avait vu le marié. Même de loin, il avait une mine superbe, ce POCHTRON !
Le reconnaitrait-il ? Le Toscan eut un doute : son accent restait méridional, mais s'était modifié. Ses gestes étaient plus guerriers, ses cheveux teints en brun, son visage impeccablement rasé... il était proprement méconnaissable, n'était le symbole sur son mantel.

Cherchant des yeux une pucelle à ses côtés, il s'avança vers le Baron de Chauvigny.


- Salut et prospérité ; auguri e figli mascoli ! Messire de Chauvigny. dit-il en s'inclinant.
Eloin
A peine quittée la Tour de Nesles et les noces auxquelles elle avait accompagné la comtesse, voici que de nouveau elles étaient sur la route, et de nouveau pour une noce. Mais cette fois c'était différent. Dans la litière qu'elles occupaient, malgré des rires nombreux parsemants leurs conversations, se mêlaient une tristesse énorme. L'époux d'Izarra, Raphaël, avait rendu l'âme sur les chemins, à quelques lieues de Beaumont, attaqué par des brigands. La dame de Léard, qui l'accompagnait, aurait certainement la vie sauve dans les jours à venir, mais son état n'était pas encore stabilisé. Izarra essayait tant bien que mal de se distraire pour ne pas se laisser aller à la mélancolie qui la guettait, et Eloin s'employait à occuper ses pensées, activement aidée en cela par Sa Seigneurie Phillau d'Harlegnan, cousin de la comtesse, qui leur faisait le plaisir d'entreprendre ce voyage avec elles.
Elles poussèrent un soupir de soulagement en sentant la litière s'arrêter devant la cathédrale de Limoges, et chacune descendit afin de se dégourdir un peu les jambes. Messire Phillau couvrit les épaules de la comtesse d'une cape, et Eloin enfila la sienne, déposée au début du voyage sur une banquette inoccupée de la litière.
Un léger soupir échappa à la jeune femme lorsqu'elle regarda les hautes flèches de la cathédrale limogeoise. Comment pouvait-on réussir à construire de tels bâtiments? Se demandait-elle souvent. La ferveur des hommes d'église, commanditaires de ces oeuvres d'art s'élevant dans les cieux, la fascinaient toujours.


C'est magnifique. Répondit-elle à Izarra.

Une dame noble s'approcha alors de la comtesse, qui lui répondit avec un sourire. Eloin les laissa discuter, restant un peu en retrait. Elle s'était habituée à laisser la place à sa dame en toutes circonstances, ne prenant la parole que lorsque ses interlocuteurs solicitaient son avis. Elle n'était pas encore assez à l'aise en société pour oser parler sans qu'on le lui ai demandé, mais savait qu'il lui faudrait un jour ou l'autre savoir s'imposer, si elle voulait faire des rencontres et tisser des liens tels que la comtesse en avait lié au fil du temps et des évènements.
Elle avait vécu tellement de choses en si peu de temps. Son arrivée à Beaumont, la rencontre avec la comtesse. Ses premiers repères étaient à peine pris qu'elles partaient pour la Tour de Nesles, assister au mariage du Seigneur de la Veuve et de la dame de Nesles. Puis elles avaient repris la route pour se rendre à Limoges, où elles assisteraient à ce mariage, et ensuite il était prévu qu'elles suivent le cortège nuptial jusqu'au domaine de Ségur, où auraient lieu des joutes et autres amusements. Amusements qu'elle avait d'ailleurs hâte de découvrir, elles qui n'en avait jamais vu de sa courte existence...

