Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 65, 66, 67, 68, 69   >   >>

[RP] Cathédrale Saint Etienne de Limoges

Euzen
Une ? C'est bon. Deux ? C'est bon. Trois ? Trois ...

" Abigail, dépêches-toi !
- Oui suis là !"


Petit sourire qui échappe au Corniaud alors qu'il observe sa fille débouler dans les escaliers. Froufrou et compagnie étaient de sortie avec les trois fillettes. Deux brunes. Une blonde. Deux sosies. Une mouflette. Deux terreurs ... qui ne sont pas les deux sosies... Un ange. Oui, c'est bon, il les avait toutes les trois.

" Bon, on ne traîne pas. On passe chercher Asarine et on file à l'église. Et promettez moi d'être sage là bas !"

Trois petites têtes qui acquiesce vivement, arracha un rire au jeune Montbazon. Pour sur, quand on ne les connait pas, on leur donnerait le bon Dieu sans confession à ces trois là. L'église ? Quelle idée d'y aller. Mais elle avait piquer le jeune homme le matin même en entendant les cloches au loin. Certaine future obligation commencé par un apprentissage ... Maintenant. Alors bon gré malgré, il s'était lever. Mais hors de question d'y aller seul ! Alors il avait embarqué la moitié de la maisonnée. Porte qui souvre et voici la petite troupe dans la rue.

" Et ne courrez pas ou Mathilde va encore m'en vouloir de vous ramener les vêtements tachés et troués..."

Pieux mensonge bien sur. Mathilde ne lui reprochait jamais rien. Ou presque ... Mais un avantage certain de se promener avec un si grand nombre de fillette est qu'il n'y avait pas besoin de faire la conversation. Non point du tout, elles le faisaient parfaitement seules. Se qui laissait tout son temps à leur frère/père de se perdre dans ces songes. Rapidement, ils se retrouvèrent devant l'auberge dans laquelle Asarine avait une chambre. Lui même évita soigneusement d'y mettre les pieds. Vu la pagaille faites quelques temps plus tôt, le patron ne voulait plus l'y voir... Il dû donc y envoyer les enfants. Que c'est susceptible les aubergistes ! Non mais vraiment.

Bref.

Asarine ne fut pas longue à les rejoindre, tirait qu'elle était, par chaque main, par les jumelles. Et ils n'en mirent pas beaucoup plus à rejoindre l'office religieux. Soudain une pensées traversa l'esprit du blond et amusé, se pencha vers son ex future belle mère.


" Dis, heureusement que l'on fait trop jeune pour être leur parents ou ça risquerait de jasé dans l'assemblée des fidèles..." Sourire taquin pour Asarine, puis à l'intention des fillettes qui franchissaient le seuil de la cathédrale. "Doucement et en silence."

Il se donnait vraiment l'impression d'être vieux parfois... A l’intérieur, il y reconnue une jeune Limogeoise rencontré depuis peu. Un léger sourire sur les lèvres pour qu'elle ne lui reproche pas une nouvelle fois de ne pas le faire, il s'approcha d'elle et de l'officiant.

"Bonjour Melyna. Bonjour Monseigneur"

Parole d'Abi mise en accord avec la joueuse.

_________________
Abigail.
Brossage des cheveux en règle, robe comme il faut, les trois donzelles de la maisonnée étaient fin prêtes pour aller sur les bancs écouter la messe.

Abigail avait une tonne de questions dans sa tête de blondinette... l'église, elle ne connaissait que peu. Elle n'avait pas eu l'occasion de suivre de baptême et le silence était nécessaire dans ce lieu, elle n'avait point trop l'envie de s'y rendre trop souvent...

[à l'église, avec Euzen, Asarine et les jumelles]

Elle lache la main d'Euzen et s'approche du bénitier. Quelques villageois se recueillent devant l'autel... demander ? se taire ? la curiosité lui brûle les lèvres pourtant.


Papa ! Papa ! c'est quoi ça !?

Un regard réprobateur, elle s'approche de lui.

C'est quoi l'eau la ? c'est pour que les moineaux ils se baignent ?

Chuuuttttt les villageois se tournent vers elle à tour de rôle. Elle se glisse dans les braies de son père, à défaut qu'il porte des jupons !
_________________
Melyna.
En attendant que l'officiant entame son service, Mely, les mains sagement croisées sur ses genoux, passait le temps en admirant les vitraux de la cathédrale. Mely était toujours ébloui par le talent de ses maitres qui se jouer de la lumière et des couleurs pour donner vie à de simples carreaux.

