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[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

pnj
La jeune femme ne put s'empêcher de rire devant la révérence et le baise-main de son cousin. Manifestations on ne peut plus protocolaires, dont au fond elle était peu coutumière. Le voyant prendre place à ses côtés, elle ne put résister à l'envie de le taquiner.

Eh bien cousin, auriez-vous l'intention de réitérer vos exploits champenois et de me faire rire tout le long de la cérémonie?

Coup d'oeil appuyé des prunelles d'émeraude qui avaient retrouvé pour l'occasion tout leur brillant, tandis que la duchesse laissait _ nonchalament? Négligeament? Distraitement? _ courir ses doigts fins le long du bras du cousin flamand, en une agacerie point tout à fait innocente...
Phillau
LouisHubert venait de faire son apparation, la poignée de main amicale passée, il fit une révérence à Izarra ce qui amusa Phillau autan qu'elle semblait l'être.

Il avait vieilli, cela faisait une moins d'une demi-année qu'ils ne s'étaient vu mais il semblait avoir vieilli de deux.

LouisHubert s'installa prêt d'Izarra et Phillau observa un comportement qu'il n'avait que trop rarement vu chez sa cousine ses temps-çi, elle paraissait joyeuse, une jouie qui la faisait jouer comme Aélis dans ses bons jours.


Cela faisait longtemps mon cousin, trop longtemps.

Sa cousine semblait absorber par le bras de LouisHubert, elle en jouait comme une enfant avec ses chiffons

Je vois que je ne suis pas le seul à être heureux de te revoir, tu as fait bon voyage depuis les Flandres ?
Louishubert
Exploits? Pour parler d'exploit, il faut que ce soit difficile, et m'amuser avec une dame aussi intéressante que vous est loin d'être une difficulté, mais tout de même, je comprends le sens de la question, et je vous laisse découvrir vous-même la réponse...

Le ton était joueur, il la regardait avec dans les yeux l'étincelle de l'enfantillage et de la jeunesse quelque peu lointaine. Et elle aussi semblait prise aux mêmes tentations, à la voir s'amuser sur son bras. Il tourna négligemment la tête et sourit joyeusement à sa cousine.

Trop longtemps oui... Vous manquez aux Flandres. Et le voyage, aussi bon que peut l'être un voyage aussi long!
-fromFR~Ilinia~
Ilinia avait remarqué Dame Eowin, de cette fameuse petite soirée pour Nebisa. Elle se dirigea donc vers celle ci, accompagnée certainement de son mari. Sa robe était un peu trop longue peut être non ? effectivement, la robe était en fait pas son habitude, elle préférait de loin ses braies, sa veille chemise... Mais elle ne pouvait pas venir habiller ainsi, surtout pas avec une belle sœur comme Lily et un frère comme Kaz... quoi que lui, aurait préféré que je vienne ainsi. Sa robe était d'un rouge pourpre, avec de la dentelle blanche et quelques perles, elle était loin d'être triste, bien au contraire même. En passant pour rejoindre Eowin, elle regardait les personnes présentes, par Aristote il n'y presque que des couples... Bon tant pis allé ça va aller, imagine la Comtesse dans quel état elle doit être, alors ne te plains pas ! pensa-t-elle

Bonjour Dame Eowin ! Ravie de vous revoir, comment allez-vous depuis... cette petite soirée tranquille ?
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-fromFRAlienaure
Le célébrant n'est visiblement pas disposé à sortir devant nous... Et je me demande ce qu'ils font... Maman n'aurait quand même pas.... Non... Elle n'aurait pas pu tout annuler...

Du moins l'espérait-elle, sinon, il y allait avoir du vent dans les chaumières, ce soir...

Sortant de ses pensées, elle vit que Guilhem la fixait d'un drôle d'air avant de se tourner vers l'entrée.

