Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 63, 64, 65, ..., 67, 68, 69   >   >>

[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

Darknesser
Philippe de Plantagenêt ne put manquer pareille cérémonie spirituelle ; fit doncque preste entranceë et remarqua les personnes estant présentes, quelles salua de bien belle séanççeë. Il prit ensuyte place dans un bruyt feutré près de l'allée principale quy témoignoyt de la magnificence du lieu sainct et attendit que la messe commence.
_________________
Je n'imagine savoir ce que je ne sais point.
__
Philippe de Plantagenêt -Darknesser IG-
Fils de Phenix Alexandre de Plantagenêt, Comte de Cognac et de Frah, Comtesse de Cognac.
Verty
Bonjour à tous !

Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.

Il m’est donné l’honneur de célébrer devant vous cet office, j’en remercie le Très Haut


Après cette introduction Mère Verty, s'approche de la lice et s'adresse de nouveau aux fidèles présents.

Avant de partager ce moment ensembles, il faut nous repentir de nos pêchés.

Oremus :

Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi.


Mes frères, souvenons nous de cet adage !

« Nul n’est autorisé à râler sur l’absence des clercs tant que les fidèles ne sont pas présents aux célébrations »

_________________
Darknesser
Philippe esquissa un sourire quant à l'adage prononcé puys suivit très attentivement toute la cérémonie en respectant toutes les paroles prononcées, regardant de temps à autre l'assemblée puys l'édifice que le fascinoyt. Il n'avoyt poinct véritablement sommeil et décideroyt de méditer sur la soirée religieuse passée durant toute la nuitée jusqu'aux prochains évènements.
_________________
Je n'imagine savoir ce que je ne sais point.
__
Philippe de Plantagenêt -Darknesser IG-
Fils de Phenix Alexandre de Plantagenêt, Comte de Cognac et de Frah, Comtesse de Cognac.
Merwyn
Prévenue de cette messe exceptionnelle par la diaconesse de sa ville, Merwyn entre dans la cathédrale et s'installe discrètement, comme a son habitude, dans le fond a l'ombre des piliers.
Laissant les premiers rangs et la pleine lumière a la noblesse et aux importants ou ceux qui se croient tels.
_________________
)
Verty
Je vous invite donc à ouvrir votre Livre des Vertus, Création VII : l’Amour.


Citation:
Création VII: L’amour

Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort par le faible.

Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda: “Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !”. Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: “Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste...”. Et Dieu lui ordonna: “Parle et je te le dirai !”.

Alors, Oane répondit: “Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.


Ainsi, nous sommes tous liés par ce sentiment commun : l’Amour.
Il doit rester présent dans notre esprit, dans chacun de nos actes, du plus anodin au plus noble.
Souvent oublié, mis de coté par des volontés personnelles et politiques…ambitions de pouvoir.

N’aimez point que vous-même !!! Laissez de coté vos ambitions égoïstes !!

Tournez vous vers votre prochain et tournez vous vers le Très Haut.
L'Amour est ce qui fait de nous des hommes.
Ce sentiment divin doit guider nos pas. Tournez vous vers l’Amour de Dieu.
Il nous en fait don, Il nous a élevé au dessus de ses autres créatures pour que nous l’aimions et le louons.
Le Berry est aujourd’hui plongé dans la discorde et menacé par la division.

Qu’est-ce que cela sinon l’oubli de l’Amour que nous devons TOUS et TOUTES lui témoigner ! Unis comme un seul être, pour plaire à Dieu, le suzerain de TOUS !!

Je citerai enfin le sage Christos : " Il n’est de noblesse que d’âme, et c’est dans votre cœur qu’il vous faut être noble.
Mais sachez que même ainsi, vous serez vulnérable, car la noblesse est souvent blessée par la bassesse. "


Après un court silence, Mère Verty reprit.

Prions ensemble, prions ! Et affirmons notre Foy pour le Très-Haut.


Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________
Clodeweck
Le Cardinal suivait la messe conscient qu'il n'était pas forcément nécessaire de nommer des clercs en Limousin vu le peu de ferveur de la population.
Il se demandait si les gens qui vivaient en cette terre savaient bien où et quand ils y vivaient.
Sans doute le savaient-ils
Mais sans doute étaient ils incapables...

_________________
La famille Montfort est attendue là
Verty
L’archevêque, s’approche de l’assistance…

Mes frères, mes sœurs,

Je vais vous parler d’humilité !

J’entends déjà certains répondre, pour qui se prend-t-elle, comment ose-t-elle donner des leçons ?

Je vais donc répondre tout de suite cela leur évitera de tâcher le sol d’un excès de salive, je me prends pour l’un des représentant de l’Eglise Aristotélicienne en cette année 1459 et prêcher la vertu est mon devoir.

