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[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

Aldaaregonde
Claquement de langue. Regard à droit, puis à gauche. Il semblerait qu'un léger détail se soit fait oublier. Ou bien est ce un Ange qui passe.
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Dhea
La quoi ? et re merdum !!
Moment de silence...allongé, prolongé, très prolongé. Levage de tête...Oh tient un ange passe...ah non c'est une mouche...
Grognements sur sa droite...non son autre droite, sa droite à gauche quoi !
Elle se tourne vers l'objet des grognements et là...elle n'en croit pas ses yeux, d'ailleurs elle se les frotte. Se dandinant d'un pied sur l'autre et gromelant on ne sait pas trop quoi, voilà ti pas que Lastours, le Vieux sort un petit écrin de son escarcelle.


- Ppppffffff...voilà....euh...ppppfffff....bref...Bordel !! C'est pour vous !!
Et Raspoutine de tendre un petit objet brillant. Un anneau en or orné d'une fine pierre, un magnifique rubis.

Pour le coup ça cloue le bec à Dhéa car alors ça elle ne s'y attendait pas. Comment aurai-elle pu imaginer que Raspoutine aurait fait l'acquisition de ce petit joyau pour elle et qu'il le gardait toujours par devers lui ?
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Plus ne m'est Rien !!
Eloin
L'air stupéfait qu'arbora la vicomtesse de Droux en découvrant le présent de son presque époux amena un sourire sur le visage de la moniale. Ces deux-là s'aimaient, d'un amour peu commun et particulier, certes, mais le doute n'était plus permis. Se doutant que Dhea rechignerait à luy donner les alliances, et ne voulant point créer de scandale alors que la cérémonie serait bientôt achevée, la cistercienne procéda autrement.

Eloin posa sa main au dessus de chacune des alliances et les bénit, avant de déclarer à haute et intelligible voix.


Qu'Aristote bénisse ces alliances ! Puyssent-elles représenter le signe éternel de vostre réciproque amour !

Puys elle reporta son attention vers les futurs époux.

Vous pouvez vous échanger les alliances, à présent.
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Héraldique
Zakarine
En terre ennemie... La nuit a été longue et riche en évènements... Zakarine s'était battue comme une tigresse, elle-même ne s'était pas reconnue, tellement! Alors qu'elle combattait une dame, elle entendit son fils non loin d'elle qui se défendait comme il pouvait en hurlant. Son adversaire avait déjà brisé le bâton qui lui servait d'arme et allait le pourfendre sans pitié. Mais il avait réussi à la blesser et à se sauver...

La rouquine vit rouge! Ni une , ni deux, elle acheva celle qui se trouvait face à elle et se précipita pour voir si Robin allait bien. Rassurée sur ce point, la Trégorroise trucida une femme qui s'approchait d'eux sans même réfléchir à qui elle avait à faire. Elle s'avéra être, elle ne le sut que bien plus tard après vérification des corps gisant sur le sol, Nebisa la future Reyne de France...

Mais cela lui était complètement égal, seule la vie de son fils lui importait.. Son cœur battait très vite dans sa poitrine depuis ce moment. La Bretonne avait vraiment ressenti la Peur! Non pas pour sa propre vie, non, mais celle de son fils adoré... Elle remercia le Très-Haut qu'il l'eut écouté et qu'il ne fut pas encore allé chercher sa fille..
Elle décida d'aller prier en la Cathédrale Saint Etienne de Limoges. Elle n'avait pas sommeil, de toute façon... encore trop excitée de la bataille qu'elle avait menée avec ses compatriotes du Ponant...

Cependant, avec son accent mi-Provençal mi-Bretonnant et ses cheveux de feu éclatants, elle craignait de se faire reconnaitre. C'était donc pour cette raison qu'elle partit au petit matin, quand les rues étaient encore vides de ses habitants..
Pour cette expédition incognito, elle prit soin de prendre un bain dans la rivière qui longeait leur campement, de revêtir sa houppelande blanche toute propre et de se draper de sa cape, protégeant sa tête et son visage avec la capuche qui lui tombait jusqu'aux yeux...

