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[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

Mctyle


La cérémonie était déjà commencée lorsque j'arrivai, précédent mon épouse retenue au Manoir... Quillian avait passé une mauvaise nuit et nous avions du mal à le faire dormir.
Pendu au sein de Léanice, il chipotait et son comportement énervait quelque peu mon épouse... Ce n'était pas le moment, nous avions rendez-vous à l'Eglise pour le baptême de notre ami Jésus.

Aussi, afin de laisser tout ce petit monde retrouver sa sérénité, je pris les devants en conseillant à Léa de prendre son temps..; cela ne servait à rien de s'énerver... cela ne faisait qu'empirer la situation et Quilian le sentait.

La messe était en cours. Je me signai en entrant et, aussi discrètement que possible, je faufilai ma carcasse non loin de mon ami afin qu'il me remarquât. Au passage, je saluai d'un signe de tête les visages connus.

Je lui adressai un sourire accompagné d'un petit geste de la main signifiant " Pas de soucis... tout ira bien, je ne t'ai pas oublié."
Jesus-2
Jésus avait remarquer le signe que lui avait porté son ami, et il était bien content de le voir arriver. Jésus savait que Léa avait des occupations et en plus le jeune Quillian, mais il ne doutait pas de la présece de léa pour la soirée. La cérémonie n'est qu'une partie de la longue journée qui se prépare.

Une fois Mctyle assis, Jésus se concentra à nouveau sur la messe dites par le pére Enosch. Il écoutait es paroles trés concentré, car il se sentait investit spécialement aujourd'hui, par une ferveur hors norme.

Ainsi Jésus se plongea dans une grande réflexion à propos des paroles d'Enosch.
Arestel


Arestel écouta la cérémonie commencer avec attention, se souvenant avec un petit sourire aux lèvres de son propre baptême, quelques mois plus tôt.
L'arrivée de McTyle la fit sortir de ses pensées, elle lui fit un signe de la t^te accompagnée d'un sourire. Léanice n'était pas là, et au fond d'elle Arestel ne put s'empêcher de pense : "aaahhh, les joies de la maternité!!"

A côté d'elle, Jésus-2 était concentré, et donnait l'impression de graver dans sa mémoire chaque mot que prononcait le père Enosch. Sentant la tension qui montait en lui, elle lui prit la main et la serra un peu, pour le rassurer.
Cela faisait tellement longtemps qu'il attendait ce jour, qu'elle pouvait voir aux traits de son visage son impatience.

Amusée, elle se tourna à nouveau vers le père Enosch.
Jesus-2
La messe avançait petit à petit, et l'impatience de Jésus commençait à bouilloner. Chaque mot qui était prononcé le rapprochait de son entrée spirituelle dans l'église. Quel moment important dans la vie d'un homme ! Jésus serrait l amain d'Arestel car c'était une fierté pour lui de lui tenir, et surtout un soulagement dans cet intense moment. Tant de patience et de péripéties pour enfin arriver là. Mon but !
Enosch
Tout se passait bien. Les fideles recitaient tous en choeur le credo, et cela etait une grande joie pour le pretre. Il sortit son gros livre des vertus et tourna les pages lentement jusqu'au passage qu'il avait annoté.


-Mes biens chers soeurs, mes biens chers frères,
aujourd'hui lecture vous sera faite d'un passage du livre des vertus qui traite de la cité d'Aornos.


Enosch prit une grande bouffé d'air avant de lire.


Livre des vertus - Livre 2 - Partie 4 a écrit:
Le siège d'Aornos - Chapitre III

Le temple du manitou du serpent cosmique était un édifice imposant, dont l’architecture ne tolérait aucune fioriture. Le décorum était d’une simplicité extrême, et se limitait à quelques bas reliefs représentant des épisodes de la vie du serpent cosmique, divinité Assacène. Seul le dôme du temple tranchait avec l’austérité de l’ensemble, chargé qu’il était de pierres précieuses, et tapissé de feuilles d’or. Nous pénétrâmes dans la bâtisse, emboîtant le pas de notre guide, qui nous conduisit à une sorte de guichet, tenu par ce qui semblait être des moines. Ceux-ci nous interrogèrent sur nos identités, nos adresses, nos situations familiales, nos revenus, nos filiations, et plusieurs heures plus tard, nous fûmes enfin autorisés à rencontrer le manitou.