_________________

Héraldique
-fromFReliazar
Eliazar s'approche de la cathédrale, son immensité lui fait une grande impression. En réalité, elle n'en a jamais vu, c'est la première fois qu'elle voit un édifice aussi grand, aussi solide, et aussi fastueux.
Son pas se ralentit au fur et à mesure qu'elle approche du parvis. Ses mains tremblent , la tête penchée en arrière, elle regarde le plus haut qu'elle peut de l'édifice, qui semble se pencher vers elle, comme si il allait la faire disparaître.
Pourtant, elle hâte le pas, retrouver Edorazio ! il la protègera, sans nul doute.
Et puis, il lui a si souvent parlé de la demeure d'Aristote, qu'a sa peur se mélange l'exitation...

En montant les marches qui mènent au parvis, elle cherche du regard son bien aimé...

Oû est il ? il y a tant de monde...il faut que je le trouve au plus vite.
Il y a bien trop de gens, et toutes ces femmes dans leur superbe...il doit être en train de bavarder avec l'une d'elle, ou même plusieurs. Il est grand temps que j'arrive on dirait...

Elle essait de se frayer un chemin au travers des gens groupés sur le parvis afin de le rejoindre...sourit de le voir enfin.
elle lui prend gentillement la main, afin de lui annoncer son arrivée.
Louishubert
Et si glissant au travers de la foule, sans réellement passé inaperçu - comment l'aurait-il pu? Il était le Cerf après tout! - le Vicomte à l'adolescence éternelle déambulait en tentant de trouver le reste - aussi glorieux que lui - de sa famille.

Quelque chose agaça son regard de manière terrible. Des yeux bleus, une chevelure longue et un corps terriblement maigrichon et longiligne. Malgré ce défaut inélégant, le pincement au coeur fut terrible et profond: la Princesse... C'était elle... Première fois qu'il la voyait depuis l'évenement de l'Hostel d'Harlegnan, il y a plus de six mois. Oh non, il ne devait pas croiser son regard.

Mais que diable que ce serait ennuyeux s'il repartait tout bonnement sans que cela se fusse, n'est-ce pas lecteur endiablé par mon récit? Alors tout naturellement, leur yeux se croisèrent, et l'expression du Cerf fondit comme cire sous la flamme en un sourire froid, même glacial, et un regard brûlant, même enflammé. Le contraste était tel qu'il en devenait terrifiant. Cette megère, cette terrible megère! Et aussitôt la mini cicatrice qui se résumait à une teinte blanchâtre sur sa joue le piquota terriblement.
pnj
Allées, venues, encore et encore des arrivées... Décidément, ces noces étaient l'évènement du début d'année ! Au fond ceci dit, rien d'étonnant à cela!

Izarra regardait avec curiosoté les invités venus des quatre coins du royaume lorsqu'elle aperçut son cousin de Flandres. Ravie de pouvoir reprendre avec lui le badinage initié en Champagne, elle lui fit un petit signe l'invitant à les rejoindre


Louis-Hubert! Quel plaisir de vous retrouver céans! Venez donc vous joindre à nous!
Louishubert
Louis-Hubert! Quel plaisir de vous retrouver céans! Venez donc vous joindre à nous!

Et il détourna la tête pour voir d'où venait cette voix mieleuse et irrésistible. Il eut tôt fait de réaliser qu'elle venait belle et bien d'une personne portant ces qualités et bien plus encore. Là-bas, sur un banc, la Duchesse et le Seigneur, Izarra et Phillau l'attendait.

Et tel un acteur expert, il changea de masque aussitôt. L'expression se métamorphosa en une bien plus de circonstance portant sourire à pleine dent, yeux légèrement pétillant, rire amusé et tutti quanti. Il oublia cette catin en se promettant de se rappeler qu'il devait règler ses problèmes avec elle.

Poigne de main franche pour le cousin, bien heureux de le revoir. Celui qui était un jeune homme quand il l'avait connu avait maintenant des très bien plus agé qu'alors. Puis révérence et baise-main galant pour la cousine. Et il s'assit à côté d'elle afin de bien pouvoir la taquiner ou, au moins, lui glisser quelques compliments plus ou moins osés.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 18, 19, 20, ..., 67, 68, 69   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)