Zakarine marchait tête baissée dans les ruelles. Soudain, elle tomba sur l'immense édifice. Ce qu'il était beau!
Elle crut entendre un bruit derrière elle. Sans bouger, elle tourna juste un peu la tête pour s'assurer que personne ne la suivait.. ce n'était qu'un chat qui courait après un rat au milieu des détritus qui jonchaient le sol.
La rouquine reprit sa marche et gravit le perron du lieu saint. Elle posa sa main sur la grande porte. Par chance, elle n'était pas fermée et s'ouvrit tout doucement sous la poussée de Zakarine.
La Bretonne pénétra lentement dans la cathédrale. Elle longea l'allée centrale, puis s'agenouilla face à la statue de Christos tout en se signant.. Elle se releva et alla s'asseoir sur un banc. A cette heure matinale, l'église était vide. Le moindre bruissement de sa robe résonnait à l'intérieur en un écho oppressant. Elle pria pour le bonheur et la santé des êtres qui lui étaient chers et pour que cette guerre finisse très vite.. sur la victoire du Ponant, bien entendu...

Elle commença à réciter son credo dans un chuchotis:


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Saint Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des péchés,
En la Vie Éternelle.

Amen

Je vous en prie, prenez soin de ma famille et de mes amis! Paix aux âmes des disparus, amis et ennemis...


Zakarine resta ensuite prostrée un long moment, sans un mot. Elle prit une grande inspiration, puis se leva. Elle ressortit très vite de l'église en direction du campement de l'armée bretonne...
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Pattricia
La môme au loup savait qu'elle allait devoir partir et rejoindre un ailleurs plein de cris et de fureur, elle était restée sur sa fin quand l'ancien Sarladais avec son armée avait passé son chemin pour continuer sur Tulle. Elle se rappelait de l'époque de l'Hydre, de la pâté qu'elle et ses amis avaient mis au frère de Drine et à ses comparses en Périgord, mais là rien ! Depuis elle était d'humeur chagrine, elle qui avait déjà récolté plusieurs recettes pour agrémenter les couilles de taureau, avait en vain invectivé l'armée qui était passée sous leurs yeux, trainant ses bottes et ses armes sans demander son reste.

La vindicative, alias "vindicator" petit surnom charmant que lui avait donné la Grande en son temps, avait donc visité quelques tavernes, fait quelques parties de chasse avec ses enfants, couru à perdre haleine avec Truffe, avait perdu bien évidemment et distribué quelques godets de son précieux alcool de poire. Mais là elle s'ennuyait... Son caractère "charmant" la titillait, elle avait envie d'en découdre et elle rongeait son frein en grommelant et admonestant qui prétendait la contrarier. Elle n'avait rien contre la capitale, les convives étaient agréables et tout et tout, mais son épée restait au fourreau, ses dagues dans ses bottes et son arc accroché à la selle de sa jument, autant dire que l'humeur de Patt risquait pas de s'arranger d'heure en heure...

Comme elle n'avait pas "son" précieux lac sous la main pour se régénérer, la jeune femme avait pris la décision de prier et d'en profiter pour visiter la cathédrale. Il était tôt, et elle avait veillé tard avec les enfants, elle n'avait donc pas osé les réveiller et les avait laissés à la garde de la précieuse Mélie. Heureusement, contrairement à une certaine brune de sa connaissance, elle n'avait pas trop bu la veille au soir et son esprit était plutôt clair, à défaut de ne pas être en mode "chieuse on !" comme tous les jours précédents.

Une fois sur le parvis, la jeune femme admire l'architecture de la cathédrale et prend une grande respiration, avant d'entrer dans l'édifice religieux. La soudaine pénombre lui fait cligner des yeux et il lui faut un temps pour que ses prunelles vertes s'adaptent et distinguent l'intérieur de la maison du Très Haut. Le lieu est imposant, les vitraux d'une grande beauté et le silence impressionnant. La Périgourdine avance dans l'allée centrale et s'imprègne du lieu.

Elle avise un banc et s'y assied, se laissant aller dans ses prières intérieures...

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Dhea
Eloin a écrit:
L'air stupéfait qu'arbora la vicomtesse de Droux en découvrant le présent de son presque époux amena un sourire sur le visage de la moniale. Ces deux-là s'aimaient, d'un amour peu commun et particulier, certes, mais le doute n'était plus permis. Se doutant que Dhea rechignerait à luy donner les alliances, et ne voulant point créer de scandale alors que la cérémonie serait bientôt achevée, la cistercienne procéda autrement.