De plus, nous ne sommes pas là pour parler de moi.

Je disais donc que je voulais vous parler d’humilité, car le mot ne semble pas être à la mode.

Que des gens courent après le pouvoir ce n’est pas nouveau et j’aurai presque à penser que cela est humain.

Mais…Je préfère penser que les gens sont de bonne foi et qu’ils font, dans leur majorité, tout pour aider leur prochain.

Alors pourquoi, pourquoi voit-on des équipes municipales crier victoire en écrasant sous les quolibets leurs adversaires ?

Alors pourquoi voit-on des élus cracher sur d’autres parce qu’ils ont recueilli quelques voix de plus ?

Je viens de parler d’élus, alors je précise pour ceux qui n’ont toujours pas compris que la politique est la vie de la cité…

Oui mes frères et sœurs, quelque soit le nombre de voix obtenues par un élu, être incapable de modestie est un manque de respect vis-à-vis des autres candidats bien sûr mais vis-à-vis de tous ceux du peuple qui ont voté pour les vaincus.

Vae Victis ne doit pas être un cri de victoire électorale.

Alors à tous, je dis, restez modestes, dans la victoire comme dans la défaite, et vous serez grands en vertu.

A l’heure où l’on entend des bruits de bottes, à cette heure où les armées se massent aux frontières.

Au moment où chaque peuple s’écrie que c’est l’autre le fautif !

A l’heure où chaque camp dira que l’église prend le parti de l’adversaire, comme d’habitude…

Qui peut me dire le quel des deux camps a été vers l’autre en cherchant à savoir pourquoi ?
Qui peut me dire lesquels des gouvernants ont fait œuvre de Paix avant de fermer les frontières et de masser les armées ?

OUI, je sais, c’est la faute de ceux d’en face, on me l’a dit et répéter ! Ceux d’en face me diront la même chose demain.

Lequel des dirigeants a été assez humble pour vouloir la Paix, pour se souvenir que le premier devoir d’un souverain est le bonheur de son peuple, que le but de toute action doit être le BIEN ?


A l’inverse de l’humilité il y a la vanité :
Vanitas vanitatum….
Vanitas vanitatum, et omnia vanitas disait un vieux livre. Vanité des vanités, tout est vanité !

Quel profit l'homme retire-t-il de toute la peine qu'il se donne sous le soleil ?
Quel orgueil tire t il d’une gloire éphémère et temporelle ?
Vanité…

Tel qui comme chef d’armée a tué deux hommes et trois alouettes, dont deux étaient cardiaques, se prend pour Alexandre le grand.

Tel qui comme élu par un peuple endormi, n’aura semé que désordre et malheur se prendra pour un grand souverain, pour la lumière du monde, pour Dieu, parfois.

Tel Duc ou Comte ou Souverain qui n’aura que guerroyé sans jamais apporté le bien à son peuple, se croira une icône.

Tel élu ayant eu trois voix de plus que son voisin se prendra pour l’élu du monde, pour un messie !

Tout cela est vain car inutile

Une génération s'en va, une génération arrive, St Admin regarde partir les uns et arriver les autres.
Les arrivants ayant méconnaissance ou oubli de ceux qui les précédaient et la terre subsistent toujours.

Le soleil se lève, le soleil se couche ; il se hâte de retourner à sa place, et de nouveau il se lèvera.
Le vent part vers le midi, il tourne vers le nord ; il tourne et il tourne, et il recommence à tournoyer.
Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est pas remplie, dans le sens où vont les fleuves, les fleuves continuent de couler.

Tout discours est fatigant, on ne peut jamais tout dire. L'œil n'a jamais fini de voir, ni l'oreille d'entendre. L’esprit de vouloir, le cœur d’aimer.

Ce qui a existé, c'est cela qui existera ; ce qui c'est fait, c'est cela qui se fera ; «Nihil novi sub sole »il n'y a rien de nouveau sous le soleil.
Y a-t-il une seule chose dont on dise : « Voilà enfin du nouveau ! » - Non, cela existait déjà dans les siècles passés.

Seulement, il ne reste pas de souvenir d'autrefois ; de même, les événements futurs ne laisseront pas de souvenir après eux.

Alors Pourquoi ? Si la guerre, si la richesse, si le lucre, si les honneurs sont inutiles et vains !
Pourquoi s’adonner au mal quand le bien au moins est agréable ?

Je ne citerais qu’une phrase, non pas de Ste Boulasse, mais dite en parlant d’elle :
• Vraiment une telle félicité ne peut être que divine ! Pardonne nous Boulasse pour notre aveuglement ! (Childehald devant le corps supplicié de la Sainte)
Oui la réponse est là même devant la Ste patronne des vignerons et des taverniers que devant tout homme digne de ce nom.