Un mouvement et du bruit vers l'entrée lui firent tourner la tête. La réverbération l'empêcha un instant de pouvoir poser des traits sur les visages dissimulaient dans le contre jour, seule une parfaite petite famille lui semblait passer le porche.

Une femme un homme et des bambins qui venait célébrer le jour du seigneur en famille. L'image d'Epinal amena un sourire à ses lèvres avant que les minois ne lui soient dévoilés.
Et voila qu'à nouveau deux coquelicots firent de nouveau leur terrain de prédilection des joues de la brunette. Oups heureusement que ses pensées n'apparaissaient pas dans une bulle au dessus de sa tête sinon la fameuse famille aurait été témoin de sa bévue ! Car effectivement méprise il y avait puisque les arrivants n'étaient autre qu'Asa, Euzen et trois charmantes fillettes.

La voix du blond saluant le prélat et en faisant de même pour elle, l'arracha à son mutisme aussi surement que le sourire qu'il lui offrit.


Bonjour Euzen, Asarine....

Voilà, il lui faudrait demander pardon au Seigneur pour s'être si honteusement trompé. Tandis que la petite famille allait s'assoir, Mely ne les quitta pas du regard tout en se disputant avec sa conscience.

Pourquoi tu devrais t'excuser ? regarde les, ne dirai t on pas un jeune couple ?
Mais arrête, Asa a faillit être sa belle mère !
Et alors, elle est pas marié ? Qui va à la chasse perd sa place.
Tais toi donc ! Asa est une fille bien, et Euzen est très gentil aussi
Et alors c'est pas parce qu'on est au régime qu'on a pas le droit de regarder la carte hein !
Rohhh mais tais toi donc affreuse médisante !
Pfff espèce de grenouille de bénitier à oeillière.


Long soupir épuisé de la brune qui pour une fois avait eu gain de cause, ça voudrait bien un cierge cette victoire là.
Mais voilà que sa curiosité reprenait le dessus... Qui étaient donc ces fillettes ?

_________________
Auclair
Poussant l’une des grandes portes de la Cathédrale, Auclair entra furtivement et sans bruit. L’homme trempa deux doigts dans le bénitier et se signa d’une croix avant de poursuivre son entrée. Il avança tranquillement dans l’allée centrale, regardant de chaque côté les longs bancs en bois finement taillé et sculpté par les meilleurs charpentiers de l’époque. N’étant maintenant plus jeunesse et que les meilleures années de sa vie étaient maintenant derrière lui, il se demanda, curieux de la réponse qui se cachait au fond de son être, depuis combien de temps il n’avait mis pied dans une Cathédrale.


Marchant toujours, il vit du coin de l’œil une beauté assise seule, les rayons du soleil traversant les grands vitraux prenant différentes couleurs avant de se perdre et illuminer le visage de celle-ci. Mélyna avait l’air bien parti dans ses prières, les yeux fermés, marmonnant à elle-même. Auclair s’approcha doucement et déposa une main large et rassurante sur l’épaule de Mélyna. Elle retourna la tête et regarda l’homme positionné bien droit qui lui lança un sourire avant d’incliner légèrement la tête en signe de salutation et respect. Elle pouvait le comprendre, sans qu’il n’eut à dire mot. Le message était clair, qu’il ne fallait pas qu’elle s’en fasse, qu’elle était belle, jeune et intelligente et que tout allait bien ce passer, mais surtout, que l’avenir était entre ses mains. Il lui caressa doucement la joue du pouce regardant toujours ses yeux brillants.


Cet ange lui était cher et précieux, il se battrait jusqu'à son dernier souffle et il faudrait lui passer sur le corps, mort et refroidit, avant d’atteindre ne serait-ce qu’un seul de ses cheveux soyeux. Elle aura des choix à faire dans la vie, certain facile, d’autre plus difficile, Auclair ne serait jamais là pour la juger, mais toujours là pour l’écouter. Il lui avait appris que dans la vie, les mauvais choix n’existent pas, qu’il ne fallait jamais regretter mais d’assumer. Ils avaient décidé de rester quelque temps, le temps qu’il fallait a sa future filleule. Ils étaient libre comme le vent, un luxe que bien peu de gens s’offraient ou pouvaient s’offrir.


Toujours debout à ces côtés, silencieux, il lui poussa gentiment une mèche de cheveux derrière l’oreille avant de détourner le regard vers l’hôtel.

_________________
*en construction*
Yes we can fight
Melyna.
L'office tardant a commencer et ne voulant pas passer la semaine suivante à se repentir pour excès de curiosité, le brunette avait préféré fermer les yeux et s'astreindre à la récitation silencieuse du crédo.