Haussement de sourcils... Qu'est-ce qu'elle avait?
Sa savante coiffure était-elle en train de lamentablement se défaire, donnant l'illusion d'une déjection bovine sur la tête? Elle porta la main à son crâne pour se rassurer.
Sa robe était-elle en train de se découdre à un endroit ou bien laissait-elle montrer quelque chose de fort peu convenable? Brusque bouffée de chaleur, examen minutieux de la toilette. Rien.
Avait-elle dit une ânerie sans s'en rendre compte? Cela était bien possible, étant donné qu'elle les accumulait depuis leur rencontre. Elle essaya de se remémorer ses derniers mots. Oh oui, elle avait abordé son enseignement chez sa mère! Sujet neutre, donc...
Alors qu'avait-elle bien pu faire pour mériter que ses yeux se posassent plus que de raison sur elle?

Se mordillant la lèvre, elle se tourna vers l'entrée.

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-fromFRAnn
Sourire éclatant émail diamant à la cousine adorée. Sans ambages, elle serra Enorig contre son coeur, plaqua un baiser sur la joue de Flaminien, ébouriffa la tignasse de Chlodwig -qui n'était après tout encore qu'un gamin- constata qu'elle en avait encore 2 à saluer, trouva la famille nombreuse, haussa un sourcil, et:

Mais, c'est vrai que vous en avez re-pondu! Sybille & Frédéric-Guillame n'est-ce-pas? Et toi Sybille... tu es ma filleule!

Relevant les jupons d'une main, elle s'accroupit devant les bouts de chou déjà si grands et déposa un baiser ailes de papillon sur chaque joue...

Dieu qu'ils sont beaux.

Relevant les yeux vers Eno et Flam', son regard se fit plus intense. Corseté à l'étouffé, elle était enceinte d'une petite vie chancellante qu'elle tentait maladroitement de protéger... sans savoir si réellement elle le voulait... après tout... un autre enfant sans père... Mais à l'heure d'aujourd'hui, nul ne le savait et même si son tailleur avait constaté l'apparition de rondeurs appétissantes il n'avait su en décéler la cause ailleurs que dans son amour immoderé pour les massepains. Son secret resterait bien gardé jusqu'à ce qu'elle décide de le révéler...
Se redresant, elle laissa retomber la chatoyante masse de ses jupons en un froufroutis doux, et s'apprêtait à rattrapper le temps perdu de ces années passées sans nouvelles lorsqu'elle croisa un regard...
CE regard... SON regard...
Les yeux d'azur se firent de glace, le corps se raidit, la machoîre se crispa muscle saillant, et sur sa tempe une veine palpitait à un rythme effrenée.
Louis-Hubert, l'assassin de son cousin... l'homme qui avait déshonoré sa belle-soeur. L'homme qui en riait. L'homme qui lui avait planté un poignard dans le coeur aussi surement qu'il allait couchait avec des catins à défaut de vraies femmes.
Dure et froide, elle ne plia pourtant pas. De l'eau, il y en avait la force dans ses prunelles acides. Prête à déraciner des arbres, à emporter la terre en tourbillon de boue, à éteindre des incendies, à noyer tout un peuple. Prête à lui faire ravaler sa morgue par le fondement s'il le fallait. Prête à tout...
A sa cuisse, glissée dans une jarretière de dentelle, elle sentait le froid de la garde de sa lame de Tolède. Et entre ses deux seins, une petite dague de corset, prouesse d'un artisan venisien et que Giovanni Van Eyck lui avait ramené de ces voyages.
Malheureusement, on ne faisait pas couler le sang dans une Eglise. Mais il y avait une chose dont elle était sûre... c'est qu'il payerait...

