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[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

Mctyle
Après avoir communié, Corenthine revint vers nous, un sourire malicieux aux lèvres et le regard pétillant.
Lorsqu'elle me mit en main son "cadeau très pieux", je ne pus m'empêcher d'éclater de rire.
Prenant le Père Ijarkor à témoin :

- Voilà qui siérait bien à un homme d'église, mon père, pour tenir le long des routes limousines... encore que, le récipient est un peu petit pour du vin de messe !


Puis, je me penchai vers Corenthine et lui collai deux poutouts sonores.

- Merci ... Marraine... du fond du coeur, merci...


Je ne pus en dire plus... gorge nouée et yeux humides... j'aurais bien eu besoin d'un petit remontant !...
Alcyone
Emouvante cérémonie, vraiment... Peut-être même que si Alcyone avait encore disposé d'un coeur pour tout ce qui était autre que sa fille, elle en aurait écrasé une larmichette, dites donc... C'est qu'il avait vraiment l'air de croire à ce qu'il prononçait, c'était encore pire que ce qu'elle croyait. "Ex-barbare-Païen"... Si Alcyone n'avait pas été bien éduquée, elle en aurait éclaté de rire... L'art de retourner sa veste toujours du bon côté...

Toujours souriante, elle s'approcha de Mac à la fin de la cérémonie pour aller le féliciter comme il se devait. Plutôt que de penser dans son coin et garder pour elle ses impressions, Alcyone préférait dire les choses clairement. Même si la clarté n'empêchait pas l'ironie.


- Félicitation pour ton entrée dans la... dans notre grande famille Aristotélicienne! Ca va, le kharma? Pas trop alourdi?

Alcyone esquissa un ravissant sourire, il se souviendrait très probablement de cette missive qu'il lui avait envoyée le jour même de son propre baptême pour la dissuader de se faire baptiser et où il lui avait parlé de cette histoire de kharma qui s'alourdissait dramatiquement si on changeait de religion.

- Apparement non, ça n'a pas l'air de peser trop lourd. Tant mieux! Rien ne viendra gâcher ton engagement! Toi qui disais que la foi ne peut ni ne doit être influencée par quiconque... Enfin! Y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, et je te sais suffisament intelligent pour faire les bons choix, n'est-ce pas? * Adressant un sourire à Léa avant de se retourner vers Mac * Oui, les bons choix, en tout, d'ailleurs, Léa est vraiment celle qu'il te faut, elle saura t'aimer et t'être plus fidèle que je ne le pourrai jamais!
Oh, et tant que j'y suis, félicitations aussi pour ton entrée diablement méritée dans la noblesse Limousine, j'ai appris cet heureux évènement il y a peu. Toi qui me parlais souvent d'honneur, de mérite, de servir tes idées et le comté sans rien attendre en retour, voici une belle récompense à tous tes efforts. Ô chance, ça te permets en outre d'épouser ta belle! Voici une nouvelle vie qui s'annonce sous les meilleurs auspices! Tous mes voeux de bonheur à tous les deux! Sur ce, je vous laisse fêter ceci comme il se doit entre amis! A bientot


Elle sourit à tous très gracieusement, repris sa fille dans ses bras et tourna les talons pour quitter ce lieu qui lui donnait décidément froid dans le dos.
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Epouse, amante, amie, maîtresse, mère, femme, sainte et raclure.
Et accessoirement Princesse, Vicomtesse, et blablabla
Leanice


Je ne pus m'empêcher d'eclater de rire à la vue de la réaction de Mac quand il decouvrit la fiole gravée à son nom offerte par Finitou ..

- je vois mon ange que tu ne risques plus d'avoir froid si tu gardes ce précieux cadeau sur toi .. ta marraine a toujours eu de merveilleuses idées..

Puis j'allai de ce pas remercier le Père Ijarkor pour cette belle cérémonie, lui promettant encore d'une toute petite voix un petit sourire au coin des lèvres ..
je vous promets de prendre grand soin de lui mon Père, et je n'ai qu'une hâte .. vous revoir trés trés vite pour notre union devant Dieu ..