Toute plongée qu'elle était dans ses prières, ce fut une main posée sur son épaule qui finit d'apaiser ses questionnements, les chassant au loin comme autant de fétus de paille. Avant même que ses paupières ne s'ouvrent, un sourire étira les lèvres finement ourlées, Mely sachant bien qui se tenait à ses côtés. Un seul homme au monde avait ce pouvoir de la calmer et de lui offrir cette sérénité bienfaisante.

Les azurines plongèrent alors dans les prunelles d'Auclair, nul besoin d'autre échange entre ces deux là, leurs regards valaient bien des milliers de mots pour dire tout simplement que la vie les avaient rapprochée et qu'ils s'étaient mutuellement choisis. Que rien ne pourrait désormais défaire les liens qui chaque jour se faisaient plus fort, plus solide entre l'homme d'expérience et la jeune fille.
Auclair savait parfaitement à quel point le petit coeur assoiffé d'amour s'était attaché à lui et que la douce demoiselle deviendrait vite une louve enragée si on tentait de la soustraire à son futur parrain.

Décroisant ses doigts noués, sa main alla rejoindre celle puissante et vigoureuse, qui remettait en place avec une extrême douceur, une mèche encore plus rebelle que sa propriétaire.
Des gestes tout simples du quotidien et un immense sourire de la brunette pour l'inviter à prendre place à ses côtés.

Le monde était vaste, mais ils avaient le temps. Et en compagnie d'Auclair, choyée par sa mère, Mely prendrait le temps d'en découvrir toutes les splendeurs et ses trésors cachés.

Un soupir de parfait bien être souleva la poitrine féminine devant la beauté de ce monde qu'elle entrevoyait désormais.

_________________
Angelo_de_montemayor
Angelo salua les fidèles entrant dans la cathédrale , il souhaitait ce jour leur lire particulièrement le passage de l’exode alors il se mit devant l'autel et pris la parole d'une voix claire .

Citation:
Ainsi, ils peuplèrent petit à petit le monde entier, installant des villages partout où ils passaient. Chaque cité organisa son système politique. Ils élirent des chefs, qui géraient les ressources de leurs communautés. Ceux-ci nommèrent des gardes, afin que les lois de la cité soient respectées. Afin de financer cette hiérarchie naissante, ils prélevèrent l’or et l’argent des mines et les fondirent pour en faire de la monnaie. Celle-ci leur facilitait les échanges au sein de chaque ville.

Mais, surtout, cela leur permettait d’échanger des marchandises entre cités. Mais ce commerce enrichissait certaines alors qu’il appauvrissait les autres. Les cités se concurrençaient de plus en plus pour le contrôle des ressources. Ce qu’elles ne pouvaient avoir par le commerce, elles tentaient de l’obtenir par la force. Ainsi, chaque cité organisa une armée, engageant des soldats, afin de combattre pour enrichir leur communauté et ses dirigeants.

Alors, Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre. Il divisa le langage unique en une multitude de langues. Les humains ne se comprirent alors plus entre les cités. Le Très Haut leur permit ensuite de pouvoir apprendre les langues qu’ils ne connaissaient pas. Cet apprentissage nécessitait pour chacun de s’ouvrir à la culture de l’autre. Ainsi, ils étaient moins enclins au combat, étant donné les efforts nécessaires pour apprendre les langages de ceux qu’ils voulaient attaquer.



Spyosu nous raconte qu’après la destruction d’Oanylone, les hommes recommencèrent à travailler. Alors qu’au début toute la communauté était dans un lieu unique ou chacun se comprenait, parlant la même langue. Il fallait désormais faire avec de multiples groupes qui peuplèrent la terre. Chaque cité avait son système politique, sa manière se commercer, ses gardes pour sa protection.

Les cités au début on essayé de s’enrichir au détriment des autres, ainsi des armées ont vu le jour cela afin d’aller chercher des marchandises qu’ils ne pouvaient avoir par chez eux.

Dieu décida alors pour notre plus grand bonheur et aussi pour nous apprendre ce qu’est l’amitié de donner une langue spécifique à chaque peuple. Ainsi pour nous comprendre il nous faut désormais faire des efforts, s’ouvrir aux autres. Ayant ce besoin de découvrir le langage des autres, les différents peuples eurent moins de temps pour combattre.

Le message de Dieu est très clair, il demande à ses enfants d’être plus ouvert, plus réceptif et surtout refuse que ses enfants se battent sans qu’il n’intervienne.

