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[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

Alessandr0
Le Lazaréen, dont le Baron venait d'ignorer indélibérement la salutation, trop perturbé par son mariage et son attente d'un hypothétique clerc, éclata de rire, au risque de froisser les époux. Se retournant, il emmena Eliazar sur le côté, laissant le pauvre de Chauvigny se faire secouer comme un prunier (avec tout ce qu'il en boit, quoi d'anormal ?) par une Comtesse Régnante en furie.

- Tu es ravissante, Princesse.

Admirant ses joues rosissantes, le Lazaréen posa un baiser sur la main que celle-ci lui avait donné sans qu'il la demande (enfin, si, il lui avait effectivement demandé sa main, mais seulement en prêt, et pas encore en viager... bah oui, le contrat de mariage, c'est jamais qu'un accord viager un peu restrictif !)

Il adressa un sourire de consolation, emplit de compassion, au pauvre Baron de la Prune, et commença à grimper les marches du parvis avec sa promise : ce pauvre Stannichounet avait bien assez à faire comme ça !
Zalina
Encore un regard à son Tonton Poutous, un autre vers la porte. Le premier ne semble toujours pas décidé à la voir, les mariés ne sont pas encore entrés dans l’Edifice religieux. Bla bla par ci, bla bla par là…
Puis flûte ! Il y a si longtemps qu’elle n’a pas vu le mini Vicomte.


Messieurs, on se revoit tout à l’heure.

Et toc ! Enquiquineurs laissés sur place. Direction les premières places. Tout devant ? Ca c’est pas cool. Qu’est ce qu’il me fait faire le Bralic Junior… Tant pis. La Petite Peste est debout, elle ne peut pas faire demi tour maintenant. Et hop, la voilà devant Adrian.
Une jolie révérence. Ba oui, c’est un Vicomte quant même, haut comme trois choux mais Vicomte. Puis elle s’assit à coté de lui.


Bonjour Messire Adrian. Comment vous portez vous ?

Joli sourire pour accompagner la phrase.
Mais premier rang… Non, ça c’est pas cool. La Poitevine n’aime être devant que sur les champs de batailles. Pour les cérémonies, elle est plutôt du genre à se cacher tout au fond.

On va dire les choses autrement, ce sera plus facile. Elle n’est pas tout devant, elle protège le Vicomte. Ou protège ceux qui sont autour du Vicomte, çà dépend du point de vu et de l’humeur du jeune homme.
Quoi qu’il en soit, il faut qu’elle le surveille. C’est le fils d’un Frère d’Armes, donc çà fait de lui un neveu d’Armes ? Ouais, c’est çà. Un petit neveu qui adore faire des bêtises.
-fromFRAnn
Apparement, elle avait rendu la tension autour d'elle palpable. L'air semblait plus lourd, plus épaix, comme englué dans de la mélasse. Ses yeux ne lachaient ps LouisHubert, comme si elle voulait lui faire sentir par son seul regard, toute la force de la haine qu'elle nourrissait à son encontre.
Elle vit vaguement le sourire de l'enfant braillard là-bas et y répondit.. dévoilant peut-être un peu plus de canines que la normale.
Elle sentit vaguement la main d'Eno se poser sur son bras et tapotta avec un peu trop de force la dite main.
Elle vit vaguement son fils et sa filleule se ramener main dans la main et main sur le bras et l'air enamouré. Cessant de tappoter la main de sa cousine, elle tapotta la joue de son fils, puis la tête de sa filleule. Avant de les écarter de son champ de vision. Méfiante... et défiante, elle ne voulait pas qu'il gâche la cérémonie.

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Transat en cours de réféction
Abaelle
En retard... tellement en retard, ils seront sûrement déjà mariés et en train de festoyer, se dit Abaelle en descendant de son cheval.

Elle confie les rênes et glisse une pièce à un garçonnet qui attendait telle aubaine devant le parvis de la cathédrale et ouvre silencieusement la lourde porte.

La cathédrale est bondée d'invités aux tenues chamarrées et illuminée de centaines de flammes vacillantes. Elle n'aperçoit pas les mariés et aucun écclésiatique ne semble officier devant l'autel.