Je m'approche de Finitou et l'embrasse, profitant de prendre sa petite Princesse dans les bras pour là soulager un peu ...

- merci encore Finitou pour ta présence et tout .. tout .. tout le reste.. heuuuu tu permets que je t'enlève cette petite merveille quelques instants .. ele est adorable ..

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pnj
Corenthine donna Ciara à Léa.

Fait attention elle a tendance a attraper les cheveux. Elle vient de découvrir sa force.
Elle va être comme son père je crois, aussi tenace.

Oula ca fait du bien de se délester.

Je crois que Mac ferait un superbe papa.

Elle sourit à Léa.
Leanice


En effet, la reaction de la puce ne se fit pas attendre, je senti de suite une petite mimine m'attraper les cheveux ..

- .. aie.. aie .. dis moi jolie demoiselle.. tu as de la poigne et de l'avenir pour ton âge .. m'approchant pour lui plaquer un gros baiser sur la joue ..

puis me retourne vers Finitou, sentant une douce chaleur envahir mes joues ..

- crois tu qu'il ferait un adorable Papa ... humm .. voyons voir çà ...
Je regarde Mac tendrement et lui tend la petite puce ...

- tiens mon amour .. fais nous voir un peu comment réagit un grand nounours avec un bébé dans les bras ... mais fais attention à ta barbe ....

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Mctyle
Le petit manège de mes marraines ne m'échappa point... Je m'attendais à un coup fourré connaissant l'humour et le sens de la taquinerie de Léa et Corenthine, j'avais déjà embroché le cierge sur un support destiné à cet effet devant un autel et glissé la médaille et la fiole dans ma sacoche.
Mes adorables pestes ne me prendraient pas en flagrant délit de maladresse cette fois !

- Les enfants ont toujours besoin d'un "nounours" pour s'endormir... vous êtes bien trop stressées pour apaiser un enfant Mesdames
dis-je en riant.

Je reçus la petite Ciara dans les bras comme un précieux colis et la pressai doucement contre ma poitrine.
Au creux de mon bras, elle paraissait minuscule. Ses menottes se tendaient, en effet, vers ma barbe. Je penchai la tête... ses petits doigts potelés vinrent s'y emmêler... mais dans le même temps je me mis à la bercer doucement approchant mon visage du sien. D'un doigt je lui effleurai la joue doucement.

En quelques instants, la petite princesse s'apaisa, ses petites mains retombèrent et le vis ses paupières se refermer doucement. Sans cesser de la bercer, je jetai un coup d'oeil à mes marraines...

- Et voilà le travail...
murmurai-je en souriant finement.
Priam
Ijarkor remercia dame Finitou, et la félicita pour la beauté de sa fille qui n'avait d'égal que la puissance de sa voix.

La petite Ciara a bien profité de la résonnance de la cathédrale. Cela prouve qu'elle a des poumons en excellente santé ! Je prierais pour qu'Aristote et Christos continuent à veiller sur elle.

Puis il écouta la question de Mc Tyle:

McTyle a écrit:
- Mon Père, Je crois savoir comment vous remercier de la peine que vous avez prise en vous attelant à la tâche de faire de moi un ex-barbare-païen. dis-je en riant.
Mais puis-je encore abuser de votre bonté. Pouvez-vous nous préciser le temps à compter entre la publication des bans et la cérémonie du mariage, afin que nous puissions, ma promise et moi prendre les dispositions pour les invitations et les préparatifs des noces ?


Mon fils, votre joie est le plus précieux des remerciements. Et quand à votre question, il vous faut publier les bans deux semaines à l'avance. Ceux-ci doivent indiquer les noms et prénoms, les professions, le domicile des futurs conjoints et le lieu où se déroulera le mariage.

Dame Finitou donna alors un présent à McTyle, et Ijarkor dut convenir que c'était un fort bel ouvrage, tout en précisant en riant qu'il ne transportait pas le vin de messe, vu que le tressautement de sa mule aurait tôt fait de le transformer en "vinaigre de messe" Il était préférable de l'acheter dans la paroisse où se tenait l'office.