Le manitou du serpent cosmique était un personnage singulier. Nous nous attendions à rencontrer un souverain, splendide dans sa majesté, mais c’est un homme dépourvu de charisme qui nous faisait face. Le manitou était petit, maigre, d’un age plutôt avancé, et portait une ridicule petite moustache. Il nous accueillit froidement en ces termes : « Les étrangers ne sont d’habitude pas bienvenus ici, mais pour vous nous faisons une exception, puisque vous êtes acteurs de la prophétie ». Je brûlais de lui poser la question, mais c’est Aristote qui le fit avant moi : « Mais de quelle prophétie parlez-vous donc ? ». Le manitou lui répondit qu’il avait vu en rêve qu’Aornos serait détruite par des armées venues d’occident, mais qu’un philosophe du nom d’Aristote devait d’abord visiter la cité pour en perpétuer la mémoire dans ses écrits. Aristote affirma que jamais il n’userait de son précieux temps pour écrire deux lignes sur Aornos, « plutôt crever, ou mieux, qu’Aornos sombre dans un total oubli ». Le manitou fut atterré par les paroles du philosophe : « Ah, non, non, non ! Ca non, nous ne pouvons pas être oubliés, enfin ! Nous sommes l’idéal politique ». Aristote pouffa : « Pouah ! Vous plaisantez ? Un idéal, une vaste blague oui : je ne vois ici que péché.

Je ne vois que luxure des hordes d’égarés vautrés dans les abus obscènes des choses de la chair, qui conduisent à l’irrémédiable contamination de l’âme, devenant alors comme un noir paysage peuplé de phantasmes où les corps se mêlent dans des positions indicibles. Ces damnés vont et viennent dans un sinistre ballet, en quête de nouvelles expériences sordides, pour calmer leur appétit féroce qui ne fait qu’aller grandissant. Plus rien n’a d’importance, sinon la satisfaction de leurs bas penchants, et bientôt, les obsessions deviennent si fortes qu’ils sombrent lentement dans une folie noire.

Je ne vois que colère, que des pauvres bougres qui s’abandonnent à leurs penchants primitifs pour lever la voix ou le gourdin contre leurs frères, que des sinistres maraudeurs qui jouissent de la violence de leurs actes malfaisants. Ceux-là, bientôt poussés par leurs pulsions bestiales, ou leurs tendances à la perversité, se repaissent de chair humaine et boivent le sang de leurs victimes, avant de semer la mort, puis de s’oublier à jamais dans une orgie de viscères et d’humeurs répandues.

Je ne vois qu’avarice de ceux qui prétendent commander mais qui ne font qu’exploiter, méprisant des intérêts les plus fondamentaux de leurs sujets, de ceux qui se complaisent dans leur petit confort, méconnaissant des besoins vitaux de leurs frères laborieux, et qui refusent une miche de pain aux bouches affamées. Ceux-là, en vérité, font preuve d’un tel égoïsme, que toute leur substance converge vers un même point central de leur organisme, et qu’ils deviennent ainsi tout rabougris, bossus, et tordus par l’œuvre du temps.

Je ne vois que gourmandise, et extraordinaire opulence des citoyens, qui sont gras d’abuser des choses de la table, rosés de boire trop de vin, et nonchalants de leurs excès de sommeil. Ceux-là verront bientôt leurs langues couvertes de pustules immondes, et gonfleront comme des baudruches, pour ensuite éclater tels des fruits murs dispersant ainsi leurs pauvres chairs aux quatre vents.

Je ne vois qu’orgueil et fatuité des citoyens, qui se réjouissent de la contemplation de leur propre image, et qui se persuadent de vivre dans la perfection physique, morale et politique. Ceux-là deviendront les plus laids, les plus difformes d’entre tous à mesure qu’ils vieilliront ; ils finiront fous de désespoir d’être rendus à l'état de monstruosités rampantes, larves visqueuses qui n’ont plus rien d’humain.

Je ne vois qu’envie des uns pour les choses des autres, ceux d’en bas voulant posséder autant que ceux d’en haut, tels se pourléchant de ce qu’ils pourraient encore tirer de leur prochain, et la chrématistique se faisant l’instrument de ce système pernicieux. Ceux-là aiment trop posséder et posséder autrui, et à se croire trop libres de désirer, ils en deviennent esclaves de leurs désirs, soumis aux moindres aléas de la fortune : leur vie devient un enfer, une quête effrénée et impossible d’un nombre toujours plus grand de choses terrestres.