Surprise, Abaelle entre discrètement et attend que ses yeux s'habituent à la pénombre, après le soleil brillant des chemins.
-fromFRGerfault
Et hop, l'avait touché le Gontrand au vu de la soudaine paleur de son teint. Fallait dire que la dégaine de son compère en jupons et fanfreluches resterait à jamais graver en sa mémoire. Rien que d'y repenser, il en riait tout seul.

Et d'un, tu l'as décidé tout seul, et d'deux, pas m'faute si t'aimes montrer t'mollets, et d'trois parc'qu's'il puait pas t'l'aimerais? Et ben....

Le sourcillement avaité été vu mais il reçut pour toute réplique un tintement de clés en tapotant sur sa poche. Genre j'te rappelle que la cave tu y accés grâce à moi...

Pour l' Mathiotte, son visage m'disait que'que chose. J'l'aurais point vu trainasser avec toi quand l'était encore entier cui ci? Hum. Fin entier ou moins voilé...

Et paf. Nan mais oh. S'il croyait qu'il avait pas vu les regards craintifs que Tata avait lancé à l'homme.. la femme... enfin... à l'être près de lui hein.

Nouveau carrefour, taverne en vu.


Pis arrête d'jaser et ent'donc.
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Intendant PNJ de la Vicomtesse d'Arnac Pompadour, futur richissisme gueux de Limoges sauf si la patronne l'apprend.
Alcalnn
Le Vicomte et sa pupille arrivèrent à Limoge après 9 jours de chevauchée. Il faut dire ca fait loin la Normandie. Ils avaient traversés des régions boisées, de champs, traversés la Loire et parfois des territoires hostiles.

Ils avaient donc fait profil bas, s'arrêtant dans des auberges passables, dormis parfois dans une grange... Pour un Vicomte ca la mettait mal. Mais bon il était soldat, il était poète, il était diplomate. Dormir dans le foin pour lui était la routine, d'un romantique, necessaire.

Il arriva donc à Limoges, y trouva une auberge. Il faisait beau dans ses derniers soleils d'hivers qui annoncaient le printemps, et la vapeur s'élevait des terres encore engorgées des dernieres pluies.

Enfin Limoges! Ils dormirent tout d'un trait. Fatigué et rompu. Ils s'étaient permis le luxe d'un bon séjour aux étuve, afin d'avoir l'air propre. Le Vicomte s'habilla avec soin, choisissant un pourpoint bleu nuit réhaussé de rouge cramoisie du plu bel effet.

Il passa un chapeau du même bleu, avec les bordures en or, croisées de rouge.

Puis il ceignit à sa ceinture, Griffe de Chat, sa dague, qui ne le quittait que rarement. Il la donnerait à l'entrée de la Cathédrale si on la lui demandait.

Vint le moment ou Nennya et Alcalnn furent prêts. Ils descendirent la courte rue qui séparait la Cathédrale de l'auberge, il y avait foule et les arsouins tentaient vainement de mettre un semblant d'ordre.

Grande question de la vie de savoir à quoi servait un arsoin... eux qui n'arrivaient jamais a faire leur travail. Il fallait quand même leur rendre hommage pour leur pugnacité.

Bref le Vicomte et sa pupille se présentèrent à la Cathédrale.... A priori il semblait y avoir un problème, mais patiement, le Vicomte s'installa sur un banc et sa pupille a coté.

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Guilhem*
Guilhem regarde tristement sa mère. Diantre, c'était du sérieux. Même sa gaffe sur le manquement au ''demoiselle'' pour Aliénaure, ne l'avais vraiment pas faire réagir. Il soupire doucement, regarde un instant d'un air étrange sa cavalière pour lui faire comprendre qu'il va devoir s'occuper de sa mère. Il se sépare de sa main sur son bras.

Il s'approche doucement et lui prend la main, alors qu'il la sent presque aux abois, une louve alpha voulant protéger sa meute. Il lui sourit tendrement alors qu'il se rapproche d'elle, se blottissant très légèrement contre elle autant pour détourner son attention que pour lui apporter son soutient autant qu'il puisse. Il lui redemande un tout petit peu plus fort


« Maman ... ça va .. ? »
il lui dépose une bise sur la joue pour la calmer un peu, sentant que la personne qu'elle regardant avec tant de haine ne pouvait qu'être une personne a ranger dans la catégorie « a éviter, voire à détester ». Surtout qu'il avait du faire du mal a sa mère, et ça il ne pouvait le supporter.