Dame Alcyone vint alors féliciter McTyle, puis parti rapidement. Ijarkor hocha la tête.

Je crains que dame Alcyone n'ait pas compris mon sermon lors du baptême. Qui pourrait croire que vous êtes une girouette qui change de religion comme de chemise ? La religion est un formaliste utile - que dis-je, indispensable ! et qui permet de partager avec ses proches une spiritualité. McTyle, vous avez changé de pays, choisit une nouvelle famille, et vous avez eut l'intelligence d'appliquer le vieux proverbe: "A Rome, fait comme les Romains".

Vous avez donc changé l'habit de votre spiritualité, mais avez-vous changé de spiritualité ? Je vous ai baptisé, mais pourtant je ne le crois pas. La votre n'était pas incompatible avec celle de mon Eglise, qui est aussi la votre maintenant. Nos spiritualités sont en constante évolution, la votre évolue, comme la mienne, et comme peut-être, un jour, celle de dame Alcyone. Mais cette évolution lente, réfléchie, n'est en rien un revirement comme elle semble le penser. Quant au baptême, c'est juste un passage, et aucunement une fin.


Et, regardant McTyle droit dans les yeux,

J'aurais voulu lui dire cela, mais j'ai l'impression que je pourrais plus facilement lui parler dans une taverne que dans une église. Peut-être aurez-vous l'occasion, puisque c'est votre amie, de lui expliquer tout cela un jour.

Puis vint dame Leanice, et Ijarkor lui assura à voix basse et avec un clin d'oeil qu'il avait toute confiance en sa capacité à prendre soin de l'âme de son futur conjoint, certainement aussi bien qu'elle devait prendre soin de son corps.

Nous nous reverrons à Gueret, et ce sera avec un grand plaisir que je célèbrerais votre union.

Mais je dois à présent vous quitter: je dois d'urgence retourner à Gueret, afin de baptiser un futur Templier, qui n'attend que ce sacrement pour rejoindre son ordre. Messire McTyle le connait d'ailleurs, puisque vous avez suivi la même pastorale.

Je vous souhaite à tous une bonne fin d'après-midi.

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Kamui.fuma
la cérémonie semblé terminé Kamui se leva et rejoint le petit groupe de personne qui se formé. Il se glissa discrétement près de mac

Salut ben félicitation comme on dit

il lui fit une accolade amicale et s’écarta laissant le champs libre pour les autre. Ce n’était vraiment pas se tasse de thé ce genre de chose et la prochaine vois il serait au première loge. Il espéré que claire serai là au moins il aurait son propre bonheur avec lui, et ne serrai pas simplement éclaboussé par celui des autres comme a tous les mariages auquel il avait participé jusque ici.
pnj
Ciara s'endormie dans les bras de l'Irlandais au grand étonnement de Corenthine.
Elle avait la "chance" d'avoir une petite très vivace et qui dormait peu.
D'ailleurs le visage de la femme montrait des signes de fatigue.

Ooh ben je vais te prendre comme nounou.

Elle regarda sa petite puce dormir paisiblement. Elle, si petite, paraissait disparaitre dans les bras de Mac.

Corenthine s'excusa un chouya au père Ijarkor, même si il paraissait assez gentil pour comprendre les enfants.

Puis elle écouta parler le père.

La cérémonie était finie et Corenthine attendit quelques instants pour embrasser et saluer.

Elle vit kamui arriver.

Oh ben t'es la toi mon cobaye.

Elle bizouilla kamui pour lui dire bonjour.
Mctyle
La petite Ciara dans les bras, je souriais à Corenthine... mais j'avais un peu la tête ailleurs...

L'intervention d'Alcyone me laissait perplexe. Si j'avais tourné la page sur certains épisodes mouvementés de ma vie, la pauvre ne semblait pas avoir eu cette opportunité. J'en fus peiné pour elle car, malgré tout ce que j'avais pu souffrir de cette époque, elle en restait un élément phare et quelque part, c'est à elle que, paradoxalement, je devais mon bonheur présent.
Je l'avais sentie amère. Fallait-il interpréter ses saillies comme une espèce de remord ?...