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Transat en cours de réféction
Fauconnier
Mais qu'elle qu'est fait... Oui? Non pas tu veux pas viendre? L'a une tite place a coté là. On va la dégager la vieille peau, t'inquiete.
- Faut pas rester là m'dame... L'a Zalina qui doit v'nir.
Ben pourquoi qu'elle ouvre des mirettes aussi grandes la dame? L'a pas compris? L'est sourde? Et qui va venir le baillonner le mioche? Sa mère? Ben non, l'est pas là, ça s'rait difficile. Pis l'est tout sage quand elle est dans l'coin. Enfin, en général. L'garde qui lui sert d'nounou? Ben ça s'rait une idée, mais il est pas vraiment là. Il attend dehors sans doute en train de courir la gueuse. Et après on s'étonne qu'les jolies nounous elles restent pas...

Tiens, faudrait qu'maman elle les fasse, enfin vous voyez quoi. Ben y parait qu'c'est c'que certains font il sait pas ou le gnome. Là ou ben y en a qui ont tout plein de femmes! Les fous! Une ça suffit pas? Lui y doit en supporter quatre... et p'tetre bientot cinq! Et c'est pas supportable... Fin bref c'est pas ça pour ça hein? Nan mais ces femmes là, elles sont gardées par des hommes qui ont plus rien quoi. Enfin ils ont plus quoi, ça il en sait rien. Mais y parait que comme ça, ben y s'tiennent tranquille et que les nounous ben elles fuient plus. C'est l'frérot qui l'a dit hein... Donc ça peut etre que vrai..

Et qui c'est elle qui l'regarde? Nan c'est pas la vieill peau... Quoi quoi? Vous avez cru que...? Ben elle s'ra toujours contente la dame à la couronne pas comme tout l'monde que vous l'avez prise pour une vieille... Ben j'lui dirais tout nah.
Quoiqu'elle a pas l'air commode... Allez hop, un chtit sourire et un regard charmeur. Papa y f'sait pareil... Un chtit coucou aussi, faudra qu'il aille la voir tiens. Pis p'tetre qu'elle pourrait être nounou? Une idée à r'tenir tiens. Mais après.

Après quoi? Bonne question... Va y réfléchir le mini Vicomte. Y va bien trouver. Et Zalina qui vient toujours pas.... Pffff... Et c'est qui eux autours d'elle? Y dira tout a maman. Et a papa.. Ah non papa, pas potib'. Ben m'man c'est d"ja pas mal. Pis, il trouvera bien...Nah.

-fromFRGontrand
Dame!
Que de presse et que de beau monde en ce jour sur le parvis de la cathédrale.
Les deux compères, Gontrand et Gerfault, allaient et venaient entre les calèches, coches, chevaux et autres équipages blasonnés, admirant dorures, soies et, quand la chance leur souriaient, une fine cheville ou un décolleté avenant.
Ils connaissaient fort bien ce genre de cérémonie, habitués qu'ils étaient désormais à servir de toile de fond de ces peintures si stéréotypées.
Dernier rang. Celui des cancres, des bons à rien. Mais aussi celui où, tout le monde devait l'accorder, on avait tendance bien souvent à s'amuser le mieux, loin des fastes, rodomontades et courbettes en tout genre.

Prenant le bras de Gerfault, Gontrand l'entraina un peu à l'écart, afin de peaufiner leur plan de bataille.


Viens y là mon compaing. Encore quelques instants et y s'ront tous d'dans. La comtesse vient d'arriver, l'spectacle va donc commencer. On a bien deux heures à nous, alors faut qu'on en profite.

Les deux terribles savaient bien que valets, cochers et servantes ne restaient jamais au dehors se geler le fessier pendant que leurs maitres cérémoniaient.
Les bouges, tripots, auberges et hostels de charme se remplissaient subitement de tout ce petit monde, chacun voulant savourer autant que possible ces quelques heures de liberté.
Alcools, vins de toutes les régions, mets des quatre coins de la France, circulaient en tout sens, tous ayant rapporté, par tradition, un petit échantillon du domaines de leurs Maitres respectifs.