Mais qu'importe, pour le moment, le mariage était presque en route, et il lui fallait apaiser sa mère. « Ne t'en fait rien ... Il ne se passera rien dans une église lors du mariage de marraine, non ? maman ... ? »
pnj
Alors qu'elle essayait de faire tenir en place son fils qui commençait à s'impatienter et papotait avec Alcyone et Lola, Eowin entendit son nom. Ne reconnaissant pas la voix, elle se retourna vers la source des salutations et sourit en reconnaissant Ilinia.

Bonjour Dame Eowin ! Ravie de vous revoir, comment allez-vous depuis... cette petite soirée tranquille ?

Essaie de ne pas pouffer de rire aux paroles de la jeune femme alors que le rouge lui monte aux joues au souvenir de cette drôle de soirée.

Ilinia ! Quel plaisir de vous voir icelieu ! Ma foi je me porte très bien depuis cette petite soirée... Et vous ? Oh mais je manque à tous mes devoirs.

Se retourne vers son époux et lui presse doucement le bras pour attirer son attention. Mon ange, je te présente Ilinia de Demessy, la soeur jumelle de Kazert. Ilinia, voici mon époux, Sinjid. Et le petit monstre là, c'est notre fils !
pnj
Sinjid était perdu dans ses pensées quand son épouse lui attrapa le bras. Il leva alors les yeux vers la dame que lui présentait Eowin. La soeur jumelle de Kazert, décidemment, ce dernier réservait sans cesse des surprises !
Mais alors que Sinjid se levait pour saluer Dame Ilinia, le petit Théodred dit d'un ton un peu boudeur :


Petit monstre... Je suis pas un monstre !

Le regard de Sinjid tomba alors comme la foudre sur son fils, et il dit d'une voix plutôt calme pour une leçon.

C'est ainsi qu'on salue une amie de sa mère ?

Il n'en fallut pas plus pour que le petit garçon se lève, et dise après un sourire un peu forcé :

Bonjour Dame...

Il se rassit rapidement, se cachant derrière sa mère pour bouder. Sinjid se tourna alors à nouveau vers Dame Ilinia et s'inclina.

Enchanté de vous connaître Dame Ilinia. Comment va votre cachotier de frère ?
pnj


    Limoges ! Le cardinal-archevêque de Reims pénétra dans la capitale limousine par la porte Est. Ces derniers temps, il ne cessait de voyager à travers la France. Son carrosse, entièrement noir et frappé à la portière des armoiries de la famille de Nagan, roula à vive allure à travers les rues et ruelles de la cité. La voiture tourna à droite et s’engagea dans une longue avenue au bout de laquelle on pouvait voir pointer les cloches de la cathédrale.

    Arriver devant le parvit, un valet vint ouvrir la porte et le cardinal, habillé sobrement d’une soutane pourpre sombre et d’une cape du même attachée sur le devant par une fibule en vermeille, monta les marches de l’édifice et s’engouffra dans la Maison de Dieu, se fondant parmi les divers invités… Il pris place dans la rangée droite, au milieux des rangs…


pnj
Eh, mais...

Mais...

Mais oui! C'était Aaron, qui venait de passer à côté d'eux deux sans les reconnaître! Aaron... Il était bien cardinal lui? C'était bien un curé, un cardinal... Un surcuré, même! Décrochant les mains de Nebisa du col de son pourpoint après lui avoir signifié qu'il n'était pas un de ces pruniers dont elle aimait tant le fruit, il lui dit:


Je crois que j'ai une idée... J'ai vu Aaron passer... Il est bien ecclésiastique, lui, aux dernières nouvelles, non? Quoiqu'avec notre chance actuelle, il se serait bien fait défroquer... Bon, je vais aller le chercher quand même, au cas où...