Mon trouble était grand, et les paroles du Père Ijarkor résonnaient en ma tête bien longtemps après son départ :
Citation:

J'aurais voulu lui dire cela, mais j'ai l'impression que je pourrais plus facilement lui parler dans une taverne que dans une église. Peut-être aurez-vous l'occasion, puisque c'est votre amie, de lui expliquer tout cela un jour.


Mon amie ?... oui... elle l'avait été autrfois... et bien plus encore. Mais aujourd'hui ?... de qui était-elle l'amie ?...
Si elle l'était encore, elle aurait su comprendre... comprendre que tout ce qui m'arrivait aujourd'hui, toutes ces décisions, ces bouleversements n'étaient que le fruit de l'amour que je portais à Léanice... Que ces choix m'incombaient et à moi seul...
Librement... sous nulle autre influence que celle de ma conscience...
Le prêtre, qui lui, me connaissait à peine, l'avait compris immédiatement. Je ne savais que trop bien, hélàs, qu'Alcyone, blessée en sa chair et en son coeur, ne pourrais sans doute jamais pllus comprendre Mac. Des anneés-lumières séparaient désormais nos univers.
Certes, j'eus pu la rattraper, l'interpeller, lui expliquer... mais à quoi bon ?... Je n'avais à me justifier de rien quant à mes décisions... et puis... après tout, qui était-elle pour me juger ?...
Pour ne pas avoir à le faire, j'ai préféré l'exil... de quel droit juge-t-on ses semblables... que l'on soit croyant ou non, ce principe est - devrait être - universel !

Je me secouai un peu et revins parmi mes amis... ceux qui, désormais faisaient partie de la vie que j'avais choisie.

Je croisai le regard de Léanice dans lequel je lus une infinie tendresse, et cela suffit à chasser ces images d'un passé qui ne m'appartenait plus désormais.
Alcyone
Nulle amertume dans le coeur de la rouquine qui passe la porte de l'eglise, pas plus que de remords, au contraire, c'était bien fini ce temps là... juste une certaine lucidité. Et fatalement, quand on est lucide, quand on sait de quoi il retourne, on ne voit plus le monde en rose bonbon. Aux yeux de la prévôte, le commun des mortels étaient comme ces hommes, enchaînés au fond d'une caverne et qui ne voyaient le monde qu'à travers des ombres dansant sur un paroi de la grotte. La libération de cet état, de gré ou de force, faisait toujours mal, mais les yeux finissent toujours par s'accoutumer à l'aveuglante lumière du dehors, hors de question de revenir en arrière.

Non, vraiment, elle ne regrettait rien, et surtout pas ses paroles. Elle était tout de même déçue que Mac ne la retienne pas pour discuter. Pas se justifier, elle n'avait que foutre des excuses et justifications, de qui que ce soit. Juste discuter au lieu de penser. Ou lui foutre une gifle, comme il l'avait déjà fait - à raison, hein, personne ne dit le contraire - à Sainte Anne avant de partir. Voila qui aurait relevé un peu cette cérémonie aussi fade qu'ennuyeuse. Elle avait eu un peu d'espoir en entendant vaguement le père Ijarkor prendre la parole, mais non. Rien n'était venu. Dommage, elle aurait pris plaisir à discuter avec ce curé, il avait l'air bien. Pour un curé. Elle lui aurait expliqué ce qu'elle savait, la compréhension qu'elle avait de la situation, le pourquoi elle était si sûre de ce qu'elle avançait.

Tant pis! Elle s'était promis de se lâcher et dire les choses comme elle les pensait, voici qui était fait, c'est donc le coeur léger qu'elle sortit de l'édifice religieux. Elle posa sa fille au sol et la tint par la main. Elle venait de décider d'emmener Mara en ballade à cheval, la petite adorait ça.