_________________

Evêque de Limoges
Asarine
L'invitation d'Euzen l'avait surprise, intriguée, cela faisait un moment qu'elle n'avait pas pris du temps pour elle, pour se rendre à la Cathédrale, preferant prier dans l'intimité de la chambre d'auberge qu'elle occupait à présent depuis un moment.

Quand les filles débarquèrent, toujours pleines de vie, pour la chercher, elle en était à verifier ses mèches rebelles dans le miroir. Les accueillant comme à l'acccoutumée de joyeux calins et grosses bises le tout accompagné de sourires, elle les laissa l'entraîner dans l'escalier, une jumelles dans chaque main.

Arrivées sur le pas de la porte d'entrée, elle salua Euzen et fit une bise a Abi, toutes les trois etaient ravissantes dans leur tenues soignées... Le long du chemin d'ailleurs, ca parlaient chiffons, posaient des questions dans tous les sens, bref, Asarine esquissa un sourire en entendant Euzen intimer le silence aux trois princesses Montbazon...

Esperons qu'elles tiendraient quelques minutes au moins...

Et paf, raté, Abi ouvrit la bouche la première, action largement saluée par les visages fermés et les chuuuttt des présents...

Asa salua poliment les présents et s'installa aux côtés des filles. Prête a entendre la messe du jour...

_________________
Ysabeau
Ysabeau entra dans la cathédrale, un peu en retard pour la messe.
Monseigneur Angelo lisait un passage du Livre des Vertus, elle écouta attentivement.
La dernière phrase du commentaire lui parla particulièrement


Le message de Dieu est très clair, il demande à ses enfants d’être plus ouvert, plus réceptif et surtout refuse que ses enfants se battent sans qu’il n’intervienne.


Ouverture, souci de comprendre les autres, désir de paix. C'étaient là des mots qui la touchaient, qui lui allaient droit au cœur, en ces temps incertains.
La paix reviendrait-elle dans le Royaume ?
Ceux qui gouvernaient sauraient-ils comprendre que l'amitié vaut plus que la haine ?

_________________
Valeryane
Bon depuis quelque temps la volcan évitait les églises, ne croyant plus trop à la sincérité de l'homme, mais pour accompagner sa fille et son ami elle prit courage et fonça à la cathédrale, se signant en arrivant, génuflexion et tout et tout, elle rejoignit sa fille et Auclair son ami, et futur parrain de sa petite princesse. Oui Auclair était un ami précieux, le genre d'ami qui ne vous demande jamais de vous justifier sur vos actes, celui qui est là quand ça va pas, Val n'avait plus qu'un centre d’intérêt, ses enfants, et ses Vrai amis, Alcimane avait pris la décision de la suivre,son père étant toujours en mission de guerre, il ne pouvait être présent, et Val n'aurait jamais toléré une autre femme s'occupant de Sa fille adorée, essayait un seconde de lui prendre sa place près de sa fille et vous réveillez le volcan dans tout sa splendeur, ,nomeho! Un autre dinde qui donnerait des leçons à son propre sang ? Elle tuerait la volcan pour ses enfant, quand à Melyna ne connaissant pas son époux, n'avait aucun choix à faire, Earnan lui vadrouillait et faisait sa vie de vagabond, ce qui rassura la volcan c'est qu'elle avait des nouvelles de lui, son petit ours brun se portait bien.

Val après s'être ouinté de l'eau bénite de l'entrée, se faufila discrètement dans la nef pour rejoindre sa fille et son ami, suivit d'Alcimane qui ronchonnait déjà, préférant filer les bois avec son arc et ses flèches en bois.

Val ferma les yeux en écoutant le passage du livre des vertus, elle avait son plus grand bonheur prés d'elle, à quoi bon l'amour, sa sert à quoi l'amour ? A présent elle se consacrerait à l'essentiel de sa vie, famille et sa liberté.

Petit sourire complice à Alcimane, Melyna et Auclair quand elle ouvrit les yeux, d'un coup elle y voyait plus clair, d'un coup tout était coloré.

_________________
Angelo_de_montemayor
Angelo poursuivit la messe par une prêche

A présent voici une prêche sur le bonheur


il prit un instant de concentration et récita en français



Aristote nous a enseigné bien des choses dans sa vie, notamment que le bonheur est le but ultime de chaque être humain. Mais comment atteindre le bonheur? Là est la vraie question pour celui qui a compris le reste!
Le bonheur premier est celui qui consiste à connaître la Vérité, notion fondamentale pour celui qui cherche à être moral, car sans vérité pas de rationalité possible donc pas de morale valable!