Le bonheur et la voie à suivre ne se trouvent que dans le bien car il est bien, vu que rien d’autre ne sert mais que nous serons jugés sur nos bienfaits.
“Benefactis proxime ad deos accedimus.”

Alors ?

Alors ne regardez point votre entrejambes, ce n’est pas là que se trouve le centre du monde.

Alors chacun de vous n’est que fourmis, qui est née et mourra comme elle est venue ! Alors l’intérêt de chacun n’a aucune valeur comparé à celui de tous.

Alors commencez par être un être humain digne de ce nom, avant de vouloir être autre chose.

Je vous laisse méditer.

Ce ne sont pas des hommes qui se battent contre des démons…

Mais ce sont des enfants du très hauts qui se battent entre eux.

La guerre à laquelle nous assistons est absurde et chacun le sait, puisse le Très Haut pardonner à ceux qui l’ont voulu.
Mes enfants je vous souhaite que la Paix vienne penser vos blessures.


Sit Nomen domini benedictum !


Mère Verty, resta un instant silencieuse puis retourna à l’autel…


L’archevêque commence à préparer l’autel pour le partage du pain,
Récite à voix basse et renouvelle le rituel du partage


Elle continue en disant
Priez mes frères, Nous allons partager le pain, ce partage symbolise que nous partageons aussi les joies, les peines, la vie.
Que lorsque la maladie ou la guerre, la soldatesque ou la famine s’abattent elles ne s’abattent pas sur l’un d’entre nous mais sur nous tous. Symbole que nous partageons tout.


Vient le moment du partage en lui même

Mère Verty, reprend la parole
maintenant, sœurs et frères partageons le pain et le vin comme il nous a été appris à le faire.


La mère se saisit du calice, le tend vers les fidèles, et en bu.
Certains fidèles ayant apporté du vin le boivent aussi dans la communion puis s'avancent vers l'autel, elle leur distribue les pains, elle invite l’assemblée pour distribuer quelques morceaux du pain rompu et faire boire un peu de vin pour manger et boire.


Suivent quelques instant de méditation

Je terminerai en remerciant les fidèles de la Paroisse qui ont assisté à cette messe.

Elle lit la dernière prière.
Et elle bénit l’assemblée.


Benedíctat vos omnípotens Dominus, et Artistote et Christos et Spíritus Sanctus

L’assemblée répond :

Qu’il en soit ainsi

Ite messa est

_________________
Emeline.
La vipère se faufila discrètement dans la cathédrale respectant le silence du lieu saint. Elle sourit devant la présence de son Eminence Verty et religieusement se dirigea vers son Eminence Clodeweck et salua d'un léger hochement de tête.

Ecoutant le serment d'une oreille attentive.

_________________
Sofja
Prévenue un peu tard, la Vicomtesse arriva à son tour à la Cathédrale. Aussi discrètement qu'une souris, elle fit son entrée. Elle s'assit sur un des bans libres. Peux de monde était présent, faut dire que la nouvelle avait été discrète et qu'avec la guerre, beaucoup de Limousin avaient déserté pour remplir leur mission auprès de l'armée.
_________________

Le RP du mariage est ouvert : http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=618925 , on vous y attend.
Merwyn
Le sermon de l’archevêque résonne a ses oreilles.
Elle les as vue, les hordes déferlantes encore et encore sur son paisible village.
Elle les as vue venir se vanter en taverne de leur action sois disant libératrice.
Elle les as vue ces perfides diffamations avant et après les élections.
Elle les as vus ces attitudes bornées dans la lute d'un peu plus de pouvoir.
Elle les as vue ces querelles intestines au sein du conseil.
Ce n'est donc point naïveté que de croire en le meilleur coté de l'homme mais seulement vœux pieux?...
Le résultat est le même. Ce sont ceux qui font confiance qui se font trahir, ce sont ceux qui tendent la main qui se font mordre.
La différence réside dans le fait de savoir que le contraire est possible....Dans un monde meilleur.
C'est profondément troublée qu'elle se demande si elle ne devrait pas attendre que passe cette génération pour œuvrer. Retourner a la terre en espérant que la suivante sois plus disposée a collaborer pour le bien de tous...
_________________
)
Catherine_elisabeth
Un pas en avant, deux pas en arrière, deux pas sur l'côté, deux pas d'l'autre côté... Un pas en avant, deux pas en arrière.... Oh !!!! Une échoppe ! Marraine va a-dor-er cette ceinture !

Et voilà comment arriver en retard...

En même temps, la jeune comtesse n'avait pas trop l'habitude d'aller en la cathédrale qu'elle jugeait prétentieuse, à côté des magnifiques petites églises pas très loin.
La maison du Très Haut a pas besoin d'être aussi grande, sauf si ce dernier a prit du poids, là...
Plissement de nez perplexe.
Est ce que Le Très Haut peut grossir ?
Ah non c'est vrai qu'Il est parfait....