On va aller à la Gueule de bois. J'ai r'péré nos gaillards, ceux qu'on avait r'contrés au mariage d'la Vicomtesse, ta maitresse. Des fameux ceux là. Pis ya une ou deux servantes qu'y m'ont l'air accortes comme il faut, c'est not' chance.

Clin d'oeil égrillard, et slalom entre calèches à nouveau. Certaines d'entre elles bougaient étrangement, occupées, comme ils le savaient, par quelques serviteurs préférant se reposer dans les draperies et coussins de leurs maitres.

Grand gestes de la main pour saluer leurs compagnons de ripailles, ils sentaient déjà au fond de leur gosier la chaleur de l'alcool réchauffant, les oreilles bourdonnant par avance des chants et chansons de salle de garde qui fusaient toujours en pareille occasion.
Voilà qui annonçait un nouveau mariage comtal des plus intéressants.

Et comme Dame Fortune semblait ce jour de bonne constitution, les deux gaillards allaient pouvoir prendre tout leur temps pour récupérer de ces bacchanales, leurs maitres respectifs étant retenus en les geôles lucioliques pour encore de longues semaines.

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PNJ. Souffre douleur et intendant du Seigneur de Saint Julien le Pèlerin, Enguerrand de Lazare, en isntance de trépanation, ou d'écartellement, ou de rencontre intime avec un pal émoussé.
Guilhem*
Guilhem après avoir regardé un bref mais intense instant Aliénaure, il rosit légèrement mais tourne la tête aussitôt car il à l'impression d'un grand mouvement a l'entrée. Ce faisant il apperçoit non loin sa mére et ses cousins.

Glups.

Elle avait du voir d'un oeil totalement furibond les discussions de Guilhem de sa cavalière, voire pire. Mais pour le moment, quelque chose n'allait pas. Non, il le sentait bien dans la posture de sa mère qui semblait telle une lionne prête a bondir. Non seulement Guilhem se devait d'aller aider sa mère présentement mais en plus, il ne l'avait pas salué et quand bien même il était en très agréable compagnie, il avait tout de même très envie de parler avec sa mère.

Il se lève doucement en retournant son regard vers Aliénaure, lui tendant son bras.
« Je viens d'apercevoir ma mère et aussi une partie des mes cousins, cela vous dit d'aller les saluer ? » Léger sourire, Aliénaure semble accepter de bonne grâce son bras tendu.

Il se léve et se dirige vers sa mère et ses cousins et cousines d'un pas léger, entraînant avec lui sa cavaliére en tachant de ne pas trop se faire remarquer.

« Bonjour maman ... Bonjour cousine ... Euh ... je ... euh ... » Le jeune homme reste un instant confus, puis se dit qu'il va devoir présenter sa cavalière. « comment allez vous ... ? Voici ... Aliénaure, la fille de Nebisa. »

Regarde vers sa mére, un peu inquiet. « Maman ... ça ne va pas ? »
-fromFRAlienaure
Aliénaure lança un regard à son fère, puis suivit Guilhem.

Bon... Vu sa dernière rencontre avec la Princesse au sujet des festivités et de son précieux fils, nul doute qu'elle gagnerait un regard au mieux curieux, au pire désapprobateur.
Quant au reste de sa famille, ne les connaissant point, pas de risque à avoir. Enfin, normalement...

Voici ... Aliénaure, la fille de Nebisa.

Elle tourna la tête vers Guilhem, surprise. Lui qui lui disait, dans ses lettres, avoir du mal à ne plus lui donner du "Demoiselle Aliénaure" entre eux deux, venait de la présenter par son seul prénom devant sa famille.
Décidément, il ne cesserait pas de la surprendre.


Bonjour, Marraine. Je suis contente de vous voir ici.
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-fromFRGerfault
La nuit était passée tranquillement hélas mais au moins étaient-ils frais et dispos pour la journée.