Or la Vérité ultime, celle qui donne son propre sens, n'est-elle pas la Vérité de notre Seigneur qui nous a tous créés? Bien évidement! Et que veut le Seigneur? Que nous soyons tous bons dans nos actes et gestes.
Alors si nous agissons et œuvrons pour le Bien, cela sera atteindre le bonheur que de contempler sa production et de se contempler soi-même, puisque nous aurons fait le Bien et donc la Vérité.

Ainsi le sage devra s'efforcer d'atteindre le bonheur. Et pour atteindre ce bonheur il devra agir en conséquence, c'est-à-dire selon les préceptes aristotéliciens, les seuls qui aspirent à la Vérité Divine, et les seuls qui permettent l'auto-satisfaction mesurée, auto-satisfaction qui consiste en la contemplation de soi-même et de ses propres réalisations qui doivent être en accord avec la Volonté Divine
.

_________________

Evêque de Limoges
Ysabeau
Le sermon qui suivit parlait du bonheur.
Ysabeau attentive, opina du chef. Mais pour elle, le bonheur ce n'était point seulement contempler avec satisfaction sa vie, vie sage et conforme aux préceptes d'Aristote.
Le bonheur, c'était aussi la joie d'être ensemble, le plaisir de partager, l'amitié et... l'amour.
Cet amour conjugal qu'elle connaissait avec son Oxytan, cet amour qui illuminait leurs vies.
Elle ferma un instant les yeux, et sourit.
Oui, elle avait la chance insigne de connaître ce bonheur-là. Et rien ne pourrait lui enlever.

_________________
Angelo_de_montemayor
Angelo regarda les personnes présentes, une d'elles qu'il n'avait jamais vu a la cathédrale, surement une voyageuse, approuvée les dires mais angelo sentait sur les traits de son visage qu'il y avait quelque chose qu'il n'allait pas et avec un sourire il pointa ses deux mains vers elle

Jeune voyageuse, voulez vous vous joindre a la prêche et faire part de votre explication sur le bonheur ?

_________________

Evêque de Limoges
Ysabeau
Surprise, Ysabeau entendit Monseigneur Angelo s'adresser à elle... il lui proposait de... norf de norf, de se joindre au prêche ?
Elle rougit, embarrassée.
A l' invitation, cependant, elle se leva, rejoignit l'évêque et, timidement, dit à l'assemblée


Pardonnez mon audace Monseigneur, mais il me semble que... le bonheur, ce n'est pas uniquement le plaisir de contempler une vie honnête et qui respecte les préceptes de la religion aristotélicienne.
C'est aussi... la joie d'être ensemble, la joie de partager avec les amis, la joie du couple qui s'aime, le bonheur de savoir que nous ne sommes pas seuls mais entourés de la chaleur de l'amitié et de l'amour.
Ce bonheur là nous fait vivre. Enfin, il me fait vivre.




Elle se tut, un peu confuse de s'exprimer ainsi en cette noble assemblée

(hrp mon personage est maintenant en Périgord et ne pourra donc pas intervenir mais nous reviendrons bientôt promis !)[/i]
_________________
Angelo_de_montemayor
Angelo écouta et continua a la suite

Dans tout ce que vous me dites, je contemple l'amitié, le partage, l'union , l'amour, voila des préceptes pourtant bien Aristotélicien, je me trompe ?


un sourire

Ce que vous dites , même s'il est dit d'une autre façon, abonde dans le sens d'une vie honnête qui respecte les préceptes de la religion Aristotélicienne car si l'on est quelqu'un de droit, d'honnête, d'aimant , avec des principes juste qui sont basés sur le respect et l'amitié alors même sans nous en rendre compte nous pratiquons les préceptes Aristotéliciens


une petite pause le temps de laisser la jeune épouse de reprendre place


A présent nous allons officier le baptême d'une jeune damoiselle qui se nomme Asarine , si vous voulez rester vous êtes les bienvenues, sinon je vous souhaite une bonne journée et rendez-vous a la prochaine messe

_________________

Evêque de Limoges
Asarine
Elle avait sagement écouté le préche, l'intervention de la demoiselle, hochant la tête parfois, marquant ainsi son approbation avec les mots qui résonnaient autant dans la cathédrale qu'à l'interieur d'elle-même ...

Quand elle entendit son nom, elle sursauta, non pas qu'elle n'etait pas au courant, mais elle pensait avoir du temps encore avant de devoir s'avancer.

Elle jeta un coup d'oeil aux filles et a Euzen, pour observer leur réaction...

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 65, 66, 67, 68, 69   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)