Eloin posa sa main au dessus de chacune des alliances et les bénit, avant de déclarer à haute et intelligible voix.


Qu'Aristote bénisse ces alliances ! Puyssent-elles représenter le signe éternel de vostre réciproque amour !

Puys elle reporta son attention vers les futurs époux.

Vous pouvez vous échanger les alliances, à présent.



-Des alliances ? Nan mais attendez elle m'a bien vu la curetonne ? J'ai une gueule à porter une bagouze ? J'suis pas une loppette moi !! J'suis un Homme, un vrai avec des pouals ! HORS de question que je porte une mini laisse à mon doigt ! Déjà que j'ai dit oui ! C'est suffisant !!

Ecarquillement des oeils de la Droux presque Lastours, rougissement, honte, grande honte mêlée à une cuisante gênante. Ouais ça cuit pa la gêne mais on s'en fiche. Baffouillements.

-Euh pardonnez lui Mère Eloin...il s'emporte par le vent...

Elle lui tend le rond d'pierre (c'est qui ce pierre ?) qui aurait dû faire office de bague aux premiers népousés. Ca fera bien l'affaire et pi si on veut pas avoir du sang dans la cathédrale, c'est ça ou du sang !
Prière murmurée pour que ça passe...et que ça casse pas.
Sourire forcé à Eloin...

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Plus ne m'est Rien !!
Eloin
Un violent sursaut secoua la moniale lorsque le presque époux manifesta avec force sa volonté de ne point porter d'alliance. Elle fronça les sourcils, rendue soudainement muette de constater que l'homme avait autant de coffre alors qu'il n'avait fait que marmonner depuys le début de l'office, puys réfléchit activement durant quelques instants.
Après tout, mesme si cela n'était point courant, le fait que le mary ne porte point l'alliance n'était point si incongru que cela, c'était mesme une norme, naguère. Et elle se souvenait d'une cérémonie d'épousailles à laquelle elle assista plusieurs années auparavant, où seule l'épouse s'était faite passer la bague au doigt, sans que cela ne dérange l'officiant.

Bon gré, mal gré, Eloin reporta donc son regard sur ce couple décidément peu ordinaire.


Ainsi soit-il ! Seule dauna Dhea portera l'alliance, puisque tel est le désir de messer de Lastours.

Messer, je vous invite à passer l'anneau au doigt de vostre épouse, en répétant après moy la présente formule :

"Dhea....reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité."


Et elle patienta.
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Héraldique
Dhea
La Mère Eloin n'avait pas réagit plus que de mesures à la saute de caractère du Vieux Ronchon et on pouvait poursuivre...
Amour...amour...c'est ça cause toujours...Fid ? Fides quoi ? Fidélité ? Ca compte les danseuses ?


- Dhéa...recevez cette alliance en guise de mon a...am...mamour...et de ma fidélité.

C'est grave si je croise les doigts ? se demandait le vieux barbon.
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Plus ne m'est Rien !!
Eloin
Et la moniale de conclure, avec un sourire marquant son soulagement de voir l'office prendre -enfin- fin.

Désormais vous estes unis devant Dieu et les hommes... Vous pouvez vous embrasser !

Pendant que les jeunes, mais plus vraiment jeunes, mariés concluaient à leur manière la noce, Eloin disparut un instant dans la sacristie ; pour en revenir, quelques instants plus tard, avec un calice d'argent dans une main, une coupelle garnie de petites tranches de pain dans l'autre. Elle posa le tout sur l'autel, avant d'inviter la petite assemblée à participer au rite du partage.

A présent, et pour finir agréablement cet office, partageons le pain et le vin de l'amitié.
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Héraldique
Le_peint


Le Peint entra dans la Cathédrale où des crétins endimanchés avaient l'habitude de se retrouver pour expier les Fautes qu'ils accumulaient depuis le début de leurs existences insignifiantes:
-fautes de gout,
-fautes conjugale,
-fautes politique,
-fautes militaire,
-fautes de Foi!

Il dévisageait les sales faces de rats que les nobles empruntaient en allant vers le centre de la cathédrale.