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Epouse, amante, amie, maîtresse, mère, femme, sainte et raclure.
Et accessoirement Princesse, Vicomtesse, et blablabla
--Maulord
Une affiche a été mise en place dans la nuit sans que personne n'en pris offense. On pouvait y lire:


Habitants du Limousin, vous le peuple qui donnait de votre temps et de votre argent pour faire vivre et ripailler vos seigneurs, il est temps de vous unir et de réagir devant l'oppresseur. Les impôts vous sapent le moral, vous ne parvenez plus à faire vivre votre famille dignement, plus vous en donnez plus ils en veulent, leur soif va grandissante. Ils se sentent en sécurité dans leurs chateaux entourer de nombres de leurs partisans en arme arborant fièrement sur leurs boucliers l'écusson limousin, l'armée est leur meilleur alliée car ignorante des mesquineres des hautes autorités.

Il est clair que nombre s'engraisse tandis que les miséreux sont de plus en plus nombreux dans les rues de toutes les villes du royaume, cela ne peut plus durer il faut réagir avant qu'il soit trop tard, assez de nos frères et soeurs ont péri par manques de nourritures, ce n'est pas la famine, ni le manque de denrées qui doit être mis en cause mais bien ses riches aristocrates qui ne pensent qu'à leur estomac jamais rassassier des mets les plus fins, tandis que beaucoup d'entre nous ne peut même pas s'offrir le pain quotidien.

Que dire de l'église qui prône le partage. Le partage équitable je donne de la main gauche et reprend avec bénéfice de la main droite. Je vois nos bons écclésiastiques bien gras et toujours bien propre sur eux.

Les mains blanches, jamais déchirées par le travail de la terre ou de la mine. Ils préfèrent confier les basses besognes pour des saaires qui frolent le ridicule. Tout est bonpour le profit.

Ils n'avoueront jamais cela, et se réfugieront derrière un: je vous laisse ma place et faites mieux que moi... Nous ne voulons pas de cette place nous voulons l'égalité pronée depuis des années sur tout le territoire, elle existe? Non c'est une utopie qui ne demande qu'à être mis à jour, un rêve qu'un jour le réveil ne fera pas cesser.

Si vous voulez nous rejoindre, il est encore temps, battons nous ensemble, unissons nous...

L'antre vous attends et est là pour vous, pour le peuple...

Soldats, fermiers, artisans, mendiants, gueux, brigands rejoignez nous et ensemble rendons au peuple ce qui appartient au peuple.

L'heure de la révolte à enfin sonné...

Venez ici nous rejoindre:
L'antre de la bête

http://lantredelabete.forumactif.com/
Suisse38
A travers ses marches dans le comté, elle n'avait encore visiter la cathédrale Saint-Étienne. Par curiosité Suisse poussa la porte. La nef était vide, ce n’était pas jour de messe.
Elle avança jusqu’au centre et pris place sur un des bancs.

Restant là à réfléchir et sans doute inspirée par la sainteté des lieux, elle récita soudain,


"O toi mon aimé très présent
guide-moi là où je veux aller.
Permets moi d’atteindre mon but sans encombre.
Protège-moi de tous les dangers
pendant que je voyage .
Regarde mes yeux et mon coeur
tu y verras ton visage.
O, heure divine,
Où je t’ai rencontré."


A ses dernières paroles que l’écho portait, elle esquissa un sourire.
Elle avait un peu tout mélangé, mais qu’importe.

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--Echo
"O toi mon aimée mon présent
guide-moi là où je veux aller.
Permets moi de te joindre malgré les ombres.
Aimes moi de tous les dangers
pendant ce doux voyage .
Rejoins mes yeux et mon coeur
tu y verras ton visage.
O, heure divine,
Où je t’ai rencontrée."


L'écho rougit un peu de n'être le reflet parfait de ses mots. Mais il portait en lui plus de sels que de mots. Il passait au travers d'un vitrail nacré, lumière qui vint carresser la capuche de Suisse, cherchant la caresse d'une joue.
Suisse38
Un rayon de soleil réchauffait sa capuche, haussant son épaule, elle frotta sa joue contre l’étoffe.

“C’est pas Dieu possible comme il me fait perdre la tête, j’entends sa voix!”

Se releva et préféra partir. La porte en se refermant résonna dans l’édifice vide.
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