Du monde partout, le parvis de la Cathédrale et les alentours étaient noir de monde. Gens du peuple, venus assister en curieux aux défilés des carrosses des invités, espérant profiter plus tard des largesses des époux. Invités faisant concours de toilettes, de sourires et d'embrassades.

Et nos deux compères, au milieu de tout cela, en attente du début de la cérémonie.... Qui ne débutait pas.

Etouffant un baillement, Gerfault laissait son regard parcourir la foule, cherchant à reconnaitre des amis de ses maitres, ou des Ventadours.

Gontrand l'entraina à l'écart et lui souffla quelques mots, lui rappellant le but de la journée, du moins les concernant.


Deux heures? J'pencherais sur plus moi t'vois. Vu qu'le prêtre l'est pas là.

La Gueule de Bois? T'es sûr? T'as payé ton ardoise là bas?


Tout en discutant du lieu de débauche choisi pour la merveilleuse journée, les deux amis repartaient en sens inverse, vers le Quartier Merveilleux, saluant au passage quelques connaissances, futurs victimes d'un de leurs plans. Une semaine à se faire rincer le gosier et la panse, à trouver de nouveaux jupons à trousser, sans leurs seigneurs respectifs sur le dos. Le paradis.

Une ruelle sur leur droite, laissant derrière eux le brouhaha de la place.


T'sais que l'Margotte a demandé d'nouvelles de ma Tata? J'l'ai croisé l'aut'jour. M'a dit qu'si Tata voulait, l'avait une place tout'trouvée chez elle. Parait qu'elle aurait taper dans l'oeil d'son videur, puis d'un client qu'aurait de quoi payer grassement.

Gerfault sifflotant, avançait d'un bon pas, songeant à la semaine à venir. Si la nymphe de la Comtesse voulait pas qu'il lui cause de trop près, il avait repéré deux - trois servantes d'invités qui semblaient nettement moins farouche. Ah il faudrait des mariages plus souvent tiens.
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Intendant PNJ de la Vicomtesse d'Arnac Pompadour, futur richissisme gueux de Limoges sauf si la patronne l'apprend.
pnj
Cinquante-cinq pas d'un sens, cinquante-cinq de l'autre...

Ah tiens, la mariée qui rappliquait... Herm... Mieux valait espérer que ce ne soit pas qu'elle venait juste de se décider à rappliquer, pour entrer tout de suite dans l'église... Elle allait être déçue, là... Ah bin si, v'la qu'elle lui demande si c'est bon et s'ils peuvent y aller... Inspirant un grand coup, il lui annonce l'excellente (euh...) nouvelle:


Bin... On peut toujours y aller, mais y'aura pas d'ecclésiastique... Il n'est toujours pas arrivé...
-fromFRGontrand
Arrêt brutal du Gontrand, pétrifié par la peur. Son large sourire s'effaça en un instant, à l'évocation de la Margotte et de l'histoire de la tantine.
Plus jamais. Plus jamais il ne revivrait ça, il se l'était juré.
Même pour tout l'or du monde.
Même pour tout le vin de France.
Même pour...d'un autre côté, se retrouver dans pareil harem permettait aisément d'entretenir des rapports...hum...rapprochés avec les jeunes femmes exerçant leur art...chuchotements...Effluves...sourires en coin.
Tension. Tension.

*Image du videur de la Margotte apparaissant dans l'esprit du Gontrand.*


POUAH! Dis donc compère. Et d'un on avait dit qu'on caus'rait pu jamais d'ça. Et d'deux, j'me r'déguiserai pu jamais en femme, jte l'ai annoncé clair'ment. Et d'trois...et d'trois..j'l'aime pas, l'videur d'la Margotte. Y pue, c'est une horreur!

Sourcillements appuyés du Gontrand, histoire de faire comprendre au compère que si il parlait de cet épisode une fois de plus, il pourrait se retrouver avec quelques ennuis au pied...genre, une paire de chausse taille adulte, par exemple.