C'est là qu'il se mit à prier Déos en chantant à voix haute:



http://img291.imageshack.us/img291/6916/laref3.gif

Image mise en lien: Trop lourde / Mouchette
Il termina son chant et se jura de faire de cette cathédrale male famée le centre névralgique de la cohabitation entre les réformés, les spinozistes, les averroistes et les païens.

Au dehors, les chiens de Rome mourraient par milliers sous les vaillantes armées de révolutionnaires illuminées.


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--Nymphe_des_zenfers



Comme son ombre. C'est ainsi qu'elle le suivait depuis quelques temps. Elle était sa créature, il l'avait dessiné, il l'avait faite. Sans lui elle ne serait pas. Elle était entrée dans le lieu froid. Ca sentait la cire. Elle avançait lentement dans les travées, il était là, pas très loin d'elle. D'un oeil elle le surveillait. De l'autre elle était à l'affut, elle cherchait ... et elle trouva.

La nymphe s'approcha d'une boite, dont le dessus était fendu. Elle tapota et entendit le doux son du métal. Elle se dressa sur la pointe de ses pieds nus et glissa ses doigts par la fente, ses doigts effilés dont les extrèmités touchèrent alors les pièces qui se trouvaient là, déposées par quelques âmes qui recherchaient le pardon. Elle volait le pardon de ses âmes, bien décidée à leur faire connaitre l'enfer.

Elle arracha au tronc quelques piécettes, qu'elle fourra dans sa poche alors que le Peint, son créateur, ne la regardait pas. Elle glissa sur les dalles pour le rejoindre. Reprendre sa place d'ombre ...


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Justeampassan
JusteAmpassan, déposa un placard en la cathédrale de Limoges, et s'en alla vaguer à ses occupations.

Citation:
A l'occasion du passage de la cardinal archevêque de Bourges, une célébration aura lieu ce samedi soir en la cathédrale Saint Etienne de Limoges.
L'office débutera à 18 Heure.
Pace e bene.
Verty
Les cloches de la cathédrale de Limoges résonnèrent à tout rompre, appelant les fidèles à une messe des plus pieuses.



Ce samedi, les fidèles étaient invités à venir participer à l'office que ce soit par des lectures, ou en participant à la célébration de l'amitié….

La cardinal de Montfort, était d'ailleurs très enthousiaste à l'idée de cette célébration et se trouvait être particulièrement fébrile.
Dans la sacristie, elle veillait au grain à ce que tout soit impeccable.

La veille, elle avait passé quelques heures à réfléchir sur le thème central de la messe et avait consacré plusieurs minutes à préparer tout le matériel.

Finalement satisfaite du résultat, la cardinal revêtit tout le vêtement liturgique associé à sa fonction, son aube, le surplis, l'étole…

Elle alla faire ouvrir les portes de la cathédrale, et accueilli les fidèles.

En ouvrant les portes de l’édifice, une lumière revigorante emplit alors la nef, éclairant ainsi le superbe autel.

Les fidèles prirent alors place tandis que Mère Verty rejoignait sa place derrière l'autel.
Elle prononça la bienvenue.




Soyez les bienvenus, chers fidèles, dans votre maison, celle que vous partagez avec le Très-Haut et avec tous vos frères Aristotéliciens.
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Eloin
La nouvelle n'avait point tardé à faire le tour de Limoges, la visite de l'archevesque en titre était un évènement exceptionnel, surtout en temps de guerre, alors qu'il aurait été bien plus facile de se cloîtrer chez soi en attendant que les choses ne se passent.

La moniale se trouvait justement dans la capitale, séjournant pour quelques jours au palais épiscopal. Aussi fut-elle parmi les premiers à rejoindre le parvis de la cathédrale et à entrer dans l'édifice. La cistercienne trempa deux doigts dans un bénitier et se signa en fixant brièvement les statues d'Aristote et de Christos, comme elle avait coutume de le faire depuys longtemps, puys salua Son Éminence d'un respectueux hochement de teste, avant d'aller prendre place parmi les premiers rangs.

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Héraldique
Clodeweck
Le père Clodeweck avait rejoins les clercs présents dans le chœur et s'était assis dans les stalles. Il attendit la suite de la cérémonie.
Patiemment.

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La famille Montfort est attendue là
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