Après avoir acheté la ceinture, et réglé dans son esprit quelques questions existentielles, elle reprit le chemin vers la cathédrale.
Sa marraine devait déjà y être. Peut être Monseigneur Pépé aussi.
Parait qu'elle rencontrerait deux immenses...heu...non... Éminences... Oui c'est ça.
La blondinette était aristo, sûrement jusqu'au bout des ongles au vu de son éducation.
Enfin sauf peut être dans un ptit coin de son esprit, restait une place pour les questions à ne pas poser, mais qu'elle poserait quand même un jour, n'en doutons pas. Bref. Aristo, mais y'avait des trucs qu'elle comprenait pas encore. C'est quoi la différence entre une Eminence et un Monseigneur et une Soeur et un Frère ? Oui certes les titres et les habits... Mais le reste ?
La gamine avait quand même hâte de poser ses questions -parfois gênantes mais innocentes...ou pas- et peut être en aurait elle l'occasion.

Enfin elle arriva sur le parvis, gravit les quelques marches, poussa la grande porte avec discrétion, se signa et s'installa sans faire de bruit sur un banc du fond.
Puis elle écouta la cérémonie.

_________________
Dhea
Eloin a écrit:
Et la moniale de conclure, avec un sourire marquant son soulagement de voir l'office prendre -enfin- fin.

Désormais vous estes unis devant Dieu et les hommes... Vous pouvez vous embrasser !

Pendant que les jeunes, mais plus vraiment jeunes, mariés concluaient à leur manière la noce, Eloin disparut un instant dans la sacristie ; pour en revenir, quelques instants plus tard, avec un calice d'argent dans une main, une coupelle garnie de petites tranches de pain dans l'autre. Elle posa le tout sur l'autel, avant d'inviter la petite assemblée à participer au rite du partage.

A présent, et pour finir agréablement cet office, partageons le pain et le vin de l'amitié.


Ni une ni deux ni plus, le Vieux Ronchon que cette cérémonie épuisait et rendait nerveux et de mauvaise humeur, coup d'oeil assassin vers sa désormais femme, se dirrigea d'un pas rapide vers l'autel. Il attrapa les tranchettes de pain qu'il engloutit, manqua de s'étouffer avec, ahaha bien fait pensa sa femme et merdum. Bah ouais n'oubliez pas qu'ils roucoulent pas comme des tourterelles et qu'ils sont pas grave in love de leur body respectifs. C'est un contrat qu'il vienne de passer, contrat très intéressant.
Manquant,donc, de s'étouffer il prend le calice et avale tout le vin puis s'essuie la bouche du revers de manche.


- Bon c'est pas tout mais j'ai pas qu'ça à faire. merci pour la cérémonie. Ma f... enfin Dame Dhéa pourvoyera à une petite aumône.

Regard louche vers Dhéa. Regard qui dit qu'il va lui arriver des bricolles...regard dangereux. Sourire carnassier.
Il attrape sa femme comme un sac à patate, rappelez vous l'épisode au Castel et lance un salut la compagnie.


-HHHHEEEEYYYYYYYYYY mais ça va pas la tête eeeeeee. Zêtes fooouuuuuu entend-on crier la Vicomtesse compte double lorsqu'il l'emmène ainsi.



HRP : merci au JD Eloin pour sa patience. Désolée d'avoir fait traîner aussi longtemps mais quand on n'arrive pas à écrire et que son compagnon de jeu et en retraite ça facilite pas. Avec encore une fois mes sincères excuses et merci de nous avoir supporté.

_________________

Plus ne m'est Rien !!
Maelys7
Maelys arriva, d'apres les indications de la Mère Eloin.
Elle regarda l'immense batiment puis y entra discretement, pour ne pas trop deranger...
Mais elle etais bien là pour son bapteme..

Elle balaya le batiment ,du regard, pour y trouver la Mère Eloin
Luaine
Arrivant sur Limoges et les clous entre les dents, Luaine tapota son marteau sur le panneau de bois en y posant son affiche. Comme le voulait la tradition, elle devait y déposer ses bans.


_________________
Arthus
Arthus marchait d'un bon pas et arriva devant la cathédrale. Il regarda la magnifique architecture, prit une profonde inspiration et y rentra. Il se signa et regarda autour de lui. Il n'y avait personne...... Il fallait pourtant absolument qu'il voit quelqu'un un curé ou un diacre peu lui importait, mais quelqu'un.....

Il y a quelqu'un ??????

Il parla d'une voix forte mais sans crier, le lieu n'était pas fait pour cela....
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 63, 64, 65, ..., 67, 68, 69   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)