Regard en coin, puis, d'une voix un brin mesquine.


Et pis dis moi, mon vieux. T'crois pas qu'j'tai pas vu pendant qu'tu p'lotais la pauv' Suzon, qu'tu r'gardais la Mathiotte, hein? Tveux que j'te rappelel comment on l'appelait la Mathiotte avant? Et c'qui s'cache derrière ses voiles, hein!

Petit rire du Gontrand, vengeance faite. Un partout, nouvelles balles.
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PNJ. Souffre douleur et intendant du Seigneur de Saint Julien le Pèlerin, Enguerrand de Lazare, en isntance de trépanation, ou d'écartellement, ou de rencontre intime avec un pal émoussé.
Nebisa
La voici face au promis, moment d'émotion et coeur qui bat la chamade ? Que dalle... Une avalanche se déclenche dans son esprit... Pas de curé ? Comment ça pas de curé ? Mais on peut pas se marrier sans curé non ?

Grand blanc... Elle reste comme sonnée, se met à sourrire...


Tu aurais quand même pu te raser non ? Je n'épouse pas un bucheron des montagne ! Et... Mais attends... Dans le truc là... les cérémonies aristotéliciennes ya pas un endroit ou c'est écrit que le curé c'est obligatoire ?

Re montant d'intense réflexion

COMMENT ON PEUT SE MARRIER SANS RELIGIEUX ?

Elle agrippe alors les pans du pourpoint de son fiancé qui risque de le rester et le secoue

Trouves moi un curé ! Un abbé! Un cardinal ou le pape ! Mais je veux me marrier moi !
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Enorig
Ann la cousine adorée aussi a écrit:
Sourire éclatant émail diamant à la cousine adorée. Sans ambages, elle serra Enorig contre son cœur, plaqua un baiser sur la joue de Flaminien, ébouriffa la tignasse de Chlodwig -qui n'était après tout encore qu'un gamin- constata qu'elle en avait encore 2 à saluer, trouva la famille nombreuse, haussa un sourcil, et:

Mais, c'est vrai que vous en avez re-pondu! Sybille & Frédéric-Guillame n'est ce pas? Et toi Sybille... tu es ma filleule!

Relevant les jupons d'une main, elle s'accroupit devant les bouts de chou déjà si grands et déposa un baiser ailes de papillon sur chaque joue...

Dieu qu'ils sont beaux.


Humpf étouffement dans des seins bien gonflés
"Tiens étrange ça elle était si maigre la dernière fois"
Regard en coin vers sa cousine qui embrasse et ébouriffe et se penche et son décolleté bien garni... "Oui étrange"...
"Pondus".. Gloups les poules pondent, les vaches mettent bas et les femmes.. elles font des enfants. Enfants, seins gonflés. Sourire en coin. Ann a encore frappé... Enfin encore… Elle a été si souvent frappée elle par le destin. Sourire de tendresse envers sa cousine qu'elle connaît si bien.


Eh oui ta filleule et oui le temps passe vite aussi. On fera les baptêmes en rentrant si tu veux viens avec nous. Tu pourras te reposer.

Regardant sa cousine toujours aussi étincelante et vive, voit son regard virer un instant puis revenir et des mains instinctivement sans s'en rendre compte, se poser sur un ventre pourtant bien plat, enfin sous les fous frou comment voir. Elle ouvrit la bouche pour parler quand elle la vit se tendre et son regard durcir et se fixer sur un point au delà de son épaule. Elle se retourna et vit.. Louis-Hubert... Elle sentit l'extrême dureté d'Ann et mis sa main sur son bras, non pas pour l'empêcher mais pour lui dire qu'elle était là elle aussi. Famille unie dans l'adversité. "On devrait en faire la devise de la famille tiens".

Puis Guilhem qui s'approche et reconnaît la jeune fille qui les a si gentiment accueillis hier.

Bonjour Guilhem. Bonjour Aliénaure.
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