Et enfin, je ne vois qu’acédie, le pire de tous les vices, s’il en est un, car voilà des citoyens qui au nom d’une obscure prophétie se laissent aller à la contemplation absurde de ce qu’il croient être leur destinée, à savoir disparaître sous les coups du glaive d’Alexandre, des citoyens qui au lieu d’agir, regardent béatement et passivement, des citoyens qui ignorent que l’action est le produit de l’héroïsme, le plus noble véhicule des vertus. Ceux-là, en vérité, ne méritent plus le nom de citoyens, et donc ne méritent plus le nom d’homme, ils sont des légumes ! »

Et Aristote se tût. Le manitou fit des yeux ronds, quant à moi je ne savais que dire après une telle tirade. Le temps fut suspendu, puis le souverain eut soudain une réaction violente. Aristote et moi fûmes expulsés d’Aornos, après avoir été copieusement insultés par le petit roi, qui entrait dans une colère hystérique.



Enosch ferma le livre dans un claquement retentissant et s'approcha plus pres des présent.


-Pardonnez moi mais j'ai comme l'impression qu'il ne faut plus avoir de charge au sein du conseil pour avoir la permission d'assister à la messe !
Peut être votre grandeur saurait me répondre ou bien vous sir Mctyle ?
Existe t il une sorte de clause secrete a ce sujet ?


Enosch fit un sourire laissant entendre qu'aucune reponse n'etait attendu.

Cette cité decrite dans ce passage du livre pourrait fort bien se trouver en Limousin . Aussi vous êtes conviés a méditer sur les propos d'Aristote à son sujet. Si nous ne prenons pas garde, alors la colère divine pourrait peut être bien s'abattre sur nous, qui n'avons su tendre la main et ameliorer le quotidien des villageois.
Aristote lui même prouva que l'unité prévaut sur le multiple. A vous qui etes ici aujourd'hui, je vous suis reconnaissant, je sais que la tache peut sembler lourde, mais à nous d'etre le moteur d'un renouveau, que l'on soit de Ventadour, Gueret ou bien Trifoulli les oies..


Enosch se tourna vers soeur Ginette qui semblait impatiente de chanter.
Il l'invita d'une main à s'avancer et laissa le chant prendre la suite.


(clic )


Le père Enosch se plaça sur le coté, espérant que le chant aiderait à la réflexion.
.
_________________
Jesus-2
Jésus fut surpris par le chant et la voix de sœur Ginette. Ce fut un moment bien agréable qui détend après une si longue méditation. Et qui aide à la réflexion. Le père Enosch savait y faire, et avait une façon bien originale de mener son office, qui rendait cette cathédrale plus attrayante que n'importe quelle autre.
De plus le prêtre savait susciter son assemblée, et soeur Ginette derriére son air un peu stricte chantait merveilleusement bien... et elle a un jeu de sourcil hors du commun !

Mais cela marquait il la fin de l'office... Jésus sentait le traque monter, car il n'avait pas l'habitude d'avoir les regards de toute une assemblée de fidèles fixés sur lui.
Enosch
Enosch qui avait donné carte blanche à sœur Ginette pour faire remonter la frequentation de la paroisse le regretta quelques peu lorsqu’il s’apercut que Ginette minaudait. Et de plus elle avait fait des clins d’œils a sa grandeur , cela était vraiment trop. Mais l’heure n’était pas à mettre une fessé à Ginette, aussi Enosch se mit-il à applaudir.
clap clap clap clap clap clap

-Bravo, bravo ma sœur ! Quelle merveilleuse chanson sur la fin du monde, destruction, agonie lente suite à la colere divine. Avec vous on aurait presque envie que cela arrive aujourd’hui !
Hmmm…bien..

-A present avant de partager le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotelicienne, je vais demander à Notre frere Jesus2 de s’approcher afin que nous puissions proceder à son bapteme.

Et Jesus s’obtempéra..

Le père Enosch se mit a lire.

Citation:
“Alors, le tribun ordonna au centurion de se saisir de Jésus, et l’officier, à la mine féroce s’approcha de nous d’un pas lent. Je respirais au rythme de la cadence de ses pas, essayant de calmer mon cœur qui s’affolait. Lorsqu’il se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

" Maître, supplia t’il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pêcheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis moi comment me faire pardonner ! "

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
" Pêcheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs pêchés. Ainsi, si ton repentir et sincère, Dieu te pardonnera. "

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
" Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence."

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. "

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :
" Seigneur, daigne laver cet homme de ses pêché, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen "


Alors le père Enosch posa une main sur l’epaule de Jesus et dit :

Jesus2 après avoir entendu et compris la lecture de ces textes sacrés, désires-tu recevoir le sacrement du baptême et ainsi entrer dans la communauté Aristotélicienne ?
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Jesus-2
Jésus-2 après cette lecture regarda le père Enosch, afin de répondre à la question qui lui était posée. Ainsi le jeune homme déclara:

"Mon père je me sent enfin prêt à recevoir le sacrement que vous me présentez, car tel le centurion je suis pécheur et je demande le repentir, afin d'entrer dans l'église lavé de mes péchés passés. Je suis prêt pour cette renaissance qui sera la mienne afin de servir et vénérer au mieux le trés haut. Ainsi mon père à cette question je répondrais, Oui ! Je suis prêt."