Sur ces mots, il se glissa dans l'entrebaillement des portes de la cathédrale, cherchant où avait bien pu aller le héraut normand... Pfffiou, ce qu'il pouvait faire sombre... Là-bas? Ah nan, c'était une femme, ça avec pareille choucroute sur la tête... Ah oui, là! Se glissant aussi discrètement (hum...) que possible près de lui, il le hêla à voix basse, lui faisant signe de s'approcher.

Votre Eminence... Nous avons un petit souci... L'ecclésiastique supposé célébrer le mariage n'est pas venu, pensez-vous que vous pourriez...
-fromFRSergent Bourgogne
- C'est qu'elle en a des amis la comtesse! Bon sang, même de sacré pique assiettes je dirais! Bah mon vieux! Tiens le marié! Connais pas!
Quel drole d'allure! Fait jamais rien comme tout le monde la Comtesse! Elle va quand même pas amener ses fauves ici! Sales bêtes! Pis ca va sentir le furet!
Ah!
Pire!
La mini Malemort! Bon sang ce qu'elle a poussé! J'ai encore en souvenance les horions qu'elle me bailla naguère. Dire que ça va se marier un jour ça madame! Pauvre couillard qui va tomber sur le morceau... huh huh! F'rait ben d'lui couper ras les ongles et lui mettre des citrouilles au pied. Ou alors faudra filer doux!
Pis la Mini mini est pas mal non plus. Même le Coucou en a bavé avec ces oiseaux là. C'est le Vieux qui m'a raconté ça.. Du quatrième GFC que ça date! ça nous rajeunit pas hein?


S'apercevant que personne ne l'écoute, le sergent de la Réserve de la réserve reporte son attention sur l'assistance si belle et si chamarrée.

- Bon dieu en culotte de cheval! L'altesse! Ah ben ça fait plaisir de la voir si gironde! L'est pas passé loin du trépas la belle plante à genêts. Du coup c'est... enfin bref!
Longue vie Madame de Bellac!
Longue vie Madame de Ségur!
Longue vie les mini diableries!

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coquille vide
pnj


    Le cardinal assit sur son strapontin admirait l'édifice. il n'était jamais venu à Limoges, en tout cas, il ne s'en rappelait plus. Perdu dans ses pensée, il entendit une petite voix murmurer à son oreille... Un Saint? Le prophète? Dieu lui-même en songe? L'archevêque secoua la tête vigoureusement et se retourna vers la voix.

    Mon fils? Un souci dites-vous? Que je pourrais quoi? Prier pour qu'un prêtre remplace votre curé?


Lothaire_de_cassel
Lothaire, ayant reçu une invitation personnelle se rendit au mariage de la comtesse du limousin, de la marche et de Ségur. Il avait prit une voiture aux couleurs de Sainct Michel et avait fait la route depuis l’Alençon jusqu’en Limousin. Il était arrivé avec du retard, comme a son habitude mais la route était longue. Une fois devant la cathédrale, son cocher lui ouvrit la porte et installa le marche pied. Lothaire jugeas le bâtiment, puis descendit de son carrosse afin d’entrer en le lieu de culte limousin, d’un pas lent et orgueilleux, comme a son habitude. Sur le parvis la future mariée avec le futur marié, il les salua brièvement, jugeant le moment inadapté puis s’engouffra dans l’édifice, il s’annonça discrètement à un valet qui le conduit à son siège réservé. Commenças alors le jeu du « qui est qui » … La messe n’était pas entamée mais tout le monde était assis, il vu Ylalang, La princesse de Montmorency, puis des têtes qui lui était insupportables, des têtes d’Harlegnans, il y avait la fine équipe : Louis Hubert, Phillau et Izarra, ne voulant pas faire dispute le jour d’un mariage , il tourna les talons, et se dirigea vers la sortie, puis il descendit les marches d’un pas décidé, avant d’hurler :

COCHER !!! NOUS RENTRONS !!!
pnj
Oui, vous pourriez, en effet... Mais je dois dire que je pensais que vous pourriez le remplacer, en fait...

Un peu gêné de la demande, le (peut-être... faut pas désespérer) futur marié resta en train de triturer nerveusement le rebord de son mantel, en attendant la réponse de l'archevêque de Reims.
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