Puis Jésus esquissa un sourire fier de la réponse qu'il a pu formuler sans bafouiller.
Enosch
Enosch invita Jesus2 à l'accompagner vers le baptistère.



-Recitez à present apres moi le serment d'allegeance :


_________________
Jesus-2
Ainsi Jésus, proche de l'eau de sa renaissance reprit les termes du prêtre Enosch, avec beaucoup de sensibilité dans sa voix. Tellement l'homme était ému.

"Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Église Aristotélicienne comme mon guide dans
la connaissance de Dieu et je jure de lui rester fidèle ainsi
qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l' Être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut
de mon âme en vue de ma résurrection prés de Dieu
dans la contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé
et serviteur de Dieu tout puissant."


Ainsi l'homme marquait ses premiers pas dans l'église en récitant ces termes. Et l'émotion de l'instant marqua l'esprit de Jésus pour sa vie entière.
Leanice


C'est avec beaucoup de retard que j'arrivai pour le baptême de notre ami Jesus, la cérémonie avait l'air d'avoir déjà bien avancée, mais Quilian était tres pénible, aussi aprés lui avoir donné le sein .. ce qui avait duré beaucoup plus de temps qu'à l'ordinaire.. je laissai mon fils à notre fidèle gouvernante pour me précipiter à l'Eglise ..

Passée la grande porte, j'aperçu l'imposante carrure de mon époux et me faufilait donc jusqu'à lui .. j'eus juste le temps defaire un petit signe de la main à Arestelqui se trouvait prés de Jésus, certainement pour le soutenir .. ce qui me fit sourire .. une fois assise à ses côtés je lui murmurai ..


- désolée chéri mais ton fils a été trés pénible, j'ai même cru ne pas pouvoir venir .. de plus il m'inquiète un peu, je l'ai trouvé trés chaud en partant .. où en est la cérémonie ?


-
_________________
Jesus-2
Jésus fut trés heureux de voir Léanice arriver. Le retard et tout excusable et il était content que ses amis soient là. Arestel tout prêt de lui, il ne manquait rien.
Puis Jésus entendit les murmures de Léanice à Mc...et se disait que c'est une situation qu'il vivrait très volontiers avec sa belle Arestel.
Aldric_le_fourbe
Aldric avait hésité pendant la quasi totalité de la cérémonie ...
Il était resté devant l'édifice, il avait vu rentrer de nombreuses têtes connues, sans jamais avoir envie de les suivre à l'intérieur.

La vérité, c'est qu'il avait pris Aristote en grippe et évitait tout lieu saint depuis un bon moment, comme pour lui signifier son mécontentement.

Mais il fallait bien le reconnaitre, il était tout de même dommage de manquer un évènement comme celui ci, et puis après tout, il devrait y passer lui aussi, pour son baptême et ensuite le mariage avec Cathy, alors autant s'y habituer le plus possible. Et c'est presqu'à contre cœur qu'il pénétra dans la maison de seigneur, ne prenant pas la peine de se signer, plus par symbole que par ignorance.
Il jeta un coup d'œil rapide à ses amis, ils étaient tous devant, mais pour lui, il était hors de question d'avancer plus loin. Il resta donc au fond de la salle en attendant que le spectacle se termine.

Durant ce temps, qui lui parût une éternité, son âme d'artiste fut forcée de constater la beauté du lieu, lui rendant la présence presque agréable.
Jesus-2
Jésus vit encore une silhouette entrer au fond de la cathédrale...et ne pouvant distinguer qui...il ne pouvait s'empêcher de sourire tant l'événement était important pour lui...
Arestel


Jésus s'était approché de l'autel afin de prononcer ses voeux, Arestel le regarda s'avancer et prononcer le serment. De là où elle se trouvait, elle n'arrivait pas à bien entendre ces paroles, mais l'observer lui suffisait.

Puis elle entendit quelqu'un avancer dans l'église. Elle se retourna et apperçu Léanice à qui elle fit un signe en guise de salue.

Elle repporta son attention à Jésus, distrait par autre chose à l'extérieur. Elle aurait voulu se déplacer pour lui dire de rester concentrer sur le père Enosch, mais se retint, en souriant.
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